V itrauphanie Eene Hofstede V if h Iff I s e EN MEE 11 SCIIEN Beaux-Arts. Bïuq Bibliographie. ltóchÊ^pe- Un bon piano O'occasion INSTEL VAN: STAD YPEB. -- DIXDÜOESTBAAT. Belle petite Campagne a louer ESTOMAC. OP ZATERDAG 2 HEI 1896, Charbons et pétrole. M. Verscbeure propose que les charbons soient livrés par les marchands de la ville, au lieu de les faire veriir directement de la mine. Nous trouvons que l'esprit de critique deM. Verscbeure se donne trop libre car rière. Si la ville se fournissait chez des par- ticuliers, il trouverait peut être qu'il faut, pour plus d economie, s'adresser aux mines. Quoi qu'il en soit, si les fournisseurs de Poperinghe peuvent livrei' au même prixque ceux de Charleroi, comme lecroUM. Ver- scheure, nous ne voyous aucun inconvéiiieut h ce quel'on s'adresse aux premiers. Quant au pétrole, il résulte de la discus sion que la ville de Poperinghe a uue con vention, pour un an, avec M. Moncarey, qui tournit le pétrcle pendant toute 1'année k '15 centimes le litre. MM. Verscbeure el Schaballie piéfèrerai- ent que l'on prit le péuo'e chez tous les fournisseurs, et que le pétrole ne fut plus déposé chez le fournisseur. II demande aussi ce que deviennent les füts vides. Le compte rendu prétend que le collége n'a pas répondu it cette question, si ce nest que M. l'échevin Vandenberghe a fini par dire que le fournisseur devra en rend re compte. Nous sommes convaincus qu' il n'y a Ik aucun abus et que l'explication quo four- nira le collége dans une prochaine séance sera péremptoire. Encore une fois, pourquoi M. Verscheure n'a-t-il pas présenté son ob servation en commission Lc collége cut pu répondre immédiatement. Collége patronné. La Villepaie au collége épiscopal un sub side de 3000 francs. La minorilé nc et itique pas cetic dépense. Mais elle demande que l'on fasse admeltre gratudement un plus grand notnbre delèvrs au collége. Elle de mande aussi que l'on fasse chaque année un concours entte lts élèves de la classe la plus élevée de l'écoleprimaire communale et qu'ort envoie les mrilleurs au collége. C'esl une question it examiner par le col lége échevinal. Nous constatous avec plaisir que M.Scha ballie, qui a présenté une observation, n'ait pas critiqué le subside accordé au Collége épiscopal. La critique cut injuste, étarit donné que le collége patronné de Poperinghe juslifie amplement, par ces suecès, ('allo cation de ce subside. Que Messieurs ies membres de la minorilé veillent ;t ce que, par des agissernonts équivoques, iis ne (as- sent par les affaires des libérauxqui auraient bientöt fait de supprintcr lc subside au col lége, si jamais, pour le malheur de Poperin ghe, ils parvenaient it conquérir l'flótel de Ville Entretien des cbemins de terre. Cel entretien coöte 2500 francs. La mino rilé critique cette somme et demande qu'on la destine p'u'ót êt établir dés graviers. M. l'Echevi» Vandenberghe partage entte ma- nière de voir Le crédit sera employé it eet effetet, au besoin, le collége inscrira au budget une somme plus forto. Fêles publiques. La minorilé demande des subsides pour les sociétés Langhoirs Victorinen el De Roeische Barbaristen. MM. E. Devos et Dequeker, dans un lan- gage très-convenable et qui contraste sin- gulièremcnt avec celui de M. Verscbeure, demandent le premier, que l'on étabiisse le kiosque h la place, comme it Ypres, et q i'on y donne des concerts tous K-s 15 j <urs le second, que la ville accorde un subside de 500 francs pour J'éreclion d'urte loire aux chevauxet bétail, et de donner des primes it j eet effet. Après quelques observations, ces propo sitions sont renvoyées ii l'examen de la commission spéciale. Nous donnerons dans notie prochain nu méro une appréciatiott générale au sujet de la discussion que nous avons rapportée d'unc fagon succincte, ma® aussi exacte que pos sible. Gonstatons que, coutrairement aux affirmations du Progrès, il n'y a pas it Pope ringhe des écuries d'Augias a nettoyer. Gon statons aussi que le Progrès et la Lutle ne soufflent pas un mot au sujet des écu ties de Warneton. N. J. BLOgH Exposition dc Peinture et dc Sculpture a Lille, La ville de Lille désirant donner it cette importante manifestation d'Ait le plus d'éclat possible, s'est assuié le concours d un grand notnbre de muitres francais et étrangèrs. Un jury spécial décerna des recompenses consistanten Médailles de première, deuxtè- mc et troisième classe. Me"e De Hem a obtenu la médaille de pre mière classe avec d ux ptinlures Les Groque-tnons et Ilêverie (effet du soirj. Salon annuel de Paris. Admission compléte de tout l'envoi de notre jeune artiste uu Salon Deux peialures, deux pastels. Le jury estcomposé do GO artistes fran- gais bors concours. Les opérations du jury ne sont pas valables si les deux tiers des membres du jury ne sont pas présents de-' vant i'couvre h juger. Le nombre d'ceuvres préseutées a atteint le cltiffic de 8000. 1800 tableaux seulu- rneut out été admis. Nos cordiales felicitations a notre eonci- toyenne. Elle réalise de plus en plus l'espé- ranec de ses coucitoyens. Ypres peut être fier de posséder une artiste qui comptera bientot parnri les maïlres modernes de fai t TÏ.C ulo En vente chez CALLEWAERT DE MEU- LENAERE, rue au Beurre, 36, it Ypres LI VITRVUP1I INIE imitation parfaite des vilraux destinée a l'ornemcntation des surfaces vi- trérS des Jirdins d'iiivcr, Fenètrcs cl cglises et dVscaliers, Verandas, Lanlerneaux, Sarcs etc. etc. Son prix peu élevé permet de supprimer paru ut les rideaux. sinsi que le u.attage si disgracieux des cttrreaux. Ghoix varié de dessins. mC'y'TQhl il S^etit Guide cla i'èlerin de Lourdes. Jolie plaquette, in 18 de 96 pages, iliustrée de 26 gravures. Sous cou verture dorée l'rix fr. 0,£»3). Voici un nouveau guide de Lourdes, trés intéressant et trés complet, d'un format pou- vant facilement se mc-ltro en poene. 11 est spécialemerit éent pour les nombreux pèle- iiris qui se rendent journellement dans la ville privilégiés de Marie. II leur dunne tou- tes les indications désirabh-s, taut p. ur les fêles religieusss, lt visite des monuments, la deseiiption des égiiscs ct des ehapelles, que pour les txcuisions dans le pays circon- voisin ct le transport aux Lótels. Éeril par une plume toute dévouée it Marie, nous som mes certains qu'il sera lu avec inléVêl par tous ceux qui vont faire un séjour st court qu'il soit au pied des grottcs dc Massabielle. L'illustiation ne laisse rit u li désirc r, cl les gravures complè'.ent beureusement ce petit guide que nous reeommandons aux direc- leuis des pèlerinages. En vente au Bureau du Journal. IS®i|| "V/ LE NOUVEAU LONDON - -% a vendre. S'adresser au bureau du Journal. (us Studie van den Notaris VANDER\1 EER-SCII, le Yper. Maandag 27 April 1896. om 2 ure namiddag, ter Estami- nct Les Trois Suisse, Graote Markt, to Yper. it I 1/2 kilomètre de lu ville d'Ypres. S'adresser au Bureau du Journal, (tiu met SO centiaren grond cn erve, gestaan en gelegen bin nen Yper, aan de westzijde der D ixtnude straat,aldaargcl e e k e n 11 nr 71, bekend per kadaster scclie F, nummer 186a. Gebruikt door M° VVC Wycland cn kinders. Handslag met de geldteliing. L- /0 mslelpremie te winnen. Poudres Miraculeuses. Studiën van de notarissen LAUWËHS te Yper en DEJIËCEËBE te Moorslede. Openbare verkooping ïïi ééoen zitdag ten 2 uren, in do gehoorzaal van hot vrede gerecht te Ypre, van TE WYÏSCHAETE (Gapaeht) groot H. 7.75 70, verdeeld in 8 koopon. Verpacht aan Theophilo Bac- ckclandt, de weduwe Augusfin Deconinck, do weduwe Louis Brcyno on Louis Gillis tezamen mits 974 francs 's jaars, boven de lasten. facrióue t~ r-noooiTS ai nrriTACUs TTSI A V a TOM f I I b' t'tt' s -v A X i DÉPOT r - I..I l'êoule sorlaia Jus üsin.-s BLCCH <.i u:-n ée spéiialeraciU pour 1'usage clément* :r sst a-t-r.l acquis .L i u's 1311 uit reputation bun ment.u. I'lusicuis proditits cont offer is :ut puUu sous «les l t es de plus en plus pomp ux et avec !u m mliuu de I'-rule puiif.éc taudis que Ie plus smtvrtii re ne sm.i q e .I s produits inférieurs, Llauci.is au cl.lt.ro mi a I a--,.K qui ne eoiivhnmml qu'ii 1 usage iiulustiielI tirliasj.r r> est une prctivè cortaiuc. Ces produiis soul très-nuisibles a la santé. Pour metire fin k une confusion qui ponrun: leur d.-ve- nir préjmlieial.le, IV! IYI. 8 LOC bi prèvj.mn mi le puh'io que la Fóctilo so: taut, de leurs usines sera vendue doren vant sous la déhoniinaiioit dc Fccule Bloch, er que «•La pie paquel seia revfelu de leur signature; il oiGe a I- no ra de Bloch dans la marque ti« fibrsquo. Nous prions le public de red uner l i iwritable 1 uCYllO BlOCh, car on tin -te no* etiquettes el notre pc quetnge. j. vL/ ii yLv -i. A i V r-A y'jI\Y, (A haso vègèlalc) fait dispa- I VcN raltre les elifveux gns cn rail /K'i ecu tie jours iortilie la cheve- v f-èi lure, en arrêle la chute, line til Kn fiaeons do 1 fr. 50 ct 2 fr. 50 Tcinlure aiigiaise sphcialc puur barbes 2 fr. le flacon. En vqnte A Ypres chez V® Ótnmeslagb-Podevyn a Poperinghe chez Theeten-Lefover. 48 BOIT1 let loutcslesMal»^* fnwi Dépót a Ypres chez Donck frères ruo Lille. io6 Si exagéróo que puisse paraitre cette expression, nous nous faisons oependant un véritablo devoir do la roproduire. En effet, dopuis que les Poudres De Cock sont lancées dans le commerce, il ne se passe pas do jour oü l'onn'entende pas des personnes se dire Comment, vous souf- Irez do l'estomac Prenez done les Pou dres De Cock. Depuis bien des années, je souffrais et j'avais perdu tout espoir ito guérison jo manquais compléte ment d'appétit, jo ne digérais plus non. Sitöt que j'avais maogé, j'étais gêné; constam- ment je faisais des renvois, j'avais des aigreurs, des suffocations, j'étais oppressó. Souvent aussi il m'arrivait' degonlier trés fort; j'éprouvais des douleurs un peu pariout, au ventre, a la poitrine, dans les reins et a la têto. J'avais la langus chargée, la bouche söche et pateuso. Urof', je sentait un malaise incléffaissabie qui me pesai, sur tout lu corps, et cependaid, chose assez extraordinaire, je conservais la figu re bonne et forte. Personno n'aurait sup pose que jo mo trouvais dans u'ie le le situation. En plus, j'étais devenu vit'.ti istes impatient, nerveux et sans goüt. La moin- drc cliüsa m'irritait et m'agaqait J'étais insupportable. Et cepe/.-daut quo n'a va is jo pas teutó pour moguérir? J'avais fail tout et pris de tout, et si aujourd'hui je suis guéri, je le ilois uniquenient aux Poudres De Cock. J'ai étó réellement ómerveilié do lours eff'ets. C'est a no pas y croire On pourra't encoro ajoutor qu'outre ces pré- cieuses qualiióJ, ies Po adres De Cock out en plus eelle-cicelle d'être complètement iuotfensives et memo qui plus est, d'etre tonjours utiles. En effet, l'actiou des pou dres, et c'est ce qui fait leur force, consiste simplement a fortifier l'estómao et a 1 as- sainir action done bonne ct utile a tout point de vuo. E las s'appliquent a toutes ies personaos iudistiactement dont i'esto- mao est malade, taiblo, córangé, oa récla me dos i'orros. Or, il n'est peul ctro pas inutile do faire observer quo l'estomae est l'organe la plus important du corps, quo c'est lui qui a pour mission de nourrir tous les autres en leur envoyant la nourritura que nous [ironons après l'avoir préparée ot digérée. Et si de nos jours ton rencon tre tant de personaos faibles do constitu tion, m-ladives, anémiques, c'est bien sou- vent par o que l'estomac no sail supporter la quarilité do nourriture quo le corps oxigo ou qu'il ne sait la préparer qu'in- complètement. I.es Poudres Do Cock sont en vente dans toutes les principale» pharmacies du pays a deux francs la boitj. Depót général: jibatmacie Dubois, a Roy. On les trouve a Biuxelles nolamment aux pharmacies Pélerin, rue de l'Ecuyer, Polacre, Montagno de la Cour; Fréd'rix' boulevard du Nord; Alescli, boulevard du flainaut, a Ypres, chez Soc-quet, Grand' Place. Avis important. Pour éviter toule nr.o correspondaneo deveouo aujourd'hui impossible a cause dolaquantité de do- maitdes de renseignemcals qui nous par- viennent tous les jours concornant ce pro- duit et qui toutes ont pour but de savoir si réellement il est aussi effieace et sans risques, nous répondons que sous tous Ies points do vuo il donne les résultuts les plus surprenants ct sans jamais pouvoir pi oduire le moindro inconvenient; qu'on pout done a eet égard avoir tous ses apaiso- monts. (44 PR I/O A A fin JONGELING van 14 tot ti.; V il .-I dU1) 17 jaar, Vlaamsch en Fransch kennende, om te dienen als winkelknecht. Zicli to wenden ten bureele dezer. (20 108

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1896 | | pagina 2