Vitrauphani jeveui tombola Meetings Catholiques. Volkshuis. m Ll-g Gr? is .£oussör r D'ABCS, FLÈCIIES ET D'ACCESSOlRE, REPARATIONS, PW Quaud M sait aux donner une rence, nous Quand .V duire Ansee' escorte, et'p Possaert, en ess isles un 1890, refu- local pour une confé- meeting on 'avons approuve. Van lieu le faisait con- la gare sous bonne prétexte de ne pas a us provoquer djS;scènes de violence vis a-vis du melur socialiste, nous avons approuvé élement la conduite d.u ft. aïeur d'alcjs. Pourquoi fes libéraux ne suivent-ils pas la mêmlligne de conduite vis-a- v is de nos aiiis Nous gagpus dix contre un qui loBourgme^re avail laissé faire, Frogrès Feiiblame. Mais no njus inquiétons pas de la rianièrc de fcir du Progrês. Les lion- nötcs gensmprouvent l'arrêté de M. Ie Bourgtneilre. Cola vaut beaucoup i.iieux Les catholiqiBS out donné irois meetings Dimanche delerbComines, b Ploegsteert el b Warnêloj Tous les tras out réussi b soubait beau coup d'élceteiis partni lesquels plusieurs so cialistes étaieht venus écouier et applaudir les discours dl nos candid a ts. A PloegsteftMM. S'.ruye et Iweins d'EecV- lioutte out pis la parole. A Comines, MM. Colaert et vai Merris out expliquéle pro grammedu pJconservateur,etb VVarnêton, tandis que lialcur socialiste avait 5 peine une vingtainqd'auditeurs nos candidatsonl parlé devant ii moins 200 électeurs. Parlout MS. jïplaort,Iweins et van Merris regoivent le millsur accueil et tout fail pré voir que la «jorité catholique du 5 J ui 1 let dépassera luedebeaucoup cello de 1894. 'I Dimancbejl Juin, nos futurs dépulés se rendent b Wjrick.pour ydooner un meeting ce un joli discours fort humourislique. II commence par faire l'éloge de M. Berten, son prédécesseur b la Chambre. [i promet de (aire ce qu i 1 peut pourremplir convenable- ment le mandat que les électeurs lui donne- ront et cite le vieux proverbe fl unand die doet dat hij kan, is een eerlijk man. En venant aux idéés socialistes, M. van Merris démontre l'inanité de ces utopies. Le monde qui existe depuis tant d'années, n'eüt pas attendu pour les appliquer, si elles étai- ent réalisables, ia venue de ces rnodernes messies. On voit ce qu'elles valent d'ailleurs encontemplant lesoeuvres des socialistes,qui, sous prétexte de faire le bonheur des ouvriers, pillent, assassinent et incendient comme ils ont fait entr'autres en 1886 chez M. Baudoux. Tous ceux qui aide it et corisolent 1'ouvrier dans riufortune sont les enriernis de ces pré- teudus sauveurs du peuplo. Les religieux et les religieuses, ils les feraient sauter en i'air comme fout ou essaient de ie faire, les anar chistes, ieurs dérivés. Entr'autres avantages que les socialistes prometlent de donner,s'ils obtiennent le pou voir, rnentionnons celui ci Tout le monde soidat, cequi faitqueceux qui.ayanthchance de tii er un bon numéro,écbappant au service militaire avcc le sysième actuel, n'yéchap- peront désormais plus si ie leur est voté. Autre avantage on pourra dépenser 100 b 160 millions par an de plus qu'actueilement C'est fort tentant en vérité. Les socialistes sont également ennemis des endarmes. Pourquoi II semblerait pour- tant que les citoyens honnêtes et paisibles devraient reconnaitre les services que ren dent ces servituurs dévoués de la nation, lis so:.t adversaires également du Roi et de la accomplissement de leur terme de service. M. Iweins déclare qu'il est partisan, ainsi que la plupart des représentants de la droite d'une armée de volontaires, pour autant que ce soit possible. II est de l'idée aussi qu'on doit lacher de limiter, autant que faire se peut, les dépenses militaires. Quant au sysième du volontariat, on devrait bien payer les jeunes gens qui s'engagent et leur donner accès, quand ils ont bien fait leur terme de service, b une position quelconque de l'Etat. En attendantil s'agil d'augmenter la rému nération des miliciens. On propose de la porter b 30 fr. par mois. J'ai fait une pro position b la Chambre, b ce sujet, dit l'orateur. Ge serait de ne donner que dix francs par rnois b la familie et de placer le restant b la caisse d'épargne au nom du milicien; de la sorte ce dernier toucherait une petite somma qui lui viendrait bien point, aprés son terme de service. (Applaud, unanimes.) M. Iweins parle encore de la caisse d pensions b créer en faveur des travailleurs et s'en déclare partisan. L'agriculture aussi doit être l'objet des soucis ;des représentants de la nation et du gouvernement. Lo sympathique représentant répète en)r nu local de Le meeting A 7 heure) au St Sébast loagrégation. rue des pigeon iimencera b 3 1/2 b. la soir, meeting b Zillebeke, La i éunioi jeune Garde particulier p; tions législat Malgré ia depuisquelqt mensuelle des membres de la alliolique a eu lieu dimanche soir. Eile préeniait oetle fois un intérêt tou élee suite de l'approche des les du 5 Juillet. mpérature tropicule qui règne M sjours, une foulo compacte rem lissaït la vass salie. M. !e baron Surmont d Volsberghe p!sidait,e'utouréde MM.Golaert. nïoutte et van Merris, candidats pourcetteélelionStruye, sénateur, Fraeijs, Boone et uiiSjuantité de noiabilités de noire ville. Piusieiis membres du clergé y assis taient égalejent entr'autres M. le doyeri Boone. M. le Piésient commence par annoncer les carididatues de ers messieurs et dit que les électeurs jui prenrent bcoeur les intéiêts de la ville |t sa prospériié et surtout ceux de la ïdigion et de la Pairie, doivent faire sorlir tromphanfsde l'urneMM.Colaer t, Iweins et \lii Merris. La responsabilité lélecteur estfrande. Dans sou etioix il doil faire tairé seqntérêls personnels devant Pin- térêt général Quand le comité centra! com posé des délquésde toutes les communes di 1 arrondisseiönt b pris )a décision de propo ser les can datures, il faut que ceux qui veulent reste.dans le parti s'incli.ient devant sa decision, ornme dans touto assemblée la minonte douse ra)lier 1.o illjon de ,a ma. jorité. II esttftaui d'ailleurs que nous ciier- chons poui 4 présenter aux suffrages des éiecteuis, '°rateur, ceux qui sont les mieux capams dêtre candidats C'est notie devoir b nois, )e vólre est d(J )eg faue triompher. M Ie Bar® Surmont termine en rnettant leséeceui garde contre les brouillons qui conseil eftient de voter pour les sodalis tes ou P0"' res candidats dissidents, qui ecaséchéant' dans lebui de faire deposition quand puis j. cöté les socialistes hommes de désordre et de l'autre les catholiques, gardiens vigilants de l'ordre et de la paix. Sur lesquels des deux partis se porteront les voix des libé raux Diront-ils comme autrefois Plutöt tures que papistes Parlant ensuite de la candidature dissi dente dont ou parle vaguement, l'orateur est persuadé qu'aucun catholique ne se laissera entrainer b soutenir de sa voix les fauteurs de division dans le beau parti catho lique. Ou parle d'une candidature agricole, mais les agriculteurs n'ont rien b nous reprocher. N'avons nous pas fait ce qui était humaine- ment possible pour défendre leurs droits el n'avons nous pas obtenu énormémentdu gou vernement, dit l'honorable représentant. L'a- griculture ne peut êtremécontente.On nepeut que nous demander de poursuivre dans la voie que nous nous sommes tracé. Ce sont nos adversaires qui ont tout fait pour em- pêcher le gouvernement de redresser les griefs des cultivateurs. lis nous ont traités d'aftameurs b propos des droits sur le beurre. lis nous ont accusés de vouloir tuer notre marohé au beurre. Nous avons tenu bon el le beurre n'est pas augmenté de prix et le marché au beurre est plus florissant que stances de mes amis je mainliendrai M. Golaert bravos J'irai continuer la lutte contra les enm de l'Eglise et de la Patrie qui pratiqueu^ propagent ces théories abominables plongeraient notre pays dans l'abime, morale socialiste au sujet du mariage, ferait des femmes des prostituées légale^ cette théorie socialiste sur la propriété^ ferait des hommes, des brigands. M. Golaert en retournant b sa place rl une véritable ovation, puis M.Iweins dé? qu'une autre réunion aura lieu avant Juillet. Tout le monde quitte la salie en empoif une excellente impression de cette réunion. familie Royale et en résumé de tout ca qui est autorité. L'orateur commente b ce sujet la circulaire des socialistes.il passé en revue dors les oeavres catholiques et montre le bien que les catholiques ont fait déjb au peuple, soit comme particuliers soit comme gouver nement. II démontre que le bien qu'ils ont fait jusqu'ici est garant de celui qu'ils ferorit en core. Le plus grand souci des catholiques est d'assurer ie bonheur et la tranquiilité des outliers pour leur bien moral et matériel. Eu iravaillant de la sorte le grand parti ca tholique aura bien mérité de Dieu et do la Pairie. Applaudissements chaleureux.) Après M. Van Merris, M. Iweins d'Eeck- houlte prend la parole b son tour, salué par los applaudissements de l'auditoire. L'orateur énumère les divers titres qu'il a pour se présenter aux suffrages des électeurs en rendant compte des divers mandats dont le corps électoral l'a investi pendant un grand nombre d'années. J'ai fait tout ce qui était dans la mesure de mes forces, dit M. Iweins pour faire le bien, dans l'intérêt du peuple et de l'uuvrier, suit comme homirie public, soit comme particulier, (bravos.) Je crois avoir travaillé consciencieuse- (ii: ui b bien remplir mon mandat de repré sentant. Quant b la question du Congo, je crois devoir vous d;re pourquoij'ai voté poui la somme prèiée par le gouvernement b la société du chemin de ter congulais. G'est que cc3 millions votés ne sont ui réaliié pas perdus, vu que ce n'est qu'un aval, qui nous serait rendu, dans le cas oü la Belgique ne voulanl décidéminent pas du Congo en 1900, celui ei serait repris par un autre pays. Avant cette époque, aucun nouveau sacrifice pécuniaire ne sera plus demandé.le ministre en a donrié i'assurance la plus formelle et d'ailleurs si le contraire était vrai, moi per- sonnellement jc ne voterai plus rien. Je irouve que c'est assez, que c'est sufflsant ce qui a été fail jusqui'ci. (Applaudiss.) Quant b ia reprise, je le répète, il n'en est et ri'en sera pas question avant 1900. On pourra voir alors par l'i xpérience, si Taffaire est bonne ou non et nous nous règleroris d'après votre opinion pour le vote b émettre L'orateur en arrive b la question militaire et parle du projet de loi présenté par M. Bertrand, le député socialiste, qui veut sup- primer le remplacement. M. liveins demande bqui profite le plus ce remplacement que le singulier ami du peuple en question veut supprimer. N'est-ce pas au peuple et aux petits.C'est pour eux une occasion de gagner une jolie somme d'argent qui les metb même de soutenir leurs vieux parents, ou encore donne la parte U. van Merris qui"pronon-|de trouver le moyen de se placer aprèsj terminant, ce qu'il a dit en commenpant, qu'il est l'ami sincère du peuple et de l'ou- viier el qua tout son bonheur est de rendre service b tous. Interruptions approbatives.) Les petits comme les grands, les bour geois comme les ouvriers seront toujours bien regus par moi, quand ils ont b me demander quelque service, comme je l'ai toujours fait jusqu'ici. Tout ce que je demande en retour, Messieurs, dit M.lweins, c'est de bien voter et de voter pour toute la liste. De cette iagon je puis vous donner I'assurance qu'au 5 Juillet prochain le parti catholique remportera une vicloire éclatante Bravos répétés.) Une nouvelle salve d'applaudissements éclate quand M. Golaert se léve Dans un langage élevé l'honorable repré sentant rappelle que jadis Ypres et Poperin- ghe furent adversaires, mais désormais toute trace d'animosité a disparu et aujourd'hui que M. Van Merris, échevin de Poperinghe se présente aux suffrages des éiecteurs, sa candidature estaussi acclamée par les Yprois que celle d'un des leurs. Parlant des socialistes et de leurs mee ungs, l'orateur dit que lui et ses collèguesen candidature ont été invités b se rendreb ces réunions, mais qu'ils ont refusé et pourquoi? Paree qu'ils ne veulent pas se compromet tre avec des gens qui jettent l'insulte et la boue sur tout ce qui est grand et noble; par ce qu'ils ne veulent pas avoir l'air de se ren dre en quelque sorte, même par une simple présence, complices de ces gens qui traitent de voleurs et d'assassins les bourgeois et qui injurient journellement le Roi et le comte de Flandre Qu'avons nousb voir d'ailleurs, dit M. Co laert, avec ces candidats socialistes, qui se présentent pour représenter un arrondisse ment auquel ils sont tout b fait étrangers et dont ils ignorent complètement les intéréts? L'orateur excite l'hilarité de ses auditeurs en rappelant l'histoire de ces orateurs socia listes qui péroraient eu pleine grand'Place en se lamentant de cc qu'eux.les socialistes devaient manger du pain sec et qui b peine cette tirade prononcée, se rendaient en tou te hate prendre un succulent diner de trois ou quatre plats, arrosé de vinsgénéreux, dans un des premiers hotels de la ville pen dant qu'ils laissaient philosophiquement les ouvriers, sur le malheureux sort desquels ils venaient de lancer toutes ces jérémiades, retourner b leur brouet noir. II est vrai que leur journée était bonne et leur permetiaii un extra, vu qu'ils regoivent pour venir don ner ces meetings, 50 fr. par jour, dit-on. II n'est pas sur du reste que les catho liques qui se rendraient dans ces réunions socialistes seraient b l'abri des injures et des insultes de ces gens. Lcuis soi-disant chefs peuvent bien donner I'assurance con traire mais la question est de savoir si l'au torité qu'ils prétendent posséder est suifi santé pour empêcher des scènes regretta bles. (.Une voix vous risqueriez de recevoir des coups.) M. Colaert parle ensuite des libéraux et se demande ce que ces derniers feront. D'un '1/ jamais. Dans la question du minimum de salaire, une expérience sera faite et si son résultat est favorable, on l'adoptera également. Mais il faut voir avant lout si les ouvriers bgés u'en patiraient pas. Dans les adjudications pour la Province et la commune on l'applique en partie, déjb. (Applaudissements.) Le sympathique député se déclare parti san égalernent d'établir une caisse de pensi ons pour les travailleurs. A ce sujet et en rémémorant tout ce que les catholiques ont fait jusqu'ici pour le peuple,M. Golaert fait une comparaison en- tre leurs actes et les promesses fallacieuses des socialistes. II parle également de l'horri- ble attentat anarchiste de Barcelone. L'anar- chisme et le socialisme sont des branches d'un même arbre. Voyez d'ailleurs ce qui s'est passé b Gand, oil un certain Samyn a fait une tentative de meurtre et est disculpé par ses coreligionnaires. II rappelle l'igno- ble parole qui fut dite il ya deux ans dans cette même salie du Volkshuis. Dat men de Barons moest te koelen leggen. Toutes ces violences de parole et d'action sont les résultats des principes socialistes, de la morale indépendante et de ce principe que la propriété c'est le vol comme l'a dit Proudhon. Si le collectivisme triomphait un jour l'ouvrier en pbtirait le plus. Les fonclion- naires du gouvernement seraient des despotes au petit pied qui opprimeraient le peuple. Voyez 1793 avec Robespierre et C»", qui finirent par être guillotinés b leur tour. II en serail de même encore cette fois. Saturne dévorerait de nouveau ses enfants. M. Golaert répète ensuite la déclaration qu'il a faite il y a quinze jours au sujet du Gongoet b laquelle M. Iweins s'était joint dans son discours, que plus aucun subside ne sera voté et que les députés d'Ypres s'in- spireront des idéés de leurs électeurs avant de voter pour ou contre la reprise en 1900. J'ai peur du Congo, dit M. Colaert ce mi- nauton qui dévore tant de nos concitoyens. Un jeune avocat qui y était allé prendre la défense du commandant Lothaire, vientd'y succomber aussi. 11 est vrai cependant que les religieux résistent en général b ce climat meurtrier. La cause en est peut-être b leur régime frugal. Dans tous les cas, les soldats beiges ne seront jamais envoyés lb bas (bravos). Dans la question militaire, M. Colaertest partisan également d'une armée de volontai res et en attendant il votera l'augmentation de la rémunération des miliciens. 11 faut une armée pour défendre la Patrie b l'intérieur comme b l'extérieur le cas échéant. Dans une éloquente péroraison, M. Golaert montre les deux drapeaux, le tricolore et lu rouge, en présence. Le drapeau national tri colore sous lequel marchent les catholiques au combat et ie révolutionnaire rouge, souillé de sang, des socialistes. Le choix des élec teurs n'est pas douteux (applaud.). II n'est pas toujours gai d'être b la Cham bre b cette époque et j'aurais bien voulu voir un autre prendre ma place; mais sur les in- En vente a Ypres chez ve Ommeslagh-Podi b Poperinghe chez Theeten-Lefever. ia- Nous apprenons que le tirage de la bola pour les deux objets d'art sculptés M. Emile Coffyn-Coutrez, est remise a Juin b midi aux Halles, oh les meublej ront exposés. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1896 | | pagina 3