LE BAHE PECTOIUL
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pius de
Correspondance.
Chronique Religieuse.
VILLE D'YPHES.
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blo, c'est la suppression du collége Bureau de Bienfaisance.
communal. Gette resportsabililé nous la Les administraleurs du bureau de Bien-
prenons pleinement et entièrenient el nous fai8ance sont aulorisés j, vendre pour|
ne croyoos pas que nos concitoyens nous en 350 000 fr de lUreS) pour ,eur permettre de
voudront pour ce motif. payer lesfrais de la succession Capron.
Ètes-vous satisfait de mon explication,
M. Boone Le Conseil approuve le fermage de biens
M. Boone. Oui,Monsieur le Président,Idu Bureau de Bienfaisance.
je vous remercie. j
M. Golaert. Puisque nous parlons de Cure de St Pierre. j
l'école d'équitation, je voudrais ajouten Uu subside de 375 fr. est accordépour la
quelques mots.
Le 24 Décembre dernier, je causais en
compagnie de M. Arthur Ligy, représentant
de Gand, avec M. le FF. Ministre de la
guerre, de la question de l'Ecole d'équita
tion. Le Ministre nous dit On en parle
beaucoup On voudrait obtenir ce déplace
ment.
M. Ligy m'a fortement appuyé pour gar-
der l'Ecole k Ypres et même pour y ajouter
un régiment ou un détachemeut de cavalerie.
Pourquoi est-il nécessaire que tous les
soldats soient réunis autour des grandes
▼illes II vaudrait mieux les éparpiller par
lout le pays et peroiettre k cbacun d'en
tirer un peu de profit. Nous avons autant de
droits que d'autres et au point de vue de
réparatien du toil de la cure de St Pierre.
Garde Civique.
D'urgeuce, le budget de la Garde Civique
est voté.
La séance publique est levé ft 18 h. 1/2.
M Martin TOMS, pbarmacien chimiste,
104, rue de la Loi, Bruxelles.
Dans l'intérêt de l'humanité et pour vous
lémoigner ma reconnaissance, je vous per-
mets de faire publier dans tous les journaux
ma guérison obtenue par le traitement de
vos remèdes.
Pendant des années j'ai été accablé d'une
l'esprit militaire, pour ne pas parler de hfbronchite accompagnée de gastrite bieri des
morale, les petits centres valent mieux que médecins m'avaient prescrit des médica-
les grands. ments, mais aucun n'est parvenu k me gué-
Le petit journal dont il est parlé, nous'rirje suis heureux de pouvoir le dire pu-
conseille d'interpeller le Ministre k ce sujet.
Je crois que ce serait s'engager- dans une
voie dangereuse car nous forcerions de
cette fagon le Ministre a parler, et peut-
être k donner une réponse qui l'engage-
rait pour plus tard. Enfin, nous défendroris,
dans tous cas nos intéréts et si c'est né
cessaire par des puissants moyens. Nos
voies nous sommes trois réprésentants
ne sont pas k négliger.
Les soldats devaient être beaucoup plus
éparpillés Anvers entr'autres a trop de sol
dats. II est vrai comme M. le Bourgmestre
l'a dit Ypres, au point de vue militaire,
n'a que peu d'importance. Mais avec les
moyens de transport actuels, en une demi
journée, on transporterait toute l'armée
d'un point k l'autredu pays.
M. Begerem. Les journaux racontent
tous les ans que l'école va nous quitter,
M. le Président. Oui mais je sais aussi
qu'on a cette idéé en baut lieu.
M. Colaert. Nous devons veilleril y
a de grosses auguilles sous roche.
Caisse communale.
M. le Bourgmestre fait rapport sur
de la caisse communale. approuvé
l'état
Le renouvellement des baux d'une partie
des étaux des Halles est approuvéles
autres seront remisen bail.
bliquement, car combien de pauvres malades,
comme moi-même je l'ai été avant de con-
naitre votre excellent Baume Pectoral, ne
dépensent-ils pas inutilement de l'argent et
ne perdent ils pas des centaines de journées
de travail Et encore, s'ils n'ont pas une
forte constitution, ne descendent-ils pas dans
le tombeau
Croyezmoi, monsieur Toms, toute ma
vie votre dévoué serviteur.
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Socquet-Terrière, Grand'Place.
Eg Use de Set Martin.
Dimancbe 23 Janvier. Fête des Epousailles
de la S,e Vierge avec Sl Joseph. Messe solen-
nelle k 8 heures.
II est possible qu'il existe des briques
rouges et blanches. Ce qui est certain, c'est
qu'il règue daus la facade principale des lig
nes de fortes assises, séparées par des cou
ches de briques, blanches ou rouges.
Mais la facade Est est en briques blan
ches, et ses fenêtres ogivales contrastent
singulièrement avec celles, d'un caractère
tout différent, de la grande fagade.
Un simple grattage donnerait a tout le
batiment un aspect qui, quoi qu'en dise M.
Merghelynck, déparerait le monument, sur-
tout s'il y avait des briques rouges.
Dans l'état actuel des cboses, je ne démo-
lirais peut-étre plus le couvent. Mais je
l'aurais vu disparaitre, sans regret, si le
rêve de M. Colaert avait pu se réaiiser.
Inutile de rêver encore: 1'Hotel lesPostes
se trouvera sous peu rue «le Irille le Palais
de Justice est resfcauré et m> naee de rester
longtemps encore debout; et la Vi e ne sera
plus en état d'acquérir tout le paté de
maisons et constructions qui longeutlaporte
du cloitre St Martin.
Ce que deviendra le couveut des Pauvres
Claires, je l'ignore. Le batiment est en très-
mauvais état a l'intérieur et i'acquisition
que devrait en faire la ville puisqu'il ne
lui appartient pas, pour le restaurer en-
suite, donnerait lieu a une dépense énorme,
Ïui ne trouverait pas sa compensation dans
a valeur artistique, ou archéologique, du
couvent.
BURGERSTAND VAN YPER.
Van den 14a tot den 21" Januari 1898
Geboorten.
Mannelijk geslacht 8. Vrouwelijk 8.
HUWELIJKEN.
Lehane Jean, zadelmaker, en Mallet Emma,
kantenwerkster. Wullepit Victor, stoeldraaier,
en Depuydt Hélène, modenwerkster.
Coppens Catherine, 68 jaar, zonder beroep,
echtgenoote van Cherf Félix, Schuttelaerstraat.
Houvenaghel Amelie, 78 jaar, zonder beroep,
ongehuwd, Bollingstraat. Deleu Charles, 80
jaar, landbouwer,weduwaar van BoutenEuphe-
mie, St. Jacobs buiten Rouseré Victor, 72
jaar, zonder beroep, ongehuwd, Thouroutstraat.
Kinder» beneden de 7 jaar.
Mannelijk geslacht 0 Vrouwelijk 2
X.
'S- - "d *A "0 9
'SJUljllril Sin HU13J 'I3JIB0U0I
inoinai^ipiaiijed u-.ipuoiAapQ
S9jnuq b bjosodsip .qi iyjns n-„191.
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-Bjjoo juBpnods9Jjo. .(Anoj] inwiifp
X>
a' vous expectorez! Si vous tonssez! Si votre
poiirine siffle! Si vous êtes oppressé! Si vous trans-
pirez facilement! Si vous passez de mauvaises
nuits! Et si vous n'obtenez pas d'amelioration
avec les remèdes que vous employezEssayez
ET LES
MADTIM TH?-'O pharmacien spécicliste et profes-
Rflftn l m I lil? iiS s'bacteriologie, 104, rue de
1 ul,iU' i-:!i vr.nt avcmiedes Arts.
a Bruxelles. Proj r i'I.isiitut médical,
89, rue Lafayetu
4. La laryngite.
2. La bronchiie clirouique.
(Emphysème. ïoux.)
3. La pneumonie.
4. L'asihme.
(Oppressions.)
ij. I a roti cl li te aiguë.
(Torx violente.)
6. Phiisic'an 2e degré.
(Crachement de sang.)
7. La tuberculose.
8. La pleurésie.
Si mon avis pouvait avoir quelque valeur
au moment de la restauration, je demande
rais aux archéologues d'examiner s'il n'y
aurait pas lieu d'enlever les fenêtres actuel-
les.et de les remplacer pas des fenêtres iden-
tiques a celles de la fagade Est. On pourrait
couronner les murs de creneaux en briques,
supportés par des colonnettes, et la con
struction prendrait la forme des fagades des
Halles, donnant sur la grande courinté
rieure.
Mais les archéologues diront que ce ne
serait plus une restauration. II faut restau
rer, d'après eux, le moins possible, et res
pecter toutes les modifications que le bati
ment a subies, pourvu qiielles soient ancien
nes et paree qu anciennes.
Quand j'aurai acquis quelques connais-
s.mee i archéologiques grace a. mes études,
- c'est ainsi, jepense, qu'on les obtient
jo me permettrai encore de ne point parta-
g ir l'avis de ces archéologues. Je me réser
ve du -este Je me prononcer dófiuitivement
sur la restauration du couvent des Pauvres
claires. lorsque, après le départ des soeurs,
il y aura moyen d'examiner de plus pres
ce que deviendrait l'église sans le couvent.
Encore faudrait-il couserver la sacristie,
l'ambulacre et la fagade gothiquedu tkéatre.
Cela mérite un examen plus approfondi.
[A suivre.)
Telles sont les maladies de poiirine guéries par
ce traitement, avec preuvesii l'appui.
Le Baume Pectoral JEAKTIX TOMS, qui
est préparé avec le sue frais des herbes médici-
nales, est un des plus puissants remèdes qu'on
connaisse pour la guérison des maladies de poi-
trine. Nos aneêtres, qui vivaient trés vieux, ne
connaissaient d'autre médecine que eelle des
plantes.
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