Notre ministre a BruxelLs
Au Cercle Catholique
Au collége échevinal
Le Conseil Communal
chez le Ministre du Travail
et de rindustrie
Transvaal
Actes officials
On demande
AVIS
YOIILEZ-VOES IE BOBNE lONTItE?
Goede letterzetter
Quand les intéréts de la ville et de l'arron-
dissements d'Ypres l'exigeront, je serai k vos
cótés pour les défendre. Je ine souviendrai
toute ma vie de ce que vous avez fait pour
moi. (Applaudissements).
Je serai toujours k votre disposition. Ma
maison sera ouverte ft tous ceux qui auront
besoin de moi, les jours que je passerai au
milieu de vous et ceux qui viendront k
Bruxelles auront accès auprës de moi, les
petits comme les grands.
Je resterai le leader du parti ft Ypres.
Dans toutes les difficultés qui pourraient
surgir je vous donnerai mon appui. Mes
successeurs pourront toujours compter sur
moi. En un mot, je serai avec vous de coeur
et d'kme. (bravos).
M. le Ministre finit en disant que son
émotion l'empêche d'en dire d'avantage.
De longues acclamations accueilïent ses
paroles pendant que la Grande Fanfare fait
entendre une joyeuse brabanponne.
marche ei a promis qu'Ypres pourrait,
comme pat' Ie passé, compter stir son
dévouement aux intéréts de Ia ville.
L'Harrnonie Communale et la musi-
qt:e des Orphelins ont donné une sé-
rénade a M. le Ministre du travail et
de l'industrie qui a recti ieurs mem
bres avec une amabilité remarquable.
Distribution de prix cl'ordre
et d'épargne
Les membres du cercle ont, a leur
tour, recu la visite du Ministre de
rindustrie et du Travail.
11 était 9 1/2 heures quand M. le
Baron Surmont de Volsberghe fit son
entrée, eutouré des membres de la
commission.
M. le Yiee-Président Biebuyck, en
l'absence du président, M. Iweins
d'Eeckhoutte indisposé et qui avait
convoqué les membres, a harangué le
nouveau Ministre en termes chaleu-
reux et longuement applaudis.
Dans sa réponse, M. le Baron Sur
mont de Volsberghe, a fait des décla-
rations analogues a celles que nous
avons reproduces plus haut. En finis-
»ant, il a demandé avec beaucoup de
bonhomie a pouvoir jouer sa par tie
de bac, ce qu'il a fait avec ses compag
nons habituels et... comme s'il n'avait
pas été ministre.
Le collége s'est réuni Lundi matin,
sous la présidence de M. I'Echeviu
Colaert ff. de Bourgmeslre. M.Struye,
le plus ancien conseiller dans l'ordre
du tableau, faisait fonctions d'Eche-
vin.
M. le Ministre du Travail et de l'In
dusfrie a bien voulu assister a la
séance, aidant ses collègues a expédier
quelques affaires qu'il avait traitées
personnellement.
Après la séance, il a pris congé des
membres du collége et du personnel
de l'Hótel de Ville.
Le Conseil Communal s'est réuni a
l'Hótel de Ville, Lundi a 4 heures du
soir et s'est rendu de la en la demeure
de M.leBaron Surmont deVolsberghe.
M. l'Ecbevin Colaert, au nom de
l'Administration communale, a adressé
au nouveau ministre ses félicitations
nu sujet de sa nomination et les re-
greb que le départ du Bourgmestre
iuspirenl au couseil et a la population
de ia ville
M. le Ministre de l'industrie et du
travail a remercié le couseil de sa dé-
L'Étoile belconsacre k !a fêtc qui a eu
lieu k Bruxelles. l'occasion de cette distri
bution, un article oil M. le Baron Surmont
de Volsberghe, le nouveau ministre de l'in
dustrie et du travail est spéciale ment visé.
Nous nous fa-so ris urt devoir de le repro
duce
Le prince Albert devait présider hier matin
la distribution des prix d'ordre et d'épargne
accordés par le comité de patronage des habi
tations ouvrières et des institutions de pré-
voyance pour les communes ouest de l'agglo-
mération bruxelioise. Son Altesse n'a pu tenir
sa promesse. Au dernier moment M. Godefroid,
son secrétaire a fait savoir k M. Soenens, prési
dent du comité, que Ie prince était empêché.
En l'absence de Son Altesse Royale, c'est M.
le baron Surmont de Volsberghe, ministre du
travail et de rindustrie, qui a présidé. C'était
un début. En effet, pour la première fois, le
conseiller de la Couronne représenlait le gou
vernement k une cérémonie officielle.
Gonstatons, trés impartialernent, que ce
début a été des plus heureux. Le ministre par
sa réeile bonhomie, ses manières simples et
sans aucune prétention, a conquis d'emblée
toutes les sympathies du nombreux public qui,
d'ailleurs, lui k fait le rneilleur accueil. G'est
dans le vaste préau de l'école communale de la
rue de Bordeaux que la trés intéressante céré
monie k eu lieu.
Au bureau aux cötés du ministre du travail,
qui portait les insignes de commandeur de
l'ordre de Léopold, avaient pris place: MM. A.
Soenens, président du comité de patronage,
Richard, député permanent, Van Meenen, ff. de
bourgmestre de St-Gilles MM. les échevins
Morichar et Bréart, de St-GillesJonas, de
Cureghem Delva, de Laeken MM. les eouseii-
lers communanx Mortiaux, Choffray, Hauwaert,
Gilliaux, Gérard M. le juge de paix, Verbist
M. Obozinski, secrétaire, et M. Romberg, tréso-
rier du comité MM. les majors Croonenborghs
et Hutreaude la garde civique Deiandsheere,
secrétaire-communal, et L Quétin, architeete
communal, auquel était due l'admirabie déeo-
ration de la salie.
M. Soenens, au début de la cérémonie, après
avoir excusé le prince Albert el de nombreuses
personnalités, k remercié M.-Ie baron de Sur
mont de sa présence. Le dévoué président a
ensuite glorifié le travail et l'ordre. II a rappelé
les services rendus par i'oeuvre k la classe
ouvrière et il a longuemeni parléde l'épar-
gne dans son application a la mutualilé. En
1895, a dit M. Soenens, il existait k Bruxelles
756 sociétés de mutualité. En 1898, ce ehiffre
s'éievait k 1883 et en 1899 a 2929.
L'honorable président a constaté ensuite Ia
créationk Saint-Gilles de mutualités scolaires,
et il a annoncé la prochaine création d'une so-
ciété de secours mutuels entre orphelins.
Après un appel k la bonne volonté de tous
ceux qui s'intéressent a I'oeuvre. M. Soenens a
demandé aux ouvriers de s'inspirer de la divise
des mutualistes ïous pour un, un pour
tous.
M. le ministre du travail et de l'industrie a
pris ensuite la parole et il a prononcéun long
et intéressant discours. II a dit combien il était
heureux de débuter dans ses nouvelles fonc
tions en assistant a une réunion ou le héros
est l'ouvrier, le travailleur, le modeste M. le
baron Surmont a dit de trés jolies choses et il
a été longuemrnt acclamé quand il a affirmé
que le travail produit une noblesse qui n'est
pas intérieure kl'autre». Le représentant du
gouvernement a rendu hommage aux membres
du comité, aux administrations communales,
aux mères de familie, qui prennent part au
concours.
II a entretenu l'assistance de la Ioi sur les ha
bitations ouvrières, il a beaucoup parlé de
l'épargne, de l'ordre, de la fdiuille k a-dernier
sujetilaeu des paroles qui ont produit une
vive émotion.
En terminant le ministre a ditPetits et
grands, tous peuvent s'aider. Les petits entre
eux et les grands avec les petits. G'est mon
principe; je l'ai toujours proclamé, je le pro-
clamerai toujours.
M. le baron Surmont a prononcé ensuite une
allocution en flamand.
M. l'échevin Van Meenen, au nom des admi
nistrations communales, a rendu hommage au
dévouement des membres du comité etpaiticu-
iièrement k son président, M. Soenens. 11 a con
staté l'heureuse influence exercée par l'uiuvre
au point de vue de l'éducation du people et de
l'amélioration de la classe ouvrière en ce qui
concerne l'ordre, la propretéet l'épargne.
M. Obozinski a ensuite fait connailre le résul-
tat du concours entre sociétés d'épargne dont
30 sur 60 ayantleursiège k Saint-Gilles, k Fo
rest et a Anderlecht ont été récompensées.
M. l'ingénieur Romberg a proclamé le nom
des ménagères lauréales du concours d ordre et
de propreté qui a eu lieu a Molenbeek, k Laeken
et k Koekei berg. II a été distribué 85 recompen
ses (iivrets k la Caisse d'épargne, dipiómes,
étoftes, etc.), dont vingt-trois premiers prix.
A midi et demi, la cérémonie était terminée.
Huwelijksafkondigingen
Petrus Theys, tafelknecht, te Yper, en Helena
Soudorf, zonder beroep, te Yper.
Emillius Carton, daglooner, te Yper, en
Ilelera Maertens, kantenwerkster, te Yper.
Albertus Van Egroo, muziekleeraar, te Yper,
en Alexia Wyeland, zonder beroep, te Yper.
Theophildus Verslyppe, kasseier, te staden,
en Lucia Vandamme, kantenwerkster, te West-
roosebeke, voorgaandelijk, te Yper.
C'est rend re un précieux service aux person-
nes attotntes de goutte et de rhumatisme que
de leur signaler, une fois de plus et exactement,
le nom du remède qui doit les débarasser. G'est
1*Elixir Vincent, pharmacien, rue de la Limite,
1 33, Bruxelles.
DépótaYpres: Libotte; a Poperinghe: Mon-
teyne.
Prix 3 fr. le flacon.
II est impossible maintenant de ne pas voir
que la situation de l'armée anglaise du Natai
justitie desérieuses inquiétudes que la presse
anglaise, d'ailleurs, ne cherche pas a dissi-
muler.
Ge n'est pas seulement paree que, selon le
critique militairedelaWesminster Gazet-
te, les deux régiments et demi de cavalerie
enfermés k Ladysmitü doivent être réduits cn
réalité k quatre escadrons et sont par consé
quent incapable d'un effort sérieux, ni mème
comme on le télégraphiait a la Morning Post
le 9 février, paree que les Boers ont élevé, au-
tourde cette ville, des retranchements si formi-
dables qu'un force minime suffit a empêcher
toute sortie ce n'est pas paree que, d'après la
même dépêche, pour frayer un chemin par
Doorn kloof il faudrait sacrifler (peut être en
vainj au moins une ou deux brigades et perdre
3000 hommes autour de Spion kopje, ou une
douzaine de canons comme k Colenso non, ce
n'est pas seulement toute cette série decircon-
stances adverses qui rend si précaire la situa
tion du général Buller
Voici qu'il a maintenant k compter avec une
veritable tentative des fédérés pour tourner son
flanc droit- On annonce, en effel, de toutes
parts, que le général Joubert, avec 6.000 hom
mes environ, a poussé de la montagne d'Jnla-
wa, au sud de la Tugeia et k l'est de Colenso,
jusque sur les hautèurs de Bloy's farm, a une
heure environ de Ghieveley. Or, cette position
commande k la fois Colenso et la Tugeia, Chie-
veley et le chemin de fer de Durban.
La ligne de communication de Buller est
menacée. Son flanc droit est touané. D'atta-
quant, il devient attaqué. On peut presque
affirmer que, déja il a du quitter le champ de
Spearman pour repousser Joubert. Le général
Buller n'essaye plus de débloquer Ladysmith.
Les dépêches qui annoncent une reprise
des opérations sur la Tugeia supérieure con-
tiennent une forte dose de bluff. Buller doit
être en ce moment tout occupé a proléger sa
ligne de communication.
II y a plus. L'invasion du Zoulouland par une
colonne anglaise, annoncée a plusieurs reprises,
ne devait être au plus qu'une tentative pour ré-
sister a ia lente pénétration des Boers qui occu-
pent k loisir tout le nord du pays. Leur action
sembls dirigée contre la ville deGreytown. lis
complèleraient ainsi k l'extrême Est l'invasion
de la colonie du Natal.
Sur l'autre extrémité des frontières fédérées,
le général Roberts vient d'arriver a Ia Modder
river. On annonce en même temps que Ie géné
ral Clement succède au général Frensch dans le
district de Colesberg et que le général Frensch
serait avec lord Roberts pour prendre le com-
maudement de la brigade de cavalerie sur la
Modder.
Est-ce par ik que va se tenter l'invasion tant
annoncée du sud de l'Orange? Ne serait ce
point plulöt et plus simplement un riouvel
effort pour dégager Kimberley Par la presse
du Cap arrive la nouvelle, longtemps cachée
par les censeurs, que les assiegés en sont ré
duits k la viande de chevai. M. Cecil Rhodes
doit maigrir... d'inquiétude. Or, on sail que le
gouvernement anglais est plein de sollicitude
pour M. Gocil Rhodes.
Par arrêté royal du 10 Février, sont nom-
més membres effectifs et membres suppléants
des conseils de tnilice de l'arrondissement
d'Ypres, pour la lavée do 1900, les conseil-
lersprovinciaux ainsi que les administrateurs
commuuaux désigriés ci dessous
Ypres.Piésident effectifM. L. de
Gbeus, conseiller provincial, Voormezeele.
Suppléants du président M. H. Parret,
id. Zonnebeke. M. E. da Tnibaultde Boesin-
ghe, id., Boesinghe, —Membra effectifM.
V. Eudoxe bourgmestre Mesaines.Sup-
pléants du membre effectifM. J. Berghman,
échevin, Ypres. M. G. Glorie, bourgmestre,
Neuve-Eglise.
ménage sans petits enfants. Beaux gages,
30 k 35
journal.
ans. S'adresser au bureau du
La vogue du Thermogène a fait naitre des
imitations que certains intermédiaires peu
scrupuleux cherchent k lui substituer. Nous
engageons done le public k exiger toujours
sur l'éüquette le nom Le Thermogène
et la signature Vandenbroeck et 0".
Demnndez chez vos fournisseurs les sucrcs
en paquels de la Riffioerie Tirlemontoise.
offregratuitement de faire
connaitre a tous ceux qui
sont atteints d'une maladie de la peau, dartres
eczémas, boutóns, démengeaisons, bronchites
chroniques, maladies de la poitrine. de 1'esi.o-
mac et de la vessie, de rhumatismes, un moyen
ir;faillible de se guérir promptement ainsi quit
l'a été radicalementlui-mêmeaprès avoir souffert
et essayé en vaiu tous les remèdes préconisés.
Cette óffre, dont on appréciera le but humani
taire, est la conséquence d'un voeu.
Ecrire par léttre ou carte postale a M. Vincent
8. place Victor Hugo, a Grenoble, qui répondra
giatis et franco par courrier et enverra les
indications demandées.
A'IHETEZ LA VË BIT ABLE MONTR E
CHERIIN DE FER INTERNATIONAL
Se métier
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uxvue
cad ran
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WT,,
En vente chez le- principaux hnrlögers
gevraagd ten bureele van dit blad.
par
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