MAISON DE MAITRE
c. UNE MAISON
UNE MAISON
e Une ferme
UERISON
VanWinsen
PILULES STAN DA EBT
A. V O A CR-CLE MENT
MAISON de RENTIER
Terre en labour
11. GHYSEL-GALLES
ieieeeieismeeeeoeei
i UNION C0MMEIIC1ALE D'YPRES
mmm.
DIONYSIUS REDEMPTUS
LES PENSIONS 0UVRIÈRES
m
LE LU1DI15 OCTOBItE 1900
ETABLISSBMT II0RT1C0LE
SANTÉ, LONGUE VIE
LA BOITE 1 FR. 80
déciaration de M. Ballière, demeurent tou-
jours ce ju'elles sont. Mais avouez aussi
qu'elles nfcn souffrent pas, et qu'elles en
prennentuê.Tie une teinte de vraisemblance
de plus ei plus acoenluée. Reconnai: sez que
ces centjes de loges votant ainsi en masse,
comme par oidre, pour l'abandon définiiif
des provides perdues, pourraient fort bien,
i l'occasion, offrir un point de ressemblance
avec la faueuse agence de Bale. Enfin, et
dans tousles cas, convenez que s'il est UBe
confrériellaquelle il seraitfortement étrange
d'apparteiir, pour un ministre de la guerre
et un général,c'esl bien la Franc maponnerie!
Le génSral André est-il done de la con
frérie? (jnl'afïïrme, on le dit même haut-
uspon, ei M. Jules Lemaitre, qui est de
l'Académie, et doit nous représenter une
référence, ne l'appelle même jamais que
F.\ Aniré Mais est-il bien possible,
sérieusenent, après tout ce qu'on sait main-
tenant dt*a Maponnerie, et ce qu'on en sait
avec cenuude, après tout ce que les honnê-
tesgensjnt le devoir d'en dire et le droit
d'en soup;onner, est-il bien possible que le
chef de hrmée franpaise soit de cette mui-
son de las mómiers et de lugubres sans
patrie jjuelques rares officiers en sont,
ce nest qie trop vrai, et nous rappellerons
même, peur mémoire, cecapitaine Pasquier,
membrelu conseil de l'ordre, qui siégeait
au consejl sous le nom de Paquet
prouvé Bir pièce authentique et s'y re-
vêtait mjstérieusement de la qualité de
propriflaire Mais le ministre même de
la guerrtj? Le général chargé de la garde
de l'armé) Le soldat sur qui repose toute
la défensl nationale En serions-nous réel-
lement tcinbés k ce degré de funèbre sottise
d'être allés confier les provinces qui nous
restenteipre au Kadosch et au Che
valier n/(ssien qui aurait voté, et fait
voter, iifiandon définiiif de celles qu'on
nous a dijk prises
Voyoiii, monsieur le général André,
êtesvoua mapon, et vous chatouille-t-on
rituellemint dans la main Avez vous opi-
né, sous osoripeaux de F.*., pour l'incor-
poration définitive de l'Alsace et de la
Lorraine:FAIlemagne Etes vous k la
fois pounla Patrie, lorsque vous tirez l'épée,
et pour ion démembrement, lorsque vous
prenez li maillet Vous attouchez vous
sacrameDiellement avec les Anglais et les
Turcs dn Collége des Rites Avez-vous en-
tendu parler de l'agence de Bale Est-ce
pour eels que vous rêvez pour votre pays le
róled'um grande Suisse Et faites-vous
aussi, vcus général franpais, comme un
simple Pasquier Paquet Vous cachez vous
aussi, vtius ministre de la guerre, sous un
faux no&iêt sous un fauxétat? Etes-vous le
général André sous l'uniforoie, et le mar-
chanddipeaux de lapin Adolphe sous le
tablier ?Eh bien non, je ne le crois pas,
sous vosétoiles, au poste que vous-occupez,
êtreVoüsne le pouvez pas, vous neletes
pas, et nous allous demander k M. Jules
LemaUrede neplus vous appeler F.-. André.
II vousappelle déjk tête d'hyène Nous
le suppliefons de s'en tenir lk...
Etc'est en toute sincérité, je le dé
clare, que je me refuse k croire, malgré tout,
le général André franc mapon. Qu'il soit
ragentdu Grand Orient, son instrument, sa
créature militaire, et doive, au joli monde
de la rue Cadet, Yavancement déraisonuable
dontil jokten ce moment avec une vanité
sombre, e'est visible Mais qu'il soit lui-
même le F... dontonparle, qu'il ait lui-
même repu les trente-trois souillures qui
constituent le gredin rituel et parfait, le
mapon aérti qui sait de quoi il retourne, ce
n'est pas jeai, ce n'est pas possible Car il
ne serail même pas oil il est, s'il était le F.*,
qu'on prétend, et ne ferait pas ce qu'il y
fait. 11 aurait peur et n'attacherait pas le
grelot qu'il consent k attacher s'il se doutait
vraiment du son qu'il est destiné k rendre.
En attendant, seulement, il l'attache et le
grelot sonne terriblement.
Maurice Talmeyr.
Vient de paraltre
Leven van de gelukzalige
uit de orde der
ONGESCHOEIDE CARMEL1ETEN
martelaars
op 't eiland Sumatra
naar de stukken die
lot hun zaligverklaring dienden
door
uit dezelfde orde.
L'auteur raconte la vie de deux Carmes
déchaussés, Denys de la Naiivilé et Redempt
de la Croix, récemment béatifiés, le 10 juin
1900. Avant leur entrée en Religion, ils
étaient tous deux officiers du Portugal dans
les Indes Orientales. Denys en particulier
étsit pilote suprème des fluttes Portugaises
et Cosmographe du roi en ces parages.
Aspirants k une plus haute perfection, ils
se firent religieux et conquirent k la tête de
58 compagnons la ccuronne du martyre,
dans file de Sumatra, ie 29 Novembre 1638.
Soucieux de l'exactitude historique, l'au
teur a fouillé partout pour augmenter sous
ce rapport la valeur intrinsèque de son
ouvrage. Nous croyons qu'il a pleinement
réussi k lirer au clair plusieurs points obscurs
de la vie de ses héros. Son histoire est en-
richie de nombreuses phototypies, qui ne
manqueront pas, elles aussi, d'augmenter
l'intérêt du livre. Une d'entre elles repré-
sente la carte de Sumatra et des pays avoi-
sinants, telle que l'a dessiuée le B. Denys de
la Nativité.
L'ouvrage se vend chez l'imprimeur,
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