Ma bien chère Marie-Madeleine,
Fètes nationales de Courtrai
Nos Missions a l'étrangcr
Examen
Faits divers
Une part importante est réservée a la
musique dans les importantes festivités qui
attireronta Courtrai du 17 au 24 aoüt la
Belgique entière et une pléïade d'étrangers.
La grande cantate est l'oeuvre de deux
artistes éminents le poète Sevens,dont plu-
sieurs poèmes furent mis en musique par
des maitres renommés, et le compositeur
Karei Mestdagh, directeur de l'Ecole de
musique de Bruges, dont les lieder n ont
depuis longtemps franchi les trontières. On
travaille activement a l'estrade qui suppor
tera les 160 instrumentistes et 700 choristes.
Les meilleurs óléments de nos grandes villes
ont assure leur concours.
La cantate sera exécutée, par n'importe
quel temps, le dimanche 17, a 6 h. du soir,
et le lundi 18, a 11 h. du matin, sous la
direction de K. Mestdagh lui-même.
Au grand concert artistique du jeudi 2o
aoüt Mr Van Eeckhoutte, le directeur de
l'Ecole de Musique, dirigera l'oratoria De
Leye de Peter Beuoit, dont il conduisit la
première il y a bientót 25 ans... M. Paul
Gillon dirigera ia Klokke Roeland de
Tinei, oeuvre supérieure, qui valut a l'auteur
le Prix de Rome et un acte de la Princesse
d'auberge de JanBlockx, l'opéra qui iait
sou tour du monde.
On construit sur le Marché au Bois une
salie immense pouvant contenir 2000 peron-
nes et superbement éclairée.
Ajoutons que pendant le Congres Néer-
landais, auquel assisteront le Président
Steyn, Dr Leyds, Botha, le Dr Kuyper, et
probablement Krueger et Dewet, un grand
concert de Lieder sera donné le vendredi
20 aoüt.
Pour les concerts du jeudi et du vendredi
on a engagé M. Orelio, le spendide baryton
d'Amsterdam, si apprécié en_ Belgique
Mmc Feltesse-Ocsombre, des théatres royaux
de Bruxelles et d Anvers; M. Florissen, de
l'Opéra d'Amsterdam; Mm<= Flamant, de
Bruxelles; Mra« Levering, d'Anvers Mr Van
Gheluwe, de Gand, etc.
Fête Communale d' Ypres
Dimanche 3 Aoüt. 1902
k 8 heures du soir, Grannibace
GRAND CONCERT ARTISTIQUE
par l'Harmonie Communale
sous la direction de M. J. Wittebroodt.
PROGRAMME
1 Ouverture de Pop. Le Bravo G. Salvayrb.
2 Mosaïque sur l'op. Lakmé L. Deubes.
3 Javolteballet Saint-Saëns.
4 Marche guerrière et hymne
de combat de l'op. Rienzi R. Wagner,
2™8 Partie
1 Les francs juges ouverture de
concours Berlioz.
2 Transcription de l'op Hérodiade Massenet.
3 Lohengrin fantaisie R.Wagner.
4 Fantaisie polka Michel
Le 4 Mai dernier,trois demoiselles beiges,
dont l'une est notre concitoyenne,ont pris le
voile dans l'orphelinat de Mulagumudu, aux
Indes Anglaises. La révérende Supérieure
de l'orphelinat fait part de la touchante
cérémonie dans la lettre que nous publions
ci-dessous.
J.M.J.A.C. Mulagumudu,le 13Mail902.
La belle cérémonie de la vêture m'a tant
impressionnée, que j'éprouve le besoiu de
me communiquer longuement aujourdhui a
ma trés chère soeur, qui me comprend tou-
jours si bien.Ce jour de la Ste Monique sera
inoubliable pour toute la petite communauté
de Mulagumudu, et, s'il était déja l'heureux
anniversaire de ma profession, il est desor-
mais plus cher a mon coeur par un nouveau
et bien doux souvenir. Je vois encore les
figures radieuses de nos chères postulantes
plus heureuses que des reines, sous leurs
rodestes atours... et tout cel a dans le
cadre charmant de notre petit oratoire,
transformé en un petit paradis. Tout con-
stellé de fleurs d'or et de cierges brillants.
Mais je m'apergois que mon emotion
surnage encore, et que je ne commence pas
du tout par le commencement
C'était done le 4 Mai, et, avant six heures
du matin, Mgr Benziger, notre excellent
évêque-coadjuteur, nous arrivait avec notre
R. P. Directeur, avec son secretaire et le
r! Père Denis, Carme déchaussé.
Sa Grandeur daignait faire plus de deux
jours dun voyage bien fatiguant pour venir
présider la cérémonie, et le R. P. Denis
avait aussi voyagé toute une nuit en char-
rette pour venir adresser aux chères novices
sa belle et chaude parole. II faut être
missionnaires pour être gatées ainsi,n'est-ce
pas La digne et douce hgure de Monsei
gneur Aloïse-Marie c'était illuminée d'une
veritable joieon sentait que le jeune
Evêque si zólé était heureux de voir d'autres
times généreuses donner aussi de tout coeur
au divin Maitre leur jeunesse, leurs forces,
leur vie entière. Avec quelle onct'ou il bénit
les chères postulantes agenouillées a. ses
pieds, modestes et recueillies sous ieurs
longs voiles blancs parés de fleurs l'oranger.
Jamais fiancées n'ont paru aussi radieuses
que ces jeunes vierges ambitionnant le bon
heur immence dedevenirüancéesdu Christ,
et, en même temps, mères des plus pauvres
de ses pauvres. J'avais tant de peine a rete-
nir mes larmes en les conduisant a l'autel...
Le pieux pontife marchait dev int nous,
visiblement ému lui aussi, et nous devions
longer toute la tile des orphelinedont les
yeux brillaient de bonheur a la vude leurs
nouvelles mères. Le révérend père Denis
entonna de sa belle voix male le Lsetatus
Sum et je lui répondis avec toute mon
ame... C'était bien la joie dans nos ames a
toutes
Les chères postulantes répondirent d'une
voix forte et décidée aux questions d'usage
que sa Grandeur leur posa. Le révérend
Père Denis leur paria alors en termes
ému» c'était bien le vaillant missionnaire
beige parlant a ses compatriotes, si loin du
sol natal, dans la commune patrio d'adop
tion, et parlant a des ames dont il savait
être compris. II y mettait toute son ame
d'apótre, et ses paroles tombaient fécondes
dans ces cceurs si bien préparés.
Peut-être, si j'en ai Ie temps avant la
poste, ne résisterai-je pas au désir de vous
faire partager ces salutaires impressions,
car n'êtes-vous pas apótres aussi, vous,
notre chère Dame Mane des Angcs, et tant
d'autres, qui nous aidez au prix de bien des
peines
Après l'allocution, sa Grande ur bénit
elle-même les vêtements religieuu destinés
aux novices, et que trois petits ar ges bruns
vinrent lui présenter tour a tour.
C'était beau de voir nos trois j r unes fian
cées se dépouillant avec tant des joie des
vêtements du monde et revêtant avec amour
la blanche robe des ülles de St Augustin.
Qu'elles étaient belles et radieuse
Tout était blanc et pur en ce b au jour
vêtement blanc, voile blanc, co ronne de
fleurs blanches, ame blanche urtout
Quej'aimais a les voir ainsi, a; uouillées
dans un profond recueillementMais voici
la clochette qui s'agite, annongaat le mo
ment béni de la Ste Communion... Comme
Jésus adüdescendre avec amour dans ces
ames si bien disposées, qui se donnaient a
Lui avec amour et avec joie, sans réserve et
saus retour Bien sur, elles ont compris ce
jour-la, mieux que jamais, ce que e'est que
l'Eucharistie... Après la cérémonie, elles
nous redisaient avec émotion les suaves
douceurs de cette heure mille fob bénie, et
les échos laissés dans leurs ames par le
chant de «l'Angeetl'Ame» que la voix pleine
et sonore du IL P. Denis avait si bien ren
du... Et les désirs de vivre pour J ésus et les
ames, s'étaient encore accrus par ce premier
pas fait dans la vie religieuse, et la volonté
ardente était encore stimulée par les chaleu-
reuses paroles qu'elles venaient d'entendre.
Dieu seul a pu lire en ces chères ames tout
ce que l'amour et le bonheur y produisait de
brülantes aspirations
Monseigneur daigna accepter notre mo
deste déjeüner, puis nos chères novices sont
venues remercier Sa Grandeur, qui leur avait
accordé, par sa présence, un si précieux
encouragement. Un peu plus tard, nos heu
reuses orphelines entouraient les fou
d'amma nouvelles mères, les pressant de
questions curieuses, leur témoignant de
mille manières le bonheur qui se réflétait
dans leurs grands yeux noirs, plus brillants
encore que de coutume...
Mais il est temps de retourner a la cha -
pelle oü notre Jésus bien-aimé daignait res-
ter exposé pendant toute lajournée, comme
s'Il voulait prolonger jusqu'au soir les mo
ments trop courts passés déja a ses pieds,
comme s'Il voulait nous inviter a Le prier
encore, a Lui demander encore pour nous-
mêmes et pour les autres.
J'avais bien recommandé aux chères no
vices de n'oublier personne en ce beau jour,
et, le soir, elles me disaieni que les heures
s'étaient envolées trop rapides pour témoi-
gner leur amour a Jésus, et Lui demander
des graces pour tous... Oh l'heureuse et
belle journée I que n'étiez-vous tous ici
Tout en jouissant largement de cette der-
nière heure si douce, nous regrettions si
vivement de voir la fin de cette journée trois
fois bénie.
Aussi, après la dernière bénédiction du
trés St-Sacroment, quand la petite chapelle
eut dópouillé ses atours de fête, et que tout
fut redevenu silencieux comme de coutume,
je ne pus m'empêcher de laisser échapper
ces mots, écho de mon coeur débordant de
joie et de gratitude Ah! si je rnecoutais,
je chanterais encore tous les cantiques que
je connais Oh I chantez-les, chantez-
les exclamèrent a, la fois les trois novices,
et, en un instant, l'harmonium était ouvert
et entouré et nous envoyions toutes ensemble
jusqu'au ciel nos hymues d'amour et de
reconnaissauce a Jésus et a Marie.
Oh oui, ma soeur bien-aimée, j'aurais
voulu vous voir a cette vraie fête du paradis.
Mais le bon Dieu nous sépare sur cette
terre, pour mieux nous unir dans les cieux.
A vous de préparer, dans notre première
patrie, de boes petits coeurs plein d amour
pour Jésus,un jour cceurs d'apótres, peut-
êtreEt vous trouvez encore le temps de
nous venir en aide, voir même de souffrir
pour féconder nos travaux Réellement,
vous n'avez pas besoin de nous jalouser, ma
petite sceur.
Lisez ceci avec notre bien chère Marie
des Anges, avec toute la communauté, si
vous voulez, et demandez instamment que
J ésus conserve a nos novices leurs sentiments
de ferveur et d'abnégation. Elles aussi
prient bien pour vous, elles l'ont promis.
Résumé trés imparfait de l'allocution du
R. P. Denis. (Quant au latin,je n'en réponds
pas du tout
Noli timere, pusillus grex, quia Pater
vester celestis proeparat stibi regnum.
Ne craignez rien, petit troupeau, paree
que votrepère céleste vous a préparé un
royaume.
Combien j'aime a vous adresser aujourd'
hui ces paroles Rappelez-les souvent a
votre mémoire, pour vous exciter a bien
remplir votre noble mission. Pensez que
Dieu vous les répète dans toutes les circon-
stances diffieiles de votre vie, car votre vie
de missionnaires aura ses jours de souffrance
aussi, puisque Jésus vous dit, ailleurs
Si vous voulez me suivre, prenez votre
croix.. Oui, quelquefois, la croix pèsera
sur vos épaules quelquefois l'incertitude
vous accablera, le découragement se fera
sentir, un jour, peut-être, les forces de
lame et du corpsles lumières de l'esprit et
les consolations du coeur, tout semblera
vous manquer a la fois... mais ne craignez
rien. Jésus est la II est la pour vous, et
nous,missionnaires,nous savons les soutiens
ineffables que Jésus prodigue a l'ame qui
souffre pour Lui gagner d'autres amesj
Ne craignez rien, petit troupeau....
Troupeau trop petit encore, en effet, pour
tant d'oeuvres qui vous réclament déja, et
pour tant d'autres qui vous attendent dans
f'avenir. Ah multipliez-vous, chères sceurs
missionnaires, multipliez-vous, car votre
Père céleste vous prépare tout un royaume,
le royaume de la charité. Seule la charité
chrótienne et religieuse peut exercer un tel
règne... Oui, vous serez reines, épouses du
Roi immortel, vous serez reines par la cha
rité. C'est le royaume des ames que Jésus,
votre divin Epoux, vous offre en ce jour.
Et, le coeur joyeux, vous acceptez ce règne;
dftt-il vous coüter bien des sueurs et tout le
sang de vos veines, vous arracherez les ames
a satan, pour les donner toutes a Jésus.
Que dames déja réunies dans ce saint
asile, oh elles ont trouvé le bonheur avec la
foi
Voyez ces enfants groupées autour de
vous; elles partagent votre joie, sans com-
prendre trés bien, peut-être, quelle grace
inestimable Dieu leur a faite en leur envoy-
ant des mères au coeur si dévoué... Ah je
le répète, vous serez reines et vous serez
mères. Vous qui avez renoncé a la mater
nité selon la nature, vous serez mères par la
grace. Je le sais, votre cceur embrasse déja
tous les misérables, tous ceux qui souffrent
et qui gémissent loin de Dieu. Dans un
avenir prochain, nous espérons voir ouvrir
un asile eucore a tous les petits enfants que
des mères dénaturées jettent en proie a la
mort sans baptême, ajoutant le crime a leur
infamie.
Oh I qui dira la joie ineffable, l'émotion
pieuse du missionnaire qui regoit dans ses
bras ces innocentes victimes, et qui fait
couler l'eau régénératrice sur ces pauvres
petits fronts flétris.Oui,cette joie sera vótre,
et vous saurez bientót les douceurs de cette
sublime maternité selon la grace..
Mais vous voulez plus encorevous voulez
les misérables d'entre les misérables, et vous
appelez de tous vos desirs 1 heure bénie qui
vous fera la mère des pauvres lépreux.Nous
le savons déja, nulle plaie ne vous rebute
nulle misère ne vous éloigne, et vous brülez
de donner a Dieu ces malheureuses ames,
qui n'ont connu encore que l'horreur du vice
et du paganisme, avec les souffrances les
plus douloureuses qui tourmentent leurs
corps rongés d'horribles plaies.
C'est a ces pauvres malades que vous
voulez faire connaitre Jésus, pour qu'en lui
ils trouvent enfin un remèdea tous leurs
maux. Vous voulez panser leurs horribles
chancres,eu leur disant de ces douces_ pa
roles, baume de l'ame, que seule la vierge
chrétienne trouve en son coeur.
Oh oui, allez, allez vers ces malades
abandonnés, soignés aujourdhui par des
mercenaires soudoyés par un gouvernement
païen allez leur dire ces mots délicieux au
coeur que jamais ils n'ont entendus Allez
les préparer au saint baptême allez ouvrir
leurs coeurs a l'amour de Jésus, qui seul
adoucira leurs horribles souffrances. Allez,
si l'obéissance vous le permet, et que cette
obéissance simple et forte soit toujours
votre soutien avec l'amour de Jésus votre
céleste Epoux. Et puis, après lesjoies de
cette maternité selon la grace, viendront les
délices inénarrables du royaume céleste, oü
ceux que vous aurez enfantés a la foi et a
l'amour feront a jamais votre couronne.
M. P. Biebuyck, d'Ypres, aucieu
élève du collége Saint Vincent, en
notre ville, a passé avec succes ['exa
men de candidal en philosophie et
lettres.
BURGERSTAND VAN YPER
Van den 18 tot den 25 Juli 1902.
Geboorten
Verwaerde Maria, Bukkerslraat. Vanseve-
nant Maurits, Cartonstraat. Denudt Gerard,
De Haernestraat. Dumon Rachel, Kanonstr.
Dooiaeghe Maria,Ryselstraat.—Vandelanotle
Leopold, Paimenhaisslraat. Vanseveren
Stephaan, Elverdinghestr. Dehem Ludovica,
Ryselstraat. Bulein Agnes, Dixmudestraat.—
Paruys Achil, Zaalhof.— Sinave Martha,Meenen
steenweg. Peene Martha,Dixmude steenweg.
Gallewaert Wilhelmina,Boterstraat.— Litiere
Cyril, Meenen steenweg.
Huwelijk
De Grijze Desideer, schoenmaker, en Duprez
Rosalia, kantenwerksler.
Sterfhevallen
Verbeke Theophil, 56 j. z. b. echtgenoot van
Deheer Sophia, lange Thouroutstraat. Ver
waerde Wilhelmina, 7 maanden, Poperinghe
steenweg. Stragier Henri, 76 j. z. b, weduwr
van Delabaye Clementina, Ryselstraat. De-
buysere Barbara, 84 j. z. b. weduwe van Leroy
Karei, Dickebusck steenweg.
Deux mots pour les jeunes filles
Ce qu'on va lire s'adresse spécialement aux
jeunes filles qui sont arrivées k l'époque de lour
formation. Denombreuxécuoils se dressent con-
tre leur santé et ces écueils pourront être évités
si on suit fidèlement l'exemple de Mile Ernestine
Depoorter, Rue Haute a Louvignies, province de
Liège. 11 importe de ne négliger aucun des symp-
tömes de ces affections si funesteB aux jeunes,
l'anémie ou la chlorose qui peuvent amener la
mort. Ils sont bien facilos a reconnaitre et en
lisant la lettre de Mile Depoorter on verra que le
mal dont elle fut atteinte caractérise bien nette-
ment l'anémie et la chlorose et on se convalncra
que les pilules Pink qui l'ont guórie, ont une ac
tion véritablement surprenante contre ces mala
dies par la seule raisoi. qu'elles reconstituent le
sang et tonifient les nerfs d'un facon compléte.
Mile Ernestine Depoorter, d'après une photo.
Je puis, écrit-elle, prouver par mon exemple
l'efflcacité incontestable des pilules Pink Depuis
longtemps j'avais des maux de tête, des points
douloureux dans les cótós et dans les reins. Mes
forces m'avaient complètement abandonnée. Je
souffrais de douleurs violentes dans les bras et
dans les jambes, au moindre mouvement de
forts battements de coeur et j'étais d'une grande
paleur. Toujo irs triste etsoucieuse ma mémoire
elle-même s'était aitérée. Les maux de tête ne
me quittaient pas et mon sommeil avait disparu
C'est par le seul usage des ilules Pink que j'ai
pu sortir de cette pénible situation. J'ai, par el
les, vu disparaitre toutes mes souffrances j'ai
retrouvé mes forces, mon appétit et un sommeil
bienfaisant a succédé a mes insomnies. Ma san
té est déflnitivemeut rétablie.
Chaque jour de semblabies guérisons sont pro-
duites par les pilules Pink qui, par leur totion
1" P ARTIE