L'emprunt La variole a Ypres Nouveautés pour piano Barcarolle ës- Monsieur Van Cayzeele Au Volkshuis d'Ypres Démission de M. Berten, Bourgmestre de Poperinghe Atelier: ue de Stüers, 35. ports, ils ont été distribués aux conseillirs communaux et k quelques privilégiés, dont M. P. Vermeulen, ancien conseiller commu nal. Nous nous occuperons de ces deux docu ments, quand le moment sera venu, c'est k- dire quand l'étude en aura été faite. M. Vermeulen, lui, y va déjèt de son petit commentaire. II a commencé ses critiques dans le Progrès qui, autrefois, rabrouait l'honorable conseiller de maitresse fagon. M. Vermeulen continuera son étude. Na- turellement il sera, eomme autrefois, seul de son avis. Nous pourrons ne pas nous occuper de son système, puisqu'il a été réfuté k saliété et qu'il est archi-connu. Quelques mots cependant k propos de la quaiité de l'eau de nos étangs et du système j des eaux souterraines artéiiennes dont M. j Vermeulen croit devoir entretenir ies lecteurs du Progrès. Quel que soit le résultat des analyses de nos eaux, un fait est constant, c'est que l'eau d'Ypres venant de nos étangs, méme par les plus fortes cüaleurs, n'amène pas les mala dies infectieuses dues k ia quahté de l'eau et que l'on rencontre dans une foule de locali - 1 tés. On peut dire que la ville d'Ypres est devenue, grace k notre réseau d'égoüts établi sous l'administration catbohque, une des plus saines du pays. L'eau n'a done aucune influence sur l'état sanitaire de la ville. Voilk l'expérience, et elle vaut mieux que toutes les analyses, quelque savantes qu'elles puis sent être. Quant aux eaux souterraines artésiennes, le système a été pratiqué k Bailleul, et, quoi qu'en dise M. Vermeulen, l'expérience est désastreuse c'est, comme le dit M. l'Irgé- nieur Froidure, un insuccès complet. Bien plus, l'insuccès est avouc. L'eau de Bailleul est, en eflfet, excellente pour la lessive et le blanchissage. Lk, M. Vermeulen a raison mais elle est mauvaise pour la consommation, et c'est lk l'essentiel. Les sommités en la matière, et notarn- ment M. l'abbé Boulanger, qui est venu ré- cemment voir nos étangs et qui a étudié la question des eaux souterraines artésiennes dans nos bassins hydrographiques, se pro- nonce radicalement contre ce système qui donnerait k Ypres le méme résultat qu'k Bailleul. Reste le système actuel, c'est-k-dire la capation de l'eau dans nos réservoirs. C'est incontestablement le seul pratique et possi ble. II s'agit simplement d'augmenter la ca- pacité de nos étangs et de rendre l'eau aussi bonne que possible. C'est ce que notre administration commu nale étudie en ce moment. Elle s'entoure de tous les renseignements nécessaires; elle a recours aux lumières des dommes les plus compétents. Elle n'écoutera peul-être pas M. Vermeulen mais elle donnera k la ques tion sa meilleure solution, et c'est évidem- ment lk ce qu'il nous faut. le Progrès nous apprend que M. le Bourgmestre a reconuu que la ville sera forcément obligée de recourir a l'emprunt pour couvrir les dépenses résultant des travaux k faire pour la restauration des Halles, de l'église St Martin, de l'église St Pierre et de la tour de l'église St Jacques le Progrès aurait pu ajouter les travaux a faire pour résoudre la question des eaux. Le Progrès toujours comme l'aveugle discutant les couleurs en conclut que les gros cxcédents que noire Maïeur fait miroiter aux yeux des contribuables ne sont que des trompe-l'oeil et que les finances de la ville sont dans un état trés précaire. Nous ne nous occupons pas de l'excédent k l'extraordinaire.Il dépend du plusou moins de travaux exécutés. Mais l'excédent k l'or- dinaire, et dont la moyenne est de 4b 000 francs depuis que les catholiques sont au pouvoir, est, le baromètre de la situation financière de la ville. Or eet excédent est indéniable, et il est trois fois plus fort que sous Vadministration libérale. Discutez ce point lk, confrère. Mais vous ne vous y hasarderez pas. Et, n'est-il pas absurde de prétendre que la ville qui, pas plus que les autres villes et communes du pays, n'a de ressources extra- ordinaires, pourrait faire tous les travaux j en question, sans recourir k l'emprunt A moins d'espacer les travaux sur un i grand nombre d'années et de renoncer k tous les travaux de luxe. Et c'est ce que nos i Ediles étudient. Nous ne pouvons que les approuver, d'accord avee l'opinion publique. La maladie, qui fort heureusement ne prend pas le caractère d'une épidémie, reste k l'état bénin. L'ami des fea mes toussex plus. Je garantis la guérison du rbume et de la toux la plus pinktre eri deux jours :u moyen du Sirop IVïpratere au goudron décoloré et au baume de Tolu. C'est le pectoral le plus prompt, le rilus sur et le plus apréable qui existe G'est un remède incomparable, mais faites bien xttention, «denaandea et exigez toujours le veritable Sirop Depratere. Prix: 2 fr la bouteille. L» traitement revient k 0 10 centimes par jour. En ven te k Ypres, pharmacie Socquet; Roulers, phar- t veie Veys; Courtrai, Hulpiau et De Beey Dixmude, Gbyssaert. Luppens et Oie Bron- zes, Lustres, Meubl s, PendulesIn stallations d'èleciricUë ont transfére leurs matrasins du Bd Anspach a la rue Neuve 144 a 148 et Bd du Nord 151 a 155. Bruxelles. Notre administration communale prend plètement l'énergie, soijffrent de sciatique ou de toutes les mesures nécessaires, pour éviter la propagation de la maladie. Seul, le Progrès critique la lettre éerite k ce sujet k tous les médeems de la ville. Que devient, dil-il, ie secret professionnel Or, il n'y a pas de secret professionnel quand la loi oblige les médecins k faire con- naitre les cas de maladie k l'autorité commu nale. La loi de 1818 dit: Dès que la petite vérole se naanifrste dans une msison, il est en joint au médecin traitant den don- ner connaissance sur le champ k la com- mission médicale locale,afin qu'elle prenne les précautions nécessaires pour prévenir les progrès de la contagion. Cela se fait au Bourgmestre et c'est ce que M. Braun, bourgmestre de Gand, vient de rappeler aux médecins de cette ville,dans une lettre analogue k celle que M. Goiaert, Bourgmestre d'Ypres, a adressée aux méde cins Yprois La loi de 1818 existe toujours,dit M. Braun. Le Progrès croyait sans doute qu'elle était abolie. II n'est pas vrai du reste que les médecins d'Ypres aient protesté contre la lettre du Bourgmestre qui demandait k ces praticiens de l'aider dans sa tache, comme le demande M. Braun. Allons, Progrès, blamez maintenaiit M. le Bourgmestre de Gand. BLAKE, Ch., op 166 Nuages d'Or, morceau brillant CARMAN, M., op 445 En pensant a P'tite Mère romance ssns paroles CZIBULKA, A Belle Fille de Sè- ville, gavoite EILENBERG. R.,op 215. Le Marteau de l'Orfèvre, roorceau ca -r-ctéiis tique GILLET.E Joyeux Meunier,- rceau de salon GRAZ1ANI WALTER Ch.. 27Ö, frs 2 00 1.7 1,75 2 00 2 00 1 75 2 00 1 75 1.75 1.75 1 75 1 75 2 00 1 75 HACKH, 0., op 10';) LANC1AN1. P Confidences, p ika LEMAlRE, G., Sabotière Louis XV TOSCA A., La Bayadère, mazurha de s«lon YOLLSTEDT R op98 AvecAplomb. Giarche WACHS. P Rigodon WALliTEUFEL. E op 251 Ciiant d'Oiseaux. valse VEYTS, H op 68 Valse des Zépiiirs, morceru de salon on veile eiiez Catï'JWkèrt-De Meulenaere, libra ire, rue au Beurre, 86, Yptts. Les cultivaleurs et les co mmer cants q i épi'ouvenl des difficulics avec du grain ixiellé peu vent !o faire nettoyer idéalemenl chez DELiE-VEYS, riamertb.ghe. La fête de Dimanche a été un nouveau succès pour la société dramatique Willen is Kuunen. Le temps u'est pas éloigné oü M. De Jaeghor pourra faire eoncourir ses jeunes artistes avec les meilleures troupes. Nous apprenons que M. Berten, Bourg mestre de la ville de Poperinghe depuis plus de trente ans, vient de doener sa démission en cette quaiité. Le grand kge de l'honorable magistrat justified cette retraite, qui n'en a pas moins produit une profonde impression sur le con- seil communal et sur tous les habitants de la ville de Poperinghe, qui aimaient et respec- taientleur Bourgmestre. Nous souhaitons au vénérable nonagénaire de jouir longtemps encore de la santé et du bonheur qu'il mérite k tant d'égards. Voulez-vous des sucres de toute première quaiité? Prenez ies psquets de la Raffiitene Tinemontoise. ex-élecuiciet\ militaire, habitant actueile- aient chaussée de Vlamortinghe, a l'honneur de porter k la connaissance du public qu'k partir d'aujourd'hui il se cbargera de l'entre- tien et réparaiions des placements électri- qufis qu'il a oitrepiis. II se recommaade k sa nombreuse clien tèle, tant p-.iur les ouctuus que pour les nou- veeux placements. SI VOUS souffrez de la goutte SI VOUS souffrez du rhumatisme SI VOUS avez essayé tous les remèdes SI VOUS avez employé toutes les frictions SI VOUS n'avez pas obtenu de résultat St VOUS désirez vous débarrasser de tous ces maux qui empoisonnent votre vie Prenez l'Elixir Vincent anti goutteux et anti- chumatismal. Dépöta Ypres Libotte a Poperinghe Mon- teyne. Prix3 fr. le flacon. BURGERSTAND VAN YPER Van den 19 tol den 26 December 1902. Geboorten Opsomer Adriana, Poperinghe steenweg. Schier Martha, Zonnebeke steenweg. Cailliau Rachel, Dickebusch steenweg. Cleenwerck Maria, Lange Meerschstraat. Bveraet Julia, Zonnebeke steenweg. Sterfgevallen Vanspranghe Emma, 24 j., huishoudster, echt- genoote Spilliaert Hendrik, Poperinghe steen weg. Van Maele, Emilia, 73 j zonder beroep ongehuwd, Poperinghe steenweg. Denudt Maria, 29 j., naaister, ongehuwd, Mondstraat, beluik. Bruynsteen Ivo, 92 j., zonder beroep, i weduwaar Van Iwaede Virginia, St Jacobstraat. I Vancappel Firmin, 8 jscholier, Lombaard- straat. i- Vinaigred'alcooü'Etoile* rouge,indispensableprp"agnoDB. Peines et douleurs de la femme, faiblesse et - fatigue de l'homme,vousêtes la punition d'Adam, la malediction d'Eve. On ne peut décrire les souffrances qui vous accomcagnent. Est-il pos sible pour une faible femme de supporter les longs jours de misère, alors que sa tête est brü- l lante et que son corps frissonne, qu'elle ressent des douleurs dans tout le corps, que tout ce qui l'environne est triste, que la nourriture est un sujet de dégout.Cependant cette femme peut être bien portante 6t heureuse si allele veut. Ily a peu d'hommes qui ne souffrent pas de rhuma- tismes, beaucoup ont de terrible» maux d'esto- mac, des indigestions certains ont perdu com- la goutte. lis peuvent ne plus soufïrir Pour les femmes comme pour les hommes, les pilules Pink sont indispensables. Elles ontguéri des hommes,elles ont guéri des femrnes en enri- chissant leur sang,en régularisant leur système, en toniflant leurs nerfs. Les pilules Pin!; ne sont pas purgatives et débilitantes, elles donnent au contraire do la force et du sang. Une femme que les pilules Pink ont ramené a la santé s'sdresse h ses soeurs souffrantes st leur dit: Ecoutez mon histoire. Soyez heureuses et bien portantes com me je le suis Depuis plus d'un an, je n'ai point cessé de soufïrir J'avais une grande faiblesse dans les jambes. Rien ne pouvait me plaire ou me distaire, car mes souffrances flxaient continuellement mon esprit. J'avais méme un dégout de la nour riture. J'étais tou jours oppressé et au plus petit effort, des points de cöté me prenaient. Tous les huit jours, depuis le matin huitheuresjus- qu'au soir trés tard, j'avais une migraine si forte que je ne pouvais rien faire, ni lire, ni écrire, ni compter. J'ai eu h plusieurs reprises des douleurs névralgiques dans la tête. Lo som- meil que j'aurais tant désiré me fuyait et je ne pouvais réell'ement reposer. Je me croyais per due. C'était également l'avis de ceuxqui m'en- tourent, car ils avaient pu constater que les médicaments prescrits étaient restés sans effet. Une personne du voisinage me dit: Avez-vous essayé les pilules Pink? Je connais plusieurs 11° 1, SéRÉNADE DU liONTAGNARD Mile Haustraete, d'après une photo. PAGNOLE Vinaigre l'Etoile* seul pur fruit excellent. personnes qui n'ont eu qu'a se louer de los avoir électricu p, Grsnd'Place, Ypres, cessant le prises. Ma foi non. répondis-je, mais je ne c ..aunerc CAM 1 LLE LEBRUM, demande pas mieux que de les prendre puisqu'on vous en a favorablament parlé.J'ai suivi cette indication et je conseille a toutes les femmes qui souffrent de prendre ces merveilleuses pilules, trésor de santé qui m'ont radicalement guérie, m'ont rendue forte et bien portante et ont róussi la oü tous les autres remèdes avaient échoué. jj La personne guérie par les pilules Pink qui a écrit cette lettre est Mile Hélène Haustraete,sans I profession. 31, rue de Stockholm a Ostende. On peut sa procurer les pilules Pink dans toutes les pharmacies et chez M. Derneville, pharma- I cien,66,boulevard deWaterloo.a Bruxellos.Trois francs cinquante la boite et dix-sept francs cinquante les six boites franco.Ajoutons que les pilules Pink peuvent être coupées en petites doses pour être données a aeseufants anémiques ou eblorotiques. Elles sint inoffensives méme pour les constitutions les plus délicates. Elles donnent la force et seulernent la force. Dépot pharmacie Bécuwe,ancionne phar; acie Aertsens et M Donck, rue de Lille, Yres.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1902 | | pagina 2