r
I
il
H
ixtrait
i
«I
Echos parlementaires
Faits divers
k
r
r
f
I
I
I
i
I
I
i
i
mis, par suite de la majoraiion approuve.
tr la Députation permanente, il fallait bien
tyer la part réelle, soit 6 de 4200 fr.,
)it 252 francs. La dépense conséquence
a la dépense de l'article 3 était done
istifiée. Et de trois.
Art. 95. Déduction de 180 francs. Gette
imme représente le montant d'une gratifica-
on allouée ft une ancienne employée de la
11e. Les comptes des années antérieures
raient tous été approuvées sans observation
ce sujet. II y avait une simple marque sans
gnature de témoins. Un nouvel employé de
Province a découvert cette irrégularité!
- Et de quatre.
La Députation permanente aurait dü roa
rer d'office, au budget de 1900, les trois
rentiers postes; et pour le quatrième, elle
jrait mieux fait de demander k la ville de
plus suivre k l'avenir les errements an-
ent.
5 Le montant total des sommes déduites,
'ais non, k proprement parler, rejetées, a
perté d'office au budget de 1902, après
neme entre la ville et le Gouvernement
•ovincial.
La parole est au Progrès, d'abord pour
itracter ses ineptes et vagues critiques
asuite pour parler des irrégularités des
)mptes de ses amis.
II se fait que les deux doyens-d'kge, qui
at k présider au Sénat et k la Chambre des
éputés, a l'ouverture de la session parle-
tentaire, appartiennent k l'opposition.
Au Sénat, M. Wallon, s'adressant k ses
ollègues, fait l'éloge funèbre de MM. Bu
ignier et Garrau de Balzac,décédés durant les
acances; puis.ayant adressé aux nouveaux
Snateurg des souhaits de bienvenue tous,
nciens et nouveaux, dit-il, nous avons k
mur de conduire au mieux les affaires du
ays.
Sommes-nous bien dans la voie Vous en
igerez, Messieurs, d'après des projets de
tiset des rapports qui vous seront distri-
ués. Je puis vous dire mon sentiment, par
ne simple allusion k une image devenue fa-
lilière jetez les yeux sur la jolie médaille
ai est, aujourd'hui, dans toutes les mains.
L'éminent artiste qui a été chargé de re-
juveler le type des pièces dargent de la
ionnaie franpaise a cboisi, pour emblème
j la République, une Semeuse coiffée du
«met phrygien, le bonnet rouge des jaco-
ins, une République jacobine.
Une République jacobine dont la forme
cquise et le geste élégant n'en remettent
is moins en mémoire les vers de notre
rand fabuliste
oyez-vous cette main qui par lesairs chemine
Un jour viendra qu' n'est pas loin
Que ce qu'elle répand sera votre ruine
(Mouvements divers).
C'est un commentaire que l'auteur de ce
'slit chef-d'ceuvre ne prévoyait assurément
'is. Mais vous, messieurs, pensez-y bien
Sus surtout qui semblez entièrement livrés
Vx soins de la défense républicaine.
Que cette gracieuse et séduisante figure
'ipularisée par notre monnaie ne vous donne
\s d'iilusions, qu'elle ne vous fasse pas
'blier qu'elle nous rappelle k tous plus que
taais, en ces temps-ci, la légende gravée
*r la tranche de nos pièces de 5 fr. du
insultafidu premier eu du second Empire,
1 la monarchie de Juillet, de la seconde et
la troisième République, comme sur la
ianche de la nouvelle pièce de vingt francs,
Igende qui est une invocation religieuse,
"ie invocation dans laquelle tous les Fran
ks peuvent et doivent s'unir. G'est aussi le
teu que je vous adresse en ouvrant la
Ission Dieu protégé la France. (Applaudis-
'ments sur divers bancs.)
A la Cbambre des députés, ua octogéuai-
re, M. Rauline, député impérialiste de la
Manche, s'est exprimé en termes tout aussi
significatifs. Voici un extrait de son discours
En ouvrant au printemps dernier la lé-
gislature nouvelle, je me suis permis de vous
adresser des conseils de concorde, de tolé-
rance et de paix, ils étaient les seuls qui con-
vinssent également k tnon age et k ma fouc-
tion, les seuls aussi qui répondissent k ma
conscience et k mes désirs. (Trés bien Ge
que je regrette, et je le regrette avec sincéri-
té, c'est qu'ils n'aient pas été plus éloquents
et que la Chambre ait mis plus d'empresse-
ment k les applaudir qu'k les suivre. (Ap
plaudissements au centre et k droite.)
Vous n'avez pas k craindre, mes chers
eollègues, que je m'érige en censeur d'une
politique dont je suis l'adversaire k mon banc
(Applaudissements sur les mémes bancs),
mais dont je ne suis pas le juge k cette place.
(Trés-bien
Je sais que le róle que je remplis au fau
teuil présidentiel est essentiellement provi
soire je suis trop pénétré de mon devoir
pour sortir de la réserve qui mest imposée
mais il me sera permis du moins d'attester
ma foi dans le triomphe final de la paix, par
le triomphe du droit, de la justice et de la
liberté. (Bravos répétés k droite et au cen
tre.)
Vos ancêtres les plus illustres avaieut
raison, lorsqu'il protestaient au nom de ces
principes, contre les oppressions passées.
(Nouveaux applaudissements.) Nul de vous
ne saurait penser que j'ai tort de me récla-
mer aujourd'huideleurs legons. L'oppression
de quelque parti qu'elle vienne, k quelque fin
qu'on l'emploie, n'est jamais qu'un accident
qui passe, il n'y a qu'une vérité qui dure en
dépit des éclipses qu'elle peut subir, c'est la
souverainetédu droit. (Applaudissemements
prolongés k droite et au centre.)
»Si vous consultez l'histoire, vous consta-
terez queledroit survitseulpartoutettoujours
(Bravos sur les mêmes bancs) aux épreuves
variées qui ont pesé sur lui, et si vous inter-
rogez l'avenir, vous devinerez qu'il n'est pas
de sanction durable, qu'il n'est pas de sanc
tion possible, aux violences qu'il pourrait
subir encore car, les généralions de demain,
affranchies des suggestions de parti qui peu
vent nous aveugler, s'empresseraient k sa
délivrance. (Applaudissements.)
«G'est le privilège des nobles causes de
porter en elles la raison même de leur triom
phe. II n'y a jamais eu, et il n'y aura jamais
d'esprit de secte assez tyrannique, de raison
d'Etat assez puissante, de sophismes assez
trompeurs pour empêcher l'humanité de
vouloir que les lois soient justes, que les
consciences soient fibres, et que l'Etat soit
l'institution fondamentale de la paix, de la
tolérance et de la fraternité. (Longs bravos
k droite et au centre.)
Ge langage, mes chers eollègues, n'est
pas nouveau, et je n'en revendique pas l'hon-
neur pour moi seul je l'emprunte k ceux
qui furent vos maitres et les pères de la Ré
publique car je connais vos auteurs et je
crois avoir recueilli ce qu'il y a de meilleur
dans leurs lepon. (Vif assent,iment.)
Ge sont ces le(?ons,mes chers eollègues,
que j'ose recoromander k votre piété filiale et
mon vceu le plus char serait que, grace aux
enseignements du passé, vous fissiez une
République que consentiraient k reconnaitre
les grands républicains qui furent autrefois
les apótres du droit, de la justice et de la
liberté. (Bravos répétés sur un grand nom- -
brede bancs.)
i_
Hier soir, 16 courant, vers 7 heures,
le domestique du sieur Durnez Emile, négo-
ciant et entrepreneur en cette ville, revenait
du Kruisstraat dans la direction d'Ypres,
conduisant un attelage de deux tombe re;; ux
attachés l'un k l'autre. Arrivé k hauteur
du Pannehuisstraat, le chariot de der
rière s'est détaché et par suite de la legére
pente qu'il y a en eet endroit, est allé rouler
sur la voie vicinale. En ce moment arri-
vait le tram de Kemmel. Une collision eut
lieu et le chariot projeté avec force hors de
la voie est allé buter contre le mur de la fa-
brique Vandooren. II n'y a pas d'accident
de personnes.letout se borne,heureusement,
k des dégats matériels.
Nous lisons dans la Gazette van Korlrijk
Récemment dans un café d'une petite
ville de province, se trouvaient attablés un
digne négociant, père de familie, et l'éditeur
d'un journal. Le dialogue suivant s'engagea
entre eux
Vous avez de la chance de n'avoir pas
defilles, dit le négociant. Depuis trois jours,
mon diner est détestable. Mes filles doivent
aller au bal et négligent le ménage, la cuisine.
Chaque bal me coute une robe nouvelle,com
me si l'argent me croissait sur le dos.
Eh bien, mon ami, voulez-vous tenir
le pari de deux bouteillesde bon vin, et je
vous promets qu'il n"y aura pas une dame au
prochain bal; mais il faudra garder le silence
sur notre pari.
La pari fut accepté. Quelques jours plus
tard, la femme du négociant lui demande
Que sYst-il passé On m'assure que cette
semaine il n'y avait personne au bal. Le
mari déploie son journal il y lit ce qui suit:
Avis important. Nous apprenons
qu'au proc iairi bal, des pnx seront accor-
dés au trois plus laides demoiselles du .bal
et aussi au trois plus laides mamans. Les
noms des lauréates seront publiés dans les
principaux journauxde la province et leurs
portraits seront exposés dans la salie du
bal.
Décidémsnt, dit Ie négociant, l'éditeur
a trouvé le bon moyen rlegagner son pari.
Les sucres en paquets de la Raffinerie
Tirlemontoise sont les meilleurs. Eu vente
chez tous les épiciers.
IV© toussez plus. Je garantis
la guérison du rhume el de la toux la plus
pinktre en deux jours au moyen du Sirop
Ospratere au goudron décoloré et au baume
de Tolu. G'est le pectoral le plus prompt, le
plus sur et le plus agréable qui existe. G'est
U" remède incomparable, mais faites bien
attention, demandez et exigez toujours le
veritable Sirop Depratere.
Prix2 fr, la bouteille. Le traitement
revientkO.10 centimes par jour. En vente
k Ypres, pharmacie Socquet; Roulers, phar
macie Veys; Courtrai, Hulpiau et De Boey
Dixmude, Ghyssaert.
La femme du jour
HQ offre gratuitement
MOI^bllde faire connaitre
tous ceux qui sont atteints
d'une maladie de la peau dar
tres, eczémas, boutons, déman-
geaisons, broncbites cbroni-
ques, maladies de la poitrine, de
l'estomac et de la vessie, et de
rhumatismes, un moyen infail-
lible de se guérir promptement,
ainsi qu'il l'a été radicalement
lui-même, après avoir souf f ert et
essayé en vain de tous les remè
des préconisés. Cette offre, dont
onapprécieraiebut humanitaire,
estla conséquence d'un vcau.
Ecrire,parlettreou carte postale
èt M. Vi^OEïIT, 8, Place Victor-Hugo]
Grenoble (France),qui répondra
gratis etf ranco par courrier, et en-
verraies indications demandées.
Par jugement du tribunal de pre
mière instance d'Ypres, f. f. de Tribu
nal de Commerce, en date du 16 Jan
vier 1903,1e sieur FttANQOIS DU-
THOY, cabaretier et voiturier a
Gheluvelt, est declare en état de fail-
iite
L'époque de la cessation des paie-
ments est fixée au 27 Décembre 1902;
M. le Juge MONTENS estnom-
mé Juge-Commissaire et Mtre Juste
COUROUBLE, avocat-avoué a
Ypres, Cu-ateur
Les créanciers sont priés de faire
leurs declarations de créance au Gref-
fe du Tribunal, avant le 3 Février
1903
La cloture du procés-verbal devé; i-
fication des créances est fixée au 20
Février, a 9 heures du matiu, et les
débats sur les contestations dé créance
au 6 LMars, a 10 beuresdu matiu en
l'auditoire du dit Tribunal.
Pour extrait conforme
Le Curateur
J. COUROUBLE.
V'
1*1
i
t
1
Avec les froids humides de l'hiver sont reve
nues les pires douleurs; les rhumatisants qui
souffriront ne peuvent s'en prendre qu'a eux-
mêmes,puisqu'ils peuvent rapidament seguérir
en prenant 1 Elixir antirhumatismal et antigout-
teux Vincent.
Dépöta Ypres Libotte; a Poperinghe Mon-
teyne. Prix3 fr. le flacon.
Pas de conserves sans vinaigre d'alcool l'Etoile rouge.
SXRSW!f29KHBOT*''ITO>12a«K!ri??r:T?. SECTS
Jamais de salade sans vinaigre x l'Etoile.
Mme Goutil, d'après une photo.
Quelle est cette dame
Le portrait ci-dessus représente Mme Goutil,
qui habite a Ostende, 47, Cuaussóe de Nieuport.
Qu'a-t-elle fait
Elle s'est guérie d'une grave affection nerveuse
et d'une forte anémie que tous les remèdes pres
ents auparavant avaient été impuissants a com-
battre.
Comment s'est-elle done guérie?
En prenant les pilules Pinck qui sont souve-
jj raines pour ce genre d'affection. Une lettre de
I Mme Goutil que nous publions ci-dessous est k
ce sujet formelle
Unjour que j'étais montée sur une échelle
pour faire des travaux de nettoyage, je perdis
l'équilibre et tombaisa terra du haut de l'échelle.
Je me contusionnai fortement. Je r-essentis une
grande commotion nerveuse et de ce jour ma
I santé déclina. Je devins pale et faible, je n'eus
plus beaucoup d'appétit, et il me semblait que la
nourriture que je prenais me rèstait dans la
1 gorge. Le plus petit travail me fatiguait outre
l mesure, et j'avais fréquemment des points de
s cöté. J'étais rapidement essouffiée. La nuit je
dormais difficilemont, et j'avais des caucbemars
j oüj'étais victime d'accidents terribles. Je tran-
1 spirais abondamment. Je ressentais enfin des
migraines, des bourdonnements d'oreilles et un
grand état de nervosité qui me faisait mettre en
colèrepourla moindre contradiction, fiién des
I remèdes me furent recommandés, mais aucun
ne me soulagea.Ma voisine,Mme Vandegehuchte,
j me voyant si malade me conseilla vivement
l'emploi de pilules Pink qui l'avaient elle-même
guérie. J'ai suivi sou conseil et grkce aux pilules
Pink tous mes malaises ont progressivement
disparu. Je suis actuellement en parfait état de
santé.
j L'annémie, les maiadis nerveuses.sout énergi-
quement combattues par les pilules Pink aux-
l quelles elles ne résistent pas. Elles sont égale-
j ment souveraines contre ia chlorose, le rhuma-
tisme, la faiblesse générale, les maux d'astomac.
1 Adressez-vousdoncan'importe quelpbarmacien,
il vous délivrera les pilules Pink pour 3.50 la
boite et 17,50 les 6 boites. En peu de temps vous
éprouverez une amélioration sensible qui s'ac-
centuera jusqu'a la guerison. Pour les personnes
qui n'habitent pas les grands centres,nous ajou-
tonsque le Dépot des pilules Pink en Belgique
est chez M. Derneville.pharmacien,66, Boulevard
de Waterloo,qui expédie les pilules Pink franco
au regu d'un mandat poste. Sur demat.de, un
intéressant almanach 1903 sera envoyé gratuite-
ment.
Dépót pharmacie Bécuwe, ancienne pharmacie
Aortsens et M Donets, rue de Lille, Ypres.