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iception et sérénade chez
le Baron Surmont
élu sénateur provincial
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isuriers rendissent aux emprunteurs 1 ar-
qu'ils avaient iujustement prélevé tan-
jue la pratique de plusieurs souverains
d'enlever ces sommes aux juifs pour les
er dans lsur trésor.
4 révolution de 1789 a rompu avec la
ition du moyen-kge elle a cru t ésoudre
uestion juive en niant son existence,
i dans divers pays l'opinion publique
met k l'ordre du jour en France et en
iche un parti antisémite prêche la guerre
re les juifs. Le cri de ralliement de Dru-
t estla France aux Francais c'est
qu'il envisage la question juive non plus
oint de vue religieux, mais au point de
social et économique.Il considère k juste
les juifs comme des parasites sociaux.
ue sortira-t-il de ce mouvement C'est
restion que se pose le conférencier en
linant. Nul ne le sait et les antisémites
lorent eux-mêmes. Peut-être feraient-ils
de méditer la solution canonique, et
peut souhaiter aux juifs de ne point voir
npher des solutions plus sévères.
e conférencier est salué par les vifs
audissemeuts de tout l'auditoire et féli-
par ses amis. Malgré l'aridité apparente
ujet, il est parvenu grkce k la nelteté de
exposé, grkce k son élocution simple
5 élégante et pleine de vie, k soutenir
jrition de ses auditeurs et k conquérir
sympathie. Chacun se retire visiblemenl
[fait de cette belle et intéressante confé-
',e,et exprime le voeu de voir M.Deploige
luveler bientót sa visite aux Yprois.
ous adressons nos plus sincères félicila-
3 au dévoué et savant conférencier, et
ercions le bureau de la Gilde de N. D.
'huyne d'avoir si puissament contribué k
iussite de cette séance,
n nous assure qu'un comité local de
tension Universitaire est en voie de
tation dans notre ville et qu'une série de
érences sera annoncée. Nous accueillons
j nouvelle avec plaisir et faisons des
x pour le succès de cette oeuvre.
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londag, 15 Februari
t Volkshuis
De hand van God,
drama in 3 bedrijven.
De gendarm heeft geen hart,
blijspel in 1 bedrijf,
let plan der zaal voor voorbebou-
plaatsen zal ten inzage voor eer-
oeschermleden berustende zijn bij
üallewaert De Meulenaere, van af
iderdag, jjl2 Februari tot Zaterdag
nd.
ous l'avons défk annoncé, le Baron Sur-
t de Volsberghe a été prociamé, mardi,
teur provincial. Notre nouveau sénateur
incialétant rentré k Ypres, le Conseil
munal, accompagné de l'Harmonie com-
ale, le Cercle Catholique et notre Fan-
Royale, ainsi que la Musique des Orphe-
se sont rendus, jeudi soir, k l'hótel du
rel élu.
'Echevin Berghman,M. leBourgmestre
ert étant retenu k Rome par le décès de
de Neckere,son proche parent,—a porté
role au nom de l'Administration com-
ale. Dans les meiileurs terrnes, il a rap-
tous les services que ie Baron Surmont
odus k la ville et k l'arrondissement d'Y
k la Flandre Occidentale et k tout le
et il l'a chaleureusement remercié d'a-
si heureusement assuré k notre arron-
ament le siège provincial que nous étions
isés k perdre.
Biebuyck, second vice-président du
le Catholique, a exprimé la reeonnais-
e que tous les catboüques garderont k
lis k notre sénateur pour la trés large
que. de tout temps, il a prise k la créa-
k l'organisation et au développement
>utes nos ceuvres chrétienes.
Callewaert, au nom do la Fanfare Roy-
i spécialemenl remercié l'ancien Minis-
tre du Travail et de ['Industrie de tout qu'il
a fait pour la classe ouvrière et pour la plus
grande prospérité de la Belgique. M. Calle
waert a célébré éloquemment les bienfaits
des Pensions Ouvrières il a rappelé aussi
avec quelle sollicitude, pendant tout le cours
de sa carrière ministérielle, notre Ministre a
travaillé k la préparation de la loi relative
aux accidents du travail,qui sans plusde délai
va sauvegarder les intéréts et les droits de
nos ouvriers.
A chacune de ces allocutions le Baron
Surmont a répondu avec la plus franche
cordialité. II a parlé, tour k tour, en homme
public toujours plein de sollicitude pour tous
ses commettants en homme d'état toujours
plein de sagacité et soucieux des intéréts de
toutes les classes de la société, mais bien
particulièrement des droits et des intéréts de
la classe ouvière; et en bon catholique, prêt
k se dévouer toujours k la cause de Dieu. II
a prociamé bien haut que le triomphe de la
cause catholique qui est la sauvegarde de
tout droit et le gage de tout progrès social,
ne peut être assuré que par l'union, par
l'union k laquelle chacun doit être toujours
prêt k sacnfier dans la bonne mesure.
Cette belle fête, aussi cordiale que chré-
tienne, fut agrémentée de la fagon la plus
charmante par la musique la plus harmo-
nieuse. Les flots de champagne se mêlaient
aux flots d'harmonie. Cette belle et vaillante
musique semblait faire écho k l'harmonie de
tous les sentiments et de tous les désirs.
Tous garderont de la soirée du 5 Février
le plus heureuxet le plus réconfortant sou
venir.
Chez une Couturière de Bruxelles
Par une curiosité bien légitime, et aussi par
devoir de reporter désirant remplir ses fonotions
consciencieusement, je me rendis ces jours der-
niers rue Saint-Michel. Au numéro 23 de cette
rue habite Mile Cathérine Caes, qui exerce le
mótier de couturière. C'est d'elle que je désirais
obtenir quelques détails sur un fait qui m'avait
été signalé et qui peut certainement avoir un
grand intérêt pour eeux qui en liront le récit.
Je fus regu de la manière la plus accueillante
après avoir dit le but de ma visite, par une gra-
cieuse et jolie jeune fllle.
Je vois, Mademoiselle, lui dis-je aussttót,
qu'on ne m'a pas trompó. Votre mine excellente,
la vivacitó de vos yeux témoignent d'une santé
parfaite, 11 n'en a pas toujours été ainsi m'a-t-on
dit. Veuillez done me dire par quel moyen vous
êtes parvenue k reprendre la fraicheur et la for
ce.
MIl8Cathérine Caes, couturière, d'après une photo
Jedois tout cela, Monsieur, aux Pilules Pink,
et je vous afflrme qu'elles seront désormais le
seul remède que je prendrais si je redevenais un
jour malade.
Votre maladie a-t-elle été longue et qu'avez-
vous ressenti pendant sa durée 1
Pendant un an et demi, j'ai été atteinte de
malaises divers. J'ai consultóplusieursmédecins
et tous ont bien reconnu chez moil'anémie, mais
aucun ne m'a guérie. J'avais beaucoup de maux
de tête, puis au moindre mouvement, des éblou-
issements me passaientdevant les yeux etj'étais
prise aiors de tels vertiges que tout tournait au-
tour de moi. Loin d'avoir de l'appétit, c'était un
dégout de tout. Jesouffrais enoutre de points de
cóté qui me coupaient la respiration et m'em-
pêchaient tout mouvement. Que vous dirais-je
de plusj'étais littéralement épuisée et a bout
de forces et de courage, quand un pharmacien
d'Ostende, ami de ma familie, me conseilla les
Pilules Pink. Quel excellent conseil je rejus la
Le changement qui se fit en moi fut aussi sur-
prenant que rapide. Je repris d'abord un excel
lent appétit, puis mes maux de tête disparurent
et mes forces enfin revinrent si bien qu'aujourd'
hui je puis travailler de mon métier de cou
turière sans aucune fatigue.
Recevez mes compliments, Mademoiselle,
pour unrésultat sicomplet, Je pris aiors congé
de M"8 Caes et jo ne puis que répéter que les
pilules Pink sont le véritable remède contre l'a-
némie, la chlorose, la neurasthénie, les rhuma-
tismes,paree qu'elles régénèrentlesangd'une fa-
gon compléte.
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pharmacies et au dépot principal pour la Belgi
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plusieurs mois je sou ffrais dans les bras et les
jambes de violentes douleurs dont je neconnais-
sais pas la causeces douleurs furent reconnues
comme rhumatismales. J'eus aiors recours k
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raïtre les douleurs comm e par enchantement.
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