LIE I GHYSEL L'intolérance gueuse IVomination de greffiers Huwelijksafkondigingen Fails divers LE THERMOGENE avec grand jardiu M. Paul Deschanel, hornme d'Etat républicaiu liberal, a fait cette decla ration a la Chambre francaise «Aujourd'hui un fonctionnaire pour être bien vu est oblige de ne pas rem- plir ses devoirs religieux». Cette phrase lapidaire precise ie joli régime impose a la France par ie ministère combiste, et que les f'uturs Combes beiges rêvent detablir en Belgique. Avis aux fontionnaires, aux institu- teurs et aux employés communaux interview avec le capitaine du Mag Piej partisails de ja liberté des culteSi i(s «J PEIPiTURE DECORATIVE Decoration du dernier genre Léf;res et solides, a l'huile, k la colle, a la Fr esq ue pour tout le batiraent FAUX ROIS et marbres trés soigoés. Dócoratioo spéciale pour Salons ea tous styles. Ibïysages légers et humoristiques pour Verandas, Saües a manger, Vestibules, etc. Les temer, t emlevés et a des prix défiarst toute concurrence. ENTREPRISE de tous iravaux de Peinture. -4L LOÜEI1 i Un autre chalutier arriva pour prendre a bord les hommes de 1 equipage qui étaient blesses, et parmi eux était le mécanicien, blessé a la poitrine par un éclat, et un inarin, dont la main avait été emportée par un projectile. A bord du Crane même, on trouYa le capitaine et le second complètement décapi- tés. Les cadavres furent placés a bord du Moulmeintandis que quelques autres membres de l'équipage, qui n'étaient que légèrement blessés, furent pris a bord du chalutier Gullqui n'était pas encore arrivé a, Hull lors du départ du présent télé- gramme. Témoignage circonstancié Un rédacteur du Daily Mail a eu une taisant partie d une des flotilles anglaises sur ipsmipiioc loc j I savent desormais ce qui es attend si sur lesquenes les navires de guerre russes g 1 ont tire. Le capitaine déclare qu'il se trou- jamais un c< bloc liberal-radical et vait au milieu des autres bateaux de pêche, 1 sociaiiste parvient a former une ma- a environ 350 kilometres au nord-est de jorité dans noire pays. Hull, Samedi matin, ver» une heure. Peu après, dit-il, nous aperQÜmes a travers la brume et la pluie des feux appar- tenant a de grands et petits navires. Cormne faire un grief a M. de Trooz de n'avoir pas noussavions que la hotte de la Baltique de- accepté la présidence d'honneur du Congrès vait jiasser et que nous voyions que ces navi- i international que se proposait d'organiser la Fédération générale des Instituteurs bei ges. Cette appellation de générale est une usurpation, car il n'y a dans cette fédé ration que les instituteurs bostiles au gou vernement et ea rébellion plus ou moms ouverte avec la loi. Une commission de patronage devait honorerce Congrès. Comment l'avait-on composée De dix membres de la Droite, de dix dép ut és socialistes, da cin- Cette lettre est inaltaquable et nos bom mes politiquesauraient term un róle de dupes en s'associant, si p«u que c® soit, k la ma chine de guerre qu'est devenue la dite Fédé ration anticléricale des Instituteurs. M. C.-A. Van Walleghem, docteur en droit, greffier de la justice de paix du premier canton de Courtrai, en remplacement de M. Vander Meersche, démissionnaire. M. F.-M.-J. Smagghe, commis-greffier a la justice de paix du premier canton de Cour trai, est nommé greffier de la justice de paix du canton de Ghistelles, en remplacement de M. Van Walleghem. Certains journaux übéraax voudraient res se dirigeaient directement vers la Man che, nous concümes que c'étaient les Rus ses. Subitement, quelques-uns des navires ouvrirent le feu sur nous, c'est a dire sur une vingtaine de bateaux qui se trouvaient les plus rapprochés deux. D'abord, nous crumes, naturellement, que 1 on tirait a blanc et le maitre d'équipage du Tomtitque se trouvait tout prés, prit deux grands poissons et les montra aux navires de guerre. Les uns disent qu'il le faisait en Leopoldus Devaux, timmerman, en Maria Claeys, naaister, beiden te Yper. Camillus Neirinck, werkman in het voe dermagazijn, en Zoé Debaere, dienstmeid, beiden te Yper. Leo Maerten, aardewerker, en Irma De- naeghel, zonder beroep, beiden te Yper. r plaisantant, en faisant seinblant d'offrirdes quante députés et sénatcurs libéraux et de poissons auxmannsrusses.Les autres croient dix netif fonclionnaires et anciens fonc qu il savait qu on ne tirait pas a blanc et tionnaires dont les trois quarts sont libé- qu il voulait faire voir aux Russes, en leur raux paisibles pêcheuS0^' (jU°nb j LeS metabres de la Dl'oiie ont ddcl>!;é de I Ps nflvii-p<! ri« J figurer dans ce Sanhedrin et M. Scbol- ues navnes de gueire se trouvaient a d'ailleurs assez prés de quelques-uns des l °Q 8V U£U' Présidf,nce> bateaux de pêche pour qu'ils puissent se I 3 1EUlé M' deTr00z la Prudeme réserve. rendre compte, a Faide des projecteurs et l v°yezvous le président de la Chambre et i.-i.... le ministre de I'lntérieur présidant, devant le monde international de 1'etjseignemeiit, des bachanales comme cellers qui marqué des jumelles, que les hommes sur les ba teaux étaient occupés a éventrer des pois sons, cai c est a cette besogne que l'on se livrait a boid, au moment oü les premiers coups partirent. On congoit notre étonnement, lorsque rent le Congrès de Blankenberghe ou bat tant la mesure pour exercices cborégraphi- ques comme ceux qui terminèrent, il y a nous nous ïendimes compte que l'on tirait i Un mois, le Congrès d Ixelles. seneusement sur nous u;„„ sérieusement sur nous, que le tir était bien diiigé, que des hommes étaient blessés et des bateaux avariés. Ou se figure le désordre et 1 épouvante. Quelques-uns des bateaux étaient en ttain de ramener les filets au moment oü la canonnade commenca. Ils abandon- nèrent leurs filets et s'éloignérent immédia- ternent a toute vapeur. Je crois que la canonnade dura une demi-heure environ,et que le feu émanait des canons a tir rapide des croiseurs, aenjugerpar la rapidité des coups. L obscurité et la pluie nous empê- chaient de voir les navires russesnous n apergumes que leurs leux, qui nous per- mirent de constater que c'étaient de grands navires. Les projecteurs électriques contri- buaient a nous aveugler. Nous ne pouvions rien. II n'y avait pas moyen de montrer notre véritable caractère et il semblait que nous étions destines a être coulés tous 1 un après l'autre, sans un mot d'explication. Heureusement, au bout d'une demie heure environ, après que nous eümes essuyé un trés grand nombre de coups, la canonnade cessa et la fiotte s'éloigna rapide- I ment dans la direction de la Manche. Pour- quoi les navires ont ils cessé le feu Je 1 ignore, l'eut-être se sont-ils rendu compte de leur erreur Get incident fut pour nous un terrible mystère. Rien n'est encore venu l'éelaircir. Nouvelles victimes Le linies dit quon annonce de source autorisée que le chalutier Wren a été égale- ment coulé avec tout son équipage par les Russes. On télégraphie de Hull que les capitaines du Moulmein et du Mino ont été invités par télégrapbe a venir immédiatement a Lon- dres, pour être interrogés par des autorités navales. Une autre depêche annonce qu'en dehors du capitaine et du second du chalutier Crane, tués, il y a dix buit pêcheurs blessés par les Russes, arrivés a Hull. Le Petit Bleu a écrit, k cette époque, qu'il ne dirait pas k M. de Trooz jusqu'k quelle heure matinale, on avait chahulé et le même Petit Bieu injurie le ministre qui refuse de s'associer k d'éventuels cha- huts 11 cherche midi k quatorze heures et attribue k son refusé des raisons qu'il in- vente et non plausibles. La lettre du ministre que nous sommes en mesure de publier, mettra touies choses au point Bruxelles, le 8 octobre 1904. Monsieur le Président, Vuus avez bien vculu m'offrir la prési dence d'honneur du Comité de patronage du Congiès International de l'Enseigoe- naent primaire qui se liendra k Liége, dans le courant du mois de septembre 1905, sous le Patronage de la Fédération générale des Instituteurs. Je regrette de devoir décliner eet hon- neur, mais j'y suis contraint par les motifs suivants La Fédération des Instituteurs s'aban- donne de plus en plus it la politique eile combat systémaliquement le Gouvernement et la maj >rité parlementaire. Ces faits sont établis d'une manière précise a) par des discours prononcés au cours des assises annuelles de la Fédéis hora, sans recnontrer la contradiction du bureau b) par son organe officielLe Journal des Instituteurs »St un dout- pouvait exister quant aux tendances politiques de la Fédération, la composition du Comité de patronage du Congrès, dont la présidence d'nonneur m'a été réservé, est malheureuseraent ik pour le dlssipsr. Reccvez, Monsieur le Président, ks assurances de ma corrsidération distinguée. Le Ministre de I'lntérieur et de l'lnstruction publique. YPRES Ecole de bienfaisance. Les jeunes gens formant le personnel de la nouvelle école de bienfaisance de l Etat sont arrivés mardi après-midi, a i b. iï, par train spécial ve- nant de Reckheim (Limbourg). Ils sont au nombre de 269, divisés en cinq sections d'après leur age et leurs capacités. Musique en tête et précédés de leur cartel avec l'ins- cription Ministère de la Justice 1883 (année de la fondation), ils ont, pour gagner I etablissement, traversé la ville, de la gare a la cbaussée de Menin, entre une foule nom- breuse de curieux qui leur faisaient le plus sympathique accueil. Par leurexcellente tenue et leur marche martiale, ils ont fait la meilleure impression sur le public. Civils et militaires. Un soldat du 5e li- gne mommé de Essers, se querellait lundi matin, vers une heure, avec des civils, dans la rue du Passage. Une rixe éclata, au cours de laquelle on a enlevé la baïonnette du mili. taire pour lui en porter des coups dans la figure. Des individus ivres ayant été mis a la porte de l'estaminet de M. René Cnockaert. pla- ceur de domestiques, rue de Dixmude, ont brisé les carreaux de sa devanture. Procès- verbal leur a été dressé. La Société des Bons Remèdes prie le public de remarquer qu'il y a deux produits Walthéry. II y a, en effet, la Pilule Walthéry qui est le purgatif si populaire chez nous, et il y a la Pastille Walthéry contre la toux et les maux de gorge 1 fr. la boite. Ménagères n'achetez que les sucres en paquets de la Raffinnerie Tirlemontoise. Bené, bené, fit-il en ronchonnant, dans son patois franco-italien. Ma ca n est pas dans les habitoüdes ce petit il ne poüt pas concourir. Tu plaisantes, mio amigo repliqua Carafa, qui faisait partie dn jury c'est paree qu'il a fait mieux qu'on n'exige, que tu voudrais le mettre hors concours. Voyons, Salvatore, ca n'est pas possible Jesouispour le règlemente répli- quait imperturbablement Cherubini 9a est trés bien ce qu'il a fait, mais 5a est contraire au règlemente. Le jury décerna trois premiers prix et deux seconds prix a divers élèves, sans qu'il fut question du jeune César Franck. Après quoi Cherubini, faisant une grimace a son ami Carala, qui pestait, en frappant du poing la table ronde couverte du tapis de drap vert autour de laquelle siège le jury, dit Maintenant nous allons nous occuper de Monseou Franck. Qué férons-nous pour loui Moi, ze propose de loui de'eerner oune premier grand prix d'honneur ex- ceptionnel Tout le monde se mit a rire et le prix d'honneur fut vote' a l'unanimité. Comediante dit Carafa, moitié vexe', mais tout a fait content. We toussez plus. Je garantis 1guérison du rbume el de la toux la plus opi'iatre er; deux jours ait moyen du Sikop D.ÏI I1ATERF. au goudron décoloré et au bautne dj 10uCost ie pectoral Se plus prompt, Ie plus sur et, is plus agréahle qui existe. C'est U'i retnède incomparable, rains faites bien anention, demandez et exigez toujours le vér.tabla Smoi' Depratere. P. ix 2 fr, la boutcille. Lt traitement revieht k 0.10 centimes par jour. 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Duquesnel rappelle une amusante anec dote sur le premier concours a Paris de Cé sar Franck L'épreuve comprenait la lecture a pre mière vue de ce morceau particulier qu'on appelle une fugue ce qui est le dévelop- pement, imitation et combinaison, d'un thème ou sujet, d'après des lois précises. C est le type le plus rigoureux d'une compo sition musicale éducative »,ou tout procédé d'un élément mélodique initial. L'élève se mit au piano, déchiffra sans hésitation et transposa le morceau,ce qui était un véritable tour de force.Zimmermann, fier de son clove, cut som de signaler l'ioci- dent a Cherubini, le directeur du Conserva toire, qui était aussi, suivant l'usage, le président du jury. Le vieux Cherubini était d'ordinaire, as sez grognon, et volontiers de méchante hu meur. Sx-élèvj de 1'Académie Royale de Braxelles I luiïuxsazasu ï'ono Run Vieux Marché au Ruis, tt' Stdresser rue de la Station, n° 35. IS

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1904 | | pagina 2