EXTRAIT Pronostics de M. Buyl Nécrologie Une lettre royale Société d'horticulture de l'arrondissement d'Ypres Nominations eeciésiastiques Fails divers LE TIIERMOGÈIVË Tour EnfaaÈs (011 va 1 e s c e n ts^VS e Pilules Pink 31571 voix. 36636 ^o65 13154 voix. 13567 413 25272 voix. 34374 898 9 177 469 696 3ao 47 5 37 488 3o 326 492 703 iz .337 63 3qo 66 349 73 7S »58 337 53o 74' 76 36o 538 744 79 273 368 S44 746 9' 274 396 57i 753 2 77 4'7 587 75 6 426 .64 5 765 286 428 617 777 tx6 394 436 623 785 298 438 627 786 3oJ 446 639 787 156 449 791 885 793 887 888 819 891 io33 898 $99 837 io56 853 86 i 864 946 868 957 S69 967 888 989 Parjugemeut du 18 novembre cou rant,le Tribunal de commerce d'Ypres a declare d'e ffice eu faillite M. Alfred BOLKSOEN, cabaretier et uégociant a Ploegsteert (peltte Flandre). Les créauces doiveut être déclarées a van tie 2 décembre, la vérilication s'cn fera le 23 décexbre a 9 heures. Conmissaire: M. Le Juge Veys curateur, M. Arthur Butave, avocat a Ypres. Pour extrait conforme. Le curateur, ARTH. BUTAYE Maladies d'hiver Guérison d'un ouvrier de chemin de fer manoeuvre deloyale, en réclamant l'élection nouvelle, la consultation du corps électo- ral. La presse libérale,a de rarisiimes excep tions, tait le mort et jusqu'a présent on attend encore le cri d'indignation contre ce rapt d'un mandat commis au détriment du parti socialiste. Nous demandons aux honnêtes gens du parti libéral s'ils vont accepter cette situa tion et permettre que l'escroquerie soit commise avec la complicité du silence ou de l'apathie de leurs mandataires. Si les honnêtes gens du parti libéral sont bien empêchés de répondre, c'est que la volée de bois vert que leur admmistre le Peuple est rudement méritée. Aussi bien, YEtoile, qu'on a chargée de pallier l'effet déplorable produit par les amèresrécriminations de l'organe socialiste, ne trouve a bégayer que cette vague ripo ste Le Peuple a tort, dit elle de sen prendre aux libéraux, qui ne sont pour rien dans la mésaventure de M. Eibers, et qui ont mis les socialistes en garde contre la com- binaison proposée par M. Léger. Le Peuplequi a vraiment la rancune ingénieuse, va mêmejusquaprétendre qu'en président cette combinaison les libéraux en auraient donnée l'idée a M. Léger. Tout cela nest pas séi ieux Les libéraux ont prédit cette combinaison, paree qu elle est l'application stricte des principes de la loi électorale. M. Léger estime que, MM. Eibers et Ro- chette nétant pas éligibles, la liste socialiste doit être eonsidérée comme n'ayant eu qu'un titulaire, et qu'il y a lieu d'appliquer l'ar- ticle 265. Ce n'est peut être pas d'une délicatesse raffinée, mais c'est légal, et les socialistes ne doivent s'en prendre qua euxmêmes s'ils sont privés d un deuxième siège. lis ont récolté ce qu'ils ont semé. C'est bien fait. Alors, décidément, c'est légall Et M. Hermann Dumont qui prétendait le contraire et qui criait au coup de parti. Quel camouflet pour l'incorrigible con frère Nul n'ignore que le sieur On\en Buyl est decide a renverser le gouvernement. Ce que l'on sait peut-être moins c'est la manière dont l'honorable Ixellois du Furnes- Ambacht s'y prend pour arriver a ses fins. C'est bien simple. Pour faire la preuve des pronostics ren- versants que l'on connait, le député péda- gogue, comme il faisait autrefois par 1 addi tion la preuve de la soustraction, soustrait «ux catholiques toutes leurs voix, additionne partout les voix libérales et socialistes et ar rive au total demandé i3 sièges gagnés pour les anticléricaux. Exemple On\en Buyl se croit sür de gagner deux sièges dans la province de Namur. i a Namur i a Dinant-Philippeville A Namur, écrit-il, les partis anticléricaux (libéraux, 13.567 socialistes, 14.374) ont réuni, en 1902, contre 36.636 suffrages don nés aux cléricaux, 37.941 voix or, le diviseur électoral était 12.212. Le total des voix anti- cléricales comporte trois fois le diviseur élec toral, done trois siègesLa facilité de la con- quête d'un troisième siège antiministériel saute aux yeux Hum les libéraux feront bien de se mé- fier, car les résultats de Namur, lorsqu'on y regarde de prés, sont loin de marquer un pro- grès anticlérical. Pour juger sérieusement d'une situation électorale, il faut examiner non seulement les chiffres d'une election, comme fait On^en Buylmais chercher a se rendre compte du mouvement politique qu'ils expriment et, dans ce but, les comparer avec les résultats précédents. Or, a Namur, la comparaison des chif fres des deux elections de igooet de 1903 four- nit les constatations suivantes Catholiques Libéraux Socialistes 1900 1902 Gain 1900 1902 Gain 1900 1902 Perte Tandis que les catholiques ont gagné en deux ans 5o65 voix, les partis anticléricaux réunis en ont perdu 48I Voila ce que disent réellement les résultats de Namur. Et voila comment le sieur On\en Buyl ccrit l'histoire Tous ses calculs sont du reste de même force. Les libéraux seront bien avancés s'ils es- comptent des gains chimériques de ce calibre. Mais cela n empêche que nos amis ont pour devoir de travailler a rendre plus illusoires encore les conquêtes de l'opposition. M. Vrambout, ancien vicaire de Handzae. me, est décéde' a Poperinghe, le 17 No- vembre, a lage de 75 ans. Le Journal de Bruxelles publie la note officieuse que que voici La note que nous avons publie'e le 27 Octobre dernier, a propos du projet de retraite de lhonorable ministre de la guerre, a fait l'objet, de la part de certains organes de la presse, de commentaires fantaisistes de* journaux se sont même permis d'imagi- ner de toutes pièces une pre'tendue lettre du Roi au général Cousebant d'Alkemade. En présence de ces inventions, nous ne pensons mieux faire que de publier intégra- lement le texte de lettre royale Cher ministre, Vous m'avez écrit que l'état de votre santé vous oblige de m'offrir votre démission. Cette communication me peine double- ment. Je regrette de vous savoir souffrant et je regrette que vous vouliez quitter le dépar tement de la Guerre. Permettez moi de refuser votre démission et de vous engager a régler votre service de facon a vous permettre de retourner souvent a la campagne. Votre retraite serait trés facheuse elle ne servirait ni l'armée ni le pays. C'est a votre corps défendant et a ma demande pressante que vous avez consenti a vous charger du portefeuille de la guerre. La situation était difficile et certes trés ingrate. Vous l'avez acceptée par devouement vous connaissiez les dispositions que vous alliez rencontrer, vous saviez qu'un certaine nombre de mem bres du Parlement demandaient non seule ment une diminution exagérée du temps de service,mais aussi la reduction du contingent annuel. La réalisation de ces idéés eüt été au point de vue national un désastre. Vous avez con- tribué a l'éviter et ie vous en remercie. Les forces dont'le pays disposerait en cas de mobilisation ont été augmentées et doivent être pourvues d'une bonne artillerie. II faut espérer qui le pays comprendra un jour que son indépendance doit être avant tout assurée par lui-même. Je persiste a croire que le service personnel serait utile a la défense nationale, mais il ne faudrait pas que ce fOt avec une nouvelle réduction du temps de service, car on arriverait vite, s]ins le vouloir, peut-être, a la nation armée, c'est-a- dire a l'abolition de toute armée sérieuse. Je n'ai jamais caché au pays mon opinion sur ce qu'exigent selon moi ses intéréts les plus sacrés mais c'est a la nation a vouloir le nécessaire nos institutions ne nous auto risent pas a le lui imposer. Veuillez, cher ministre, accepter les voeux sincères que je forme pour le rétablissement de votre santé. Je souhaite aussi que vous obteniez le concours patriotique des Chambres pour le déplacement de l'enceinte et l'achèvement des fortifications d'Anvers ces mesures qui vous préoccupent depuis longtemps sont indispensables au développement des instal lations maritimes de notre grande cité commerciale et nécessaires pour en faire le port le plus accessible, le mieux outillé et le mieux défendu du monde. Croyez-moi, cher ministre, Votre trés affectionné LÉOPOLD. 10 octobre 1904. Liste des numéros gagnants de la tombola de l'exposition de chrysanthèmes des 1314 et t5 novembre 1904. 3 12 26 186 700 210 321 701 2l3 21 5 515 703 217 519 708 256 524 272 102 112 280 118 128 145 171 990 1087 1026 1090 800 1029 1114 1115 825 1044 I 131 829 10S4 I I 25 900 1136 912 1057 115o 920 1068 1160 1076 1173 1078 1080 Les prix sont déposés au local de la société a Aux Lions apprivoisés rue du Verger. Nos félicitations bien sincères a M. Van Winsen et aux membres de la commission qui ont organisé une exposition vraiment intéressante. Mgr. l'Evèque de Bruges a nommé Curéè Eerneghem, M. De Meyere, curé a Brie- len. Curé a Brielen, M. Claeys, vicaire a Nieuport. Curé a Saint-Louis (Deerlyk), M. De Backer, vicaire de Notre Dame, a Roulers, en remplace ment de M. Hostens, qui prend sa retraite. YPRES CONCOURS POUR POULAINS ET ÉTALONS DE RACE BELGE. - A. Concours pour poulains prenant deux ans (10 concurrents). i« prime. 200 fr. et mé daille en argent, a Xavier Dick.d'Hooghlede, avec Jupiter; 2e.i5o fr.et médaille en bronze, a Charles Verraes, de Wytschaete, avec Prins; 3e. 75 fr. et médaille en bronze, a Léandre Vandammq, de Wervicq, avec Clos Vougeot. B. Concours pour étalons pré- nant troi's ans (7 concurrents). 1™ prime. 400 fr. et médaille en argent, a Auguste Van- neste, de Langemarck, avec Bristol; 2e. 3oo Ir. et médaille en bronze, a Emile Descamps, a Langemarck, avec Bristol. C. Concours pour étalons de quatre ans et plus (2 concur rents,). ire prime. 55o fr. et médaille en argent, a Verraes, prénommé, avec Coquet; 400 fr. et médaille en bronze, au même, avec Lion beige. D. Primes de conserva tion: de 700 fr. a Camille Clayes, de Ghelu- we pour Cortil; de 1.200 fr. a Alois Bousou, d'Hooghlede, pour Clovis; de 700 fr. a Clayes, pre'cité, pour Ostrogoth; de 700 fr. a Cyrille Descamps, pre'cité, pour Herculede 600 fr. a Verraes, pre'cité, pour Bayard. Reunion de Ghistelles. A. (8 concurrents). ire prime, aux enfants Verraes, de Stalhil- le, avec Primus; 2'. a Francois Vanden Eeckhoudt, d Oudenbourg, avec Fiston; 3e. aux enfants Verraes, précités, avec Gaillard; a Emile Roose, de Steene, avec Carnot; a Vanden Eeckhoudt, précité, avec Cosaque. B. (4 concurrents). ire prime, aux enfants Verraes, précité, avec Chancard. C. (9 concurrents), 1" prime, a Edmond Osaer, de Zevecote, avec Ernest Major; 2=. aux enfants Verraes, précités, avec Piston. D. 700 fr. aux enfants Verraes, précités, pour Brin d or; 700 fr. a Vanden Eeckhoudt, précité, pour Gaillard; 5oo fr. au même, pour Lion Noir; 1.200 fr. a Oscar, précité, pour Patricien600 fr. au même, pour Fleuron de mai, Une chute. Un aide-macon, M. Alphon se Doolaeghe, travaillant a la maison en construction de M. le juge Veys, au boule vard Malou, est tombé vendredi vers trois heures, dune hauteur de i5 mètres, du se cond étage dans la cave. Aussitot relevé, il recut les premiers soins du docteur Deroo. II a quelques contusions aux jambes et sur le corps, mais son état n'est pas grave. Le blessé en sera quitte avec quelques jours de repos. Cercle symphonique. La soirée intime que le Cercle Symphonique a offerte jeudi soir, en son local, hotel Saint-Sébastien, a ses nombreux amis et invités, a amplemeut satisfait toute l'assistance. Le programme comprenait différents numéros impeccable- ment exécutés par le Cercle Symphonique, des romances chantées par des artistes fort appréciés, un trio pour flute, violoncelle et piano, bien goüte, et des chansonnettes qui ont déridé les plus sévères. Des félicitations reviennent aux organisateurs et aux artis tes. Retour d'dge. Les Dames qui se puri- fient de temps en temps en corps avec la Pilule purgative Walihe'ry, conservent appé- tit, teint frais, vigueur et santé parfaite. Les sue es en paqueis de la Raffinerie Ti'lemornoise som les meilleurs En vente etirz tous les épieirrs Rhumatisés Mo toussez plus. Je garantis l.t güérisuti du rbume et de la toux Ia plus opuiatre eu deux juurs au moyen du Sirop Dit ratere au goudroo déeoloré et au bautne de l'uluC'est le pectoral le plus prompt, le "lus sür et Ie plus agréable qui existe. C'est U'i remède incomparable, mais faites bien at.ention, demandez et exigez toujours le véritable Sirop Depratere. Prix: 2 fr. la houtei 11e. Lt iraitetnent revient 0.10 centimes par jour. En verite i» Vpres, pbannacie Socquet, Liboite, Donck et Aertssens; Poperinghe. pbarm Monteyne; Comines, Van Windekens; Alrnut. Stoen ut Rotieis; Warneton, Vauder Marlière; Cour- trai, Hulpiau et De Boey; Roulers, Veys; Dixmude, Ghyssaert; Isegbem (Grand'place)', Rodenbach. D VZ1 Sciatique, Rhumatismes, Névralgies M. Joseph Dezantoine, qui habite place du Pont Brogniez, a Haine St-Paul, d'après les symptómes qu'il éprouvait avait da l'anémie, da la débilité nerveu e et du rhumatisme las pilu les Pink l'ont parfaitameut rétabli. Mon mal débuta, écrit-il, par des frissons, de la courbature, ac- compagnés par des mouvements fébriles. Puis, je ressentisdela rai- deur dans mes articulations, qui étaient devenuas le siège de vives douleurs Indépen- idamment de cela, mon état général M. Dezantoine. n'était pas bon je n'avais pas d'appéiit et digérais avec difflcul- ló. J'étais trés affaibli et je ne dormais presque pas. Des tintementss dans les oreilles et des éblouissements trés violents m'empêcbaient par- f'ois d-> marcher.Enfln, j'ai eu des névralgies trés douloureuses. Pour tous ces maux on m'a soignó j'ai même fait un séjour a l'bópital a Anvors mais il sem- blait que les ineillours traitemönts n'avaient pas d'action sur moi. Devant ces insuccês, j'ai woulu prendre les pilulles Pink, dont j'enteridais dire beaucoup de bien par les journaux et autour de moi. Ces pilules ont eu ure action admirable. Blies m ont trés rapidement guéri et ceite cure a fait l'admiration de toutes les personnes qui me connaisseut. Main enant, pourquff les pilules Pink guéris- sent elles les bornmes et les f'emmes atteints de rhumaüsmes, de sciatique, de névralgies, et même d'ataxie locomotrice La réponse est sim ple.Les pilules Pink donnent du s,ang,le nouveau sang, D sang pur, chasse au dehors les impu- retés néjastes du système et donnent la santé. II n'y a qu'un sang ricbe et 1 urqui puisse faire cela et il n'y a pas un médioament qui puisse vous rf®9

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1904 | | pagina 2