Dans la Chambre
du iVlaiade
Les Névralgies
do Boulanger
J. FIERS-LOU WYOK
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Ie tosssez pihs-empiotez
Chronique religieuse
Com i nes
Bibliographic
LE THERMOGENE
Fa its divers
Les Pil; les f ink.
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JiSTItLES BE g»T1H9
ASTILLES BE KEATIEO
A3TILLES BE KEATUJ8
Consolations et Consciis
Oélassements et Souvenirs.
Ij-p J l-p ,y j i 1 éf S V» 5 3 sLtÊi
O
Le remfe !e tanf attendu
F OISS ONIS ER E
YPRES
Poissons fins et ordinaires
Huitres lre quaiité
revettes de iilankenberghe,
restera dans Ie souvenir de vos premiers
Pasteurs comme l'une des plus douces con
solations qui puissent leur être accordées.
En même temps, croyez en la parole de
l'Esprit-Saintce que vous avez fait pour
l'honneur de votre mère vous sera rendu par
elle sous forme de graces et de faveurs
célestes: Car c estthésauriser que d'honorer
sa mère.
Empruntant la parole de Saint Paul,
nous vous exhortons a faire plus encore
Rogamus vos... ut abundetis magis.
Oui, puisse le respect et la vénération
pour les grandeurs de Marie, la conliance
en son pouvoir, la reconnaissance pour ses
bontés, prendre sans cesse en vos ames de
nouveaux accroissements Seion la réfle-
xion de saint Bernard, quand il s'agit d ai
mer et de louer la Sainte Vierge,l'excès n'est
jamais possible. Qui pourra jamais com-
prendre, en effet, qui pourra égaler par ses
hommages la dignité d'une creature,appelée
a contracter une union si intime avec les
personnes divines, et associée si étroitement
au mystère de la Redemption que la nnséri-
cordeetla puissance de Dieu semblent ne
pouvoir s'exercer que par elle et avec sa
cooperation Ces fonctions sublimes font
de Marie un être a part qu'il n'est pas per
mis de confondre avec le reste des créatu-
res. Elle appartient a la race humaine,
puisqu'elle est rille d'Adam, mais sa mission
incomparable l'élève bien au-dessus de la
commune humanité.
Créée pour de si hautes destinées, la
Bienheureuse Vierge a étó enrichie des
dons les plus excellents elle les a recus
dans un coeur si fécond, sa fidélité a y cor-
respondre a été si constante, qu'elle s'est
établie dans un degró de sainteté qui la
place la première des pures créatures dans
1 ordre surnaturel de la grace et du mérite.
Bien d'étonnant si, pour marquer la préé-
mmence de cette créature unique, l'Eglise
voue a Marie un culte, appelé d un nom
particulier, qui demeure sans doute a une
distance inünie de l'adoration réservée a
Dieu seul, mais qui s'élève bien audessus des
honneurs que nous rendons aux anges et
aux bienheureux.
Sur l'ordrede Sa Sainteté Pie X, la Viile
Eternelle se prépare a un grandiose couron-
nement des solennités du Jubilé:le 8 dé-
cembre prochain verra une de ces fêtes des
ames dont seule la Capitale du monde ca-
tholique peut offrir le spectacle.
Tous, nous nous unirons de cceur et
d'esprit a cette glorification de la Bienheu
reuse Vierge, Reine du Ciel et de la terre.et
dans cette communauté de voeux et de
prières éclatera la preuve des liens qui nous
rattachent au centre de l'unité, a l'Eglise.
Notre désir va plus loin. N. T. C. F.
nous voudrions rendre durables les fruits
de ces jours si glorieux pour Marie, si
salutaires pour les ames nous voudrions en
perpétuer le souvenir et la bienl'aisante
influence dans un acte collectif, dans une
application nationale, suprème expression
de la reconnaissance et de l'amour des
Beiges, gage de la continuation des faveurs
que les mains maternelles de Marie out
répandues sur notre patrie.
A eet effet, nous avons lésolu de consa-
crer ia Belgique a la Vierge immaculée, et
nous avons lixé cette cérémonie au jour
mille fois béni du cinquantième anniversaire
de la promulgation du dogme si cher a notre
piété.
Nous l'espérons fermement, ce témoi-
gnage d'unanime et publique vénération
touchera le coeur de notre Mère du Ciel.
Elle ne sauia rester insensible aux mille
voix de ses serviteurs et de ses enfants, qui
prosternés aux pieds des autels, publieront
ses grandeurs, ses gloires, ses privileges,
son crédit et réclameront pour eux, pour
leurs families, pour leur pays, pour leurs
princes, la protection de son bras tout puis
sant et les effets de sa bonté. Abaissant sur
nous tous ses regards miséricordieux, Marie
agréera nos hommages et accueülera nos
supplications plus que jamais, elle sera
notre asile dans le danger, notre defense
dans le combat, notre consolatrice dans l'é-
preuve, et elle compatira avec un immense
amour a toutes nos nécessités, soit de l ame,
soit du corps, pour le temps et pour Béter
nité.
A ces causes, nous statuons ce qui suit
1° La présente Lettre pastorale sera lue
en chaire dans les églises, chapeiles publi-
ques, communautés religieuses et colléges,
le dimanche 4 décembre.
2° L'acte de consecration de la Belgique a
la Vierge Immaculée, joint a la Lettre pas
torale, sera lu, a la cérémonie principale,
le 8 décembre, et, a toutes les messes, le
dimanche 11 décembre.
Donné en la fête de la Presentation de
Notre-Dame, le 21 novembre 1904.
f PIERRE LAMBERT, card. GOOS-
SENS, archevêque de Malines
t ANTOINE, évêque de GANI)
tGUSTAVE-JOSEPH, évêque de Bru
ges
t CHARLES-GUST AVE, évêque de Tour-
nai
t T HOMAS-LOUIS, évêque de Namur
f MARTIN HUBERT, évêque de Liège.
Eglise de Saint Martin
Confrérie de N. D. de Lourdes et apostolat
de la prière pour la conversion des pécheurs.
Jeudi 8 Décembre, fête de ITmmaculée
Conception de la Ste Vierge et 5oms anniver
saire de la proclamation du dogme de Tim
maculée Conception.
Indulgence plénière.
Messe solennelle a 8 h. a l'intention des
associés.
A Comines (Belg.) le fête do la Sainte-
Cócile a été célébrée Lundi dernier avec un
entrain inaccoutumé parl'Harmonie l'Union
Musicale.
Celle-ci, accompagnée des Membres de la
Commission, s'est rendue a la Messe de dix
heures en l'Eglise Saint-Chrysole, chantée
spécialement a l'intention des membres
défunts. Elle y a exécuté plusieurs mor-
ceaux choisis de son répertoire.
La Messe Unie, les Musiciens ont regagné
leur local «A l'Union». Une manifestation
de sympathie y avait été préparée en l'hon
neur des Membres protecteurs. Mr Louis
Dumortier, Secrétaire, en termes excellents,
leur a exprimé toute la reconnaissance des
musiciens. Une magnifique gerbe de fleurs a
été ensuite offerte aux membres de la Com
mission, puis un tout jeune élève musicien
s'est fait, en termes touchants, Binterprète
de ses camarades.
L'après midi, la plus cordiale confrater-
nité n'a cessé de régner au cours du Ban-
quetentre tous les membres, tant protecteurs
que musiciens. Au Champagne, Monsieur
Paul Ferrarit a répondu, de fagon trés heu-
reuse, au nom des Membres de la Commis
sion, aux discours prononcés le matin.
Un concert fort animé avec le bienveil-
lant concours de M. M. Florent Becquart,
pianiste, Léon Gailoo, comique, et de plu
sieurs musiciens a cloture la Soirée.
Mardi après-diner, l'Union musicale a
fait une joyeuse sortie dans les rues de
Belgique et de France et a terminé sa fête
par un souper.
VIENT DE PA RA 1TRE
par le Chanoine DECORNE,
DOYEN HONORAIRE
avec une Préface de Mgr. BAUNARD,
Recteur de l'Université Catholique de Lille.
ouvrage illustré, in-8° écu de XIIqGo pages
sur beau papier
PRIX francs.
o—
Voici en quels termes l'ouvrage est apprécié
par Monsieur le Chanoine Lobbedey, vicaire
général de Cambrai
Monsieur le Chanoine,
Je viens de lire votre excellent livre et vous
envoie trés volontiers 1 'Imprimatur. Mon
seigneur l'Archevêque vous adresse ses plus
cordiales felicitations.
A la lecture si attrayante, si instructive et
si consolante de eet ouvrage, le malade corn-
prendra mieux que la maladie est une des
plus grandes mise'ricordes de Dieu, paree I
qu'elle est une oeuvre de remission ou d'ex-
piation, et une ceuvre d education chrétienne,
La maladie abat l'orgueil de la santé, lor-
gueil de l'esprit, l'orgueil de la beauté, et
ainsi nous rapproche de Dieu, en nous
détachant des biens éphémères et en nous
montrant le bien réel et immortel.
Quand la maladie nous visite, nous lui
devons la resignation et la joie. Elle nous
dépouille du vieil hom me et nous revêt de
Jésus-Christ, le patient par excellence.
Mais nos proches, nos parents, nos amis,
nos serviteurs, par leurs soins, leurs cons-.-tls,
leurs avertissements, peuvent beaucöup pour
obtenir ces résultats. En combien de: cus la
maladie n'est-elle pas la messagère de notre
mort? Dés lors comment ne pas la rendre
fructueuse avant de paraftre au Tribunal
suprème
Chaque page de votre livre, Monsieur le
Chanoine, porte vers Dieu. Lequeï de vos
lecteurs ne se sentira poussé a visiter, a en-
courager, a éclairer le malade en qui vit
Jésus-Chr<st: Infirmus. eram et visitastis me.
Cette these si évangélique,vous i'avez déve-
loppée avec autant de süreté dans la doctrine
que d elégance dans la forme, et votre long
ministère pastoral vous a permis d'entrer
dans le vif de la question et de donner des
avis trés autorisés. Une fois de plus, grace
a votre beau travail, nous voyons Taction
surnaturellement bienfaisante et éminem-
ment sociale de l'Eglise a travers les généra-
tions.
Veuillez recevoir, Monsieur le Chanoine,
la nouvelle expression de mon affectueux
respect.
Em. LOBBEDEY,
vic. gén.
L'ouvrage est en rente a la librairie
Callewaert, 36, rue au Beurre, Ypres.
i Geldhof' Desideer 57 j. z b echtgt. Deman
Maria L. Thouroutstraat.
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van den 25 Nov. tot den 2 Dec. 1904
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Les maux de tête, les vertiges, la migrai
ne et les mauvaises digestions sont guéris en
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opinüire en deux jours au m >yen du Sinop
1» ti ratere au goudroa décoloré et au baume
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M. Hi-iiri Viaemynek, hgè da 4 ans.boulaagor
bien connu a Vpre», -loo.-nwark, a eu Tinfluen-
za. foul lp monde mii que i'mfluooza ne vous
quitte pas sans vous ia-ss r un souvmir de son
pass.ge, Dj uk le eas qui nou-occ pe lo souvenir
■fait our Si v la unyuk d'iotolérsbles névral
gies aceoropagnsnt un éUt général de santé plu
lót dóplo:ati!e. Monsieur Vlaemynk en effet
était re - té li faiiüle et i 1 pui na it beaucoup a son
tra. ad Son eslomac était complótement dóbilité
i! avail s ïuvént la migraine, i! ne dormaitjamais
bien'.Ses amis voyaiu. t bien qu'il «filait un mau-
vaiscoton» eoinme on dit et l'exhortaient a se
soigner.—Ju ne i'ais que cela répondait ie bou-
langer, mais il est a croire que la maladie est
plus forte que les remèdos, car malgré tout je
n'obtiens pas d'arnélioratioi). Des amis lui con-
seillèrent d'essayer les pilules Tink. Les guéri-
sonsobtenues grace aux pilules Pink cornmen-
cent être ii i.ombreuscs que la plupar t des
gens connaissent quelqu'un qui a étó guóri ou
dont on leur a signal» la guér ison, si bien que
lorsqu'on se Irouvo a causer a un malade on lui
dit: Avez-vous eseayé les pilules Pink. Cette
propaganda par le public est la consecration de
la valour des pilules Pink. T,uj uii s est il que
M. Vlaemynk, qui depuis plustéurs mois était
torture par les névralgies,écouta le sage conseil
qui lui était donné et qu'il n'eut p::s s'en repen-
tir.« J'aile plaisir de vous informer, éorit-il, que
les pilules Pink m'ont comolètemant débarrassé
de névralgies rebelles et douloureuses et que de
plus ellcs ont rétabü mes forces et ma santé
cruellement éprouvès a la suite de l'influenza.»
Remarquez qua les pilules Pink n'agissent pas
sur les symptömes, mais qu'elles vonL a la racine
du mal. Elle rógénèrent Ie saug, la renouvelient
et ie fortiflent. Ellss sont le médicament le plus
puissant, le plus énergique, sans cela comment
pourraient-elles guérir et revivifier des organis
mes que des maladies aussi déprimantes que
l'influenza ont anéantis. Les pilules Pink sont
souveraines contra anemie, chlorose, la neuras
thenie, la faiblesse générale, les maux d'esto-
mac,rhumatismes, débilité ner^euse, migraines,
névralgies, sciatique. On les trouvo dans toutes
les pharmacies et au dépot phie Dernoville, 65.
Boulevard de Waterloo, Iruxelles, 3,50 la boiie
17,50 les 6 boites franco.
Dépots a Ypres, pharmaeie Libotte a Pope
ringhe, pharmacie Monteyne.
II n'y u absolument aucun
remède acjissant aussi promp-
tement et aussi complétement.
Une seule pastille donne du
soulaejement; elles peuvent être
prises par les personnel lei
plus délicates.
Si la toux vous empêehe
de dormir, une seule pastille
Keating vous remettra. Tout
médecin vous dira qu'elles sont
absolument uniques.
Le public est prié de faire attention aux mots
Keating s Cough I,ozenges, irnprimés par Ie
gouvernement britannique sur le cachet rouge et
sans lesquels aucune boite n'est véritable.
Le propriélaireThomas Keating, chimiste i
Londres.
Vendues partout en boïtes en fer
blanc fr. 1.40 et fr. 3.50 dans toute»
les bonnes pharmacies.
rue Longue du Marais, n° 20,
un bon ouvrier tonnelier, sachant bien faire
la rondelle, S'adresser chez D. Mouret,tonne
lier a Ploegsteert.
