»l¥ON Hol lande Allemagne Cbronique religicuse Actes officials Fails divers Une Catastrophe sur ia Ligne du Nord O n'-P^POin Pilules Pink Aux ïn: es CS'cerlandaiscs ombat ntre Hollanilais et Indigenes I prince ise ouise k Dr: sde Los victiracs Ménagères n'aciieiez que les sucivs piquets de la Ehffinnarie Tirleraonioisa. en iJRGERSTAND VAN YPER f 110 Les Hecherches l-ANS RIVAL POUR LE MÉNAGE t/accident Le rapide 320, partant de Lille a 7 heures 3o, a été tamponné a 10 heures 45, a la gare La Chapelle, par le rapide de Calais n° 20210. Guéris >n d'unc jcutie (il do 17 ans Rotterdam, 22 décembre. Nieuwe Rotterdamsche Courant appread de Batavia que tous les princes de Dongola, a l'exeep- tion de deux. qui se sont refuses a se rendre auprès de gouverneur, out conclu un traité de pais aveo le gouvernement. Cornuie on cberchait a soumet 10 les deux princes rebelles, ceux-ci se réfugièrent avec avec leur suite a Amok. Ii y eut, pres de cette localité, un combat oii succombèrent 43 hommes de troupes indigenes. Trois Hollandais furent tués. Une division de troupes campe a Don gola. Dresde, 22 de'cembre. II y a juste deux ans, après sa fuite, la princesse de Toscane est revenue a Dresde, poussée par la de'sir de voir ses enfants. Hier, le préfet de police avait recu un rap port l'informant que l'ex princesse royale était en route pour Dresde. II ordonna de surveiller les différentes gares. Ce matin, a huit heures et demie, la prin cesse arriva a la gare centrale avec son avocat, Mr Zelme. Sansêtre reconnue paries agents de police, elle se rendit dans un hotel voisin du chateau royal,oü elle prit un appartement au second étage. Vers neuf heures, la nouvelle se répandit en ville, et causa une vive sensation. Cependant, la princesse essayait vainement de pénétrer auprès de ses enfants. Un com- missaire de police lui barra la route devant la porte du palais de Taschenberg. La prin cesse protesta et demanda a voir le Roi. On lui répondit que le Roi chassait aux environs de Pillnitz. Des attroupements .commencèrent a se former. La princesse aussitot reconnue, fut l'objet de manifestations de sympathie. Elle rentra a son hotel. Le gouvernement téléphona au Roi, a Pillnitz. La réponse fut que la prin cesse devait quitter Dresde; au besoin, la police devait la reconduire a la frontière saxonne. Le préfet de police, accompagué du général de Criegern, informa la princesse de cette decision. Elle protesta a nouveau, invoquant son droit de mère l'autorisant, même coupable, a voir ses enfants, et elle a remis au préfet une lcttre pour le roi Fréderic-Auguste. La prin cesse déclara qu'elle partirait a 4 heures pour Leipzig. De nombreux gendarmes et des agents de police entourèrent 1 hotel de Belle- Vue et empêchèrent n importe qui de se rendre auprès de l'ex-princesse. Une foule considérable se massa sur la place de l'Opéra et se livra a des manifesta tions bruyantes en faveur de l'ex-princesse royale. Le beau temps et la foire de Noël furent la cause que le nombre des curieux augmenta rapidement.et lorsque les éditions spéciales des journaux annoncèrent la prin cesse plus contenir la foule Le préfet de police invita la princesse a hater son départ, lui enjoignant de prendre le train-omnibus partant deux heures ct demi plus tot que l'cxpress.Un landau décou- vert eut de la peine a se frayer un passage. Pour éviter de nouvelles manifestations, la voiture se dirigea vers la gare de la rive droite oü, néanmoins, le public envahit les quais Le préfet de police resta avec ses agents jus- qu'au départ du train. On assure que la princesse s'adressera aux tribunaux, afin d'obtenir le droit de voir ses enfants. L'c-xpulsion de la princesse a produit une profonde impression. Sauf les Dresdener Nachrichten, organe conservateur.qui blame la princesse, la presse saxonne s'abstient de commentaires. Leipzig, 22 décembre. La comtesse de Montignoso est arrivée de Dresde un peu avant 6 heures du soir. Elle s'est rendue en ville, accompagnée parl'avocat Zéline. les agents et les gendarmes ne purent En l'église du Séminaire Mgr l'évêque de Bruges a ordonné Samedi dernier 17 prêtres, 25 diacres, 23 sous diacres. 37 séminaristes et 2 PP. Bénédictins ont re$u la tonsure, Prêtres MM. Barbe Norbert, ilenin vait avec un notable retard, paree qu il setait Bondue Henri. Warneton Bottelier Henrj., arrété a un signal La locomotive du train de Ouckcue Carbonez Jules, Clercken De j Galais tamponna le fourgondu train de Lille, Gryse Gustave, Roulers Deibaere Joseph, qui entra dans le couloir du wagon de deu- Poperinghe Deleu Alberic, Menin Fon- xièrne classe le précédant. Fourgon et wagon taine Auguste, Ostende Laga Gustave, ont été réduits en miettes. Eerneghem Lammens Maurice, Bruges La locomotive du train tamponneur est Maréchal Charles, Bruges Moulaert Etien- restée debout, trés avancée au milieu des ne, Ypres Mullie Paul, CourtraiOpsom- mer Julien, St Jean-les-Ypres Callewaert Henri, Thourout Lambrecht Médard, Wielsbeke et Verhamme Edmond, St Louis, (Deerlijk). Diacres MM. Blanckaert Abel, Pope- ringhe Bondue Charles, Warneton Coene j Alphonse, Crombeke Daveioose Arthur, Beernem Declercq Achille, Marcke Des- quiens Achille, Warneton Dobbels Joseph, Thielt Masschelein Jules, Becciaere Meuleman Arsène, St Croix Molhant Xavier, Jupille LiègeSchérpereel Clé ment, Dudzeele; Van Houtryve Stanislas- Bruges. Quatre Frères Mineurs Capucins et neuf Pères de la Congregation des, SS. Coeurs (Picpus)jj Sous-diacres MM. De Witte Frans, Bru ges Bostyn Joseph, Gheluwe Bostyn Ro bert, Gheluwe Dumortier Arthur, Moor- seele Faict Henri, Slype Lesy Félix, Bruges Mattheeuws Achille, St Georges-les Bruges Pollie Richard, Menin Rouseré Richard, Westoutre Van den Broucke Joseph, Vllssingen Vanneste Gabriel, Rou lers Verhamme Firmin, Iseghem et Ver vaeke Maurice, Cortemarck. 9 Capucins et 1 Père de la Congrégation des SS. Cceurs. Un arrété royal du 22 novembre annule les délibérations du conseil communal de débris. Une panique épouventable se produisit. Les voyageurs durent rester a L.a Chapelle sans secours, jusqu'a onze heures. D'après les premiers rénseigncments qui nous perviennent, il y aurait quatre 11101 ts et de nombreux blessés douze, crcit-on. Les morts sont resiés exposés sur les quais de ia gare de La Chapelle. Les blessés ont été ramenés de La Chapelle a Paris, dans un wagon restaurant, a minuit et demi. Le bruit de l'accident s'est rapidement ré- pandu dans la ville et la foule s'est portee en masse vers la gare. Paris, 23 décembre, D'après les ren- seignements que nous recevons du lieu même de la catastrophe, on nous assure que c'est a 10 heures 45 et non a 10 heures 3o que celle-ci s'est produite. La machine du train de Boulogne aurait heurté avec une extreme violence, un four gon de queue du train de Lille. Le fourgon a pénétré dans le wagon a couloirs de deuxiè- me classe qui le précédait. Fourgon et wagon sont réduits en miettes. La locomotive de Boulogne, trés avarie'e, est debout au milieu des débrits. Une effroyable panique se décharna. Les j voyageurs s'enfuirent éperdus dans le brouil- j lard intense, se heurtant les uns les autres, f s'empétrant dans les rails c-t les aiguilles, j Des agents du train et des personnes accou- l rues au bruit effroyable de la collision, éxécu- j UNE MERVE1LLE. Pourquot voulojr tous^et quamije garautis publiqueuieiit, <jUj le-Snup Uepraieie au guudron décoloré et af lU.edeTolu, guérit le rhume le plUs t ii.-Fttre en "2 jours.C'esi le pectoral le piUs prompt, le plus sur et le plus agtëable. L lArop Oepiatere étnei veille tous ceux qui 11 totil usage. Prix 2 tr. la bouteille |e 1 Ate ii- utrevient it 10 par jour. En rente b Ypres, ptiannacie SucquotTe. rèi' Liöoiu', Aertsselis et Uonk Rouicrs pharmacie Véys; D-xmu to. pharrnacie Ghyalj s ri Coutirai, p i-umacie Da Boey et hui- piau Pupei iughe, ptrai ai c e Mouteyaè Comities, piiMi'macie Van Windekens; Meom p :aniti:c:e S■',-!-!) r U iIsegiK,-n (GrapH Place),pbarin. Uoueriüach; War- eton.pbam V..tide;: Marliè e. Monsieur, vos remèdes sont excellents aussi, je vous prie de m envoyer contre rem- boursement 10 boites de Pastilles Walthéry contre la toux et les maux de gorge, et i5 boites des Pilules purgatives Walthéry. Merci d'avance. Flore GAUTIER,cantatrice, a Lyon. La constipation et les inflammations d'in- testints sont de suite guéries par la Pilule purgative du Dr Walthéry. B...., en date du 14 juilletet 14 octobre 1904. tèrent les premières recherches. Tout SUi Cette décision est motivée comme suit Vu la déliberation du 14 juillet 1904, entree le 20 aoüt au commissariat de l'ar- rondissement d'Ypres, par laquellé le conseil communal de B... a infligé une réprimande a M. H... instituteur en chef. Vul'arrêtédu 16 septembre suivant, de M. le gouverneur de Ia Flandre occidentale, suspendant l'exécution de cette délibération ainsi que la décision du même jour de la députation permanante, maintenapt la sus pension prononcée. Vu la délibération, en date du 14 octobre écoulé, par laquelle le conseil communal, après avoir recu communication des motifs lugubres découvertes de cette suspension, a voté le maintien de sa résolution du 14 juillet dernier. Attendu que la loi du 20 septembre 1884 et i5 septembre 1895 (art. 10) determine limita- tivement les peines disciplinaires qui peu- vent être appliquées aux membres du per- j sonnel enseignant des e'coles primaires j communales que la réprimande ne figurant j pas parmi ces peines, le conseil communal j de B...est sorti de ses attributions en pr.enaüt les délibérations précitées. 011 trouva trois morts et sept blessés. Parmi les morts, il y avait une femme et j un officier de marine décoré. Parmi van den 16 tot dan 23 Di omber 1901 Geboorten Jonekheore Maria, Pattoelstraat. Grimmonprez Bertha. Moenensleenweg. Iweins d'Eeckhoutto naurits, Meenonslraat. Dethoor Hendrik, Hondstraat. Sterfgevallen Debergh Honoraat, 39 j. winkelknecht, onge- de huwd, Mcenonstraat. - Ghillebaert Sophia, 53 j. j kloosterlinge, ongehuwd, G. de Stuersstraat. schier Robrecht, 6 maanden Zonnebeke steen-, weg. Louwaege Hector, 27 j. bakkersgast, I 0 gehuwd, niekebusca steenweg. Mortreu les blessés un maréchal des logis d'artillerie du j Jóanna, 2 maanden, Rijselstraat. l5" régiment. Dans le wagon, un cavalier 1 maand, Kortrijkstraat. du 22e dragons, hurlait, les jambes prises et J a demi coupées dans les banquettes. Les morts sont horribles a voir. I Is ont la figure éerusée, la langue pendan- te, les chairs noircies. On les a couches sur la voie. Beaucoup de j ceux qui out été moins grièvement blessés, j i ont pu gagner ia gare du Nord, mais ils s'en I j fate, croit-on, que l'on soit au bout des Devos Maria, "S On est convaincu, pour ne pas dire certain qu ii y a encore des morts et des blessés sous les débris des wagons. On dit même qu a l'heure actuelle, on évaluerait le nombre des morts a huit, peut- être dix, et celui des blesses a trente. ar des verli- nts dans les Le rapide de Lille tamponnépar le rapide de Calais en gare de Paris-La Chapelle. tiorts ei Glosses Paris, vendredi, 23 de'cembre. Une catastrophe vient de se produire a la gare de La Chapelle, gare de marchaudises et de ceinture de la gare du Nord. Le rapide de L.ille a été tamponné par le rapide de Calais Aux premières- nouvelles, on assure qu'il y a plusieurs morts et de nombreux blessés. Le train de Lille avancait lentement it cause du brouillard. Le train de Calais arri- Paris, 24 décembre, 2 heures 3o matin. Le nombre des morts serait exactement de six. A l'heure actuelle, les recherches conti nuant. Sous les décombres, ont entend distinc- tement la voi d'un 'blessé qui paralt avoir conserve toute sa presence d'esprit et qui dirige les investigations des pompiers. La scène est lugubre. Les falots s agitent dans le brouillard dont ils parviennent a peine a fouiller l'épaisseur. Des agents, les pompiers, les journalistes vont et viennent a travers les voies, trébu- chent dans les fils glissent sur le verglas. De temps it autre, un train passe et oblige les personnes présentes it se garer. L.es morts sont étendus sur la voie de chaque cöté des voitures d'oü on les a retiré au milieu des banquettes et des débris de toutes sortes. O11 les a recouvert. Nous pouvons apercevoir les traits de l'un d'entr'eux, c'est un homme de 3o a 40 ans. avec une moustache rousse, il a deux trous béants au front, la figure est écrasé mais non méconnaissable. Une jeune homme est la trés entouré, c'est un des voyageurs échappés it la catastrophe il cherche sonbeau frère.qui reste,croit-il,sous les décombres. II nous donne son nom, c'est M. Breguet, de Douai. A deux heures ct demie, les recherches coiitinuent toujours elles dureront toute la nuit. u Mile Kesteloot. 2 iU ij ij 5» \3 i tJ 1 ,- S a malade vout essayer Mile Maximilienne Kesteloot, ci'Ostende, 14 rue des Sceurs-Blanches,a. en effet, dix-sept ans. i'c-puis8 ou 9raois, ello trainait 1'existence la j plus malheureuse qu'une jeune flile puisse re- j d ou tér. Ma malndie dóbuta, écrit-eli ges constants, d s bourdonn. j oreilles, et un grand abat- tement au moindre travail. Depris quelque temps déjè., a jr. marig ais mollis bim et digórais fort mal, mes te- pas me restaient longtemps sur 1' stomac. Je vous di rais aussi, qu 'il fallait bien peu de chose, tellemont j'ót iis faible pour me met- tre hors d'halcine et me donner des points de cöté. I s'jfflsait pour cela que je Kiarcbe nu peu ite par exemple, ou que je mon- t les marches d'un esealier. J'étais devenue tiès 1 ale, mes yeux s'enfonqaient, mes joues se creusaient. Bien souvent l'après-midi, j'avais la tête meurtrie par d'actroces migraines. Des que je me trouva is au grand air, j'avais des éblouis- sements. Enfln, mes nuits etaient bien longues, car je les passais bien souvent sans sommeil J'étais trè- afïaiblie, je maigrissais, je'm'ané- miais tous les jours un peu plus. Tous los médi- caments qui me luren! ordonrtés échouèrent et je perdis tout espoir de guérison. Cependant, comme une de mes cousines avait été guérie par les pilules Piuk, je vouius essayer ces pilu les vee l'espoir qu'ayant guéri ma cousine, elles me guériraient peut-être aussi. J'ai done com- niencéa prendr Hes pilules Bink. Dès les premiers jours, toon appéiit revint, j'avais fairn, jo man- geaisavee plaisir et ma nourriture me profltait eert,inemoni,car jo me santais devenir plus forte. Mes douleurs d'estomac disparurent. Tous u.es malaises s'atténuèrent en continuant le trait ment des pilules Pink. En 15 jours, j'avais change d'une facon surprenante.En peu do temps j'étais forte, j'avais de bonnes couleurs ct je me porlais a merveille.» l.a raaladie dont souffrait Mllo Kesteloot est une ftialadio dontsouffrent huit j :unos fllles sur dix. C'est l'anómie, la chloro-anémie, ou encore comme on l'appelle d'ane faqon plus frappante, l'anómie de dóveloppement. C'est une usure j prómaturée duo a ce fait que Ia croissanee, la 1 formation ne se sont pas eiïectuées dans les Wr

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1904 | | pagina 2