Neurasthenie
I?
LTn coup de elairon
La Dentelle Beige
Dans l'armée
L'inauguration de la plaque
commemorative
Faits divers
Le Correspondant consaere une
elude doeumentée a la fabric -.tien de
la dentelle. Nous en délachons eet ex-
trait:
La Belgique est de venue la ma
nufacture de dentelles du monde en
tier: on les y iait toutes et de tous
pays. Les valeuciennes, qui se vendent
en France et jusqu'en Norman lie., se
fabriquent en par tie dans la Fiaudre-
orientale; ia dentelle de Lille, le point
de Paris ne se fout guère plus que par
des mains beiges; le principal centre
de fabrication de Cbantiily est a
Grammont; la broderie sur tul'e de
Luueville s'exécute principaiemant a
Lierre; il n'est pas jusqu'au point de
Venise que les ouvrières d'Alost et de
Wetteren ne fasseut pour certains ma-
gasins de luxe de la place S'-Marc; on
cite même comme exécutëes en Bel
gique les guipures de Venise qu'en
1894 une des priucipales maisons ita-
liennes exposait a Chicago. Et Pon
fabrique encore, chez nos voisius, et
a des prix médiocres, le point de Mi
lan, la dentelle au lacet de Luxeuil,
les guipures du Puy, etc. La Belgique
faif une concurrencein distincte a tous
les centres de fabrication pour la con-
centrer chez soi.
La raison de la faveur des den-
telles beiges doit être cherchéa dans
leur bon marché.
En Belgique, le facteur de dentel
les est généialement uu petit bouti-
quier, ou encore une ancieune
ouvrière qui, ayant été elle-même
longtemps exploitée, exploitera a son
tour, et avee toute 1'apreté pays^nne,
ses anciennes compagnes de misère.
Et comme li sufïit, pour s improviser
facteur, d'un trés petit capital, le nom-
bre de ces intermédiaires se multiplie,
et l'on volt ainsi des colporteurs, des
marchands de journaux et jusqu'a de
simples paysans, acquérir a vil prix
les dentelles faites par les villageoises,
pour les céder a d'autres marchands
ou les re vend re dans les villes d'eaux
pendant la saison.
La fonclion du facleur est simple.
11 recoit les instructions du fabricant
et se borne a repartir le travail entre
ses ouvrières et a établir, presque
toujours de soa seul gie', ie prix qui 1
leur sera, alloué; il ne surveiile pas la
fabrication. L'ouvrage achevé, il le
mesure ei paye comptant II paye
comptant, mais pas toujours au prix
convenu: qu'il se tiouve un défaut,
quelque maifajon, inappreciable pour
1 acheteur, que le travail ne soit pas
livré a temps, il réd ui ra iesalaire, et
souvent dans des proportiono malhon-
nêtes.
II paie comptaut, mais souvent pas
en argent; ce facteur es!, en effut,
commercant, épicier, drapier, rnar-
chand de nouveautés, et il forcera ses
ouvrières, a se fournirchez lui et a
échaDger leur travail contre des mar-
chaudises; c'est le truk-sysle m le
système du troc, la mode leplus revol
tant de l'exploitation du faible. Les
enquêtes oüicielles signalent des faits
1 -mentables. Le prncóié le plus or
dinaire est, pour c-"S Facteurs, de se
faire acheter par leurs ouv iè es des
objets d'une valeur plus gra td<; que
celie de la dentelle qu'ils «u aifvd a
payer; en un mot, ils Es endcltent ie
force et les ont ainsi a leur merci; on
roit de ces malheureuses en arriver a
recevoir, comme prix d'une dentelle
qu'ellent livrent, le fil qui leur servira
a en exécuter une noi veile.
Nous avons plus d une fois signalé
la triste condition dont soutfreut les
ouvrières d'une de nos plus interes-
san les et plus ariistïqu-s industries,
encore que cette détresse ne soit pas
spéciale a notre pays. II importe que
les hommes de cceuret les femmes
aussi, car c'est pour elles que les deu-
tellières travailient, s'occuppent de
porter remède a cette situation.
Le lieutenant colonel, adjoint d'é-
tal-major, Daufresne de la chevalerie,
commandant l'école d'équitatiou d'Y-
pres, quittera cette vilie a !a fin du
cours de cette annóe, pour Bruxelles,
ou 1 sera placé a la têie d'une des di
visions du ministère de la guerre. 11
sera rempiacé au commanderneut de
i'ècole d equitation par ie major, ad-
joint d'é'at-major, Haegemaus, des
lanc'ers.
de ML ie baron Jean Béthune
La messe solennelle
L'inauguration
Le banquet
BISCUITS-PAREIN
z.TbZerte Y° er"1183"33160 Bagein Gabriella
Bollengier Honoraat, landwerker te Boesinghe
en Vansevenant Maria, dienstmeid te Yper.
Sterfgevallen
flambeau de
Nous sommes heureux de pouvoir douner
d'après le Bien Publicla sténographie de
la brill ante allocution de M. Woeste qui a
cloture la session de la Fédération.
Messieurs, au moment de nous séparer,
je tiens a vous adresser un cordial remercie-
meut.
Tantót, dans des paroles qui m'ont profon-
dément touché, M.lecomte Verspeyen a dit
que j'avais été un chevalier sans peur et sans
reproche. Sans aucune fausse modestie, je
déclare que je n ai pas été sans reproche,
mais, du moins, j'ai été sans peur; je le suis
encore, et c'est pourquoi, a ce moment
opportun, je crois utile de faire résonner
devant vous le elairon de la bataille. On me
dira La bataille, elle est encore loin Ce
nest trop tot pour preparer la victoire ,f
Voyez nos adversaires ils fourbisseht
leurs armes; ils cimentent entre eux une
alliance étroite. Les socialistes ne participe-
ront pas aux fêtes de notre Indépendance
nationale; et cependant les libéraux s'aüient
a eux! Les socialistes sont les adversaires de
l'armée; les progresistes réclamentla nation
armée; et cependant les libéraux s'aüient a
eux! Les socialistes sont les ennemis de la
proprióté individuelle les progressistes
veulent 1 écraser sous de lourds impöts; et
cependant les libéraux s'aüient a eux
Comment expliquer ce phénomène? il en
est plusieurs causes, et l'une d'elles, vous le
savez bien, eest l'amour du pouvoir qui
exerce toujours un si grand empire sur l'ame
des politiciens. Mais il est une autre cause
plus saillante que celle-la; c'est la haine
anticatholiquequi s'estemparée des meneurs
parmi nos adversaires. Ont-ils done trouvé
une foi et des croyances nouvelles Ils n'en
ont cure! Ils ne savant rien expliquer; ils ne
s'expliquent pas eux mêmes: mais ils se
dressent dans leur orgueii devant Dieu et
l'Eglise et leur disent: Vous ne règnerez pas
sur nous Ils rêvent un bouleveusement
social et religieux, et, s'ils parvenaient a
l'emporter, ils ouvriraient pour le pays une
ère de cataclysmes féconde en maux incal-
culables.
Mais, Messieurs, il est une autre cause
que la passion de nos adversaires qui doit
nous engager a preparer la lutte dès a
présent. Nous sommes depuis longtemps au
pouvoir. Les jeunes générations n'ont pas
connu les temps durs et difficiies que nous
avons traverses, nous, les anciens! Elles ont
vécu, elles vivent dans une sorte de quiétude
scolaire et reügieuse. Beaucoup se hgurent
qu'elle ne peut être troublée, et de la vient
que parfois l'on négligé les intéréts primor-
diaux de notre opinion pour s'attacber a des
griefs locaux ou pour s'abandonner a des
mécontentements individuels.
Ici, c'est une nomination que l'on déplore
la, c'est une augmentation de traitement que
1 on a demandée et que l'on n'a pas obtenue;
ailleurs, c'est un travail d'utilite publique
qui ne s'effectue pas aussi vite qu'on le vou-
drait, et, de toutes parts, on tend les bras
vers le gouvernement et l'on semble lui dire:
Vous, gouvernement, venez a notre aide et
donnez-nous des subsides! L'on se figure
souvent que le gouvernement peut tout faire,
l'impossible comme le possible et qu'il est
investi des pouvoirs qu'avait César ou
Napoléon!
Assurément, je ne reprocherai a personne
de défendre avec énergie les reclamations
qu'il croit légitimes; mais cequejedis, ce
que je ne saurais assez répéter, c'est que les
intéréts individuels doivent céder devant les
intéréts généraux. (Bravos). C'est que les
intéréts personnels doivent disparaitre devant
la cause catholique et que ceux qui, a
raison des griefs individuels, si légitimes
qu'ils fussent, croiraient pouvoir se réfugier
dans l'inaction, assumeraient une responsa-
bilité sans égale devant Dieu, devant la
société et devant leur conscience.
Allez, Messieurs, ailez dire cela dans les
villes et dans les villages! Vous n'êtes ici que
quelques centaines; mais vous avez derrière
vous des certaines de milliers d'électeurs; et
vous êtes une élite! Chacua de vous consti-
tue une influence et les influences règnent
dans les démocraties comme dans les aristo-
craties; c'est l'infiuence de Taction, c'est
l'influence de la parole oü de la plume, et
quiconque ne fait pas usage des dons que
Dieu lui a départis, celui-la, je n'bésite pas
a le dire, est coupable!
Allez done, Messieurs, de toutes parts,
allez auprès de tous ces braves gens si nom-
breux qui sont de bons pères de familie et
de bons citoyens et qui se fignrent qu'ils ont
iait ce qu'ils doivent quand ils ont rempli
tous leurs devoirs de la vie privée. Eh bien,
non! cbacun d'eux, chacun de nons a
aujourd hui plus que jamais des devoirs de
vie publique a remplir. Que personne ne
l'oublie! Allez auprès des indifférents Ils
babitent une maison dont on cherche h
ébranler les fondements et ils paraissent ne
pas s'en douter
Allez leur dire que leur devoir est d'ap-
porter une pierre a la restauration de l'édi-
tice. Allez même auprès des méebants et des
égarés. Beaucoup peut-être sont victimes
des influences d éducation et de milieu.Peut-
être n ont-ils pas vu luire devant eux le
vous avez ,4voir ae les éclairer. I
quezpas l »evoir-la. Et surtout arrière
Cnues e#testine§! Arrière les tbèses
academiq jf steriles! Arrière les qisputes
l® m° L 11Jère les controverses sur les
etiquette «agit bien de tout cela! Ce qui
6t ieslib^urd llui' c'est la defense de la
I io hlocr#rtés Publiques. Ce sont el les
mUB rinit d,^F-enace;de sont elles que notre
I féfendre! (Bravos et applaudisse-
MessifJ* i
ina,dresse a tous mais je
'lisespécialement aux Flamauds. La
i a été, a toutes les époqués de son
vp-éir e,urje deS f°rteresses du cathölicisme.
:VQrs void que depuis quelque temps un
jftuvais vent semble avoir passé sur elle et
FrFépandu qa et la ses miasmes. Les loups
couverts de la peau de Tagneau se sont mon-
trés aux populations et ont chercbé a les
séduire. On les a vus d'abord a A lost et de
lb ils se sont répandus a Termonde a Gand,
a St-Nicolas,et aujourd'hui, dans leur oeuvre
détestable, ils out tourné les yeux vers la
Flandre Occidentale.
Jern'adresse done tout d'abord aux Fla-
mands de la West-Flandre et je leur dis:
Tendez devant ces séducteurs le cordon
sanitaire; dites-leur ici on ne passé pas! Le
patrimoine séculaire que vous avez a défen
dre,Messieurs,exige impérieusement de vous
que vous le lassiez. Opposez a nos ennemis
votre poitrine d'bomme et votre coeur de
cbrétien! (Bravos).
Je le dis aux Flamands de la West-Flandre
mais je le dis également aux Anversois, aux
Brabanc.ons et aux Namurois qui Tannée
prochaine, seront engagés dans la même
lutte. Pour eux tous sans exception je sonne
l'appel et, en terminant, je leur donne ce
commaudement: un programme, une liste,
un coeur et une ame (Longs applaudisse-
ments. Ovation. Oris Vive Woeste
le de
rvérité. Mais vous, Messieurs,
voir de les éclairer. Ne man-
Le coquet village de Marcke vient d'être le
te'moin d'une belle manifestation. La société
archéologique la Gilde Saint-Luc et Thomas
inaugurait jeudi a la mémoire de son premier
président et fondateur.le baron Jean Béthune,
une superbe plaque en cuivre cisele doré et
émaillé, encastrée dans le mur de la chapelle
latérale gauche de 1 église paroissiale de
Marcke, qui elle-même a été construite
d'après les plans du baron Jean Béthune.
A 11 heures, les membres de la Gilde se
sont réunis en l'église de Marcke. C'est M. le
chanoineDelvigne.curé de l'église Saint-Josse,
a Bruxelles. prévöt de la Gilde Saint-Luc qui
officie, assisté de MM. les Curé et Vicaires
de Marcke. A l'entrée du choeur se trouve la
familie de feu M. Jean Béthune, son fils ainé
M. le baron Jean Béthune, gouverneur de la
Flandre Occidentale; MM. les barons Joseph
et Francois Béthune, professeurs a TUniver-
sité de Louvain M. le baron Emmanuel
Béthune, bourgmestre de Marcke Mile la
baronne The'rèse Béthune, Mmes et Miles
Béthune, etc. Puis parmi les fidèles qui se
pressent autour d'eux nous remarquons M. le
chanoine Cels, vicaire général de'légué par
Mgr l'Evêque de Gand, Dom Joncheere,
recteur de Maredsous, représentant Mgr le
Prélat Dom de Heptinneles chanoines
Van Calster et Rommel, les abbés De Gryse,
doyen de CourtraiBourdon et Maere, pro
fesseurs a TUniversité de Louvain; M. le
baron de Béthune, échevin d'AlostMM. le
chevalier d'Ydewalle de Ghellinck d Else-
ghem Van Cauwenberghe, membres du
Parlement beige. Le Frère Marès, directeur
des Ecoles Saint Luc de Belgique les archi-
tectes Cuyper, d Amsterdam, Heilig. Parmi
les hommes politiques se trouvaient Mm.
les se'nateurs Van den Peereboom et Ver-
cruysse les de'pute's permanents Landas,
Liebaert le commissaire d arrondissement
Reynaert, etc.
A Tissue de la cérémonie les assistants
précédés du clergé se rendent devant la tombe
du baron Jean Béthune pour y reciter le
De Ptofundispuis on revient a l'église u
le chanoine Delvigne, au nom de la Gild'
Saint-Luc, fait remise de la plaque k M 1
Curé de Marcke. Son discours émeut viv
ment les assistants. M. le Curé de Marck'
remercie et Ton se sépare.
On se retrouve a midi et demi en la grand
Salie du Couvent de Marcke ou MM. l/
barons Béthune recoivent leurs confrères
la Gilde Saint-Luc.
A la table d'honneur ont pris place les au
torités citées plus haut.
C'est dans un splendide élan de reconnais.
sance que M.leGouverneur devancant l'heurg
des toasts, dit, avant le banquet, toute la
gratitude qu'il ressent pour cette manifesia.
tion de la Gilde Saint-Luc a la mémoire de
son père. II remercie ceux qui furent plUs
particulièrement les auteurs er promoteurs de
cette mainfestation, les inspirateurs et les
artistes.
A la fin da repas, M. Joseph Casier, dans
le style concis et netqu'on lui connaït, retrace
Thistoire de cette manifestation et aux ap.
plaudissements de 1 assistance indique parmi
les premiers souscripteurs de ce monument
de reconnaissance le ministre Van der
Bruggen, NN. SS. le cardinal-archevêque de
Malines, Tévêque de Gand et 1 e'vêque de
Treves, etc. Nous n en finirions pas si nous
les devions tous citer.
A son tour M. Cuyper d'Amsterdam rend
hommage a son mattre et ami M. le baron
Jean Béthune.
Après une tres cordiale reception dans
lelégante et charmante demeure de M. le
baron Francois Be'thune.les assistants se sont
séparés, non sans emporter une belle repro-
duction de la plaque que M. Casier eut la
bonne inspiration de leur offrir en souvenir.
Ne toussez plus. Je garantie la guérison
du rhume et de la toux la plus opinatre en
deux jours au moyen du Strop Depratere au
goudron décoloré et au baume de Tolu. C'est
le pectoral le plus prompt, le plus sur et Ie
plus agréable qui existe. C'est un remède
incomparable, mais faites bien attention,
demandez et exigez toujours le veritable
Sirop Depratere.
Prix2 fr. la bouteille. Le traitement
revient a o.io centimes par jour. En vente
a Ypres, pharmacie Socquet, Libotte, Donck,
et Aertssens; Poperinghe, pharm.Monteyne,
Comines, Van Windekens; Menin, Sioen et
Rotiers; Warneton, Vander Marlière; Cour
trai Hulpiau et De Boey Roulers, Veys
Dixmude, Ghyssaert; Iseghem (Grand'Place),'
Rodenbach.
Quiconque est désireux de vivre en bonne
santé et djarriver a un ége avancé, doit pren
dre, une couple de fois l'annee, une dose
purgative dePz'lules antiglaireuses Walthéry.
Anvers. Goutez
le Vieux-Liége
Ménagères n'achetez que le sucres en
paquets de la Raffinnerie Tirlemontoise.
BURGERSTAND VAN YPER
Verklaringen van den 28 April tot den 5 Mei
ïyuo
Geboorten
Derez Daniel, Dickebuschsteenweg
Tresy Gelma, Doorgaugstraat
Rubbregt Maria, Boomgaardstraat
Ravaut Honoré, Zaalhof
Depuydt Marcel, St-Jacobstraat
Vermeulen Lea, Oude kleermarkt
Van Damme Maria, Hondstraat
Buseyne Andriana, Zaalhof
Dethoor Arthur, St-Jacobskerkhof
Bartier Magdalena, Boterstraat
Pirsou Feliciaan, Groenestraat
Despeghel Uaniel, Poperinghesteenweg
Huweiijken
LeuridonDésiré, coiffeerder en Sinaeve Anna
z. b. beiden te Yper.
Pickel Juliaanhandelsreiziger eu Descamps
Maria, dienstmeid, beiden te Yper.
Desmidt August, timmerman en Dezwaene
Sidoi.ie, wiuk lierster, beiden te Yper.
Clinckemaille Robert, i» bediende bij het
VA^tfTa0neAAR6lia' 74''' z' b' °°btgenoote Pstrus
Jf f sohild^rUghgte 6nWeg -DePuydt Romaan
64 j. schilder echtgenoot Ailemaa Maria Eigen
Hoerdstraat. - Blonde Benedik. 69 j z b onae-
ïmW 7n h Tbouroutstraat. - Moerman Gaston
3 mZonnebekesteenweg - iieceuninek Natba-
Tm 1?hen^'aMgaSth0ngehuwc1, Hondstraat, - Van
Henri'2 wJlTfi'-7 J- Aardestraat - Maerten
una 3 i Knnti I^jselstraat - Knockaert Jose-
SonhL tbouroutstraat. - De Geyter
öopbia, 77 jz b. weduwe De Grevn Martin Po-
Bukk!rsfraeatnWeg'~ Vercruysse Sidonia.l 1/2 j.
Les personnes
atteintes de per-
dosisme, affai-
b assem ent du cerveau, de la volonté, de
vrnfr^'e' 'a''9ue et t^istesse chroniques, avec
Mal de Tête persistant, grande impressionna-
bililé, douleurs dans le dos, ont intérêt a
sadresser a M. C. CATTET, a CAUDRY,
(Nord) qui enverra gratis le moyen de se
guérir rapidement.