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On pensa intervenir et la pornpe fut mise en batterie Ce fut peine perdue. L'eau vint a manquer, car le puits qui avait été d'abord mis a contribution, ne tarda pas a êtrc mis a sec. II fut impossible de rien sauver. Des deux maisons, il ne resta plus qu'un amas de décombres. Les dégats La ferme de M. Verfaille et ses dépendan ces, ainsi que la maison de Mme Glaeys, ouvrière agricole, étaient la propriété du Bureau de Bienfaisance de Comines. Les dégats tant pour les immeubles que pour le mobslier des deux maisons sont évalue's a six mille francs environ. Deux chariots et divers instruments aratoires qui setrouvaient dans la grange ont été la proie des flammes comme le reste. M. Verfaille subit de ce chef une perte appre ciable, d'autant plus qu'il n'e'tait pas assuré. Les causes de l'incendie La gendarmerie de Comines a ouverte une enquête sur les causes du sinistre. On incline a croire que l'incendie doit être altribué a un feu de cheminée qui s'était déclaré dans l'une des maisons ct qui, par suite du vent qui soufflait, a fait liamber la toiture de paille. Ne toussez plus. Je garantis ia guérison du rhume et de la loux la plus opinatre en deux jours au moyen du Sirop Depralere au gourdon décoloré et au baume de Tolu. C'est le pectoral le plus prompt, le plus sur el le plus agréable qui existe. C'est un rt.nède incomparable, mais faites bien attention, demandez et exigez toujours le véntable Sirop Depratere. Prix 2 fr. la bouteille. Le traitement revient a o.io centimes par jour. En vente a Ypres, pharmacie Socquet, Libotte, Donck, et Aertssens; Poperinghe, pharm.Monteyne, Comines, Van Windekens-; Menin, Sioen et Rotiers; Warneton, Vander Marlière; Cour- trai Hulpiau et De Boey Roulers, Veys; Dixmude, Ghyssaert; Iseghem (Grand'Piace). Rodenbach. LES FUNÉRAILLES DE M. CHARLES D'ENNETIÈRES. Mardi matin, a dix heures et demie, ont eu lieu en l'église Saint- Chrysol, de Comiues-Belgique, les futiè- railles de M. Charles d'Ënnetières, indu?- tiiel, vice-president du Cercle Philanthro- pique et sous-lieutenant de l Harmonie Communale. La levée du Corps a été faite au domicile du défunt, ïue de Faubourg. Le cercueil était p >rté par les ouvriers de la fabrique les coins du poêle étaient tenus par MM. Paul Debune, directeur, et Charles Vanuée, contremaitre de l'usine de M. d'Ënnetières; Henri Bourgeois, membre de ITlarmouie Communale; et Louis Morel, du Cercle Philanthropique. Des délégatious de toutes les sociétés de la ville suivaient la dépouüle mortelie sur le parcours du cortege, l'Llar- monie Communale a exécuté plusieurs marches funèbres. L'offrande donuée par M. Laurent, vicaire de Comines-France, a duré jusqne la fin de®la messe. Au cimetière plusieurs discours ont été prononcés, par MM. Auguste Verschaeveet Alfred Deleu, employés de l'usine; Louis Morel, vicë-président du Cercle Philanttro- pique, et Ernest Devroedt, secretaire de l'Harmonie Communale, qui out re tracé !a vie du défunt et fait son éloge. La cérémonie a pris fin a i heureet demie et l'assistance s'est retirée vivement impres- sionnée. Ce n'est pas seulement aux chateaux qu en veulent les voleurs en Flandre, mais aussi aux églises et chapeiles. Ainsi. la nuit de vendredi a samedi, d'audacieux escarpes se sont mtroduits dans 1 église de Ruddervoor- de. Pour ce faire les voleurs ont été prendre dans une maison voisine en construction une échelle qui, appliquée contre une fenêtre de - 1 église, leur a permis de gagner l'inténeur. Après avoir forcé la serrure du grand portail, ils ont introduit leur échelle et l ont replacée prés de la fenêtre ouveite afin de pouvoir 1 reprendre ce chemin en cas d'alerte. Puis les j escarpes ont fracture une douzaine de troncs, plus, dans les stalles deux cassette;, renfer- mant le produit des quêtes,qu'ils out empor- té. Les auteurs dece vol sont inconnus. On écrit d'Anvers, lundi matin Quelqu unqui vient de passer d'épouvan- tables momenis, c'est le passeur de Heyn donck, qui fait le service entre les deux rives du Rupel. 11 venait de débarquer plusieurs voyageurs sur la rive oposée de sa demeure, quand tout a coup il s'apercut avec effroi que son habitation était en feu. II fit des efforts surhumains pour gagner seulement une minute sur la durée habituelle de la traver- sée, car son enfant dormait dans son berceau et personne n'était la pour sauver le bébé. Et l'incendie devenait de plus en plus intense au fur et a mesure qu'il se rapprochait de la rive. Enfin, il est arrivéD un bond, il pénétre dans 1 immeuble cn feu, retrouve l'enfant sain et sauf, revient en courant, et, a l'instant ou il réapparait dans la rue, la maison s'écroule. NAUFRAGE DU BRUXELLES (Sept hommes matelots noyés) Anvers, le 23, Depuis quelques jours de vives inquiétudes régnaient au sujet du sort du petit steamer Bruxelles qui fait le service eptre Am sterdam et Bruxelles. Une dépêche arrivée a Anvers annonce qu'un batelier et des habitants de Willems dorp ont rapporté avoir vu il y a plusieurs jours un steamer,dont le signalement corres pond a celui du Bruxelles sombrer prés de la cóte. II ont entendu des cris, mais le mer était trop forte pour qu'on püt aller au secours du navire. Des sondages pratiques ce matin ont relevé la presence, a l'endroit indiqué, du petit steamer. II y avait sept hommes a bord. Hier après-midi, a Courtrai, un accident qui aurait pu entrainer les plus graves consequences, s'est produit au passage a niveau de la rue de Staceghem. La machine 45 tqui avait amené a Cour trai le train de bourse exprèss d'Anvers, s'en retournait attelée dun fourgon dans la direction de Gand. A ce moment, la barrière du passage a niveau de la rue de Staceghem était ouverte- Une voiture de vidange attelée de deux chevaux, venait de s'engager sur la voie ferrée. L'arrière-train du véhicule était encore engagé sur la voie de gauche quand la locomotive, bien que la vapeur eut été ren- versée par le mécanicien qui s'était apercu, mais trop tard, du danger, le tamponna violemment. Par suite du choc, l'attelage fut projeté dans le verger du garde barrière par dessus la seconde voie de droite. L'avant train fut réduit en miettes et l'homme qui conduisait, juché sur son siège, fut relevé sans connais- sance parmi les débris du véhicule. La pauvre victime recut les soins de trois médecins qui, ne pouvant se prononcer sur la gravité de son état,ordonnèrent son trans- fert d'urgence a l'höpital. Le blessé, qui était au service des vidanges de la ville, se nomme E. Dubus, 52 ans, marié et père de 8 enfants. i O tv". LES LES NE sont tcujours rS Pnse (9 matin a jeu ap ès, un effet PU n'engsndre ni malaise, ni suivi d'une sensation de bl8M; testable et d'une vlgoureuse N tation d'appótlt. dtni les Pharmacies et brogueriei HORTICULTURE GENERALE !'uo 'arton et me de Dixmudo cxx^o^oooo— (IMPORTATION DIRECTE) iACiNTHES, TULIPES, NARCiSSES, CROCUS Carafes pour cette culture. Envoi du Catalogue sur demande Esplanade, 3, YPRES SEUL DÉPOSITAIRE DES POUR LES GHARBONS de toutes PROVENANCES. 5 fif Rx-élèva de 1'Académie Royale do Bruxelles 0— - |0ITB '.50 Si 1 - .uwe»1 ct tnuteslesMatatt^ Dépot a Ypres, chez Donck, pharmac. rue de Lille. De nom- breux cer- tificats de Médeciu s constatent qu'aucun remède n'est aussi efflcace pour le traitement delaToux, de l'Asthme et de la Jüronchite. Une seule pastille procure déja du soulagement. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 3