I i 1 III 2. 11 II COMMËiNT ON VOTE Gare aux bulletins nuls EimeurF, Agri:ull*:urs J r Agricullcurs J Oavriers .1 L. ill i - ]i j C'ent c'air En 11 Guorre k l'Ensrignemrnt (Üatholicfuc trompe-1 a N'éooufc.z pis las c trtspilia:s sus- co I f C ion litt vos tl 'ié'ilïS 'le Vote Lh I i frapp-'1. (!ti ntilli'C 5 1° Li' hull tiu sur 'equel souI étois des voles pour plusiettrs lis'es '2° Lu I tilletin sur leque noitcis a la f >is la ca^e de fèle ot cello üoDi «i'u u eau iidat piatee a co c ou 3° L" hu letin sur ietjue Icuuel ont vote pour p'tis ti'uu cendi latII clil. JU Doctrine Pi operation Tact i que Tous les hommes d'ordre, tous les bons citoyens, tous les sincères iiatriotes votent pour la liste catholique V«tc* pour b lisLe catholique •1 «||i> |jl choi chent scolaire question 'journaux religieuse i ff't'Iiqu'aucun journal t protesté alors press (radical, de I.iége), .-viiité de M. de Smet nous ion d'imiter nos amis de ournir Fran- JvpW*i rfg (.sons pas encore re ver la methode v'(ót-du gouvernement frartgais mais nous 'l^êvor,s hater i'hf-ure de l'émaucipation. Une guerre acharnée a la gei t ensoutanóe est la condition «sine qua non» du relèvement de notre pays et nous serious heureux de suivre en soldats dóvottés celui des eii fs du libéralis me moöéré qui, s'inspirant de l'exemple donné par M. Waldeck-Roussrau, voudrait ïi t"jg Dra. Hooiaa- lïsiEiti parlementaire. Le 9 Février 1904 YIndependence Beige exprimait les senlimerits des libèraux en ces teimes II faut nous clforcer d'arracher coute que c ute la masse a 1 'influence religieuse et nous pretendons rester parfaitement libèraux en disaut cela Oui, le Gombisma. puisque com - bisme il y a, mais rnis au point de la situation qui existe en Beigique. Nos ad versaires de droile peuvent être tran quilles I.e jour <ii cede puissante ponssce anticlérici le sera possible chez nous, nous la soutiendrons commè r.ous aeons soutenu la poussée anticlériccile Frangaise Le 8 Mm dernier Al. Woeste disdié a la Chambre aux gauches coaliiees. «Que reprósentez- vous en réaiité? Vous représentez l'hosiilité cï la religion. Le tond de tousles discours do gauche c'est l'attaque contro la religion A la rête de la liste du carL 1 de Namur figure M. Furnémor.t Or. au congres de Pari-, M. Furnémont a dit qu'il ei.tainera avèc les libèraux ure lotte d mort corilre l'Eglise catholique. I1 c'est lui qui figure en lc.edu la liste du cartel De son cöté. Mi Dewandre a- exprimé Ie veen de voir 'a Beigique secouer le jong de Rome, c'est a dire de l'Eglise eaihobquft. F.t vous prétendr"z après ceia que vous n'en voulez pas a la religion Aucun membre de la gauche coalisé-i ne n'est avisé de donner un démenti O. ce défi du vail- lant dépulé catholique. Le par li auquel appar- tient M Nolf se propose done cte fa re une guerre mort a la religionde détruire toute influence religieuse el de réclamer l'inUmen tion de I Etat pour fot eer les consciences. Eiecteurs, vous désapptouverez par vos votes la politique sec'aire, antireligieuse, la liaineusa politique Con,biste du parti que M. Nolf repré- sente dans l'arrondissement d'Vpres. L'électeur vote de 8 h. a 1 lp L'électeur, muni de sa lettre de convocation, recevra des mains du président, un, deux ou trois bnlletins, suivant le nombre de votes qui lui est attribuó.11 vote en noircissant au moyen du crayon le point blanc du milieu du carré noir qui se trouve au-dessus de la colonne qui porte le n° Le point blanc étant noirci, l'électeur plieses bulletins, les dépose dans lurne, puis fait estampiller sa iet ti e de convocation par le président ct sort de la salie. ■■■si. 'J "jV' MP J y'-'i-Sr /in-ont una nouvelle arme conire l ensei- dent lib e. 3 dis;-ae que dins les eonseils communanx et |>- t jfovinciaux anticlér-icaux on n'use pas d'un r» r J?'ostraci me complet a i'égard des institutions catlioliques Combisme en sourdine qua tout cola. Ei! ce qu'en 1SS4 Al. Vander hind ere ne pro- posait pas au nom de ia commission d'enquête scolaire d'attacher un privilege a la fréquenta- tion d'une école soumise a l'inspection de l'Etat et a la possession d'un certificat scolaire un 1 rivilège pour l'admission aux emplois publics? C'est !o Goinbistne en 18SI. Les libèraux y sont ils restés fidèles de nosjours La:ssons la parole aux organ's du parti de AI. Nolf. et de ses alliés les socialistes.Leurs declarations de guerre se passent de tout com- mentaire et leur combisme est manifeste. Oui, certes, nous aceeplons d'un cceur léger la perspective rle la liborté de l'enseignement comme en Fracc, qua les cléricaux nous reproclient de réclamer. Ge régime doux, bien- veillanf,liberal,n'a rien qui d ive nous cffrayer ni rien d'inconstitutionnel et nous sommes prèts a donner au mot libre la même signi fication qu'en France. Nouveau Précur- seur d'Anvers. o'gane du représentant liberal F. ódéric Delvaux, n° du 3 février 1914.) Nous voulons qu'il n'y ait qu'une unique école publique et seientifiqu", oil tous les citoyens devront envoyer leurs enfants. Dans un pays libra, l'école offleielle devrait teule être possible II est des liberies qui tuent, qui renfermont plus da besoin que de no rriture, de ces lit ertés qui sont la cause que la liberté d'auirui est expo?ée et enohaïnée sans cesse. Telleest la liberté d'enseigneinent Voor uit, or gape socialiste flamand de Gand, citation traduit" et reproduite par- touto la presse en septembre 19-3.) Bravo s'écrio la Chronique (libérale). Toutes ces déois-ors du gouvernement do M. Combes sont des tnieux justifiées. XI nous res te a so-jhaiter que pareille politique puisse bientöt être appliquée chez ïoas.Mais quand?» (3 décembre 19 2) A sen tour Vindépendance beige (radicale) 1! faut combattre a outrance les congrega tions ct nous axons appla.udi \c\ des deux mains quand M. G.imbrs s'est atta hé a actiever- l'ceuvre de M. Waldec -Rousseau (2(5 juin i9 3) On doit se réjotiir d u e chose 15\0P0 enfants suront éló arractiés d'un coup a I'ensei- nenient ie igitux .Si la loi sur les associations ne devait donner que ce rósultat-!a. il faudrait félic te-- AI Combes d'avoir su l'aj pfquer vigou- reusementmais nous e-pérons bien,pour notre part, qu'elle en donnera d'autres. '23 juin 1903 o C'est, pour les libèraux, un impérieux devoir ö'arracher la jeunessa a l ecseigne ment congr-éganiste Nous pspórons bien que l'exemnle donné jiar M Combcs sera suivi en d'autres pays., denstouta 1'Europe latine. (Done en Beigique aussi.) Ir, ÏDvGJ Les libèraux et les socialistes sont décidés a faire la geurre eontre l't-nseigtiensei t Catho lique. Or c'est uDe autre manifestation de de la politique cembiste. M. Nolf admet la declaration des gauches du si Décembre \9ót\ Ce pri gramme dit- L'ensei gnement public a tons les degrés doit étre affranchi de toule irdluenco confessionnelle. 11 doit relever exclusivement de l'autori'é J civile. i II y a a supprimer toutes mesures tendart a favoriser l'ensc ignement confessionnel II n'y a dorc aucun doide possible sur la politique de AI. Nolf en malière scolaire. Ge qu'il veut, c'est que Venseignement soit neutre, c'est-a-dire Athée Combes le voulait aussi. Ce que veut M. Nolf c'est que l'enseignement relève J exclusivemer.t de l'aatot ité civile. C'est le vcou j exprimé par toi.s les convents Franc Maeons Ccmbes le voulait aussi 1 Ce que veut M Nolf c'est affaiblir Venseignc- nient libre uutant qu'il déptndra des libèraux: Combes le voulait aussi. AI Nolf aura beau renter te Combisme il suivra ses chefs et son parit. Or les actes et les declarations de son parti ot de ses chefs r.ous montrent que les j AI. Nolf veut jeter de la poudre aux yeux et déelare que leprêtrejpourra loutdeinême venir d l'école. Pauvre Frnest vous en étes encore a I l'art. 4 de la loi de 1879. l'n trompte l'veilmon garcon. I.a «Chronique» I dirait votre combingison n'. st qu'un truc j indigned'un parti qui se respecte. Et la «Flan- dre libérale» II est clairque vous n'invitez ie clergó que t our qu'il refuse et en lachant de ren Ire sori rof'us inevitable. i Al. Nolf est un Cómbes aux petits pieds, tres doucement douceureux. trés poli dit-on. mais pas si bèta que ca, les calotins ils ont le flair: toute voire attitude, Ernest sent Ia lutto scolaire a la Combes. O-, l'arrondissement d'Ypres comme tout le reste du pays n'a pas oublié la lulte scolaire cetfe première phase du Combisme en Beigique Que M. Nolf médite, avant son congé définitif du 27 mai, ces jdaintes de M. Pirrnez, un libéral, au sujet de la loi de malheur. II y troovera I I'explication de sa défaito prochaine et de la réprobation que suscite dans l'arrondissement sa politique de guerre d'ócole a la Combes. -Ce conflit da guerre scolaire), disait M Pirmeza la Chambre en 188). est certainement le fait le plus déplorable de notre histoire politi- q ie. II n'a pro luit aucun bien; ii a produit beaucoupde mal. 11 a amoindri Penseign^ment... II a poussè au ]iaroxysme les luttes de parti. Dans cette Chambre. le conflit scolaire avec ses tenants et aboutissants a tout envahi il a distrait des intérèls les plus importants do l'Etat. Le Parlement est devenu ainsi sterile.... Cette stérilité.... diminue chaque jour sa consi- dération. Au dehors, les luttes politiques se traduisent en haines qui s'envenimeit partoutelles divi- sent les communes, elles séparent les families.... II semble qu'jl ne faille considéror quo co qui prolite aux parti.s, sans égard au josle et su vrai, devenu les petits cótés des questior. l,e c'jlte de la liberté et les idees de tolér nee semblent d'un autre age A cc réquisitoire écrasant conire la pol ini de la gv.erre scolaire que patronne te parti de AI.N'j'f nous »W< 'erons qn'un motil y va de l'dmedenose nis; nous ne cesserons de la répéter; voos u ->urtz jamais l'oceasion de les saisir. ces ames. et de les fac iiner ft votre propre image. Arrière les voleurs d'ames, arrière le; partisans de l'école sans Dieu, les oppresseurs de lecok libre. Halte la, M. Nolf, no passe pas, car les calotins sont la Et qu'on ne vienné pas nous diroqua l'opinion d'un journal n'engage pas lout tin part-. Neus pourrions citer vingt journaux libèraux qui prc'S ui vouifraitMit s'iltitórftr (Jmms ia 5 J,arle, t le même langage. Et 011 ne nous en - -' tera pas un qui alt protesté co'tre ces théories et t directement contraircs aux liberies constitu- tionnelles. C'est ce que M. Wilmotte, publiciste libéral, I constalait dans le Mes'sager de Bruxelles» du sont 1 9 janvier 1903 Notre presse libérale, éerivait-ii, dont la courte vne est plus qu'une habitude, a trouvó l'oceasion honne (la campagne combisteN.D. L. R.) pour applaudir ou se 1 ai re. Elle a été f encbantée en général qu on irappat les non- ncttcs n Done noircX'SCZ un seal point blanc Voj|è ro qije diseDt> éerivent et font les jour- dé la iistc li" 3 naux et les hommes politiques libèraux quand I Et M. Nolf a l'iropudente audace de proclamer Guerre aux Associations religie uses après cela qu'on calomnieion parti en l'accusant Les libèraux sont décidés a faire la guerre Iraquer et persécuter les associations aux associations religleuses A ce titre ils re'ligieuses Tartufe n aurait pas mieux fait j mais Ic-s électöurs sent trop senses pour ne pas soaicombis.es. Fm matière dissociation, le combisme const de f voir clair dans ce double jeu. lis le teront bien a faire dépei di'e du bon plaisirde l'Etat l'exis- voir le 27 Mai. Allez tence des associations et ft supprimer la liborté ConcillSL 11 des associations religieuses. XT En Beigique les libèraux sont obligés de re- avons üonc etaU, dune facon conrrFPr en principe \a liberie dissociation. peremptoire que Je parti de id. Noll est En fait, ils n'ont cessé de rechercher les essentiellement Combiste paree que decide a may ens de rendre V existence impossible aux lai''e une guerre a mort centre la religion associations religieuses i's ont tentó de mettre catholique et toute infiuence religieuse, ces moyens cn pratique, et ils se préparent «»>tre I enseigneineiit hbre catholique, renouveler la tentative, si le pouvoir tombait j centre les associations religieuses. en leurs naait s ils veulent la liberté comme'eit j Electeurs, nous dépioierons tous nos France,-c'esl-d ciire qu'ils la veulent étrangler. j efforts pour frapper d'impuissance cette La seule difl'érer.co entre combistels franqais et politique odieuse que M. Nolf veut repró- combistes beiges,c'est que les combistes frai gais i senter dans notre arrondissement, 'l'ravail- ag'issent brutalemenl, ouvertoment, et que le lens, usons de notie influence, éclairons malheur d s temps oblige le parti libéral belgo 5 l'opinion sur les visées de nos adversaires. a 1 action dóiournée et hypocrite. L'école juridique libérale a toujonrs soutenu que les assc.ciations sans but lucrat 1', non rovê- tues da pei sonniticalion civil'-, ne peuvent po séder ni par elles-mênoes, ni par l'intermé- diaire de leurs membres. Cette doctrine a pour j Le 27 mai. avec l'aide de Diea, nous ferons mordre la poussièré au représentant du j Combisme en notre arrondissement, a. M. f Nolf, et nous acclamerons la victoire de nos trois candidats. défenseurs de la religion catholique, de notre enseignement libre, et j des associations religieuses. Courage et confiance, la victoire compléte U Iflll C Uü itJUl .N [IltJltJ Ui ül'ltc U'JLLl lilü <X 'UUl IJ f j 1 du 27 Mai sera le couronnement de nos but de rendre 1 existence impossible aux associa 1 e^orls 1 tions 1 eligieuses. Laurent, chef de cette école, disaitLes nioines vivent, manger t, s'babillent et s'abriteijt en fraude de la loi La loi, d'après f la théorie libéiale,ne sera respectée que lorsque i les moines ne pourront ni manger, r.i s'habiiler, ni s'abriior, ni vivie, etlorsqm-.en conséquence, Voici 1 heure de Ja bataille. Déja chacun s'apprête ïi faire son devoir,tout son devoir, il n'y aura plus do libei té d'association pour eux. sans hésitation et sans arrière-pensée. C'est l'honneur de la religion, ce sont nos chères libertés d'enseigncment et d'associa- A fin de preparer l'application de ces belles tion, c est 1 avenir de la patrie, c'est la paix theories, qui proclament, sommie toute, l'incom- des familbs et de la société qui sont 1'enjeu 1 atibilité absolue do la loi modern e et de la delalutte liberté d'asspciaüon. Al. Goblet d'Alnelia, grand-mat tre de la franc-maconnerie beige ne 1'oublions pas jiroposait a la Chambre, le 23 janvier 1181, rme enquête sur les couvents. II s'agiss it. déelarait il, de garantir les con- quêbs ie l'espnt moderne contra les r-Qtours ofl'ensifs de 1'etprit clerical. C'est exactement le langage de Al. Combes et de tous las combistes. La famev.se Declaration des Gauches vise aussi la repression legislative des abas de la mainmortselcricale, formule rudhommesque^ dont le sens est fort clair. Cir si les libèraux j n'en voulaient qu'a cette Draeuse mainmorte, dont 91 p. c. de leurs adhérents ignorent la j nature exacte, ils s'en prendraient a toutes les mainmortes, y compris la mainmorte magonni- que. Mais comme ils n'en veul -nt qu'a la liberté dissociation des religiecx et subsidiairement de tous les cathoiiqu-s, ils ne pa 1 lent que de main morte cléricale. i Qui proteste avjoard'hui dans les rangs du libéralisme i Personne Le 1 avril i9.)3, M. Ilymans, jadis modéré, apprivoisé aujourd'bui par MM. Janson et Feron qu'il combattait en 190', disailLa libeitó j d'associaiion rest'rait enlière, mais le moment viendra peul-etre oil il faudra dégager i'associa- tion de la mainmorte et parer aux développe- meats de la propriété clandestine des congrega tions religieuses par des mesures de prévention et de controle. A bon entendeur, saluton sait ce que cela vent dire. j Et pour qu'il n'y ait aucun doute sur le sens de son discours,M Hymans rappelaitces paroles j da M. Pol. De Paepe «En ne séparant pas la liberté de ce qui lui est étranger, de ce qui emprunte son nom pour larnener des abus qu'"lle coidamne, on risque de la perdre. - Encore un coup, M. Combes parlait. tout a. fait de mé me. Je suis libéral, dit on s-omme M. Ilymans, done je refuse la liberté ft cetix qui ne sont pas i de mon avis. C'est l'essence meme du libéralisme politique. C'est ce que la «Nieuwe Gazet, libéral d'Anvers, expliquait le lr avril iy,:-y Combes tivnve qu'il n'est pas suliisant d'en p.l Sous le gouvernement libéral pas de primes ni de subsides pour l'amélioration des races ch valine et 1 ovine. Le gouvernement catholique a dcpeDSÓ pour cela do 1885 a 1904 6 millions 2S0.C97fr. Pour les pertes subies dans vos étables. Les libèraux payaient en 1881, 80.417 fr. en 20 ans. Les catholiques out payé plus de i3 millions d indemnitees. Les catholiques sont les vrais amis de f agriculture. Votepour eux Vous avez besoin de bonnes routes viciaa- Icl Qu'ont fait les libèraux de 1879 a 1883 pour la dévoloppement (le la voirie Ils ont dépenséO millions. Qu'ont fait les catholiques Ils ont dépensé de jgoo d 1904 plus de 2S millions. Vous-vous en souviendreau 27 Mai l Eu France, les radico socialistes qui détiennent le gouvernement depuis 10 ans n ont pas établi les pensions ouvrières ils 11 allouent pas un seul centime aux vieillards. .journal j bi les radico-sooialistes beiges airivaient 1 au pouvoir, ils n'auraient p'us dargent ui voyer se jiromeiier le c!«r«é; i pause et d ^Ur 'es PPUsions ouvi'ièros ni pour les rm'srn le ei er gé doit Ure réduit a Vimpos- j a"ocatlons de vieillesse. si'--- c- nu ire et de srmer l'ivraie que les videraient le trésor dans la lutto bon. «x ?ns auraient arracbée. 1 scolaire qu'ils sont prèts a recotnmeneer.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 2