BEAUTÉ FA ITS DIVERS Bières Anglaises "-■wsSsi - Van Winsen A Sa^s Rival HENR! GHYSEL Lourdes. - Ses pèlerinages Ses ma Sa des Savon au lait de lis L'ivrognerie n'existe plus Bailleul- Heughebaert v r* f* ie ARCHITECTURE JARDINS Projels, Plan et Devis |P TOÖSSEZ PLUS, EE3PL9VEZ HE TOÖSSEZ PLUS, EMPLQYEZ ISe TOÜSSEZ PLUS, EAIPLOTEZ lASTILLES DE KEATING ■ASTILLES DE KEATING ASTILLES OE KEATING .VFlamand Hi PEJNTURE DÊCORATIVl Décoration. du dernier genre. Legére* et solides, a l'hulle, a la colle. a la Fresque pour tout le b&timent FAUX R01S et marbres trés soignés, Décoration spéciale pour Salons en tous styles. Paysages légers et humorlstiques pour Verandas, Salles a manger, Vestibules, etc Lesternent enlevës et k des prix défiani toute concurrence ENTREPRISE de tous travaux de PeiDture ROSIERS CONIFÈRES Le jury, composé de MM. Decaestecker, inspecteur vétérinaire du Gouvernement a YpresBrutsaert, bourgmestre a Watou Lagae, brasseur k Ileule Degroote, vétéri naire aCourtraiJoye, bougmestre a Bas- Warneton Vandromme, cultivateur a Westoutre, a réparti les primes de Ia manièro suivante 1. Hongres de trois ans et au dessus. lerprix, Vve Desmytter, Puperinghe 2e, Victor Deconinck, Liclitervelde 3e, Pierre Decoster, Passckendaele 4e, Vve Buysse, Roulers 5e, Pélix Colpaert, Liclitervelde 6e Vve Lemahieu, Langemark 7e, Charles Demeulenaero, Roulers 8e, Ed. Vander- perre, Cortemarck 9e Charles Vandamme, Langemarck 10e, Hippolyte Verkindt, Roulers lie, Pierre Van Eist, Hooglede 12e, Ilenri Demeulenaere, Roulers 13e, Amand Derycke, Boesinghe. 2. Hongres de 30 mois. Ier prix, Valère Courtens, Langemarck 2e, Henri Lemahieu,Langemarck 3e,Vve Vaudamme, Staden 4e, Charles Vanwalleghem, Zonne- beke 5e, Ilené Vancoilüe, Rumbeke 6e, Achille Dochy,Zonnebeke 7e,Vve Colpaert, Gits 8e, Vve Dieryckx, Voormu zeele 9e, Victor Cnockaert, Zonnebeke 10e, Jean Vandenberghe, Boesinghe 11e, Louis Ver- gote, Gits. 3. Hongres de 18 mois.ler prix.Vergote, Saint Jean 2e, Henri Comein, Poperinghe 3e, Cam. Baelden, West Roosebeke 4e, Aug. Delva, Langemarck 5e, David Maes, Boesinghe 6e, Fidéle Vermeulen, Zonne beke 7e, Vve Samyn, Saint Jean 8e, Ch. Dessein, Gheluwe. 4. Poulains Etalons Ier prix, Jean Vandenberghe,Boesinghe 2e,Emile Struye, Ypres; 3e, Oscar Veriaes, Reninghelst 4e, Fidéle Sarnyn, Boesinghe 5e, Oscar Verraes, Reninghelst. 5. Juments de trois ans et plus. Ier prix, Fidéle Samyn, Boesinghe2e, Fr. Ver Eist, Hooghlede 3e, Xavier Dick, Hooghlede 4e, Aug. Vanneste, Lange marck 5e, Liévin Coussement, Poeicapelle; 6e, Hippolyte Vanderfaillie, Loo 7e, Ch. Callens, Kemmel 8e, Ernest De wulf, Bece- laere 9e, Enfants Verhalle, Zonneb *ke 10e, Charles Callens, Kemmel. 6. Juments de trente mois. Ier, prix, Alois Vanlerberghe, Noordschote 2e, Xa vier Dick, Hooghlede 3e, Charles Gekiere, Zonnebeke 4e,Vve Coudyser, Langemarck; 5e, Oyr. Lemahieu, Ypres. 7. Juments de dix-huit mois. Ier prix, Henri Ver Eecke, Vlamertinghe 2e, Fidéle Samyn, Boesinghe 3e, Vve Vanneste, Gits; 4e, Jules Vandeputte, Boesinghe; 5e, Cyrille Beekaert, Dickebusch 6e, Cyr. Lemahieu, "Ypres. Le docteur Boissarie écrit a la Croiv, de Paris La Croix de samedi a publié une lettre de M. Jean de Bonnefon, sorte de referendum adressé au corps medical pour savoir si les pèlerinages de Lourdes sont utiles ou nuisi- bles a la santé publique. En un mot, dit M. de Bonnefon, au point de vue médical, Lourdes est-il un danger ou un bienfait Depuis vingt ans, je suis le témoin et le juge des résultats des pèlerinages j'aurais mauvaise grace a ne pas répondre. Du reste, je n'ai pas attendu eet appel pour faire la statistique des décès et des guérisons consta tes. Le pélerinage national conduit, chaque anuée, 1,000 malades et séjourne trois ou quatre jours parmi nous nous avons relevé, pendant dix ans, tous les décès survenus dans ee pélerinage nous en avons trouvé 3o, environ 3 par an. Pendant dix ans, 10,000 malades, séjournant un mois a Lourdes, ne nous ont donné que 3o décès, et autant de malades, dans les hopitaux les mieux instal- lés, sous la direction des maitres les plus habiles, donneraient certainement 3 a 400 décès par mois, dix fois plus. L'hospice de Villepinte, avec ses 25o lits, cotnpte 70 décès par an. Nous avons vu guérir a Lourdes a5 malades de Villepinte, prises parmi les plus gravement atteintes. alors que leurs camarades moins favorisés mouraient quelques mois après. Tous les décès sont inscrits sur lesregistres de la mairie de Lourdes, e'est la que nous avons pris nos documents, la que tout le monde peut les contröler. A cóté des décès, il y a les guérisons. lei la question est plus intéressante et n'est pas assez connue. L'année dernière, nous avons rédigé no procés-verbaux chaque pélerinage conserve les statistiqnes de ses gue'risons, et tandis que nous en avions compté 5 pour le pélerinage de Lyon, les directeurs de Lyon en signa- laient 58. Nous n'avions que 2 guérisons pour le pélerinage de Metz et le Bulletin de la Lorraine en mentionne 22. J1 en est ainsi pour tous les pèlerinages en additionnant tous les résultats, nous arriverions facilement a 1,000 ou i,5oo guérisons par an. C est en vain que l'on voudrait récuser ces résultats au nom de la science. 11 ne s'agit pas ici d'un point médical ou canonique a établir il s'agit simplement,comme le disait Constantin James, d'un fait personnel qui ne regarde que l'intéressé. Voila un individu qui souffrait et qui ne souffre plus, qui n entendait pas et qui entend, qui ne voyait pas et qui voit cela lui suffit, mais vous, cela ne vous suffit pas De quoi vous mêlez- vous Et s'ii lui platt d'appeler sa guérison un miracle, qu'est-ce que cela vous fait t Mais je vais plus loin et je dis: lors mêrae que la fontaine de Lourdes n'agirait que sur l'imagination, chose que je nie, elle rendrait i encore de réels services. j A cela, comment répond on On répond par des injures, et des plus grossières.Pour j nos matérialistes et nos athées, tout pèlerin j est un clérical, c'est-a-dire un imposteur et j un fourbeses maladies sont simule'es. Veuillez done me dire comment on simule j un cancer, une ulcération de la langue j Comment on simule une carie, nne nécrose, 1 unetumeur blanche 1 Maladies, qui, d'après j les derniers relevés.ont obtenu leur guérison a Lourdes. I M. de Bonnefon jette le discredit sur beau de nos piscines elle est plus pure, pourtant, que l'eau de la Seine, et sa tempé- 1 rature trés basse empêche la repullulation des germes. j II reste done établi que, chez nos malades, j la mortalité est dix fois plus faible que dans les hopitaux, et les guérisons se produisent dans une telle proportion que Ton ne peut en refuser le bénéfice aux malheureux que le réclamant.C'est toujours au nom de la liberté que l'on fait de la tyrannie. Ou irions-nous si M. de Bonnefon devenait le juge suprème des lois de 1 hygiëne et du traitement de nos malades Que signifie cette légende des trains de pèlerinages jetant a travers la France les germes de la tuberculose Faut-il soumettre nos phtisiques au régime des lazarets Tous cela u'est pas sérieux. J'ai vu dans mon bureau des convaiucus et des incroyants, des cathoiiques et des protestants. J'ai vu Zola écouter, attentif, le récit de la guérison d'une de nos malades. Ce récit simple, sans art, fait de détails iutimes, de douleurs resseuties, avait l'élo- quence que donne une conviction absolue. J'ai vu le regard du romancier assis ét mes cotés se fixer longtemps sur cette femme il était, lui aussi, sous le charme la con viction 1 effleurait, si elle ne le pénétrait pas tout entier. J'ai vu des médecins dilférant d'école et de doctrine suivre avec intérêt tous les détails de nos observations. Nous avons trouvé des correspondants dans tous les pays. Jamais problème religieux et scientique n'a été discuté au grand jour avec une telle netteté, et si un referendum était porté devant le corps médical sur la question de Lourdes, la réponse ne serait pas douteuse. J en ai pour garantie les noms de 2 ou 3,000 con frères qui sont inscrits sur nos registres. D. Boissakie. et disparition compléte de toutes les affections de la peau telles que points-noirs, rougeurs, dartres, taches de rousseur etc., ne peuvent être obtenus que par l'emploi quotidien du renommè Marque de fabrique DADA- de BERG MANN C>*, Radebeul-Dresde k 0.75 la pièoe chez Pour guérir la T0UX, le SIR0P PECTORAL DEPRATERE est sans rival. Lui seul guérit sans danger, tandis que d'autres remèdes inconnus nuisent au coeur ou a l'estomac, constipent ou brulent les extrémités capil- laires des bronches, le Sirop Depratere ne renferme aucun narcotique et peut être pris, même par les enfants dont il guérit même la coqueluche en 8 jours. Prix 2 fr. la grande bouteille. Chez l'inventeur Od. Depratere, pharmacien Ostende, qui envoiten province contre bon poste de a.5o fr. (o.5o en plus pour 6 post) et a Ypres, pharmacie Socquet, Libotte, Donck, et Aertssens; Poperinghe, pharm. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 3