■fiKfó I FA ITS DIVERS ■L- P l Le concours de race caprine 12 Godefroid, Ypres. Une princesse beige Pour J'église gratuite Les pilules Fink et les domesliques W f V-V a n itinction PAREIN DA N V E R S Petlt-Beurre --'..v 7-SS' r '1?" Jean, 2 Spillebout, Kemmel 3 Hoorel- iiel, Reninghels, 3. Hoorelbeke, ebeke ones ayant 4 ou 6 dents. 1 Sedeiu, - -it- "tM-Z't Declercq ..Vv'Jêzwarte .Kerrinckx tfiA^Cofifyn, Macock-Rof- fZ^yPc'oï, Masco-Coffyn, Six- F andenbroucke-Vermeersch, •J F'd' f jlneke, Hollebeke. Boucs - i7-v.fiction Doco-Dewulf, Dufour- Ganne-Masco, Hoorelbeke-Odent. le Catégorie. Families sans enfants ou ayant 2 dents. 1 Syndicat Vlamertinghe 2 Derumez, Gheluwe 3 Santy Passchendaele 4 Parret, Ypres. f Boucs sans dents 1 Geloen Vlamertin- ghe 2 Christiaen, Poperinghe 3 Valcke, Wervicq 4 Verhaeghe, Zonnebeke I 5 Robaeys, Passchendaele 6 Derumez, Gheluwe 7 Rouse, Ypres. Boucs-agneaux. 1 Buyse, Gheluwe t 2 Billiau, Yiamertinglie 3 Buyse,Gheluwe 4 Butaye, Zonnebeke 5 Lamérant, Dicke- busch 6 Vanderhaeghe, Zonnebeke 7 Parret, Ypres. Chèvres ayant 8 dents, (avec cornes). 1 Ve.brugge, Passchendaele 2 Deroubaix, Vlamertinghe 3 Bossaert, Ypres 4 Deco niDck, Passchendaele 5 Bouckenooghe, Kemrnel 6 René Joseph, Kemmel 7 Ver- straete, Passchendaele 8 Módard Pinteion, Ypres 9 Devos, Ypres 10 Gernaert, Kemmel11 Walleghem, Kemmel 12 Bar tier, S. Jean 13 Delcroix, Ypres 14 Ballevier,Ypres 15 Deberdt,Vlamertinghe. Chèvres ayant huit dents (sans cornes). -- 1 Joye, Zonnebeke 2 Havegeer, Passchen daele 3 Verbrugge, Passchendaele 4 Demeester, Zonnebeke; 5 Knockaert, Dicke- busch 6 Denys, Passchendaele 7 Durnez, Becelaere 8 Ployaert, Kemmel9 Duthoit, Becelaere 10 Deroo, Poperinghe 11 Sieuw, Becelaere; 12 Vermeersch, Ypres 13 Decaesteker, Ypres 14 Ameye, Becelae re 15 Verbrugge, Zonnebeke 16 Gryson, Zillebeke 17 Breyne.Sint Jan; 18 Ployaert, Kemmel19 Degryse, Gheluwe 20 Inde- vuyst, Ypres. Chèvres ayant quatre dents (avec cornes). 1 LemaRre,Gheluwe 2 Daeniuck,Ypres 3 Waterbley, Ypres 4 Billiau, Vlamertin ghe 5 Maillet, Zonnebeke 6 Vereecke, Saint-Jean 7 Couttelle, Ypres 8 Vanden- f berghe, Ypres; 9 Hoornaert, Ypres; 10 l Verfaillie, Zonnebeke 11 Singier, Ypres j Chèvres ayant quatre dents (sans cornes). i avec enfants adultes. i. Laplus grande distinction Virginie Coffyn, Dewancker- Bonte, Dondeyne-Comptaer, Michiels-Gru- wier.Grande distinction Berten-Seghers, Kerrinckx-Sibrant, Wyseur-Collins. La distribution des primes terminée, M.le bourgmestre Colaert indique en larges traits les principales causes de la mortalité infantile tels la gastro-entérite infantile provoquée par cette mauvaise fa^on de nourrir les enfants jusqu'a les enguouer, l'assurance des enfants jj en bas age, la mauvaise qualité du lait et cette jj pernicieuse habitude du sirop soporatif. La S legislation interviendra sous peu pour pré- venir et empêcher cette mortalité, la ville d'Ypres fera également son possible mais les parents aussi peuvent et doivent y aider, s II insiste également sur l'éducation que les f parents doivent donner aux enfants, ainsi qu'au respect qu'ils doivent leur inculquer a js lVgard de nos promenades publiques et des propriétés privées et promet un plus grand f subside de la part de la ville pour un procbain concours. Après l'exécution par l'Harmonie commu- nale de la Brabanconne, que l'assistance 3 écoute debout, la cérémonie prend fin. La fédération de l'arrondi8sement des syndicats delevage de la race caprine a organisé hier avec le bienveillant concours de l'Etat, de la province et surtout de la ville d'Ypres, un grand concours pour boucs et chèvres auquel était affecté 1.000 fr.de prix et de nombreuses médailles. L'annonce de ce concours n'avait suscité pas mal de commentaires, il était regardé comme une chose peu sérieuse et sans utilité. Bourtant nous ne pouvons que féliciter les hommes d'eeuvres qui en ont pris l'initiative et les administrations publi ques et surtout la ville d'Ypres, qui en ont si généreusement assure la réussite. En effet si la chèvre constitue une ressource pour le pauvre, la vache du pauvre comme il a été dit, qui oserait contester que c'est Dejaer, Becelaere 4 Boyaert, Kemmel seulement par les syndicats et les concours qu'on arrivera a faire une sélection et a constituer une race, qui sera une fortune plus grande pour cette intéressante partie de nos populations rurales, les éleveurs de la chèvre. Le jury compose de MM. Decaesteeker, inspecteur vétérinaire a Ypres Lemahieu conseiller communal k Ypres Van Evel, cultivateur k Vladsloo; Leterme, cultivateur k Wytschaete; Vincken, vétérinaire a Moors lede Durnez, garde champêtre a Becelaere, a eu fort a faire pour répartir les prix entre les trois cents animaux présentés au con cours. Les opérations du jury ont été suivies avec intérêt par plus d'uu millier de per- sonnes, parmi lesquelles on remarquait M. Colaert, député-bourgmestre d'Ypres D'hu- vetter et Barret, conseillers provinciaux, plusieurs bourgmestres des communes de l'arrondissement d'Ypres, un délégué de la Fédération caprine de la Flandre oriën tale et un grand nonmbre d'hommes d'eeu vres. Les primes ont été distribuées a midi a i'Hotel de Ville d'Ypres, salie de milice.sous la présidence de M. le vétérinaire Oanepeel, qui, dans un discours bien tourné, a félicité les heureux gagnants et remercié les mem bres du jury et les administrations publiques et spécialement la ville d'Ypres. Voici les résultats Boucs ayant huit dents (avec cornes). j le Prince et la Princesse Albert ont conquis I Huysse, Ypies 2 Ronse, Ypres. (sans j toutes les sympathies de leur peuple, qui fait cornes) 1 Knockaert, Dickebusch 2 Be- Mennes toutes les joies et toutes les peines Vandewynckel, Poperinghe 6 Bayaert, Becelaere 7 Vanhoorne, Passchendaele 8 Vanrobays, Gheluwe 9 Raes, Zonnebeke 10 Decaesteeker, Ypres 11 Carroen, Po peringhe 12 Six, Becelaere 13 Vicomte du Pare, Vlamertinghe 14 Verbeke, Bece laere. Chèvres, agneaux. 1 Vicomte de Pare, Vlamertinghe 2 Dewulf, Zonnebeke 3 Demeester, Zonnebeke; 4 Ployaert,Kemmel; 5 Vanoverschelde, Ypres 6 Depover, Bece laere 7 Morel, Saint Jan 8 Dewancker, Saint-Jean 9 Lamérant, Dickebusch 10 Lamérant, Dickebusch 11 Santy, Zonne beke 12 Durnez, Becelaere. Mercredi i5 Aoüt, a 1 occasion del'As- somption, le Journal d' Ypres ne paraitra pas. 1 Depover et Boudry, Becelaere 3 Lacante, Ypres 4 Verschaeve, Passchen daele 5 Samyn, Becelaere 6 Decreus, Poperinghe 7 Hennin, Dickebusch 8 Roes, Zonnebeke 9 Baecke, Dickebusch 10 Boens, Gheluwe 11 Santy, Zonnebeke 12 Deraeve, Poperinghe 13 Willequin, Ypres 14 Graf, Zonnebeke 15 Hoflack, Vlamertinghe. Chèvres sans dents (avec cornes). 1 Duthoit, Becelaere 2 Vandelanoitte, Passchendaele 3 Sedein, Saint-Jean 4 Deruytter,Ypres 5 Notredame, Saint-Jean 6 Ballevier, Ypres 7 Boutten, Ypres 8 Garein, Hollebeke 9 Yerhille, Ypres. Chèvres sans dents (sans cornes). 1 Boudry, Becelaere2 Decat, Gheluwe 3 L heureuse nouvelle de la naissance de la princesse Marie-Josée-Charlotte Henriette- Sophie a été accueillie par le peuple beige avec une joie patriotique bien vive. Tandis que les téle'grammes affluaient a la villa princière et que les registres se couvraient de signatures, la ville d'Ostende prodiguait I joyeusement ses témoignages de loyalisme et de reconnaissance a la familie royale. Depuis les premiers jours de leur union de leurs altesses royales. Nous nous réjouis- sons de ce que Dieu, après avoir béni a deux reprises déja l'union de nos Princes bien- aimès, leur ménage les joies douces, que saura apporter, dans l'intérieur si simple du couple princier, les charmes d une petite princesse. La Belgique trouve dans les princes Leopold et Charles Théodore une double garantie du sort de la dynastie; elle se réjo'uit de ce qu'elle trouvera un jour, en la princesse qui vient de naitre, un cceui qui saura l'aimer comme l'aime sa Mère. J'ai été désarconné, l'autra jour, par un ami dont j'essayais de tempérer la fougue antichaisièrecar je crains bien qu'un de ces quatre matins il ne se paye un déjeuner de Nyam-Nyam dont le coeur et les mains d une chaisière fourniront le menu. Nous parlions du banc d'infamie qui chez certains chaisiers représente le maximum de gratuité que leur générosité soit capable de concevoir. A propos de bancs, me dit-il, je trouve que c'est le banc de communion qu'il faudrait taxer bien plutot que les chaises. II ne me laissa pas le temps de protester, indigné. Oh! ce n'est pas la peine, fit il, de vous scandaliser ni de sortir ce gros mot de simonie. I! n'yauraitpas plus de simonie la dedans que sur ma main. Ou, si vous tenez absolumeut a dénicher quelque part un semblant de simonie, vous en trouverez avec moins de peine dans la taxe des chaises. Et il s'explique Le banc de communion est généralement un meuble autrement coüteux qu'une chaise dans beaucoup d eglises il est sujet a de fréquents et difficiles déplacements enfin son entretien est aussi plus onéreuxque celui d'une chaise. La taxe correspondrait done a l'utilisation du meuble et non pas au droit de communier. C est égal, fis je, jamais les marguillers n'oseraient frapper d une taxe le banc de communion. Pareille taxe garderait toujours un petit air, sinon de simonie, du moins d'exploitation inconvenante. Nous y sommes riposta mon ami. C'est précisément ce petit air la qui est de trop dans la taxe chaisière. Sans doute, il ne choque guère quiconque aime sa religion, quiconque connait les besoins de l'Eglise et les frais du culte et tient compte de la modi- cité des revenus quidoivent y pourvoir. Mais il y a la foule des ignorants, des tièdes et des mécréants et il faut bien en tenir compte, puisque c est la masse. II avait raison. D'autant plus que si le banc de communion est, peut-on dire, facultatif, l'assistance aux cérémonies du culte, elle, est obligatoire une soixantaine de fois par an et, en outre, moralement nécessaire ou de haute convenance, même .«implement civile, des centaines de fois, Dira t-on que l'entre'e est gratuite Gela n'est pas sérieux. Même dans le midi, a Madrid, a Barcelone, par exemple.la plupart des e'glises ont maintenant leurs chaises ou leurs bancs. Dans nos pays du nord, oü les dalles des e'glises sont glacées, poussiéreuses ou... humides. oü le souci de la propreté du vêtement est plus grand, il n'est pas admissi ble que i'hospitalité a l'église puissc aller sans 1 offre d'une chaise ou d'un banc. Je m'imagine difficilement nos dames yproises, si habitudes soient-elles a balayer nos rues, se décidaut a assister aux offices divins sans pouvoir escompter la galanterie dun chaisier empressé a leur apporter les commodités de la conversation avec Dieu. Au surplus, il y a sous ce rapport, j'en conviens, beaucoup de messieurs qui sont lemme. Puisil y a les infirmes,les vieillards, les enfants et aussi ceux qui ne vont a l'église que par acquit de conscience et pour qui toute génuflexion serait pénible ou humiliante. La conclusion, c'est que le nombre des intéressés étant plus grand, il y a d'autant mieux moyen de sauvegarder le principe sacré de la gratuité sans avoir a redouter de voir tarir une source de revenus légitime et nécessaire. C est ainsi que pour être juste et logique il faut faire supporter avant tout par ces dames les charges de la réforme. II faut les punir par oü elles pèchent. Car se sont elles qui rompent dans nos temples la sainte égalité qui doit y régner. Par le conforta- ble de leurs chaises, par le luxe de leurs prie dieu, de leurs chapelets et formulaires, par le faste de leurs toilettes, elles font ressortir l'inégalité des conditions la oü il convient au contraire que ie pauvre soit roi. Mais pour ne pas leur rendre ma tartine des voies et moyens trop indigeste, je trouve prudent de la couper en deux et de la leur servir en deux fois. V. RAX. Les domestiquessouffrent des mêmes maladies que les maitres. IIs en soulïrent plus souvent, car ils travaillent plus dürement, n'ont pas les mêmes facilités pour se reposer et se soigner j Les maladies qui frappent le plus souvent les domestiques sont' l'anémie, les maux d'estomac, l'épuisement nervcux. le rhumatisme. Le maitre bien avisé qui voit souffrir ron domestique d'une de ces maladies lui recommande toujours le traitement des pilules Pink et lui en procure quelques boiles. I.o maitre sait en eiïet, que le traitement des pilules Pink convient parfaite- ment a son dom. stique. Ce traitement guérit. II guérit rapidement et p.ircorséquent avec peu de f'rais, il n'oblige a aucune interruption de tra vail.Le maitre et le domestique sont ainsi sa- tisfaits.Le maitre paree qu'il tien! 4 son domesti que et aurait été désoló de s'en séparer, le do mestique paree qu'il tient trés souvent a son maitre et toujours a sa place, et que guéri, il peut continuer son travail. Mn« I. M. Van Noordenne domestique Vianen a-d Lek, (Hollands), écrit Je vous informs que je suis bien mieux por tante depuis que j'ai fait usage des pilules Pink Auparavant j'étais d'une nervosité excessive 4 tel point que arfois il m'était impossible de proDoncer un seul mot. D'autre part, j'étais de- venue si faible que je ne pouvais plus faire mon travail chez mes patrons. A présent je suis bien portante, j'ai des forces, du courage et uue bon ne mine. I.e traitement des pilules Pink est le plus fa vorable aux travailleurs. Les pilules Piukdon- nent du sang, toniflent le système nerveux. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 2