CO vs Ml COM MUS AL
Grèves a Boulers
i/erivers d'un portrait
Actes officiels
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,\pi;
Viile d'\pres
t*& conflit eutre patrons et ouvriers.
i r e
,;,l r ainsi que samedi dernier six établisse-
16,^,4 'l^Ês de la villo étaient en grève les
,'lages de MM. L. Tant et Cie, Lenoir-
7 y^.rr\ auwels.Sociéte anonyme des établissement»
-ujj..- p De Gryse-Facon, Wyckhuyse, frère et
>yj*
H ~i>l>
de fer
.y t o ti 100,000 Ir.
.y. V';T4*f' V/./K.5!
'•'♦.v--: u'v'-V'f /"4-f^i J0° frs. Au-
■G-- J Ifif- j grand'peine
mêmes garanties
7 I soeur,Jules Loontjens et Agnes Van Gheluwe.
Une manifestation socialiste a eu lieu
dimanche a Roulers. Vers 2 heures, les
meneurs deGand et deMenin descendaient a
la gare, oü un millier d'ouvriers les atten-
daient plusieurs bouquets furent ott'erts
aux chefs des femmes eu grand nombre
portaient les rubans rouges et beaucoup
d'entre elles le portrait du citoyen Samyn,
de Gand, (celui qui a été condamné il y a
quelques aunées pour avoir tiré sur le
j directeur dune usine a 10 ans de prison).
Le cortège ayant en têtela musiquesocialiste
j de Menin a parcouru les principals rues de
II y a quatre-vingts ans, Jacques Laffitte - la viile, pour aboutir a la place des Cinq-
a formulé, dans ses Réflexions sur la Cbemins, quartier esseotiellement ouvrier.
Plusieurs orateurs ont, de l'étage du
cabaret Den traveer, harangué la foule ils
7 i »r> L - -
'l/Vv' rl' ,f*
eff-i, '>*:rmiettement, qui se pro-
*3.-; iis partages, et vous en
t.jjcp,
'vew ^clure que la misere sera vite
a ne prend soin de contrebalancer.par
i?>.
~ïe labeur et une sérieuse épargne, le déchet
nous venons
i
provenant des causes que
d'indiquer.
reduction de la rente et l'état de crédit
cette loi économique L'homme qui vit
sur une oeuvre passée, doil devenir conti- ont traité notamment la question de l'aug-
nuellement plus pauvre, paree que le temps
le transporte, avec la richesse d'autrefois, au
milieu d'une richesse toujours croissante
et toujours plus disproportionnée a la sienne.
A délaut de travail, il n'y a qu'un moyen de
se soutenir au niveau des valeurs actuelles,
c'est de diminuer sa consommation. II faut
travailler ou réduire. Le capitaliste a le role
de l'oisif, sa peine doit être ['économie et elle
n'est pas trop sévère.
Laffitte posait done comme règle qu'il
mentation des salaires et eugagé les ou
vriers s'affilier au Vooruit de Gand pour
jouir des avautages qui étaient fait» aux
ouvriers syndiqués en cas de grève. Ils ont
été fort acclamés. Vers le, soir, le cortège
s est remis en marche pour la gare, oü les
orateurs ont encore pns la parole pour
reinercier la population ouviière de iioulers
de l'emprtssement qu'elle avait inis a
assister a la manifestation. Les citoyens
Samyn et Simoens ont exhorté la foule au
on peut dire, pour l'immense majorité des
hommes, qu il faut travailler et se réduire.
En effet, la diminution des dépenses ne peut
plus se faire sur la même échelle quejadis.
Nous le répétons, les charges de Ia vie
s'aggravent quotidiennement. Si l'épargne
reste un devoir pour qui veut s'agrandir,
le vrai moyen de trouver des fonds i écono-
miser sera le travail.
C'est ce qua fait observer M. Alfred
Neymarck Un rentier ne vit pas sur son
capital a moins d'être un prodigue personne
ne peut vivre que du produit de son travail
ou par le revenu des capitaux qu'il a pu i
placer. Comme le revenu est extrêmement
réduit, en même temps que, dans certains
cas, h sécurité de placement qui donne le I
revenu nest jamais absolue, le rentier si
envié tremble chaque jour pour 1 avenir de
ses placements.
Les réflexions, que nous venons d'émettre
s'adressent aux pères de familie, qui 0nt Ie
souci de l'avenir de leurs descendants. Elles
intéressent aussi les mères de familie, qui
toutes devraient avoir la sagesse de Ia noble
hesbignonne, dont nous parlions au début
de ceite étude. Nous le disons avec d'autant
plus d'insistance que ce sont souvent les
femmes, de dos jours, qui déséquilibrent le
budget du mari par des dépenses extrava-
gantes de toilettes, de cobfichets etd'inutili-
lés. Dans notre organisation sociale, c'est
en général, l'homme qui gagne 1 aigent et la
femme qui faut les dépenses. Vous devriez
admettons. Proscrivez
emplette futile, tout gaspiüage. Que de
femmes pourraient, en observant ce prin- et d une profondeur de 17 m. 2° 14 m. 50
/- i annrnnwi- n n d 1 Oil»' 1 TV» nitO liooón iir\ At-m-nin.L/i
cipe, épargner quotidiennement quelque
gros sous, ce qui serait pour beaucoup le
commencement de l'aisance, sinon de la
fortune.
Nous voudrions que les jeunes gens pris-
sent aussi une part de nos conseils. C'est
eux surtout de méditer la loi du travail, qui
a été édictée par Dieu, a l'origine du monde,
et dont l'impérieuse nécessité s'aper^nit de
nos jours plus que jamais.
Daucuns trouveront nos avis austères,
mais les donner nous a paru un devoir, or,
devant le devoir il n'est jamais permis de
reculer.
Jean de Marville
Manifestation socialiste
Depuis trots Bemaines environ, écrit-ou au
XX' Siècledes grèves se pt oduisent rautöt
dans un tissage, tantót dans un autre, ainsi
que dans les filatures. Des u citoyens de
Menin et de Gand sont immédiatement
accourus pour faire de la propagande
socialiste et ont réussi, en effet,a 8'immiscer
fallait travailler ou se réduire. Aujourd'hui calme et, en présence de l'augmeutation des
salaires qui venait de leur être donnée, ont
engagé les ouvriers a reprendre le travail
lundi.
Au moment oü je vous éeris, deux fabri-
ques se soiit mises en grève la filature de
Brouckere frères et le tissage L.Taut et Cie.
Les débaideurs du canal refusent ógalement
de décharger les bateaux.
La situation est trés tendu les ouvriers
roulariens commencent a se rendre coinpte
de leur puissance sur 25,000 habitants, il
y a environ 17,000 ouvriers.
Le Conseii communal s'estréuni le samedi
29 septembre, a ciuq beures.
i Étaient présents MM. Colaert, bourg-
i mestre; Struye.Vandenboogaerde, éclievins;
Fiers, VandergUote, Düuvettere, Bouquet,
Bobry, lweius d Eeckiioutte, Lemalneu,
cousbillers; Gorrissen secrétaire.
MM. Fraeijs et Vanden Peereboom se sont
fait excuser.
Le Conseil approuve le procés verbal de
veute de noix provenant des arbres des pro
menades publiques. Gette vente a produit
avec les 5 °/0 la soumie de 955 lr. 10 centim.
Une mudification au cainer des charges
pour ia vente de terrains communaux est
approuvée. Les acqu-ireurs de ces terrains,
au lieu de déposer uue garantie en fonds
public»,devrnut faire un dépot ennuméraire.
Gette modification a surtout en vue d'obliger
les acquéreurs a bdtir dans le déiai prévu et
également pour ne pas avoir les tracasseries
toujours, Mesdames, quand il s'agit d'aller qu'une réalisation de fonds publics peut
a voire portemonnaie, vous demander si susciter,lor»que ce fonds de garantie devient
vous allez faire une acquisition nécessaire ou i Pl0Pr'6té de la viile.
du moins utile. Ce sont les seules aue non, 1 ^opriétés commwiales: vente de terrains
H i Le Oonseil autonse la vente1° d un
absolument toute
terrain situé entre la rue Jules Capron et la
rue du Chateau d eau, d une largeur de 6 m,
sur 12 m., chaussée de i :operinghe,cóté Est;
3° 150 in. attenant au précédent4° 200 m.
ayant 8 m. 25 de laigeur et 15 m. de pro-
fondeur attenant au précédent.De cette fagou
touB les terrains se trouvaut a l'Ouest de la
maisou Veys jusqu'au prolongement projeté
de la rue Fiers (ou plutöt de la nouvelle rue
perpendiculaire a la maison de Posch) sont
vendus.
Finances communales dépot du compte
de igo5. Ce dépot est fait tardivement,
paree i'Etat et la province ne viennent que
u'envoyer dernièrement leurs parts contri-
butives dans le traitement des instituteurs
iutérimaires. Ce cumpte comporte; A l'ordi-
i naiie: Ifecettes, 372.309 fr. 28 dépenses,
326.200 fr. 27 excédent, 46 109 fr. 11. A
i l'exuaordinaire Recettes, 137.210 fr. 48
depeuses, 73.185 a. 86; excédent, 64.025
fr. 62. Excédent générai, 110.133 fr. 73.
Ge compte est renvoyé aux sections pour
examen.
Hygiëne. Le Uourgmestre expose le
eoniiit qui a surgi eutre la Villeet les per
sonnes chargées de .'ébouage des rues. Ce
contlit est arr ange a la satisfaction générale,
et le service est organisé tel que nous l'avons
aunoucé dans le journal du 25 septembre
dernier. Ajoutons eucore que les boueurs,
qui touchaieut aupa,ravant une gratification
journalière de la Viile, de 0.90 centimes,
auront actuellement 2 francs. Un crédit de
600 francs est voté pour assurer ce service
jusqu'au ler janvier prochain.
M. le Bourgmestre entretient le Conseil
du fossé du boulevard Malou. L eau de ce
fossé dégageaut uue odeur trés désagréable
et étant certainement contaminée et pou
vaut done présenter des dangers pour 1 hy
giene, une expertise de cette uiu a été
demandée au docteur Terlinck, qui, dans
un remarquable rapport, couduait a la
désinfection -de l'eau. On essnya d'aburd la.
chaux, ensuite on proposa d'auir.:> pp doi s
et, finalement, après exper ise bactéri I i
que par un spécialiste de Gaud, on a laisse
se déverser cette eau dans Cu. du boule
vard Malou. Actuellement, l'odeur r. di.-p ra
le niveau d eau de ce lossé a baissé de 55
centimêtres et ce fossé ne coastitue jrlus
aucun danger pour l'hygiène.
Ecole moyenne
Le budget de 1'Ecole moyenne pour 1907
se montant en recettes a 31.987 fr 50, et en
dépenses a 31.687 lr. 50, est approuvé.
M. Keuckelinck, instituteur a 1 Ecole,
nommé régent a l'Ecole moyenne de Spa,
est remplacé, comme instituteur, par M.
Barthélémi Van Sint Jan.
Le Conseil approuve successivement la
repartition de la part a payer par le Bureau
de bienfaisance dans 1'instruction gratuite
en 1905-1906 les procès-verbaux d'une
location de chasse appartenant au Bureau
de bienfaisance et aux Hospices civils la
vente, par les Hospice civils, d'une terre sise
a St-Jean le budget 1907 de la fabrique
d'église de St-Nicolas.
M. Bouquet demande la réfection du
trottoir, cöté nord, de la chaussée de la
porte de Menin k la Bascule.Le Bourgmestre
répond que I'Etat ne voulant pas prendre
sa charge la réfection de ce trottoir, la
Viile sen chargera elle-même.
M. Sobry rappelle la construction du
trottoir, chaussée de Vlamertinghe, devant
les maisons Hyndrick, une somme de 1.500
francs étant prévue pour ce travail au
budget.
M. Lemahieu demande des lanternes
au Wegwijzer, au Oatotjes et nu Smishoek
II y sera prochainement pourvu, d'autmt
plus que la canalisation du gaz se fera
jusqu'au Smishoek, jusquau Catotjes et
mêmejusqua la t'otise.
Le même conseiller demande la construc
tion d un petit ponton en bois sur un
rnisseau prés de 1 etang de Zilleheke. La
question sera examinée.
M. Sobry demande quel sera le coüt
par mètre des digues a construire le long
de l'étang de Dickebusch. Cette question est
a letude et sera prête pour 1 examen des
différents travaux qui figureront prochaine
ment a l'ordre du jour et pour l'esquels on
projette de faire 1 emprunt.
La séance est levée a six beures.
Voila uu titre.
J'aurais pü écrire aussi bien
Les tribulations d'un pbotograpbe.
Et je ne sais pas puurquoi je ne i'ai pas
fait.
C'est une explication, mais ce n'est pas
une excuse.
Le portrait que le Journal dYpres a
publié sous ma signature, ici, a ce même
endroit, voici fiuit jours exactement, a piü
et il n'a pas plü, il a deplü et il n'a pas
déplü.
Cela paraitra dröle, sinon paradoxal, et
pourtant rien n'est plus stictement exact.
Jugez plutót.
J'ai recu au sujet de ce portrait, qu'eutre
parenthèse je ne regrette pas d'avoir brossé,
trois invitations a diner ma foi trés
gracieuses, une brutale lettre anonyme
oui, encore m enjoignant fort brutaie-
ment, je crois, de me taire, et.... trois
provocations en duel.
Devaut ces manifestations si diverses de
l'opinion publique, je me trouve fort per
plexe, et vous voudrez bien conrenir avec
moi que vraiment, ce n'est pas sans raison.
Car, raisonnez done un peu avec moi et
tachon8 de nous mettre charitablement
d'accord, pas seulemeut avec les sept qui
m'ontfait l'honneur de m'écrire, mais aussi
avec ceux qui se sont contenté de daiguer
me iire et qui out conservé par devers eux
leurs appreciations, bienveiltantes ou peu
charitables pour moi, cela mest assez
indifférent. Je ne demande qu'une chose,
c'est que je rencontre, de Ia part de ceux
qui me couvrent de louages dont je nai pas
besoiu et de ceux qui m'accable .t de criti
ques dout je ne me soucie que médiocrement,
un peu de bonne volonté.
Intentionnellement je laisse de cóté le
lapin fort peu courageux auquel je dois la
lettre aussi grossièrement béte,que bêtement
anonyme.
S'il en a le temps, il peut attendre sous
l'orme, celui la, et il peut surtout s'y mettre
a l'ombre,car,je le lui dis en toute franchise,
s'il ne suit pas docilement mon amical
conseil, je pourrais bien un jour, quand il
y pense le moius, lui ménager un petit coup
de soleil, pas piqué des vers du tout.
Aux invitations a diner, quoique si gra
cieuses, je u'ai pas répondu jusqu'ici, car
jamais je n'ai eu la pensee de me taiiier, par
ma plume, un diner a l'aeil. Toutefois, et
quoique quelques-uns de ceux qui me ren-
coiitreilt en rue me traitent de barbare
et ine croient siucèrement tel, puisqu'ils
pou-sent leur sincerité jusqua demander
conliüentieliement a ma servante si je suis,
daus mon intérieur, aussi barbare que
j en ai l'air, je ne veux pas passer pour un
mnlutiu, et je remercie siucèrement mes
co. resjioudants par trop gracieux, tout eu
uóclimuit leur invitation. ..jiour !e moment.
A ceux qui me provoquent en duel, hum 1
C'est plus délicat 1
ij'abord, je ne vroudrais pas passer pour
li u poltron.
La poltronuerie est un.i nionnaie qui n'a
jamais eu cuius rigal dans Je doinaine de
mes relationsMais voila, je suis chrétien
après tout, et puis, il y a si longtemps que
j'ai solenuellein- at promis de ne plus jamais
cberchei mon plaisir a tai ler des bouton-
nières daus la peau de mon proebaiu, et puis
aussi, n y a si longtemps que, l expérience
et la reflexion aidant, je n'ai plus la tête
au=-si prés des cheveux qu'autrefois, et puis
eucore. avouotis jusqu'au bout, ils sont
devenus si clairsemés,mes cheveux, que s'ils
se trouvaient encore trop prés de la tête,
je ne in en apercevrais guère.
Done, jusqu'ici, en matière de duel,comme
diraient les avocats, je n'ai pas accepté
non plus.
Gompreiiez vous mon anxieuse perplexité
maintenant
Oui
Ehbien, merci, ce n'est pas dommage.
Jen étais la de mes réflexions, dimanche
dernier, entre sept et neuf heures du matin,
car je n'ai guère que le dimanche pour
m'éctretenir avec le public, et je n'avais
toujours pas trouvé, au proulème que mon
portrait m'aiait at-tiré sur le dos, une
solutio i convenable ou ine paraissaut telle.
Et puisque nous sommes un aveu, allous
jusqu'au bout. Quand je me trouve ainsi, et
si lainuntablement a quia j'ai i'habitude
d'aller demander a l'air frais du matin,
la nature qui s'éveilie, au grouillement
nais8ant de ia viile, aux mille riens qui se
coudoient et s'eatrechoquent daus la rue,
un peu de Jumièie, uu brin d'inspiration.
Le plus souvent je m'en trouve bien, et le
problème qui me chifl'onne pour le quart
d'heure se résoud comme par enchantement.
Justement, dimanche dernier, la journée
sannoncait belle, l air était bien pur, la
bise si fraiche, et la pipe que je venais
d allumer avait eu le don d'épanouir dóli-
cieusement mon ame toujours jeune devant
un coin bleu du ciel.
Ges effluves niatiuales si pures et que
j'aime tant, mavaient effleuré d'une caresse
si bienfaisante et si puissante, que la
solution tant et si vaiuemeut cberchée, vint
toute seule, se traduisant eu une conclusion
lumineuse, que je m'empresse de soumettre
a mes six correspondents, me réservant
scrupuleusement leseptième, l'anonyme.
Gette conclusion lumineuse, la voici.
Que mes trois correspondants gracieux,
certainement victimes d'une mauvaise lan-
gue qiielconque,veuillent bien inviter k diner
mes trois provocateurs eu duel, qui, non
moins certainemeut se sont senti morveux.
Et s'il se fait, ce diner, je jure de ne pas
demander un brevêt d'inveution et d'y aller
prendre le café, si toutefois on m'y tolère.
Et qui sait, j aurai peut être cette suprème
consolation de voir que mon portrait a eu
un effet salutaire d'un cóté, le pardon de
l'offense subie, de l'autre cöté, la ferme
résolution de ne plus recommencer.
Et ainsi se trouverait dignement et chré-
tiennement sanctionné, le bon petit sermon
que les différents curés d'Ypres, ont si bien
adressé, et a?ec une si touchante unanircité,
h leurs paroissiens attentifs, dimanche
dernier.
Paul Laceoix.
La médaille commémorative du règne de
S.M. Léopold II est décernée aux personnes
dont les noms suivent, pour services rendus
dans 1 administration des bureaux de bien
faisance, des hospices civils,et des fabriques
d'églises.
Bureaux de bienfaisance. Brielen MM.
Bossaert, membre Comines, F. Bonte,
membre Dranoutre, T. Benoist,secrétaire-
receveur Gheluvelt, F. Verbellen, membre,
L. Hillebrant, ancien membre, H. D'boine,
distributeur Langemarck, A. Decock,
membre, A. Delanghe, ancien membre
Messines, Ch. Warlop, membre Passchea-
daele, P. Verbanck, ancien membre Ploeg-
steert, J.B. Fourez,médecin,Me Varithuyne,
sage-femme Poperingbe, Ch. Delbaere,
président, H. Verscheure, ancien receveur i
Keninghelst, A. Merlevede, président i
Rousbrugghe-Hariughe, D. Vandeputte,
secrétaire-trésorier Yoormezeele, A. GQ'
son, membre Warnêton,G.Marhem,ancieB