/sie repos dominical dans le petit commerce et les bazars Le commerce de Ia Belgique Examens Actes officiels Pour conserver des I'm its Maladie d'estomac XXX. LE THERMOGENEMaux de reins Une dame d'Alkmaar agée de 64 ans guérie par les pilules Pink LE THERMOGÈNEPoints de coté. it cependant ii resle dit 011 auxdiploma- dque inquiétude en dépit de Theureuse r-i i~ la conférence d'Algésiras. V •- m. >ialdane '/v>-yTincu,vient -£èut pas désar- euple anglais ne are. D'aatre part *is déclarent qu'une st inacceptable pour leur pays doit rattra- t prendre k l'Allemagne. .'- one bien que le ventaesouffle pas j, xëir ..iiïient dans les voiles du pacifisme et que iës fameux projets de paix universelle ne présentent aucune chance de réalisation im- médiate. On a beau parler d'une nouvelle réunion de la conférence de La Haye le Par lement anglais d'accord avec le gouvernement a eu beau voter une motion reprenant les idéés pacifistes du Czar, ses vceux r.e changent rien k la situation qui ne permet pas le dé- sarmement. Pour se consoler les franqais et les anglais s'en prennent k l'Allemagne qui k la première conférence de La Haye a pris une attitude franchement hostile au désarmement, qui par sa puissance militaire menace la France et par ses armements navals porte ombrage k l'Angleterre.Ils pourront seplaindre longtemps encore. L'Allemagne n'est pas prête k les en tendre. L'idée de désarmement n'est pas nouvelle déjk au 18' siècle, Grotius, philosophe protes tant et l'abbé de St Pierre, avaient lancé l'idée de la paix universelle décidée et maintenue par un accord entre les Rois. Ce projet de paix ne fut en réalité qu'une pomme de discorde les idéologues s'enthousiasmèrent de la grandeur de la conception, les sceptiques et les critiques la tournérent en dérision. Voltaire n'avait pas assez de railleries pour les utopies de l'abbé de St Pierre,tandis que Rousseau favorable al'idée déplorait son caractêre irréalisable. Quanta Leibnitz, il disait spirituellemenlJe me sou souviens d'avoir vu audessus de la porte d'un cimitière cette inscription Paix éternelle Hélas I nous sommes loin encore du temps oü selon la prophétie d'lsaie.les hommes trans- formeronl leurs épé.«s en taulx k moissonnet. Est-ce une raison de prélendre que la paix uni verselle doive k tout jamais être reléguée aux magasins des chimères? Point. Depuis deux siè- cles ie monde a vu, dans l'erdre moral non moins que dans l'ordre physique, des transfor mations dont l'annonce aurait enfermé ie prophéte dans une maison de fous. Pour avoir le droit d'affirmer la possibilité d'une chose il faut produire des arguments scientifiques. II nous est avis que le problème posé par le pacifisme n'offle pas encore de données suffi- santes pour qu'on puisse préjuger de l'avenir. Tout ce qui nous est permis de constater, e'est que l'idée fait lentement son chemin dans la conscience des peuples civilisés. L'opinion publique envisage la guerre avec une horreur chaque jour croissante. Or l'opinion publique tend de plus en plus k devenir la reine du monde et si el Ie n'est pas encore parvenue a rendretouteguerre impossible, elie est devenue dans la politique européenne un facteur qui déjk la rend plus difficile k déclater et partant plus rare. Un point qui nous parait plus clair, e'est l'impossibilité de résoudrele problèmedans un sens favorable k i'heure présente, il y a trop de difficultés pendantes entre nations, trop d'ob- stacles sur les frontières pour que le cbar de la paix puisse passer sans encombre d'un pays k l'aulre l'entente cordiale anglo-framjaise, va dit-on, se transformer en convention militaire, ce qui n'est pas fait pour pousser l'Allemagne k désarmer. II ne faut pas oublier que Ia situa tion ir.térieure et extérieure de la Russie reste trés instable et qu'il y a dans ce pays les bran- dons d'un incendie qui peut embraser toute l'Europe. Si vous passez au Sud, vous constatez l'antagonisme latent entre l'Autriche et l'ltalie et les innombrables questions se rattachant a la peniasule balkanique. D'ailleurs, si un jour nos hommes d'état réalisant la conception encore utopiquede quelques uns parvenaient a fonder laconfédération desEtats-Unisd'Europe, l'Europe alors ne devrait-elle pas rester sous les armes pour faire face aux dangers de l'in- vasion asiatique. Nous sommes si peu prés de la paix univer selle que s'il faut s'en rapporter aux grands organes de la presse internationale, une cer- taine nervosité règne dans les chancelleries. Le temps cependant semble bien a la paix, la Con férence d'Algésiras, nous a montré quen i la France, ni l'Allemagne, ni l'Angleterre ne dési- rent affronter les hasards d'une guerre univer Belle. Dans les autres pays tout est égalemeal Le Conseil supérieur du travail étudie actuellement la question de l'application de la loi sur le repos dominical. Dans sa dernière réunion, il a examiné les petitions de petits boutiquiers et d'exploi- tants de bazars demandant des exceptions. Après une longue discussion, le Conseil a de'cidé, a l'unanimité moins deux voix, que les commerijants et les exploitants de bazars ne peuvent pas établir un roulement eu vue de disposer, le dimanche, de leur personnel comme les autres jours. Le Conseil a décidé qu'il y a lieu d'accor- der aux petits commercants et bazars le bénéfice de l'article 7, qui permet au Roi d'accorder a ces commerijants la faculté de changer les heures et même de majorar les heures de travail pour six semaines de l'an- née. M.Hanquet a fait rapport sur les petitions adressées au Gouvernement. Ces pétjtions qui ne soulèvent aucune question de principe ont éte' accueillies ou rejetées selon qu'elles invoquaient a tort ou k raison les dispositions de la loi. Les importations, pendant les neuf pre miers mois de l'année, se sont élevées a i5 millions 415,509 tonnes contre 13,844,586 en 1905. Augmentation pour la période correspon- dante 11.1 p. c. Les exportations se sont élevées a I2,3g3,3a7 tonnes contre 11,229,531, soit augmentation de 10.4 p. c. Les droits de douane percus représentent, toujours pour la même période correspon- dante de 9 mois, une augmentation de 2.9 p. c. Le mouvement de la navigation maritime marque aussi une progression. A l'éntrée.ily a eu 9,532,946 tonnes cette année contre 8,491,137 tonnes l'an dernier, soit en plus 1 041,809 tonnes, ou 12.3 p. c. A la sortie 9,606,681 tonnes contre 8 millions 463 773 tonnes en 1905, soit une difference en faveur de l'année courante de 1 million 142,908 tonnes, ou i3.5 p. c. M. Pierre Van Houver d'Ypres, ancien élève du Collége St Vincent, vient de passer avec grande distinction l'epreuve finale du dernier examen de docteur en droit. Ceci porte a 3o ie nombre d'examens universitaires subis avec succes, pendant la session Juillet-Octobre 1906, paries anciens éièves du Collége St Vincent. IIs ont obtenu une fois la plus grande distinction, deux fois la grande distinction et huit fois la distinc tion. Un arrêté royal du 25 Septembre 1906 autori.se le Conseil communal de Bas- Warneton a percevoir des cotisations personnelles. Par arrêté royal du j5 Septembre 1906 M. L.-J. Wittebroodt, maitre de musique a 1 école moyenne de 1 Etat pour garjons a Ypres, est mis a la pensi©n et autorisé a conserver le titre honorifique de ses fonctions. Par arrêté de M. le Ministre de la Justice, en la date du 4 Octobre 1906, un subside de 500 fr., imputable sur le chapitre VIII art. 41 du budget de son département pour l'exercice 1906. est accordé au comité d'inspection et de surveillance de l'Ecole de Bienfaisance de l'Etat k Ypres, pour lui permettre de remplir sa mission de patronage k l'égard des éièves sortis de cette école. Par arrêté royal du 10 Septembre 1906, l'uniforme des grade's et gardes incorporés au second ban, postérieurement au 21 Mars 1901, comprend la capote réglementaire prescrite pour le premier ban. Un arrêté royal du 1 Septembre 1906 alloue les subsides suivants aux communes ci-après pour contribuer au payement des dépenses resultant de l'exécution de travaux d'hygiène Ypres 23 fr. et 1191 fr.; Wervicq 700 fr. Par arrêté royal du 9 Octobre 1906, la croix militaire de 2e classe est décernée au capitaine commandant J.-P. Piers, au 3e régiment de ligne. Par arrêté royal du 22 Septembre 1906, la démission du grade et de l'emploi qu il occupe dans l'armée, offerte par le capitaine en second P. Wouters, du 3e régiment .de ligne est acceptée. Tout d'abord il faut cueillir les fiuits par un temps sec et éviter absolument de les detacher lorsqu'ils sont mouillés de rosée ou de pluie. Avec de l'humidite sur l'épiderme, il se produit l'absorption de Peau par le fruit détaché, sa transpiration ensuite et enfin une decomposition rapide. Autant que possible, cueillir de 10 heures du matin a 5 heures du soir. L'opération doit être pratiquée par des personnes lestes et adroites et assez fortes pour manier un longue échelle sans casser les branches. Les fruits sont cueillis un a un et passés déücatement a l'intermédaire qui les dépose avec soin et sans les entasser dans les manettes ou dans les paniers plats garnis de fougère. Quand les paniers sont pleins, on les expose quelques jours dans un endroit cou vert et bien aéré, pour les laisser se ressuyer. En même temps, un triage se fait de soi- même, les mauvais fruits auront commencé de pourrir et on n'aura plus dès lors a porter au fruitier que les fruits parfaifement sains. Le fruitier peut être établi n'importe oü, suivant la commodité, mais a condition expresse que le local soit salubre, hors de toute émanation étrangère et a l'abri des variations de la température: une uniformité de quatre a cinq dégrés doit être recberchée. Lumière faible et renouvellement de Fair par temps doux et sec. Propreté méticuleuse Ne jamais perdre de vue que lhumidité, la lumière et la chaleur sont des agents qui précipitent la maturation du fruit. Les tablettes du fruitier seront d'un bois dur, rèfractaire a l'humidité.Une distance de 3o centimètres suffit, en hauteur, entre les tablettes qui seront inclinées de lacon a lais ser voir les fruits d'un seul coup d'ceil d'en- semble. La largeur sera de 5o a 60 céntimè- tres, c'est-a-dire pas assez profonde pour que les fruits les plus élognés ne puissent pas être atteints sans toucher aux premières ran- gées. Une petite tringle de bois maintiendra a chaque rangée, le fruit debout. On ne doit mettre ni mousse, ni paille, sur les tablettes, paree qu'a la longue elles communiqueraient un goüt étranger et désa- gréable. Les fruits seront rangés sur les tablettes avec d'infinies précautions.Ils ne doivent pas se toucher.Ceux qui doivent être consomme's les premiers seront les plus en vue, les poires sur l'oeïl ou l'ombilic et les pommes en sens inverse, c'est-a-dire sur la queue. La pêche est le fruit qui se conserve le moins longtemps. 11 faut la cueillir deux ou trois jours avant la maturité, ne choisir que les plus beaux sujets pour la conservation, éviter de les frotter ou de les brosser pour leur donner du brillant en faisant tomber le duvet qui les recouvre et les protégé. Ce sera, si elles doivent être vendues, affaire au marchand de les débarraser avant de les disposer pour la montre. Chaque fruit sera déücatement enveloppé d'un papier fin, comme on fait du citron, puis on le plonge ainsi revêtu dans de Ia cire fondue. Isolé par le moyen de contact de l'air, il se conserve au fruitier un temps assez long de la dure'e duquel on ne pourra juger sans sacrificier une enveloppe. Poires et pommes se conserveront plus belles et plus longtemps si, avant de les mettre en place sur les tablettes, on prend le soin de les envelopper aussi de papier de soie ou d'ouate. Quand on veut retarder le plus possible la maturité, il faut plonger l'extrémité de la queue dans un vernis obtenu en faisant dissoudre de la cire a cacheter dans de l'esprit-de-vin chauffé au bain-marie. Les fruits piqués ou véreux, que l'on ne veut pas sacrifier, peuvent être conservés au fruitier assez longtemps et sans inconvénient si 1 on a collé un peu de papier gommé sur les trous faits par les vers. II va sans dire que le Iruitier doit êtr fre'quemment visité pour en retirer au fur et a mesure les fruits qui pourrissent. II est un fruit, le raisin, dont la conser vation réclame un traitement spécial. II se conserve de deux facons sur la treille, ou dans le fruitier. Sur la treille, quand il eS( bien mür, on finit d'effeuiller, puis, après avoir protégé les grappes contre le froid par de fortes toiles, on dispose au bout du mur des auvenis en planches d'une saillie d'un demi mètre. 11 vaut visiter fréquemment et avoir bien soin d'enlever habilement aux ciseaux les grains qui pourrissent. Les sacs en papier (papiers et non tissu) que Ton empioie aussi avec succès ont Tavantage de piotéger les grappes contre les frelons, les guêpes et les oiseaux. Four le raisin conservéau fi uilier,le fruitier de rez-de-chausse'e et encore moins, celui de Cave ne conviennent. II faut une pièce detage au levant si possible. Les grappes sont susp.-ndues, contre des cadres en bois, a des lils de fer en S, après que tous les grains entamés par la pourriture ont été soigneusement enlevés.Température unifor me 5°, peu de lumière et d'air. Le meilleur procédé est celui de Thomery: la grappe estcoupée avec son sarment dont une des extrémité plongé dans un flacon plein d'eau et garni de charbon et dont Tautre est cacheté a la cire. Jean d'ARAULEL Professeur d'Agriculture. i M. J. Bakker, Kitsteeg, No i, a Alkmaar j (Hollande), nous écrit pour nous faire part de la I guérison de sa mère Madame Bakker Je vous informs dit-il, que ma mère a souf- fert pendant des annéesde l'estomac.Sa maladie qu'elle trainait depuis longtemps, était grave et elle ne pouvait supporter des aliments même les plus légers.Elle avait essayé toutes sortes de re- rnèdes, mais elle n'espórait plus guérir, car ces remèdes ne la soulageaient même pas.Elle a pris en dernier lieu les pilules Pink et du jour ou elle a commencé a ptendre ces pilules son état s'est amélioré trés sensiblsment. Ellearetrou- vé un bon appétit, des digestions meilleures et un sommeil paisible. Ma mère recommande les pilules Pink qui lui ont apporté une guérison sur laquelle elle ne eomptait plus. La principale cause de I'affaiblissement de i'estomac chez les vieillards réside dans ce fait qu'd y a trés longtemps que leur estomac sert. Depuis plus de 60 ans qu'il fait son service il a été soumis a de dures épreuves, il a souvent été surmené. II esl bien naturel qu'il soit un peu fatigué, uu peu usé, un peu détraqué Maisil n'y a pas de machina usée qui ne puisse subir une bonne réparation, de machine usée, fatiguée, qui ne puisse être remise k neuf. L'estomac est une mach i e et les pilules Pink remettent k neuf les eslomac fatigués, usés. Les pilules Pink donnent du sang riche et pur. Eiles remplacent le sang usé, le sang qui ne nourrit plus les organes, par du sang tout neuf, tout pur, du sang comme il en couie dans les veines des hom mes de 20 ans.r Ge sang nourrit tous les orga nes, il les fait travailler convenablement et les remet k neuf. Les pilules Pmk sont souveraines contre l'a- némie, la ehlorose, la neurasthénie, la faiblesse générale, lesmanx d'estomac, le rhumatisme. Les pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies, et au dépot pharmacie Uerneville, 66, Boulevard de Waterloo, Bruxelles, 3.50 la boite, 17.50 les 6 hoites franco. Dépot k Ypres, pharmacie C. LIBOTTE; Pope- ritighe, pharmacie MON I'EYNE. Conseil pratique. Dès li s premières attein- tes d'une indisposition, (vertiges, migraine, mal do tête, lourdeur, manque d'appétit, gêne d'estomac ou autres), prendre immé- diatemeut deux ou trois pilules purgatives antiglaireuses du D<- Walthéry. 1 fr. fa boxte.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1906 | | pagina 2