Glioses et Au tres
FA ITS 'DlVpS
A VENDUE
ADLER
SAVO
SANSRiVALkiür
CHHRBONS
Laïeisation
Actcs officiels
Vouloir 1 ra vailler
n'est pas pouvoir trayai'ler
II a welijksafkon d irjinfjen
CYCLISTES
liet agentschap voor de provincie West-Vlaanderen
Huis IA, ON VIN CART
Nieuwlandstraat, 105, BRUSSEL.
fHotépioo^ dc ^onstpa^tion
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La vache du pauvrc
Socialistes ct pot its profits
Grande ville et misère
Les krmcos
fcfficacité cies annoacts
Les catholiques et les ouvriers
La Flandre Oriëntale 'compte 68 gildes de
Franschmans (ouvriers allant faire les
gros travaux d'agriculture en Fran'ce) et de
briquetiers avec 3972 membres. En 1906
80 réunions ont été tenues et 18*7 meetings
au piofit de Tóeuvre ont été donnés. Dans
lc courant de cette même année un grand
nombre de difficulte's ont, pu être aplanies et
il en est résulié un profit matériel' pour les
membres de 64,800 fr.
Bonne mesure
Les pilules Pink donnentdes forces
pour le travail
I 'oias* «vos1} >1. DËLilfiU
25, rue Jules V>tn Praef, BRUXELLES (Bourse).
WERELDBEROEMDE RIJWIELEN
zal toegekend worden aan jongen en werkzamen Heei% rijwiel
handelaar of nietVOORNEMENS ZIJNDE HET ARTIKEL GOED
TE BEWERKEN en er zich eene winstgevende zaak van te maken.
Zich te wenden tot het algemeen Belgisch agentschap
#-T#—sf|—-f§—
YPSESj raie d'SivcrdsMgSae; 44, YPMES
Prés de 1'Abattoir, 17, et m Qu-ai.
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Cet union cordiale ranime d'autant plus le
courage des catholiques que le Bloc des
adversaires perd de plus en plus sa colie'sion.
Combes et Briand continuent kurconver
sation engage'e sur la terre étrangère de la
Nouvelle presse libre de Vienne.
M. Briand a, en effet, jugé a propos de
répondre a l'attaque de M. Combes.
11 ne pardonne pas a M. Combes d'avoir
brisé entre ses mains les armes perfides dont
il se servait pour rejeter sur le Pape la
responsabilité des maux dont souffre
l'Eglise.' Sans doute M. Combes n'a pas eu
grand mérite a trouver des arguments de
nature a le convaincre que les cultuelles
étaient contraires a la constitution de l'Eglise.
lis sont tout entiers dans les discours
prononcés a la chambre par M. Piou. Mais
ce fut un rude coup pour M. Briand de les
voir reproduire par un ennemi de l'Eglise
comme M. Combes.
La fermeté des catholiques a d'ailleurs
de'ja oblige le gouvernement a preparer la
revision de la loi de 188r sur les reunions
publiques. Le cabinet Ciémenceau dépose
un projet de loi supprimant toute declaration
pour l'ensemble des réunions publiques et
admettant une declaration facultative pour
les réunions cultuelles. C'est une étape de
plus dans la série des lois de circonstance.
Cette quatrième loi ne sera certainement
pas la dernière; en dehors d'une entente avec
le Pape, il ne saurait y avoir de solution du
grave conflit religieux il ne peut y avoir en
attendant que des situations de fait.
t
En ALLEMAGNE signalons quelques
épisodes de. la campagne electorale qui doit
durer encore une semaine.
Du coté du gouvernement il y surtout le
discours prononcé par lechancelier de Billow
au diner du comité colonial.
Tous les efforts du gouvernement tendent
a s'assurer le concours des diverses fractions
du parlement contre le Centre il prodigue
les promesses de moderation et s'évertue a
maintenir les élections sur la question
coloniale.
Dieu veuille, disait le chancelier, que les
élements nationaux de la droite conservatrice
et de la gauche progressiste iaissent de coté
dans les elections toute considération confes-
sionnelle et les intéréts particuliers pour
n'envisager que leur devoir national.
Le centre continue a garder l'attitude
politique trés ferme qu'il a prise et a marcher
au combat avec confiance.
II se pose nettement en parti d'opposition:
il a décidé de provoquer une espèce de
plebiscite sur le nom de M. Erzberger l'au-
teur bien connu des revelations scandaleuses
sur le compte. de l'administration coloniale.
M. Erzberger sera candidat dans 84 circon-
scriptions, s'il réunit un beau nombre de
suffrages, ce sera la une manifestation bien
désagréable au gouvernement.
Dans la province rhénane les splendides
réunions politiques du centré se suivent.
A la dernière grande reunion de Cologne
le Dr Spahn a prononcé un important
discours. II a fait. ressortir la gravité de la
lutte en montrant toutes les grandes causes
dont le sort est lie' au sort du centre quoi
qu'en dise le gouvernement.
II s'attache £t faire voir que les questions
les plus diverses sont en jeu et qu'en réalite'
il s'agit de bien autre chose que de savoir si
l'Allemagne poursuivra une politique
coloniale ou non.
Avec cette plate-forme électorale les posi
tions du Centre se fortifient considérable-
ment.
En ËSPAGNE la crise ministérielle
Semble ajournée a moins que la discussion
qui va s'ouvrir aux cortès ne précipite les
événements.
Le président du conseil, le marquis de la
Vega était entre' en pourparlers avec les chefs
libéraux Moret, Montero, Rios et Canalejas.
Legrand soucis du premier ministre n'était
pas la lutte parlementaire contre des adver
saires; son role consistait a reconcilier ses
amis.
Dans cette oeuvre mrlaisée il n'a pas réus
sir que partiellement.
Qu'il s'agisse des octrois, de l'amnistie. ou
des associations, qu'il s'agisse mème de fixer
la date de la rentrée des chauibres ces mes.
sieurs ne s'entendent pas. Entretemps les
protestations contre la législation projetée
sur les associations pleuvent de toutes parts.
Aux protestations de l'épiscopat.succèdent
les protestations des la'iques, les adresses des
dames, les meetings oü carhstes et conserva-
teurs figurent cóte acóte.
Au milieu de ces difficulte's le président du
conseil n'a pu s'entendre avec les chefs des
différents groupes libéraux que sur un point:
la réunion immédiate des cortès.
Le gouvernement mettra a l'ordre du jour
la discussion de la loi sur les associations. A
ce sujet tous les dissentiments persistent
entre les différents chefs libéraux et de la suite
des événements dépendra des incidents de la
joute oratoire qui va s'engager entre eux.
Un hopital a été la'icisé a Amiens. Déja les
journaux se sont plaints de la moralité dt.
personnel la'ique qui a remplacé les soeurs
Aujourd'hui l'on attaque l'administratio
au sujet de la situation finaucière pour
l'année 1906 les frais ont augmenté de
50.000 fr.
Ces constations ne sont pas neuves. Cent
fois elles ont été faites en France ct ailleurs.
Un fait a noter, c'est que les libres-pen-
seurs partisans de la laïeisation des hópi-
taux des pauvres demaudent de preference
pour eux mèmes oil pour les personnel qui
leur sont c'ières des gardes qui se dévouent
a leurs malades par sentimeut religieux,
sauf, au besoin, a défendre aux sceurs
qu'elles parient de religion.
Ce n'est pas seulement dans notre arron
dissement que les hommes d'oeuvres catho
liques s'occupent de ctéer des syndicats et
des mutualités pour l'amélioration de Ia race
caprine.
Une léunion tenue a Alost nous apprend
que cet arrondissement compte 42 syndicats
d'élevage de chèvres et i'arrondissement
d'Audenarde, 19.
Le gouvernement encourage les éleveurs
de chèvres et dispose d'une somme de
5o.ooo fr. a leur intention.
Des socialistes remuent ciel et terre a
Gand pour décrocher deux places au conseil
échevinal dautres, moins gourmands, mais
peut être plus habiles se contenteraient d'une
place pour le mement. D,oü discussions,
dispute's et menaces. Anseele, qui sait bien
que deux places d'échevin amènent certai
nement plus de profits qu'une seule et qui
n'ignore pas que les libéraux, tout en faisant
quelqucs simagrées, finissent toujours par
suivre la loque rouge et par donner satisfac
tion aux exigences du parti re'volutionnaire,
ne veut plus attendre et exige immédiate-
ment les deux places. L'avocat Debruyne
est le leader du clan opposé.
Les chefs se disputent les places d'échevins
et les petits profits, tandis que les ouvriers,
dont ils exploitent la misère et qui leur
servent de tremplin, peuvent se serrer le
ventre.
A Londres 26 sur 1000 habitants, soit plus
de 123.000 personnes, sont secourus paf
['assistance publique comme indigents. En
plus, 168613 sont hébergés dans les divers
hospices. Certainement un grand nombre de
ces mise'rables seraient dans l'aisance si au
lieu de se laisser entrainer par l'éclat fasci-
nateur de la grande ville, ils étaient restés
dans leur petite ville de province ou leur
commune rurale. Trop souvent, he'las
grande ville et misère vont de pair.
Une statistique annonce que toutes les
armées re'unies du globe entier, comptent
5 25o,ooo hommes en temps de paix et
44,25o,000 hommes sur pied de guerre. Et
dire que nos libéraux beiges trouvent qu'il
n'y a pas encore assez de soldats
Un journaliste allemand qui s'est livré a
une étude spéciale sur les eftets psychiques
de l'annonce, prétend que, pour avoir un
re'sultat, cel le ci devrait paraitre au moins
dix fois, a peu prés a la mème place. A la
première insertion le lecteur ne la voit pas
a la deuxième, il la voit,mais il ne la lit pas;
a la troisième, il la lita la quatrième, il
s'informe du prix de 1'article recommandé
a la cinqième, il note l'adresse a la sixième,
il en parle a sa femme a la septième, il se
promet de l'acheter a la huitième, il achète;
a la neuvième, il en parle a ses amis a la
dixième, les amis en parient a leur femme.
Alors la multiplication suivenant, on peut
juger de 1 effet. Le journaliste allemand
oublie de nous dire quels seraient les effets
de l'annonce, si, au lieu de tomber entre les
mains d'un homme, elle tombait entre celles
d'une femme. - -
Est il nc'cessaire de dire que cette oeuvre,
de fondation plutot récente, et qui produit
déja de si beaux re'sultats, est due unique-
ment aux prêtres et aux catholiques? Ajou-
tons également que les catholiques de la
Flandre Occidentale ont depuis plusieurs
années, fondé une oeuvre semblable et qu'elle
ne produit pis de moins bons re'sultats.
Qui ne connai.t, pour les avoir vu de loin
au moins, les cambuses des briqueteries
Personne ne contestera que ces abris sont
trés défectueux tant au point de vue de
l'hygiène que sous le rapport moral. Un
depute' catho'lique vient de déposer une
proposition de loi d après lnquelle les cam
puses devront être bien entretenues et com-
prendredes dortoirs spéciaux pour hommes
et pour femmes.
La croix ci>ique tie lre classe est dicernle
a M. L. Hebben, lieutenant au corps des
pompiers de la commune de Langemirck,
E. Holvoet, instituteur adopté a Comines-
ten Brielen.
La medaille commemorative du règne de
S. M. Leopold II est accordée a MM. A.
Flamant, professeur a l'école industrielle
d'Ypres, V. Beheyt, ancien principal du
collége épiscopal Saint-Viccent a Ypres a
iDgelmunster, G. Mouraux, ancien profes
seur au meme établissement a Loo, Jules
Tyberghein, professeur au même établisse
ment.
Par arrêlé du Ministre de la Justice, eu
date du 5 Janvier 1907, un subside de
4000 fr., imputable sur le chapitre VIII,
article 41 sur budget de son département,
pour l'exercice 1907, est accordé au Comité
d'inspectiOQ et de surveillance de l'Ecole do
bienfaisance de l'Etat a Ypres pour lui
permettre de remplir sa mission de patro
nage a 1'égard des élëves-sortis de cette
écolc.
Un arrè'é royal autorise' le conseil com
munal dc Kemmel a pcrcevoir une taxe sur
1'ouverture de nouveaux débits de boissons.
M. A. Solrior, percep'.cür de 3e classe du
télégraphe est nommé dc 2e classe et passé
d'Ypres a Tamines.
Dj; arrêtés royaux accordent 4658 fr. 03
a la faqrique de l'óglise de Notre Dame. a
Pi poiinglu! puur la rertauration des toitu-
res, des voü.e3 et des arcades intérieures de
la lief centrale de l'églisc 5,150 fr. a la
fabrique de l'église de Wulvergh un, pour
la restauiation de l'église; 1,268 fr. a la
fabrique de l'église de Zuydsehote, pour
l'achèvement de la restauration al église.
Ploegsteert, 21 Janvier.
Ce matin de 4 heures a 4 1/2, tandis que
Louis Vancraeylinck et sa soeur Marie
étaient a i etablo, des voleurs ont enlevé de
leur maison un coffre contenant quelques
vêtements et leur magot qui s'élevait a
'2000 fr. d'autres disent a 2500 fr.
Leur petite fermou louage est située
sur Neuve-Eglise, a 10 minutes de la
Chapelle-Rompue.au milieu des champs, et
appartient a M. Célestin Glarisse d'Armen
tières. Les gendarmes font-ils la pa
trouille
II y a liuit jours un vol important de
viande se faisait a la ferme de Victor
Bacquart-Charles, au Petit-Ponl, Ploeg
steert, tandis que le personnel de la maison
était aux établês. La nuit de Lundi a Maidi
(13-14) en différents endroits au Petit Pont,
ou fut réveillé par le bruit des voleurs qui
s'arrêtèreut enfin cliez Bacquart
Avis. Si vous toussez, si vous êtes
oppressé, si vos bronches sifflent ou si vous
souffrez de la gorge, prenez la Pastille
pecto ale du D' Wallhéry, qui est le meil-
leur, le plus agiéable et lc moins coüteux dc
tous les remèdes connus. 1 fr. partout.
Pour guérir la TOUX, le SIROP PECTORAL
DEPRATFRE est sans rival. Lui seul guérit
sans danger, tandis que d'autres remèdes
inconnus nuisent au .coeur et a 1 estomac,
constipent ou brülent les extrémités ca pi 1-
laires des branches, le Sirop Depratere ne
renferme aucun narcotique et peut être pris
même par les enfants dont il guérit même la
coqueluche en 8. jours.
Prix 2 fr. la grande bouteille chez
l'inventeur Od. Depratere, pharmacien,
Ostende, qui envoit en province contre bon
poste de 2.60 fr. (o.5o en plus pour 6 post) et
a Ypres, pharmacie Socquet, Libotte, Donck
et Aertsens; Poperinghe, pharm. Monteyne;
Comines, Van Windekens Menin, Sioen et
Rotiers Warneton, Vander Marlière; Cour
trai, Hulpiau et De Boey Roulers, Veys
Dixmude,Ghyssaert; Iseghem, Grand'Place;
Rodenbach.
Guérit tout. La Pilule Walthéry n'est
pas un guérit-tout, niais' on peut dire que,
grace a son action sur la bile et lis glaires,
elle est d'une efficacité merveiileuse contre
la plupart des maladies. 30 ans de succès.
1 fr. la boite partout.
Combian ile gens y a-t-1 pleins du désir de
travailler nuxquels les forces font défaut Des
quantités II ne suflit nas de vouloir, il faut
pouvoir. Le travailleur qui se trouve privé du
ressor t nécessaire a l'activitó de ses organcs c-st
vraimc-nt a plaindre. Nous meltons sous ses
yeux uu exemple,qu'il lejsuive, cela lui réussira
certainement. II s'agit, en l'espèce, de M Vos
kamp, mécamcien-charron aux chemin de fer de
l'Etat, Leliestraat, 3, Utrecht (Hollande).
Defuis assez lorigtem.ps, écrit-il, je sentais
mes forces décliner. Au début, cet affaiblisse-
ment fut presque insensible, aussi n'y pris-je
point garde. Je fus cepeDdant bientöt oblige d'y
faire attention, car Y ma grande terreur je
constalais plusieurs fois que les forces me
marquaient pour faire mon travail. Je fus
démoralisé. Je pris des fortiflaiits des remèdes
mais sans voir revenir mes forces. J'ai alors fait
l'essai des pilules Pink et m'en suis trés bien
trouvé. Elles m'ont rendu les forces perdues,
l'ardeur au travail, l'appétit et la bonne mine.
Je les recommaude de toutcoeur,
II n'y a pas de raison, si vous êtes faible, pour
que les pilules Pink ne vous donnent pas les
mêmes résultats qu'a M. Voskamp.Nous sommes
certains que le traitement des pilules Pink ne
peut que vous êtro avantageux
Si vous êtes faible, cela rovmnt a dire que
votre sang e,st pauvre, et qu'il rj'a pas les élé
ments nécessaires pour nourir convenablement
J vosorganes et réparer les énergies absorbées
par Ie travail. Les pilules Pink donnent du sang
1 riche a ceux qui ont ie sang pauvre. Elles
guérissent l'anémie.la eblorose, ia neurasthenie,
la faibletse générale, les maux d'estomac, ihu~
maiismes, migraines, névralgies, seiatiqua.
Les pilules Pink sont en verite dans toutes les
pharmacies, et au dépot pbarraaiie Dernevillo,
66, Boulevard Ce Waterloo, Bruxel es, 3.5J la
boïle, 17.50 les 6 hoites franco.
Dépot a Ypres, pharmacie G LIBOTTE: a
Poperinghe, pharmacie MON' TEYNE.
Leopold Meise, schipper en Victorine
Roscamp, kantenwerkster, beiden teYper.
Alphonse Vierstraete, wever te Meulebeke
en Helen-e Vanacker, waschvrouw. te Yper.
j Florent Renard, mijnwerker te Jemelle en
i Maria Michiel, kantenwerkster te Yper.
Georges Ghys, postbediende te Yper en.
Augusta Timmerman, z. b. tc Yper, voor
gaandelijk te Gent.
Odil Denexter, statiebediende te Yper en
Estella Lamaire z. b. teZonnebeke.
BURGERSTAND VAN YPER
van ürn 11 lot den 18 Januari 1907.
Geboorten
Lemahieu Irma, Wieltjesiraat.
Biliiet Acliiel, ooriiwerk.
Lacante Georges, K nonstraat.
Debreyer Elodi Zaait.of
Pout Gerard, Buk kerstraat.
Verspreot Ludovic, Gustaat'd Sleursstraat.
Düthoo Georges, /.iljebeke voet eg.
Ghcsquière Joanne, Brugge Steenweg.
Huwelijk
Lecleer Gamiel, laudwerker Elisa Tanghe,
dienstmeid, beiden to Yper.
Overlijdens
Allaert Petrus, 63 j. z. b. ongehuwd, L' nge
Thouroutstraat.
Talon Gaston, 2 j., Rijselstraat.
Foyaert Octavio, 67j z b. ongeb. Meenenstr.
Warlop Servaas, 66 j. z.b. ongehuwd L. Thou
routstraat.
Piancquet Lueie, 61;. kantenwerkster, ongch.
Goudepoortstraat.
Snauwaert Victor, 40 j. z.b. echtgt. Lingier
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