J. FIBRS-LOU WYCR
V:
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Transept Meridional
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TRAVAÜX DE
Le budjet de rintérieur
Pensées
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Un problème
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LE TRADDCTEDR
ËTES-VOUS Uft MaRT-ai
DE LA GOETTE
Adjudication Tublique
d YPRESr
Ie Samedi *23 a s 1907
C YCLISTES
Une classe de lettres k l'Académie
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Langue
allemande
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YPRES
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Huitres lr*qualité
revettes de t iankenbergin*.
St vous êtes sujet a ces terri-
bles douleurs,ne perdez pas un
temps précieux en expérimen-
tant certains remèdes qui ne
font que déplacer le mal. Pre-
nez les pilules qui l'enlèvent
tout a fait. L'acide urique qui
est venu se cristalliser dans
votre pied, vous causant de si
vives douleurs, sera dissous et
élimine'grace aux pilules Pink;
cela ne fait pas de doute. II en
sera de même pour les rhuma-
sants.Leur mal est de la même
origine que celui des goutteux
et les pilules Pink guérissent
aussi faeilement les uns que les
autres.
Vous avez des poisons dans le
sang.
Les pilules Pink purifient le
sang.
II
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prise des travaux susmentioto és
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sont déposées a l'Hötel de Ville d'Ypres
et mis a ia disposition des intéressés,
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école gardienne après leur sisième année,
ou une école moyenne du degré inférieur,
ou les écoles primaires privées non sub-
sidiées, ni celui des élèves des écoles de
bienfaisance de l'Etat ou du Département de
la Guerre, des orphelinats publics ou pri
vé», ni entin celui des enfants qui re^oivent
l'instruction dans leurs families.
Quoi qu il en soit, les chiffres que nous
citons et les considérations que nous venons
de développer prouvent a toute évidenoe
que le nombre des enfants ne fréquentant
aujourd'hui aucune école doit être fort
restreint.
Mais un autre argument permet d'affir-
mer que lechiffre de 125.000 ci-dessus est
loin de répondre a la réalité c'est la dimi
nution progressive et marquante du nombre
des iliettrés.
D'après le recensement de 1900,1e nombre
d enfants eu ége d école a 12 ans) était de
887.675. 11 en résuiterait done qu'euviron
80.000, au lieu de 125,000, n'allaient pas a
i'écoie ou ne recevaient pas d'instiuction en
1900. Mais, d'autre part, tandis que
l'accroissement annuel moj en de la popula
tion, parmi les habitants en Age d'école
primaire, nest que de a 40d0, ia progres
sion de la iréquentaiiou scolaire est de
14.000 par au, depuis 1898, dans les ecoies
communales, adoptées et adoptab'es et
nous pouvous affimer quelle nest pas
moindre dans lts écoles libres.
Si l'on veut comparer eutre eux les résul-
tats des trois derniers recensements décen-
naux, on constatera que le nombre des
iliettrés descend constamment, dans des
proportions encourageantes pour ceux qui
attendent de la liberté ce que d'autres veu-
lent demander a la contrainte
Habitants sachant lire et écrire
Année 1800 Année 1890 Année 4990
De 10 a 15 ans 80.09 83.37 88 22
De 45 29 ans 80.96 °l<> 85.28 "[o 90.57 °[o
De 20 a 25 ans 79,51 °l. 85.09 °10 90 21 "[o
Si le recensement de 1910 accuse la mêine
progression, et tout porte a le croire,
le chiffredes iliettrés ne s'élèveramême plus
a 5*/o parmi les habitants de 10 a 20 ans qui
comprèndront alors les enfants hgés
aujourd'hui de 612 ans. Et encore faudra-
t-il déduire de ce pourcentage les enfants
qui, a cause d'infirmités, ne peuvent ni fré
quenter lecole ni s'instruire, quelques
enfants de bateliers et ceux dont l'inconduite
ne permet pas de les mettre en contact avec
les élèves des écoles publiques ou privées.
(Bien Public)
(1) L'accroissement de la population dans cette
catégorie n'est que de 3 4 000 par an.
M. Colaert, rapporteur du budjet de
l'intérieur, est favorable k l'entrée de litté-
rateurs a l'Académie royale, dont aujour
d'hui la classe des lettres est plutot uue
classe des sciences morales et politiques.
On ne conteste pas, dit 1 honorable
rapporteur, que notre Académie ne
réserve plus aucune place a ceux dont
l'oeuvre littéraire est le produit de l'imagi-
nation. II semble pourtant juste qu'ils y
coient représentés au même titre que les
savants et les artistes.
a Au demeurant.il parait facile de donner
satisfaction k un vceu, souvent exprimé et
intéressant au plus haut point notre littéi'a-
ture de langue francaise, qui mérite d'être
encouragée aussi bien que celle d'expression
flamande. II suffirait de créer une section
des lettres proprement dites et d'y appeler
nos meilleurs littérateurs. On pourrait
ranger les hommes de lettres actnels dans la
section des sciences morales et politiques, a
laquelle on ajouterait la sociologie.
n La section centrale appelle la sérieuse
attention du Gouvernement sur ces ques.
tions devenues d'une actualité incontestable
en le priant d'examiner en même temps s'il
n'y aurait pas lieu tie représenter les beaux-
arts mieux qu'ils ne le sont actuellement.
II faut être effrontément chrétien.
Sachez que l'heure est venue oü JÉSUS-
CHRIST demande a ses fidèles de lui rendre
témoignage.C'est un programme de vie apos-
tolique. II ne suffit plus d'accomplir vaille
que vaille las commandements de DlEU,avec
ces calculs égo'istes qui pre'tendent acheter le
salut au plus bas prix. Arrière cette foi
incomplete, incertaine, anémiée 1
Au large 1 Appuyé sur des convictions
inébranlables, cinglez vers la haute mer.
Qu'on apenjoive de loin votre pavilion sur
lequel est arborée l'image de JÉSUS-CHRISt!
Qu'on vous prenne pour un revenant d'un
autre age a la foi de granit, aux idees nette-
ment chrétiennes, soitII faut qu'on cesse
de nous conside'rer comrae des retrogrades et
des réactionnaires dans le sens humiliant de
cette épithète qui ne saurait nous convenir.
De son temps déja Louis Veuillot disaitII
faut être effrontément chre'tien 1 Pourquoi?
Ah! c'est qu'il s'agit de ne pas reculer devant
des adversaires implacables. Ces ennemis
sappellent le sensualisme, la fausse science,
ja puissance du jour.
Les maudits de Dieu.
Deux categories d'êtres sont maudits par
le DlEU d'amour,qui n'a que des benedictions
pour ses creatures les damnés, ces malheu-
reux qui, usantde leur liberté, ont repoussé
toutes les avances de l'amour,et puis son Fils
unique,l'objet de toutes ses complaisances.Le
divin Sauveur accepte la sentence pour nous
sauver, pour nous arracher aux maledictions
éternelles, il se faitpéché, il se tail le maudit.
L'esprit ne peut contempler sans terreur les
déchirements que produira pendant toute
l'éternité dans lame du damné le désir invin
cible qui l'enchaine vers DlEU mais que
peut être la peine du damné en comparaison
de celle éprouvée, pendant toute la durée de
sa Passion, par notre divin Sauveur qui
avait des perfections de DlEU une connais-
sance et un amour infiniment supérieurs a
ceux de toute créature et dont, par suite, la
douleur causée paria separation et i'aversion
de son Père celeste échappe a toutes les
evaluations de ['intelligence humaine? Grand
DlEU, voila comma vous traitez la victime de
votre amour pour nous
(DOM DU BOURG, O. S. B.)
Tous nous devons porter une croix, et en
réalité, elle ne manque a personue.Si chacun
demandait a JÉSUS des souffrances propor-
lionnées au nombre et a la malice de ses
péchés, quelle consolation pour son Coeur
iVJais combien ne lui font point cette deman
de 1 Combien murmurent de leurs suffran-
ces Combien d'autres, tout en souffrant
patiemment l'adversité, ne de'sirent pas
ajouter a leur propre part ce qu'elles
devraient souffrir pour enlever aJÉSUSle
fardeau que rejettent les peVheurs 1
(Avis spirituels.)
Liste précédente 1517.64
Onbekend 5.oo
Congregatie der jonge dochters
Elverdinghe 71.00
Avant peu le Conseil provincial de la
Fiandre Occidentale se trouvera devant un
problème qu'il faudra bien résoudre d'une
manière ou de l'autre.
Et comme ce problème intéresse un peu
tout le monde et qu'il préoccupe surtout les
mutualistes, il me parait pour le moins utile
d'en parler et de chercher a projeter un peu
de lumière sur une question certes fort
délicate.
Dans ces dernières années, le Conseil
provincial mettait a la disposition de la
Députation permanente un crédit annuel de
i5o.ooo fr. qui servait a donner des
primes aux personnes affiliées a la caisse de
retraite par l'entremise d'une mutualité de
retraite.
Jusqu'ici ce crédit n'a jamais été épuisé en
donnant trente centimes par franc versé,
jusqu au douzième franc.
Etant donné le développement prodigieux
que prennent les mutualités de retraite, il
est certain que le crédit en question devien-
dra totalement insuffisant d autre part, il
parait que les finances provinciales ne
permeltent pas d'alier au dela.
Forcément done, il faudra finir par modi-
fier le mode de répartition.
La tédéraiion des mutualistes de retraite
de i'arrondissemenl d'Ypres s'est occupé de
la question et pour ne pas maicher a l'aveu-
glette, elle a demandé 1 avis de toutes les
mutualités affiliées.
Plusieurs propositions se sont produites,
qui ont pu être ramenées a trois formules
générales qui ont étésoumises a la discussion,
lors de la dernière assemolée générale.
La formule qui a semblé emporter le plus
de suffrages est celle introduite par la société
Zorgen voor Morgen et libellée comme
suil
Accorder le subside de 3o cs jusqu'au
sixième franc versé, et employer le restant
du crédit, a l'octroi de subsides de 25, ao,
i5, 10 c» du 7e au i2e franc versé.
J'ai suivi avec beaucoup d'attention la
discussion que cette proposition a soulevée
et j'ai entendu en sa faveur d'excellents
arguments de principe.
Mais ce que je n'ai pas entendu, c'est le
résultat financier, même approximatif, que
ce nouveau mode de repartition produirait.
Ce point est pourtant trés important, car
je présume que ie Conseil provincial, avant
de s'engager dans une nouvelle voie, voudra
savoir le plus exactement possible oü cette
nouvelle voie le mènera, et savoir surtout si
l'on peut raisonnablement espérer que le
nouveau mode de répartition pourra être
plus ou moins définitivement conservé.
J'ai done eu la curiosité d'examiner ce
point d'un peu plus prés et j'ai analysé
l'importance des versements faits par 9686
mutualistes de l'arrondissement d'Ypres,
appartenant a 56 sociétés différentes.
Pour autant que la proportion générale
de la province ne diffère pas sensibiement
de la proportion de 1 arrondissement d'Ypres,
Ion pourra établir trés approximativement,
le résultat général que donnerait le mode
de répartition préconisé.
Dans les mutualités dont j'ai épluché les
comptes, j'ai trouvé
4g53 membres qui en 1906, n'ont pas
versé de leurs deniers personnels, au dela de
3 francs
1496, qui n'ont pas versé au dela de 6 fr.
1376, qui n'ont pas versé au dela de 12 fr.;
et 1862, qui ont versé au dela de 12 fr.
La province a done versé au maximum,
en primes de 3o centimes
4,457 fr. 70 cs aux mutualistes de la pré
mière catégorie.
2692 fr. 80 cs a ceux de la 2e catégorie.
4960 fr. a ceux de la 3e catégorie.
6703 fr. cs, a ceux de la 4e catégorie.
Soit au totali8.8o3 fr. 70 cs.
Avec application de la nouvelle méthode,
la province payerait
4457 fr. 70 c» aux membres de la ire caté
gorie.
2692 fr. 80 cs a ceux de la 2e catégorie.
2475 lr. a ceux de la 3e catégorie.
3351 fr. 60 csaceux de la 4e catégorie.
La province trouverait ainsi, dans l'arron
dissement d'Ypres,un excédent de 5826 fr. 60
a partager en primes moindres du 7e au 12"
franc, et la méthode nouvelle pourrait rester
immuable jusqu'au jour oü le nombre des
mutualistesde l'arrondissement, sur lesquels
ces calculs ont été établis,serait monté de
9686 a 12.719, proportion qui ne sera pas
atteinte de longtemps. PAUL LACROIX.
Nous avons appris avec regret la mort de
Monsieur l'abbé Peirsegaele, curé de Stace
ghem lez Hailebeke.
Le regretté défunt, ügé de 54 ans, fut le
premier pasteur de cette paroisse érigée il y
a peu d'années. II appartenait a une de nos
honorables families Yproises a laquelle nous
présentons nos sincères et chrétiennes condo
léances.
La Ligue des bons remèdes informe le
public que la délicieuse Pastille pectorale
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