LA SEÏUNE Adresses de 1'Association En France En Allemagne fenséos II faut 1'unipn Acies officiels et la ila welijksafkond iyin gen décroitre la charge qui pèse sur le contri buable du ch#f de la Dette et améliorer la situation des habitants. Non» ne redirons pas ici tout ce qui a été fait danscetteordre d'idées par l'émineat miniatre démissionnaire. Chacun sait ce qui a óté accompli de puis dix ans en matière de railway, de ports, de canaux, de routes, et, en general, dans tout ce qui constitue l'outillage industriel de la nation. Chacun gait lei immenses travaux qui ont éte entrepris. Ce que l'on sait moins, ce que d'aucuns croient encore devoir contester, c'est que ces immenses travaux procédaient tous d'un taste programme d'ensemble dont la réalisation est aujourd'hui assurée nous «n feron8 quelque jour l'intéres santé demonstration. Ce que l'on sait encore, c'est que les rues de M de Smet de Naeyer, en dépit de leur hardiesse, de leur témarité, se sont de tout point vérifiés Notre commerce general, qui n'élevait a 5,127 millions en 1894, A PLUS QUE DOUBLE en 1907, et il en est de mêmë pour notre commerce spécial. Les recettes des chemins de fer se seront accrues de plus de cent millions. Le tonnage de notre navigation, a l'entrée, a doublé de 1894 1 1906, atteignant le chiffre de 12,945,000 tonnes. Notre essor industriel a suivi la même voie nos aciéries produisent plus du triple de ce quelle» produisaient en 1894. Enfin la puissance de nos appareils a vapeur dé passé aujourd'hui deux milliards de ehe- yaux Cette prospérité inouïe aeu pour con sequence d'améliorer, tnieux encore que les lois sociales dont le cabinet démissionnaire a doté le pays, la condition des classes labourieutes le porcentage du chömage •est tombé a environ 2 p. c.; l'épargne a pris des proportions éaormes, le nombre des lirrets et des carnets de rente ayant monté en douze années de 500,000,000 de fr. a prés d'un milliard et quartoufin, les mai. sons construites par les sociétés 4 habita tions ouvrières, qui étaieut au nombre 4e 4,430 en 1894, ont monté au chiffre fabu- .leux de plus de 33,000 Cet ensemble de faits, qui témoigne d'une prospérité inespérée et, »ous pouvons le dire, jamais entrevue par les plus optimistes, constitue. dans sa réalité chiffrée. Ja plus éloquent éloge du ministère démissionnaire et de son chef éminent. Nous avons dit, il y a quelques jours que jamais gouvernement n'avait laissé k ses successeurs situation plus brillaute et plus -agréable a recueillir. En effet, quelles que soient les difficultés politiques auxquelles auront a faire face,daas l'avenirles nouveaux ministes catholiques, ris tiendront de leurs prédécesseurs, ils tiendront de M. deSmet de Naeyer surtout, la confianee du public dans l'initiative et la sagesse gouvernementaie de notre parti. Et nous ne craignons pas pour le comtede Smet de Naeyer lejugement de la postérité. Nous avons la conviction, au ■contraire, que le cabinet dont il fut le prési dent laissera dans l'Histoire le nom envié de Ministère de la prospérité nationale. Journal de Bruxelles Le Comité de l'Association catholique et ■conservatrice de larrondissement d'Ypres, vient d'envoyer Monsieur le Comte de Smet de Naeyer, Ministre des Finances et des Travaux publics, l'adresse suivante. A Monsieur le Comtede Smet de Naeyer, Ministre des Finances et des Travaux publics. Monsieur le Ministre, Le Comité de l'Association Catholique et ■conservatrice de l'arrondissement d'Ypres vient de décider, dans sa réunion plénière de ce jour.de vous exprimer l immense regret que lui inspire la retraite du Cabinet que Vous présidez. Cette décision, prise a l'unanimité de ses membres, sera approuvée sa is aucun doute par notre assemblée générale, qui se tien dra prochainement, et accueillie favorable- ment par l'opinion Catholique de l'Arron- di8sement. Le Comité se fait, en même temps, un devoir de rendre hommage a nos Députés qui ont constamment soutenu un gouverne ment digne de notre confianee et de celle du Pays entier. Nous n'oublierons jamais les immenses services rendus par le Ministère de Smet de Naeyer a la chose publique, spécialement dans des périodes agitées oü l'ordre était menacé. C'est en grande partie s ses initia tives et a ses efforts que nous devons la paix sociale et la prospérité dont jouit le pays. Nous tenons vous témoigner notre re connaissance d'avoir décidé, l'an dernier, l'achèvement du canal de la Lys a l'Yper- lée. Si les travaux ne sont pas commencés, nous avons la conviction qu'ils le seront bientêt, suivant les études que le Gouverne ment actuel en a faites. Le Ministère que toub avez présidé, Monsieur le Ministre, emportera dans sa retraite la sympathie, la reconnaissance et le dévouement de notre Arrondissement. Daignez en donner l'assurance a vos hono rable» Collègues, et leur dire tout le regret que nOUS éprouvons de les voir se retirer a un moment oü ils étaient appelés a rendre encore de grands et nombreux services au pays et a la Cause Catholique. Agréez, Monsieur le Ministre, pour vous et vos honorés Collègues, avec l'expression de nos regrets, celle de nos sentiments les plus distingués. Pour le Comité Le Président, Le Secrétaire, Een. Fraeys. F. STruye. Monsieur l'Editeur, nous vous prions de bien vouloir insérer dans votre |plus pro chain numéro l'adresse ci dessous. Monsieur le Qouverneur, Le Comité de l'Association Catholique et Conservatrice de ['Arrondissement d'Yppes a décidé,dan» sa réunion plénière de ce jour, de vous adresier ses plus chaleureuses félicitations a l'occasion de votre nomination ppipme Gouverneur de la Flandre-Occiden- tale. Cette nouvelle a étó accueillie aveó enthousiasme dans toute la province, mais, nulle part, plus qua Ypres et dans fArron- dissement, elle n'a soulevé une approbation aussi unanime. Et c'est a juste titre, car les services importants, rendus jadis a l'Arrondissement d'Ypres par votre Père, le Baron Léon Ituzette, joints a eeu? quïl rendit plus tard pendant dix-sept ans a la chose pufrlique, comme chef de la Province, sont encore présents Ja mémoire de tous,et ont contri- bué a entourer Je nom de Ruzette d'une auréole de popularity dans tpute la West- flandre. Daignez agréer, Monsieur le Gouverneur, l'assurance de notre haute copsidération. Le Président, Le Secrétaire, jSsti, Fraeys. F. Struye. Le conseil municipal d'Oiléans,saisi par les maires de la demande de la loge de prendre part aux fêtes de Jeanne d'Are, a decide, après une longue et tumultueuse discussion, par 14 voix contre 14, d'inviter les sociétés nouvcljes. soit les sociétés franc maconnes et autres sociétés qui n'étaient pas admises jusqu'a ce jour. Dans ce vote la voix du maire fut prépon- dérante. Cela seul suffit a montrer la con- stance et la fidélité de ce blocard qui hier encore se répandait en démarches et en lettres pour éviter les insistances des francs- magons. Après avoir pris connaissance de ce vote Mgr 1 évêque d'Orléans, fidéle a la ligne de conduite qu'il avait prise, a simplement déclaré avec autant d'énergie que de calme, que le clergé ne pourra prendre part aux fêtes du 8 mai. M. Clémenceau n'a done pas v-ouljy démordre il voulait être victorieux de Jeanne d'Arc. N'est ce pas en effet enlever quelque chose aux hommages de Jeanne d'Arc que de dé- truire le genre d hommages que comporte sa vie, Elle n'est que trop juste la remarque d'un journal francais a Faut-il avoir assez perdu le souvenir de ce que ffit la bonne et loyale lorraine, fleur si douce du christianisme et qui affirma toujours que sa mission était de Dieu pour imposer a son cortege la presence des francs-macons matérialistes et athées, parmi lesquelssans doute se trouvera quelque auteur des fiches.... Les francs-macons triomphent pour le moment mais leur triomphe p'est pas sans inquiétudes. Le président de la loge d'Orléans redoute non sans raison 1 accueil qu une population énervée et dé?ue va faire au défilé des tabliers et des triangles. II ne redoute pas moins bien des défections dans sa loge beaucoup de frères, ignorés du public, n'oseront pas se montrer dans les rues avec leur ferblanterie. Aussi le vénérable a-t il déja spngé a combler les vides que pro- duiront ces défections. II bat le rappel et réclame a cor et a cris, de toys les points du pays, des délégations d'ateliers. Une question plus grave et plus troublante que la lutte de M, Clémenceau contre Jeanne d'Arc est l'agitatioo des fonctionnaires. L'arrestation des citoyen.6 Bp.ysquet, Lévy et Delalé n'est pas faite pour eansojider la situation de M. Clémenceau qui en tachant de .contenter tout le monde réussit a ne satisfaire perspnng. Les divisions qui existent dans la majorité gouvernementaie se rév|lent dêPS le gouver nement lui-même. On n'a pas oublié que naguêre encore pa membre du gouvernement préconisait le syndicalisme parmi les fonctionnaires. D'autre part M. Jaurès déclare la guerre aux ministres. Ecoutez Jes menaces qu'il publie dans VHumanité A quoi le gouvernement s'imagine-t-il aboutir en poursuivant les fonctionnaires qui se syndiquent C'est entendu il gagne- ra la première manche. II brisera quelques instituteurs et il obtiendra de la Chambre une majorité immense pour couvrir cet acte de violence. Mais croit-il qu'il aura par la supprimé un mouvement profond? Quand les fonctionnaires. par centaines de mille,auront compris qu'ils sont solidaires des salariés, qu ils ne peuvent hausser au juste niveau leur condition matérielle et morale, conqué- rir le bien être et l'indépendance que par l'ascension générale de la classe ouvrière, ce jour la, qui est prochain, toutes les prohibi tions gouvernementales ne pèseront pas un fétu. L'avenir nous dira si les rèves deM.Jaurès se réaliseront. Toujours e§t-il que ce «joyr qu il entrevoit avec délices comme l'aurpre des temps nouveaux nous le devrons moins a M. Jaurès et a ses comperes qu'aux politi cians sectaires qui depuis tant d'années fdétiepnent le pouvoir en France et s'évertuent d'en extirper foute religion et topte rqarajjité. Depuis une semaine d'ici les débats du Reichstag ont soulevé le plus grand intérêt. Signalons d'abord la séance de samedi. Le gouvernement demandait un crédit de 320.000 manffig pour construire un casino pour les officiers de réserve de Berljn le^ radicaux combattaient ce projet qui leur paraissait politiquement tendancieux aussi- tót M. Erzberger, député du centre, propose d'élever le crédit a 334.000 marcks.Le centre a done remplacé les radicaux dans la majorité et la proposition gouvernementaie fut votée par les cons.ervateqrfi Jes n^tiqnaitx-libcraux et le centre contre les radicaux et les soeialjs- tes.il ne s'agit que d'une question secondaire mais le gouvernement y trouvera peut être FffiffiptUion qu'il ne doit pas trop compter sur la majority yqn^ry^trije libérale qu'il s est efforcé de construire. Plus intéressante encore fut la séance de mardi. L'attente d'un discours du prince de 3&low fvaJtjitifé qn piffilic nombreux dont hs espéraypes y'gnt .pa? été dégueg AW momgnf 0U le Qhanceljep de pEmpire se leva pour prdgisef'j'affiiude de l'Allemagne a la conférence la iieyi poyr dearer comment, apiès l'entrevtfê ^2 Cartbagéne, aptès la rencontre de Gaè'ie, le gouvernement envisageait la situation internationale, un sentiment anxieux s'empara de toute la salie. Un point nserite d'etre mis en lumière c'est l'unanimité des partia, k parf peut-être les socialistes.sur la question de la limitation des armemenis, La oü le Chancelier a récolté le plus d'ap- plaüdissen?ent,s, c'est quand il déclara, non seulement ne pas attendre beaycoup de la discussion de cette question a la conférence aussi longtemps qu on n'aura pas trouvé le moyen de sa réalisation pratique. II fut également applaudi quand il déclara: II m'a semblé plus juste, plus sage et plus digne de jouer franc jeu et de dire ouverte- mentNous ne pouvons pas prendre part a une discussion sin.on dangereuse, du moins nullement pratique. B'aijleurs les prateurs qui 1'ava.it précédé préconisaient également oy bien aucyne participation de l'AUemagne a la discussjon ou bien, si l'Allemagne discute, rejet „de toutes les propositions tendant a substituer a Ia libre volonté de l'Allemagne, a sa liberté d'appréciation en ce qui concerne les arme- ments une volonté étrangère fut-elle internationale. Le Centre a oublié pour aujourd'hui son hostilité contre le Chancelier en lui donnant par avance, par I4 bouche de M. Hertling son approbation. Les parties de la fyajqntp ont applaudi un orateur de la minorité. C'est le signe caractéristique de la séance il est certain que les déclarations du Chancelier répondent au sentiment de l'Allemagne toute entière. II n'est pas sans intérét de remarquer i'impression produite en Angleterre. La Morning Post résumé en ces quelques lignes les idéés de la presse anglaig^. Maintenant que la question du désarme- ment peut être écartée comme une chimère fantastique, il est loisible a l'Angleterre d'accepter les principes posés par le prince de Büilow, de reconnaitre quelle assurera la paix, non par le rève de ses théoriciens nsais en établissant le service militaire obligatoire, en accroissant la puissance de sa flotte. La seule réponse que le gouvernement anglais dffiye faire au Chancelier, c'est d'ab- diquer tous ses projets de reduction d'arme- ments. Après des déclarations aussi catégoriques entre adversaires qui se mesurent et se visent on ne s'étonnera pas de voir la conférence de L.a Haye remise a une date ultérieure. A propos de la décision du gou- dronnage des routes que nous avons relatée deruièreraent, le ïVestvlaam- sc/ie /.andbouwer émet les remarques suivautes De cette nouvelle, on peilt déduire que pendant longtemps encore on ne sera déhvré l'été, de la poussière qui gate nos routes macadamisées. De longue et coüteuses re cherches n'amèneront peut-être comme résultat qu'un sérieux gaspillage d'argent. Et en tous cas, le résultat vint il couronner les efforts, il serait encore disproportionné a la dépense. Puisque les frais selèvent de 10 a i i5 centimes par mètre carré, une route de 5 metres de largeur reviendra de 55o 750 fr. le kilometre. Notez qu'il ne s'agit encore ici que du goudronnage, les frais toujours existants, de terrassement, de nivellement doivent y être ajoutés, et nonobstant les moyens mis en oeuvre pour éviter des routes poussiéreuses l'été, bourbeuses, l'hiver, les routes macadamisées ne pourront jamais rivaliser avec les chaussée.s primitives pour les grands et lourds transports. Les automobilistes eux mêmes, pour les- quels on les execute, leur préfèreat les chaus sées ynies et bien pavges, Qu'on nous rende nos vieilies chaussées, la ou on leur a substitué un gravier et tous ceux qui ont sur leur parcours des habita tions, des propriétgs, des terrains, ceux qui dgivsnt gyndyirq des véhicules seront heu- reux dy retour a l'ancien état de choses et l'argent perdu dans la tentative sera tof oublié, Cent ans, c'est lajeunesse d'une église et la vieillesse d'une maison. Ilsembleque le logis de l'homme participe de §a brigvet^ et petffi de Diey de sq'n ^teynité, Victor Hugo. Etre toujours occupe'et jamais pressé.c'est le paradis scr terre. Louis Veuillot. Qu'un bomms tombe par terre il y aura toujours des gens prêts a le coyvrir de boue. M- St assart. L'esprit a aussi ses parvenus, et ce sont, comme ceux de la noblesse,les plus insolents. de Bonald. Que;que soit la solution de la crise momen- tanée qui nous préoccupe, l'importaut n'est BaS savojr gup qui se porters le ebojx du Sofiyepaip ppup pepODsJitppr un nofiv'eau ministère, s'il rriaintiendra en topt ou en Pffi'tje le pabinet démissionnaire qu s'il pn form era un nouveau jqajs lp pojyt papifal est de savoir, la déoision uue fois arrêtée, si ce eabinefc ne se retrouvera pas aux prises avec les ni?mes diffioultés qui oyt fejt torn- ber le précédent. II semble pourt tnt a entendre l'opimoh pyblique que cette crainte doive ètre écar tée. Car, sans nul doute, pos députés, qui ont pu prendre avis de leurs commettants? sont d'ores et déja convaincus de lanécessité pour la droite, de revenir a une politique 4'entente et de ponpiliation. Que tous fassept done une bonne fois abstraction de toute patti-pris gt de toute idéé préconpue ou par trop personnelle, qu'ils abandonnent décidément cette polé- mique de mots pour en revenir aux saines traditions du véritable parlementarisme. Telle est l'idée générale et si d'aventure, persistant dans une attitude hostile, ils s avisaient de l'oublier qu'ils soient convain- ,cu|5 que la Nation les désavouerait. •—-we".-— Monsieur Napoléon Meersseman étant souffrant depuis quelque temps a repu Mardi dernier les derniers Sacrements. C'est Monsieur Ie cbanoine De Brouwer, curé-doyen de Saint Martin, qui a adminis- tré le vénérable malade en présence des membres de la fabrique d'église dont il est le President. La cérémonie trés impressionnante a édifié tous ceux qui ont eu la consolation d'y assisier. Nous prions nos amis d'adresser au Ciel une fervente prière pour l'homme de bieu que nous désirons ardemment conserver longtemps encore parmi nous. Par arrêté royal du 22 Avril 1907, Mr L. Biebyycjc vice-président de I3 commission administrative de la prison d'Ypres et nomine' président du collége, en remplacement dé Mr Poupart, démissionnaire. La vice présidence est conférée a Mr J. Boedt, membre, et la place de membre a Mr Dieryck, médecin a Ypres. Un arrêté royal du 22 Avril 1907 accepte la démission offerte par Mr C. Bayart de ses fonctions de bourgmestre de la commune de Passchendaele. Par arrêté royal du 26 Avril 1907 le con tingent de la levée de 1907 est reparti entre les provinces ainsi qu'il suit Anvers 1647 hommes, Brabant 2470, Flandre Occidentale 1675, Flandre Oriëntale 2og6,Hainaut 2192, Liége 1601, Limbourg 521, Luxembourg 448, Namur 65o. Total i3.3oo hommes. Un arrêté royal du 17 Avril 1997 a chargé d'exercer les fonctions de police judiciaire déterminées par la loi du 25 Juillet 1891 les agents ci après désignés des chemins de fer de la Flandre Occidentale, en qualité de garde.voyer MM- H. Clou, sous chef de station a Poperinghe G. Opsomer, garde route principal a Godewaersvelde. Un arrêté royal en date du 26 Avril, 1907 auorise la restauration des fenêtres des faga- deslatérales de 1 église monumentale de Saint Piere a Ypres. A p rtir du 6 Mai 1907 l'ouverture du bureandes douanes de Warneton a l'impor- tation (es solipèdes chevaux.ines, muiets, bardots chèvres et poules ainsi que des viandes ce boucherie, graisses et issues est détermine comme suit par le Ministre de 1 Agriculture, savoir Les mercredis, ainsi que l'avant \eille des foires de Thourout, Elverdinghe Ypres et Boesinghe de i5 h 3o m a 16 h 3o m. Les solipèdts et poules peuvent, en outre, être présentés al importation tous les jours ouvrables, mojennant pre'avis de vingt-qua- tre heures a M. Domicent, vétérinaire a Warneten, prépesé au controle sanitaire. Le gouiironnagc des routes Des essais en grand de goudronnage des routes, vont être faits cette année dansla Flan dre Occidentale, sous la direction de M l'ingénieur des ponts et chaussées Froidure' afin de déterminer quel est le procédé lè ipejlleur dp toys ceux que Ton expérimente d.epyis quelques années. En France, des expériences intéressantes ont été faites dans le département de Seine et Oise, par M l'ingénieur Le Cavriau. EUes portaient sur plusieurs routes sur une lon gueur totale de 6 kilometres et une syrfjacs totale de 41,000 mè,tres carrés. Aw lieu' d'employer du goudron rendu liquide par un chauffage, ce qui donne lieu a des inconvénients et même a des dangers sur la voie publique, on a obtenu la fluidity nécessaire a l'cfen^p sq iacorporant au de Fbuile lourde, un de ses dérivés,' dans la porportion de lop.c. d'huile pour 90 p. c. de goudron. La chaussée était préalablement bqlayéfi., et 1 ons est impose' comme regie absójue d'enduire compiètement l'empierrement ave?, laquantite'de matière la plus réduite possible^ en vue i° de restreindre la dépense qn minimum d'éviter le lapis cje goudron qui adhefie nial cfiausspe et favorise la, formation de boue en hiver, Le prix de revient a varié de fr. o. 11 a fr. o.i5 environ le mètre carré. La diminution de poussière a été trés sensible pendant l'été. 1,1 a été constaté que le goudronnage se maintieut bien sur les empierrements neufs, et s'use avec rapidité sur les sections ancienpement rechargées. Les expériences ont montré que le gou dronnage a froid se pratique auSsi aisérfienf que le goyedronnage a cha'ud, M-Le Graviau étudie en ce morHent L manipre dont le goutjronnage §e compqrte eq hiver. Lui et les autres expérimentateurs sont unanimes pour apprécier les effets du goudronnage en été. Leopold Gryffon, bloemist te Brugge, voorg. te Yper en Adele Denewet,werkvrouw te Sint Andries. Emiel Ferrand, kleermaker en Valentine Duprez, dienstmeid, beiden te Yper, Jules Zonneville,zwingelaar te Moorseele en Elodie Ghevaert, dienstmeid te Gits, voorg. te Yper. Alfons Vandorpe, verwer te Kortrijk en Alix Dombrecht, z. b. te Yper. Leo Vandecastelle, notarisklerk en Julia Legrand, z. b. beiden te Yper. Acbiel Romel, beenhouwer te Yper en Sophie Benoit, z. b. te Garvin. BURGERSTAND VAN YPER van dcii 26 April tot den 3 Mei 1907 Geboorten Lacante Maurits, Cartonstraat. Van Nieuwenhovo Andró, R-yselstraat. Hooruaert Raymond, Rijselsteenweg. Salomé Henri, Meoneusteenweg. Segers Margareta, Sint Jacobskerkhof. Petit Margareta, Hondstraat. Motnié Joanne, Uiekebuscli steenweg. Gillebert Jules, Beluikstr^sjf. Dutjou Êiïsa, Kanonsifaat. Deraedt Francis, GrimmiCckstraat. Huwelijken Wyllemet Emeric, metser Tyberghein Emi- lie, z. b. beiden te Yper. Noterdame Henri, landwerker Decroix Julie, laudwerkster beiden te Yper. Overlijdens Coffljn Georges, 41 j sieraadschilder, ecütgto Wilkin Ludovica, Mondstraat. 'Leclercq Joseph,'8) j. z. b. echtgt Demarets Philomene, L. Tüouroutstraat. Vanlandeghem Elvira, 23 j. z. b. ongehuwd, Poperinghe sieenweg. Dejonckbeere Petrus, 86j. z. b. echtgt Ges- quiere Ludovica, Boterstraat. Van Mol Joannes, 65 j. gepensionneerden wachtmeester der gendarmerie, wedr. Geens Maria, echtgt Bouvain Caroline, Jules Qapronstéjj Maerten Florence, 44 j. kleermaakster, onge huwd L. Thouroutstraat. Velgbe Jöanna, 69 j. kantenwerkster, onge huwd, Beluikstraat. Doolaeghe Maria, 2 1|2 j. RJjselstraat. Verhaeghe Julie, 66 ,j. kantenwerkster wwe Santorum Ludovic, Paddepoelstraat. Nevejans Jules, 32 j. letterzetter, ongehuwd. Minneplein. Mahieu Euphrasie, 86 j. z. b. wwe Dy Terty Joannes, Rijsèlstraat. Doolaeghe Eugeen, 2m. Schnttelaerestraat- Morael Edouard, 82j z.b. wdr Vanwonterghem Judith Mondstraat, LONÜRE8. Voyage Pentecöte, départ 19 mai, 25 frs. Programme Office des Touristes, V. Buil, 26, place de Brouckère Bruxelles. Tel. 3020.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2