F/IRINE wctéeL GHEOM/QUE MISSES VE1IYE Funérailles de Werbrouck Les Courses Huwelijksaankondigingen de Fin de Saison M. Studt était depuis longtemps en butte aux attaques du libéralisme allemand a cause de ses idees conservatrices chrétiennes sur la terrain de l'école. Son attitude sur ce point lui avait seule valu d'etre personnellement me'nagé par le Centre a propos de sa conduite dans la question scolaire polonaise, oü il fut, d'ailleurs, peut être moins un instigateur qu'nn instrument. Sa disparition du gouver nement a été réclamée a maintes reprises par la presse libérale comne récompense de l'appui que les partis de gauche accor- dent depuis la dissolution au chancelier et comme gage de la sincérité du désir mani festé par M. de Bulow de se rapprocher des libéraux. La situation de M. de Padowsky e'tait éga- lement ébranlée depuis assez longtemps. II était, dans le gouvernement imperial, l'ob- stiné partisan et instigateur du développe- ment de la politique sociale c'est lui qui y maintenait l'esprit de réforme sociale 11 était, pour cette raison, mal vu, lui aussi, d'une partie de l'élément libéral, celui qui subit davantage l'influence de la grande in dustrie dans ce milieu, on travaillait depuis longtemps le sdeboulonner». En tout cas, la disparition de M. de Posa- dowsky des rangs du gouvernement est une grande perte pour celui-ci. L'ex-secrétaire de l'Etat pour l'Intérieur était, de loin, la plus haute capacité de ce gouvernement. Et ce n était pas par son talent seulement.c'était par son caractère qu'il s imposait a 1 estime, 1 admiration de tous, même de ceux qui le combattaienl fréquemment. Au Reichstag,oü il était dans tous les grands débats le porte- parole du gouvernement, il jouissait d'une autorité incontestée. Sa politique sociale et la tolérance dont il fit toujours preuve, lui valu- rent d'une fa$on constante l'appui du Centre. Son successeur sera M. von Bethmann- Hollweg.actuellement ministre de l'Intérieur de Prusse. Discours sur la tombe A u cimetièreMonsieur Louis Desaegher a pris la parole au nom du Comité de patronage des Maisons ouvrières. RéTérends Messieurs, Messieurs. En ma qualité de Président du Comité de patronage des Maisons ouvrières et des institutions de prévoyance, j'ai l'honneur et le triste devoir de dire une parole d'adieu a eet homme qui pour un grand nombre fut un indispensable collègue et associé,et pour tous fut un ami digne et dévoué. M. Gustave Werbrouck naquit a Cuerne le 9 Février 1850. Dès ses premières années de jeunesse, ses excellents parents luifirent connaitre le prix de l'épargne et du travail. Souvent on l'entendit, dans un dge plus avancé, rappeler le souvenir reconnaissant des auteurs de ses jours et des lecons qu'il avait re£ues k l'école de la familie lui- même fut un Jexemple frappant de ce que d'heureuses qualités, avec de l'intelligence et de la volonté, peuvent permettre de réaliser dans toutes les branches et dans tous les rangs de la société. Le bon Dieu dota Monsieur Werbrouck d'une Ame noble, d'une belle intelligence et d'une ferme volonté. Ainsi doué, le jeune Gustave fit de brillantes études, obtinc le diplome de l'enseignement moyen, et parut avec honneur dans la société. Avec ces connaissances acquises, avec les principes que lui avaient inculqués ses bons parents, il s'apprêta a son chenin, courageux,ardent et confiant dans l'avenir. Bientöt après,par suite des circonstances, on le vit l'armée faire son service d'une facon exemplaire, conquérir l'estime et i'af- fectionde set chefs,etarriva aux plus hauts grades auxquels.un milicien peut atteindra il devint maréchal des logis et secrétaire du Colonel. Le service militaire fini, M. Werbrouck s'appliqua au commerce, entra en mariage, et fonda la maison bien connue, actuelle- ment eu pleine prospérité, grace k son invincible ténacité au travail. Digne épouse du cher défunt, intelligente compagne de eet excellent mari trop tot ravi hélas k votre affection et a celle de ses enfants, vous, plus que tout autre, vous savez combien votre félicité et votre bien être lui tenaient au coeur, et ce qu'il fit pour le bonheur et la prospérité de la nombreuse familie que Dieu lui donna et qui devait lui être la couronne de ses vieux jours. Plusieurs de ses enfants héritiers de la tendresie et de la générosité de son cceur, se dévoutnt déja aux nécessités des moins bien partagés de ce monde, soit dans les contrées arides du Malabar, aux Indes Anglaises, pour apprendre aux infidèles les voies du Seigneur; soit, dans notre pays, pour assister les malheureux dans leur indigence ou se préparent a aller prêcher l'Evangile dans ces pays encore 6i peu accessibles, oü sont réservés au missionnaire tant de labeurs, tant de privations, et peut- être la mort. Inutile de vous dire, MM., que l'éducation pateruelle et les soins d'une tendre mère ont puissamment contribué a inspirer aux enfants le choix de tous ces nobles sacrifices pour la gloire de Dieu et le salut du prochain. Qu'il me soit permis, MM., d'ajouter un mot au sujet des institutions, qui, répandues dans tout l'arrondissement d'Ypres, doivent leur existence principalement a son initia tive ouü sa puissante cooperation. Je you- drais vous faire voir comment toutes ces oeuvres fondées en faveur de l'ouvrier et du petit bourgeois, ont grandi et trouvé une vraie prospérité par les soins vigilants et intelligents de eet homme, qui, comme président, secrétaire ou trésorier, en devint aussitót le cheville ouvrière. Secrétaire, dès l'origine, du Comité de patronage des Habitations ouvrières et des Institutions de prévoyance, il justifia la confiance qu'on avait mise en lui. Grace a son concours éclairé, le comité, qui subit par sa mort prématurée la plus sensible des pertes jouissait auprès de l'autorité supérieure de la plus haute estime et passait pour une administration modèle la plus grande distinction lui échut aux expositions de Paris, de Liége, de Milan, de Bruxelles les rapports annuels du secrétaire excitaient l'intérêt et étaient appréciés par un chacun pour les observations et les conseils prati ques qu'ils renfermaient. Membre fondateur et trésorier de la Sooiété de Secours Mutuels de Katholieke Ziekentroost, fondée a Ypres en 1886, il pouvait être fier du succès et de l'état florissant de cette oeuvre. Qui ne connait k Ypres la Société de Eigen Heerd C'est encore la sage direction et la vigilante activité de son fondateur et trésorier M. Gustave Wer brouck qui mirent cette institution humani taire en pleine prospérité et firent monter au nombre de 58 les maison habitées par des ouvrier s-propr iétair es, gracek l'intervention et aux avances pécuniaire de la Société. J'abuserais de votre attention, MM., si je voulais voir détailier encore Taction du Comité, dans notre arrondissement, pour l'établissement de sociétés de Secours Mu- tuel, soit pour obtenir des pensions de Yieillesse, soit pour assurer les malheureux en cas de maladie ou contre les accidents du travail soixante-dix sociétés d'épargne avec 15000 membres inscrits, et 32 sociétés de secours aux malades.sont la pour témoigner de lïnitiative générale de notre regretté confrère. Dernièrement encore, gtüce a son organi sation créatrice et k sa sage direction, la fédération des sociétés de retraite et celle des mutualités contre la maladie virent le jour et arrivèrent a leur plein épanouisse ment. Le projet de M. Werbrouck de fonder une caisse de reassurance pour les cas de mala die longue des ouvriers ou d'une trop prompte incapacité de travail, n'a pas obtenu sa réalisation vu la mort prématurée de son auteur. Espérons que d'autres don neront cette idéé généreuse un commen cement d'exécution. Nous espérions, MM., de conserver, de longues années encore, le cher défunt la direction de ses oeuvres. Nous espérions que longtemps encore il nous aiderait de son zèle et de son talent fonder et a perfectionner toutes les institu tions qui doivent servir au profit et au relèvement moral des rangs inférieurs de la Société. Dieu en a décidé autrement. Et voila ce qui réunit prés de cette tombe ouverte, sa familie cruellement éprouvée, ses nombreux et fidèles amis, ses coopéra- teurs dans la question sociale, pour apporter un tribut d'hommages et adresser un adieu reconnaissant au regretté père et époux, a l'intelligent et infatigable travailleur, au sincère et chrétien ami du peuple. La récompense n'est pas au pouvoir de l'homme c'est pourquoi nous élevons les yeux au ciel et nous adressons une prière fervente au Dieu rémunérateur des mérites et des bonnes actions, pour qu'il reqoive en gréce son fidéle serviteur et le récompense lui-même de tout le bien qu'il nous a fait. Repose* en paix, cher ami au revoir la-haut. Adieu Gustave 1 Adieu! M. Hallaert prit ensuite la parole au nom de la Fédération des Sociétés de Retraite. Messieurs Au nom de la Fédération des Sociétés de Retraite et Mutualités contre la maladie de l'arrondissement d'Ypres, je remplis un devoir bien pe'nible, en apportant un dernier hommage, en adressant un dernier adieu a Thomme si méritant, et trop tot disparu hélas au tres regretté MGustave Wer brouck, notre digne et bien aimé président Les allées solitaires de ce champ des morts ont si souvent entendu leséloges des défunts; elles ont recueillis les échos de tant de voix éloquentes qui ont signalé les mérites de ceux qui ne sont plus, que je me sens incapa ble de trouver des accents dignes pour retra- cer la vie de celui pour qui s'est ouvert le présent tombeau. M. Gustave Werbrouck était un travailleur dans toute la force du terme travaillons travaillons sans cessa nous nous reposerons aprèsGe fut sa devise quand, dans sa jeunesse, attiré par le goüt des études et de l'enseignement, il conquit brillamment les diplömes d enseignement primaire et moyen. Ce fut encore sa devise quand, dans l'age viril, au prix d'un opiniitre labeur, il se fraya une honorable carrière dans la société. Ce fut sa devise jusque sur soa lit de mort, quand, dans ses derniers jours il se souciait encore du progrès des aombreuses oeuvres sociales qu'il avait créées ou aidé a fonder, et auxquelles il consacra jusqu'aux restes de ses forces déja brisées. M.Werbrouck était une de ces ames d'élite, qui après avoir consacré aux siens une juste somme de labeur, loin de chercher un repos bien mérité, trouvait encore assez de temps et d énergie, pour travailler incessamment a relever la condition de tous les infortunés. Mais avec quel désintéressement il se donnait au prochain II faisait le bien pour le bien et n'avait en vue que la gloire de Dieu, l'honneur et le culte de la Patrie, Taméliora- tion matérielle et morale des families ouvrières lui-même était un fervent chré tien, un fidéle enfant de la Patrie, un bon père de familie. Je serais trop long, si je devais vous dé tailier tout ce que, sous ce triple point de vue, M Werbrouck a réalisé dans ces der nières années. Je me bornerai a vous montrer son action dans les Fédérations dont il fut le digne Président. Ce fut dans le courant de 1897 flue première idéé germa de réunir, dans une fédération, toutes les mutualités contre la maladie, afin d'obvier aux fêcheuses consé- quences des changements de domicile des membres. M. Werbrouck prit la chose coeur et dans cette même année, de concert avec feu M. Bouquet, il convoqua toutes les mutualités de l'arrondissement a une réunion oü le projet en question fut sérieuse- ment discuté et son mis a exécution décidée. Malheureusement la mort inopinée de M. Bouquet survient. Vers le même temps unefièvre de propagande pour l'établissement de sociétés d'épargne et l'enrolement de nou- veaux membres, puis Tapplication de la loi du lomai 1900 sur les pensions de vieillessc, absorbirent l'attention des esprits et Tardeur de toutes les activités. L'exécution du projet de 1897 s'en trouva retardée. Dès l'abord, M. Werbrouck, ce mutualiste décidé, avait compris toute l'utilité de la caisse des pensions. II était convaincu que 1 ouvrier en s'inscrivant dans une société de retraite, pouvait, facilement et sans presque s'en apercevoir.s'assurer une vieillesse a Tabri des misères et des soucis, tout en s'assurant présentement un plus grand bien être par des habitudes d'épargne et de sage prévision. Aussitot M. Werbrouck se mit a Toeuvre. Sa parole vibrante et pleine de conviction se fit entendre successivement dans un grand noinbre de communes, avec eet heureux ré- sultat que des sociétés de retraite furent fondées dans presque toutes les localités Que si, a notre grande joie, l'état de toutes ces sociétés est resté florissant, c'est encore a M. Werbrouck qu'on le doit pour une bonne partsa serviabilité, ses conseils, son action ne faillaient a personne. Maislezèle de M. Werbrouck ne pouvait le contenter de ce résultatil voulait conso- lider cette oeuvre, perfectionner son fonction- nement, permettre, en fédérant les sociétés d'épargne, que les uns profitassent de l'expé- rience des autres. La fédération vit le jour en 1902. A l'una- nimité des suffrages M. Werbrouck en fut choisi le président. Pas n'est besoin de dire la prudence et l'autorité avec lesquelles il présidait les séances du Comité et les réunions générales; le développement qn'il denna a cette insti tution oü le nombre des sociétés fédérées s'accrut de 32 a 59 le mouvement de pro pagande qu'il encouragea de fa^on a faire montert 11.000 le nombre des associés; les distinctions qu'il nous fit obtenir dans l'exposition universelle de Liége en un mot la pleine réalisation de toutes les espérances fondées sur lui. Ce semblait Je moment de mettre a exécu tion cette autre conception de M. Werbrouck, a savoir de fonder une fédération des mutua lités contre la maladie, Effectivement cette fédération fut établie l'année passée.et encore une fois M.Werbrouck fut élevé par les voix unanimes a la présidence. Cette nouvelle institution était appelée,sous sa sage et zélée direction a rendre d'immenses services aux ouvriers éprouvés par de longues maladies ou rendus pre'maturc'ment incapa- bles de travailler. Quel bien cette ame généreuse espérait réaliser sur ce terrainLe bon Dieu s'est contenté de sa bonne volonté. Le vaillant mutualiste n'est plus ses froides dépouilles sont la, prêtes a être déposées dans ce champ de repos. Cette mort est une perte sensible pour nos deux fédérations. La Fédération des Sociétés de Retraite en est d'autant plus cruellement atteinte, qu elle ne vient que de former la tombe, toute fraïche encore de son digne vice-présidentla Fédération des Mutualités contre la maladie, k peine suscitée a la vie, avait plus besoin de conseil et d'appui, et voit se creuser devant elle un vide profond difficile a combier. CarM. Werbrouck avait de maitresses qualités une perspicacité re- marquable dans les questions impliquées, une vraie intention des moyens d'action, une facilité étonnante de travail, faisant face aux mille nécessités de nos multiples fonctions. Qui pourrait calculer l'immense somme de travail qu'il fournit chaque année Jamais cependaut il ne s'en lassait, quand il pouvait faire du bien. Quels espoirs nous fondions encore a lui I L'homme propose, mais Dieu dispose Ne murmurons pas contre ses insondables des seins. Le travail incessant du cher défunt pour le bien, sa résignation sur son lit de souffran- ce, sa mort édifiante et toute chrétienne, les prières reconnaissantes de ses nombreux amis, nous permettent d'espérer que déja au Ciel notre cher Président a obtenu la récom pense, que le monde ne pouvait lui donner Adieu, done, cher Président nous ne nous verrons plus ici-bas mais nos cceurs conserveront votre mémoire avec recon- aaissance votre nom sera dorénavant inscrit en lettres d'or dans les annales de nos mutualités, comme d'un des premiers et des principaux organisateurs de toutes les insti tutions sociales de notre arrondissement. Vos nombreux amis et coopérateurs suivront vos traces et continueront vos oeuvres établies ou commencées. Et vous, sa familie éprouvée, Epouse et Enfants profondément affligés, vous qui plus que tout autre connaissiez le noble coeur du cher défunt, ne perdez pas tout espoir, la séparation est pénible mais l'espoir de le revoir un jour doit vous consoler dans cette rude épreuve. Plüt a Dieu que ces paroles apportent un baume bienfaisant a vos coeurs déchirés 1 Adieu 1 cher Gustave, au nom de nos Fédérations 1 Au revoir, la haut 1 Favorisées par un beau temps, les courses de dimanche ont pleinement réussi. Un pu blic nombreux y assistait. Les tribunes, oü es dames étaient en grande majorité, étaient bondées. A la plaine, la circulation était intense; au pesagenous remarquons un grand nombre desportmen connus, des officiers de toutes les armes beiges, et entre autres, le général-major Cuvelier, directeur général du personnel et du recrutement au ministère de la guerre les majors Hagemans, comman dant de l'école d'équitation d'Orjo de Marchavelettes, secrétaire du cabinet du ministre de la guerrenous y rencontrons également des membres de l'armée lran9aise et plusieurs notabilite's de la region et de l'étranger. Les courses débutent par un concours hippique pour officiers, concours des plus intéressants paree que, réunissant une pha lange de brillants cavaliers, montant des chevaux de première classe, dont plusieurs ont participé aux concours hippiques de Bruxelles, La Haye, Roubaix (1906), Osten- de, et sy sont classés aux premières places. Les résultats trés remarquables furent les suivants 1. Mascarille, montée par le sous- lietenant Picard. x'17 2. Omer, sous-lieu- tenant de Trannoy, »*i8" 3. Claudinette, sous lieutenant de Trannoy, 1'19'"; 4.Kiriki sous-lieutenant deHennion de Villiers.i'ig"; 5. Gaspard, sous lieutenant de Trannoy, i'ai"; 6. Rebecca, lieutenant Dehoust,i'a4 7. Jef, sous-lieutenant Dhanis, 1*17" 8. Miss Daisy, sous-lieutenant Méeus, i'aS". Les six premiers classés ont fait le parcours avec zéro faute. Mascarille, sous lieutenant Picard, et Jef, sous lieutenant Dhanis, ont mis le moins de temps, i'i7". Mentionnons encore pour le personnel de l'école d équitatioa un travail d'école exécuté exécuté par les sous instructeurs, travail hau- tement apprécié et trés applaudi, une lutte pour le cheval avec neuf cavaliers pour huit chevaux, d une hardiesse surprenante aux scenes vraiment amusantes pour les specta- teurs, mais qui dénotent une grande science chez lei cavaliers un jeu de la rose oü huit vigoureux cavaliers s'acharnent aenlever une rose que porte un autre cavalier non moins vigoureux et qui, en fin de compte, conserve la fleurdes sauts en sens inverse par quatre groupes de cinq cavaliers une course de bagues, etc. Somme toute, la partie réservée au bien- veillant concours des officiers et sous-officiers de l'école d'équitation a été fort goütée et a constitué comme toujours une desgrandes attractions des courses d'Ypres qui, par cela même, sont uniques dans ce genre en Belgi- que. Voici les résultats des courses proprement dites et qui avaient réuni un lot nombreux d'excellents chevaux Prix des Dames (course au trot monté et attelé pour chevaux beiges de 3 k 6 ans. 5°° fr-, 6 partants).—1« Boston (Dierckens); Yorka (Roelens) 3' Yorck (Cardon). Prix de l'Yperlée (caurse hors série au trot monté et attelé,handicap libre pour tous chevaux, 800 francs. 11 partants.) ier Clairon (Vandenberghe) Pourquoi (Dier ckens) 3* Poupine (Van Loosveldtj. Prix des membres protecteurs (course au trot monté et attelé pour chevaux beiges de 3 ans, 500 fr., 5 partants). ,er Epsom (Dierckens)2* Rallié (Bruynooghe) 3* Joubert (Verzele). Prix de la Ville (course internationale au trot monté et attelé pour tous chevaux, 1,000 fr., 9 partants). ie' Vermine (Van- loosveldt) Raoul ex Annamite (Pierraerts) 3< Utile (Coppin). J COUP DE COÜTEAU. Le nommé Charles Monet étant pris de boisson, entra lundi soir vers 9 h. i Estaminet De Voer- man, tenu par Jules D'Hooghe, k la porte de Lille et ne trouva rien de mieux que de briser une partie du mobilier. Pendant que la cabaretière allait chercher la police, il partit. Le cabaretier, rentré a l'instant même, le suivit pour lui réclamer le paie- ment des dégAts. II le rencontra au passage a niveau du cherain de fer de la route de Uoulers. Une explication surgit, Monnet tira son couteau et en asséna un coup dans la nuque au cabaretier qui s'abattit et dut être transporté chez lui. Le docteur Donck, appelé pour donner les soins au blessé, constata une blessure de quatre ceutimètres de profondeur. Procés verbal a été dressé par la police. Aujourd'hni nous apprenons que Jules D'Hoogbe a succombé aux suites de sa blessure. Isidoor Dumont, aardewerker, wdr van Maria Blomme en Maria Gesquiere, naaisfêr, wwe Amand Nvsseo, beiden te Yper. Henri Piancqueel, lintenwever te Comen en Elisabeth Beelaerts, dienstmeid, te Yper. Gustaaf Slosse, metserdiener, te Yper en Maria Malesys, kantenwerkster, te Poperingbe. Camiel Burggraeve, timmerman en Julia Vandevelde, kleermaakster, beiden te Yper. BURGERSTAND VAN YPER van den 21 tot den 28 Juni 1907 Geboorten Deruyter Alois, Rjjselsteenweg. Geloen Andró, Veurnesteenweg. Castelein Maurits Bruggesteenweg. Coene Maurits Mondstraat. Wullepit Elodie, DeHaernestraat. Garlier Margareta Meenenstraat. Craye Leonia, LangeMeerschstraat. Dekeyser Alfred, Waterkasteelstraat. Janssen Antonia, Zonnebekesteenweg. Angillis Camilla, Nazarethstraat. Vandaele Gustaaf, Bukkerstraat. Lagrange Maria. Meenensteenweg. Huwelijken Derous Carolus, volzetter Scheerlinck Ce- lina, kantenwerkster. Tavenier Cyriel, glaswerker te Adinkerke A Rouzeouw Eugenie, winkeldochter te Yper. Overlijdens Blieck Joannes, 61 j. z. b. echtg. Cardoen Leonia, L. Thouroutstraat. Robaeys Augustin, 35 j. vuurstoker, echtg Ramskindt Stephania, Meenenstraat. Diserinck Hortensia, 57 j. gepensionneerde barreelwachtster, Wwe Bouckaert Petrus, Dickebuschsteenweg. Debeuf' Alois, 33 j pasteibakkerskneeht,echtg. Baratto Alina, kaaistraat. I.emahieu Irma, 5 m.. Wieltjestraat. Wouts Isabella 75 j. z. b. ongehuwd, Elver- dinghestraat. Kaesteker Gustaaf, 4 m., Klaverstraat. On nous prie d'annoncer que Mr Mm« MEIER, chirurgien-dentistes-spécialistès, 2, rue de Mouscron, k COURTRAI, seront absents du 20 Juillet au 2 Septembre. Pour guérir la T0UX, le SIROP PECTORAL DEPRATFRE est sans rival. Lui scul guérie sans danger, tandis que d'autres remèdes inconnus nuisent au coeur et a 1 estomac constipent ou brülent les extrémités capil taires des branches, Ie Sirop Depratere ne renferme aucun narcotique et peut être prs même par les enfants dont il guérit même la coquluche en 8 jours. Prix: 2 fr. la grande bouteille chez Tinventuer Od. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2