Of) demande Nos inu;iciens Yprois Ac!es officiels Discours Couverture de la session parlementaire Le «Progrès» et les Fêtes PRISON D'YPRES Huwelijksafkondigingen File avait quinze ans du Conseil Provincial pour 1907 prononcè ptr M. le Gouverneur de la Flandre Occidentale (0- La Démocratie Elle était chétive Ees pilules ^iuk i'ont fortifiée les bravós et les bis qui rappelèreut jusqua trois fois le chanteur sur la scène aussi bien ne se lassait-on pas d'entendre cette voix délicieusement timbrée autant qu'e.xer- cée. Du uRat in de pander et du Dokter tegen goeste nous ne dirons rien. Tant pis pour les absents tant pis surtout pour les bypocondriaques qui ont dédaigné la cure radicale de risothérapLie que leur aurait procurée la faculté représentée par les joyeux docteurs Mijnheer Wannes, Pillemans père et fils, Nicodemus, Narcisse, Lampaert et De Kuyper. Est il besoin de dire que des étudiants en vacances ne se contentent pas de lire, de chanter, de folAtrer La sève de quinze ans fait gambader irrésistiblement. Mais, s'il est vrai que chez les ames bien nées La raleur n'attend pas le nomb'e des années. elles l'ont bien prouvé inardi chez elles aussi Tart chorégraphique, comme tous les autres arts conserve sa dignité et sa noblesse et n'a rien de commun avec les sauteries de tout nom, généralement aussi inesthétiques que lascives, qui servent de pur prétexte a l'entrelacement des sexes. Chez nos étudiants la danse est en outre uu un sport hygiénique, un exercice d'assou- plissement, un précieux délassement de l'esprit. Rien de plus gracieux que leur daDse tyrolienne avec ses pas et ses figures con- stamment variés.Et pour terminer ce gentil intermède, des pyiamides et «'es tableaux vivants éclairés aux lueurs de bengale. Danses et tableaux vraiment réjouissants pour l'ceil. Spectacle aux suggestions non moins agréables pour l'esprit. Car il faisait bon voir cette brave jeunesse se faire ainsi la courte échelle pour faire flotter plus fièrement et plus haut les couleurs de la patrie. On eüt dit qu'ils avaient hAte de faire la Belgique plus grande mieux que cela, d'emporter vers des plages inhospitalières, dans les plis du drapeau beige, le meilleur article d'exportation du terroir national la foi catholique. Oui, sans doute, plus d'un d'entre eux rêvait d'arracher au fanatisme des boxers et aux ténèbres des fausses religions la jeu- nesse de ces lointains pays. Sans doute, ils voulaient tous partager avec les petits déshérités de Mongolië les j inestimables bienfaits doDt le Ciel les avait comblés. Mais nous, a voir dans leur joyeux état ces jeunes gens si bien éduqués et si heureux, nous songions qu'on ne saurait défendre assez vigoureusement contre les entreprises des boxers d'ici francs ma- gons et tutti quanti cette jeunesse qui' grandit a l'abri des influences malsaines pour infuser un sang nouveau, généreux et pur, aux membres malades de la société moderne. Belle efflorescence extra scolaire de nos florissantes écoles libres, il faut que le Studenten bond regoive de la part de nos amis les encouragements qu'il mérite, c r, ainsi que le proclame la devise inscrite sur son drapeau: L'avenir est auxmairs de la jeunesse Encore, un mot Pourquoi diable devenez vous furieux lorsque nous touchons un mot a propos de votre fameux festival Si tous les commercants ont fait en un jour des affai- ras d'or comme vous le pre'tendez, qu'est ce done qui incitait vos patrons a cacheraux commercants la note a payer et a la partager en differents postes. aux comptes pour mieux faire avuler la pilule? Nous apprenons avec plaisir que trois de nos jeunes concitoyens viennent d'etre admis au Conservatoire Royal de Bruxelles. Ce sont Messieurs Lucien Verhaeghen, élève de notre école de musique, admis au cours de violon. Achille Cilor, ancien élève de notre école de musique, actuellcment musicien au dis- tingué corps musical du régiment des grena diers, admis au cours de clarinette. Alfred Debruyne, ancien élève de notre orphelinat des garcons, également musicien au régiment des grenadiers, admis au cours de cornet a piston. Nous felicitous cordialement ces jeunes gens de la bonne fortune qui leur échoit et nous leur souhaitons bonne chance. Que par leur bonne conduite et leur travail assidu, ils puissent nous revenir un jour couronnés de lauriers. Par arrêté royal du 8 Aout 1907 M. Pondeville est définitivement nommé aux fonctions de maitre de musique a l'école moyenne de l'PJtat pour gargons a Ypres. Par arrêté royal du 18 Aoüt 1907 les modifications apportées par le conseil com munal de Comines au règlement organique du corps de sapeurs-pompiers communaux armés sont approuvés. Le même arrêté royal nomme au dit corps Capitaine en second le lieutenant H.Bour geois Lieutenant: le sous-lieutenant A.Beun. Par arrêté du Ministre de la Justice, en date du »8 Aoüt 1907, un subside de 4000 fr. imputable sur le chapitre VIII article 41 du budget de son département pour l'exercice 1907, est accordé au comité d'inspection et de surveillance de l'école de Bienfaisance de l'Etat a Ypres, pour lui permettre de rem- plir sa mission de patronage a l egard des élèves sortis de cette école. (Suite) Un bon point au Progrès, l'organe qui pretend ne pas être pieux. Nous n'avons pas toujours l'occasion de signaler sa sincéritéc'est pourquoi nous saissisons cette rare occasion de le faire, dussions nous blesser sa modestie si souvent enflée et sa susceptibilité si vite irascible. Toutelaville savait que le Progrès était pour une fois d'accord avec la grande majo- rité de la population et approuvait la série des festivités de la saison d'été et de la Tuin- dag 1907. Son silence éloquent en était la preuve évidente. Mais qui aurait pu supposer que le Progrès ne s'en tiendrait pas la et que dans son nu méro du ir Septembre dernier il imprimerait que les credits pour les rejouissances publi- ques ont été vote's afin d'attirer le monde en ville et qu'il ne peut qu'approuver, dans une certaine mesure bien entendu, les fêtes pu- bliques données en 1907 Mais c'est trés beau de votre part, cher Progrès, d'etre aussi sincere et de faire un éloge aussi flatteur des festivités. Nous n'en attendions pas autant et la pe tite restriction que vous failes, personne ne la prendra au sérieux, ni vous, ni aucun de vos amis. C'est votre grincheux naturel qui en est la cause. Aussi celui ci prend aussitêt le dessus. Les fêtes ont été bien mais des fêtes d'un autre genre eussent été meilleures. C'est bien cela que vous voulez dire D'un autre genre Done aucun des beaux concerts, pas de courses vélocipédiques, ni de chevaux, rien poui la fête nationale, aucune des belles festivités de la visite du gouver neur, ni ballon, ni tirs a l'arc a-main ou a l'aibalète, ni jeux populaires, ni concours divers, aucune de ces festivités Ia, mais des festivités d'un autre genre Mais de quel genre Vous oubliez de le dire. La critique est aisée mais l'art est difficile, disait Boileau, n'estce pas Progrès. Messieurs, tous les Westflamands ont lieu de se réjouir avec la population brugeoise. L'accroissement de richesse qui va se produi- re au chef lieu profitera a la province entière. Lorsque je siégeais sur vos bancs,les vceux y étaient fort en honneur. Permettez-moi de terminer ce trop long discours par la repro duction d'un voeu qui, bien des fois déja, fut dëfendu dans cette enceinte avec talent et conviction. Je souhaite que le commerce de toute la province puisse bénéficier directement de l'important outillage économique qui vient d'etre créé et pour l'établissement duquel elle n'a pas ménagé ses sacrifices. En d'autres mots, je souhaite qu'un canal de Bruges a Roulers relie bientot les nou- veaux ports au réseau fluvial de la province Mettons a poursuivre ce complément si désirable de l'entreprise a laquelle vous avez généreusement contribué, cette énergie et cette persévérance qui sont parmi les qualités les plus précieuses de notre race et qui valu- rent a Bruges, après tant de lutte ét de mé comptes, l'heureux aboutissement de ses efforts 1 Messieurs, c'est avec la plus vive satisfac tion que j'ai retrouvé mes chers anciens collègues du Conseil provincial. Hélas je ne les ai pas retrouvés tous II me faut rendre hommage a la mémoire de plusieurs d'entre eux, que la mort a frappés depuis votre derniere session. M. Deswert, décédé le i3 novembre 1906 se dévoua pendant plus de vingt ans a la prospérité de la ville de Blankenberghe. Elu conseiller communal de cette ville, en 1884 et échevin en 1888. il fut nommé Bourgmes- tre en 1895. II siégeait sur vos bancs depuis 1898. Quelque ardue que soit la tache de chef de l'administration communale dans une cité balnéaire de l'importance de Blankenberghe, M. Deswert sul faire race a toutes les difficul- lés. Ce fut un magistrat actif et prudent, profondément soucieux de ses devoirs, con- stamment préoccupé de ce qui pouvait tendre au bien de ses adminïstrés. II fut aussi d'une bienveillance inlassabïe a l'égard de tous ceux qui avaient recours a lui. Sa mort fut un deuil unanimement ressenti par toute la po pulation blankenbergbeoise. Sa perte n'a pas été moins vivement déplo- rée parmi nous, qui avions pu apprécier ses qualités pendant le temps malheureusement trop court oü le défant siégea dans cette .assemblee. Le Roi avait reconnu ses mérites en lui conférant Ia croix de chevalier de son ordre. MM. Floor et Verlende décédés, l'un le 10 octobre 1906, T'autre le i3 mars 1907, tous deux conseillers pour le canton de Rousbrugge Haringhe, le premier depuis 1887, le second depuis 1898, jouissaient au Conseil de symphaties unanimes et méritées A voir la foule qui affluait a leurs funérailles, on a pu constater combien grande était la juste consideration dent ils étaient entourés, combien ils avaient rendu de services autour d'eux,combien vifs étaient les regrets suscités par leur fin préraaturée. M. Samain, décédé le t» mars 1907,-était des votres depuis 1894. Son caractère expan- sif et sa franchise toute flamande lui avaient acquis de prime abord la sympathie de ses collègues. Toutes les fois qu'il prenait part a vos débats, vous écoutiez volontiers, je m'en souviens, sa parole parfois un peu rude, mais toujours abondante et chaleureuse. Nombreux sont les services qu'il rendit a ses commettants, non seulement en qualitó de membre de l'assemblée provinciale, mais encore et particulièrement,daus le cercle des intéréts communaux. 11 était membre du conseil communal de St-Genois depuis 1872 et Bourgmestre de cette importante commune depuis 1884. Le Roi l'avait nommé chevalier de son ordre et a cette occasion, une manifestation imposante montra toute 1 etendue de la po- pularité qu'il avait su mériter parmi ses concitoyens. Le Conseil conservera d'autant mieux le souvenir de ce membre si justement regret- té, que 1 honneur échoit aujourd'hui a son fils de recueillir sa place parmi vous. J'espère, Messieurs, qa'au cours de mes fonctions nou velles, je n'aurai plus jamais a déplorer avec vous, la perte de tant de bons amis, de tant d'utiles serviteurs de la Province (1) Les archives fournissent la preuve qu'un mouvement commercial assez considérable a existé entre l'ancien port de Bruges et son hin terland. A.ms\,l'oa vo\l en 1167, Philippe d'Al- sace confirmer un ancien privilège des habitants d'Ypres, en vertu duquel ils étaient exempts, moyennant poiement d'un denier par bateau, de tous péages sur l'Yperleet, cours d'eau s'abou- chant au port de Bruges (V. Diegerick, Inven- taire des chartes d'Ypres, 1.1p. 6, n° 5). Il me reste un deruier devoir A remplir, c'est d'exprimer le regret de ne pas revoir A son banc, le Baron Frédéric de Crom- brugghe de Picquendaele, regret moins douloureux sans doute puisque, si vous avez perdu ce collègue particulièrement estimé, nous avons la co solation d'avoir gardé l'ami qu'il est pour nous tout. La confiance de ses électeurs Tenvoya siéger pendant prés de 35 ans dans votre assemblée l'affectueuse estime de ses col lègues lui fit prendre place a votre bureau pendant prés de 28 années. Une telle fidélité dans les suffrages de ses mandants et da ses pairs, suffit a attester les mérites de celui qui s'en est montré digne. L'énumération des services que le Baron de Crombrugghe de Picquendaele rendit a la West Fiandre me mènerait trop loin, alors que j'ai abusé déjA de votre bienveil- lante attention. Je me contenterai de m'associer a l'hom- mage que vous lui avez décerné lors de votre session extraordinaire du 15 janvier dernier et a lui envoyer, une fois de plus, l'expression de notre commune affection et de notre commune gratitude 1 AU NOM DU ROI, je déclare ouverte la session ordinaire du Conseil provincial Adjudication du Samedi 7 Septembre ipo7. 20,000 Kg. de Pomaes de Terre 1. Yanneste Constant, A Ypres, a firs. 6,35 2. Hebben Henri, a Ypres, a frs. 6,74 1270 1348 3. Emile Ballon, 4. Titeca Victor, Mods, a frs. 6.83 1366 Mons, a frs. 6,85 1370 5. Dewaeghenaere Victor, aCourtrai, a frs. 6,95 1390 M. Auguste Roussel, revenu de la défunte Vérité francaise a X Universet qui n'est pas précisément démocrate, publie dans ce dernier journal un article sur le nouvel ouvrage que vient de publier Témiuent professeur d'économie sociale, M. de La- marzelle, sénateur du Morbihan, sous ce titre Démocratie politiquedémocratie socialedémocratie chrétienne (Paris, nou veile librairie nationale, 85,rue de Rennes) Nous empruntons a eet article les passa ges suivants Ibis dans son sens étymologique, le mot démocratie» signifie souveraineté du peu- ple. A cette signification, une réalité peut- el!e rorrespondre C'est ce qu'examine M. de Lamarzelle. Le lecteur qui chercherait dans son livre de grandes theories et de graudes phrases serait dégu. En revanche, il sera cbarmé par le bon sens éievé dont s'inspire l'auteur, par la simplicité autant que par la clarté de ses observations, par l'indiscutable logique de ses conclusions. La démocratie politique, c'est la remise du gouvernement au peuple par le bulletin de vote consacrant l'égalité de tous les électeurs devant le scrutin. Mais en réalité, est ce bien le peuple qui gouverne ainsi, et ceux qu'il a élus pour gouverner selou ses intérêt se montrent-ils vraiment soucieux et peuvent-ils être capables de lui rendre les services qu'il en attend Par l'exemple des Etats-Unis oü il semble que la démocratie politique soit établi en mattresse, M. de Lamerzelle montre que, pour ne pas dégé- nérer en une funeste incohérence, la souveraineté du bulletin de vote a besoin, comme toutes ies autres souverainetés, d'être réfrénée par des institutions dressées contre elle en manière de garde-fous. Done, pour l'utile et vraie representation du peuple dans l'organisme gouvernemental.il faut user non du bulletin de vote personnel, egalitaire et souverain, mais du bulletin de vote émanant dissociations représentant des intéréts communs C'est la condition sine qua non pour éviter ce qui nous mena ce et ce que n'ont pas su éviter les Etats- Unis eux même dont on a pu dire Le peuple le plus neuf du monde et le plus libre du monde et la prose des trusts aussi haïssables Tun que l'autre le trust de l'or etle trust de l'outil. Pas de droit au capital, si on ne baisse pas la tête devant le premier pas de droit au tra- vail si on ne passe pas sous le joug du second. Comme le dit en d'autres termes M. de Lamarzelle, les Etats Unis n'ont plus de roi. C'ertes, de roi au singulier, mais ils ont des rois, le roi del'acier, le roi da pétrolq, J le roi du sucre, etc. Et la domination de ces rois-la est parfois autrement dure a supporter que celle d'un monarque politi que dont l'empire nes'exerce que sur des intéréts trés généraux et ne va jamais jusqu'A la vie privée de cbacun. devra s'inspirer de eet esprit chrétien comme l'a dit Léon XIII, est le seul m(C' de rétahlir l'union féconde des patrons6*! des ouvriers en assurant également 1 respeet et l'accomplissement de leurs droit9 et de leurs devoirs réciproques. La Ligue des bons remèdes informe j public que la délicieuse Pastille pectoral8 Walthéry, qui guérit, la toux la plus pénible en 2 jours, se vend un franc la boite dane toutes les pharmacies beiges et étrangères Maurits Bulcaen, handelsreiziger en Rom!»,;„ Vanleene handelaarster te Yper. a Henri Bordeoux, jachtwaker, wdr. van Eu°v. nie Demeyer en Elisa Bekaert. winkelierster tè Camiel Segers, hovenier, te Yper en Elisi Deltombe, werkv te Brieleu. Voila pour la démocratie politique. Qu'en est-il de la démocratie sociale Telle qu'elle apparait dans les discours ou les écrits des politiciens du jour, c'est ou ce doit être logiquement le triomphe du socialisme collectiviste, paree que cette conclusion est l'aboutissement nécessaire de la thèse d'après laquelle il n'y aura vraiment d'égali.é sociale que si tous les citoyens,égaux devant le scru tin, le deviennent au regard de la propriété. Sans doute, pratiquement c'est une utopie, puisque.pour obtenir et surtout pour mainte- nir une pareille égalité, il serait ndispensable que Dieu eüt créé tous les hommes égaux en santé, en intelligence et enforce. M. de La marzelle en fait la demonstration avec autant de vigueur que de clarté; mais cette chimère n'en est pas moins au fond de tous les programmes des démocrates anticléricaux et il devient urgent d'en voir le peril pour le combattre résolüment. Reste l'examen de la «démocratie chrétien ne expression qui est née spontanément de nos difficultés sodales et que Léon XIII et Pie X ont légitimée en la limitant dans une signification précise. De cette formule, qui a suscité tant de controverses et prêté a tantd'interprétations, M. de Lamarzelle donne une definition qui, également éloignée des répugnances excessi- ves et des exagérations facheuses, remet les choses au point La démocratie chrétienne, dit-il, n'est ni la démocratie politique ni la démocratie socialiste la démocratie chrétienne est l'antidote de cette démocratie même qui, a l'heure présente, en France, sert a flagorner les masses le contraire puisque celle ci a pour fondement et pour point de départ comme d'arrivée une égalité aussi stupide que dangereuse pour la société et que la démocratie chrétienne a pour prin cipe, qu'il n'existe et qu'il ne pourra jamais existcr ici bas égalité absolue entre les hom mes en dehors de leur égalité devant Dieu... La démocratie, c'est la mise en pratique ici bas des conséquences qui découlent nécessai rement del'égalité des hommes devant Dieu.» Cette mise en partique, elle ne s'accom- plira, déclare l'éloquent écrivain, que si les oatholiques comprennent et remplissent leur devoir social. Quant A la forme écono mique dans laquelle elle pourra le mieux se réaliser, ce sera la corporation rajeunie, adaptée a l'industrie moderne, en un mot le syndicat. le syndicat que trop de con- servateurs ont commis la faute grave de combattre on a rendu révolutionnatre, écrit M. de Lamarzelle, le mouvement qui ne l eüt probablement pas été sans celaqui n eüt été que ce qu il doit être, purementpro- fessionnel. Mais pour être réellement un instrument d ordre et de paix, le syndicat BURGERSTAND VAN YPER van den 30 Augustus lot den 6 September 1907 Geboorten Gobyn Maria, Groenestraat. Segers Antonia, Doorgangstraat. Vermeersch Maria, Langa Meerschstraat. Haghebaert Maria, Kanonstraat. Ollevier Julia, N'êerstraat. Bollengier Garolus. Eigenheerdstraat. Demeere Roger, St. Maartensklooster. Huwelfjken Beirnaert Robert, pasteibakker te Biussel Gallens Valeria, handelaarster fa Yper. Dieryek Gustave, landbouwer te Voormezeelo Speybroek Maria, z b. te Yper. Sterfgevallen Defvoye Amelia, eektgt. Decoainck Leo Rij. selstraat. y Laeante Juliaan, 4 maanden, St. Christoffelstr. Greton Jules, 58 j. handelaar echtgf. FeVs Rin. die, Boterstraat. Dehaerne Juliaan, 4 maanden, Schuttelarestr. Roofaert Stephanie. 51 j. huish. echte D'hnysge Arsenius, Meenenstraat. Grimonprez Irma, 18 j.z. b. Statiestraat. Lfcgris Benedikt, 83 j z b. wwe vau Allara in Jacobus en Dumon Emiliaau Hondstraat. La constipation et les inflammations du foie et des intestins sont toujours guéries par la Pilule antiglaireuse du Dr Walthéry. Une boite de fr. 1.00 suffit. d'urgence, personne sérieuse, disposant de quelques heures par jour, pour affaire de publicité. Travail, forte commission Ecrire aM.C Bureau restant, Bruges. 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Mile Léonie Compère avait été trés éprouvée et 1 n'est pas surprenant que, étant donné sou état profond d'anémie, les mèdicaments ordinaires se soient montrés impuissanls. Aux grands maux, les grands remèdes. A la profonde anémie, les pilules Pink. Les pilules Pink l'ont parfaitement guérie en effet. J'ai été trés anémique pendant deux ans, écrit-elle, je n'avais plus d'appótit et j'étais bien faible et bien pate.Je mang ais a peine et malgré cela j'avais assez souvent des vomissements. J'étais toujours oppressée, il me semblait, tene ment ma respiration était haletante, que j'allais m'étouffer. J'était constamment fatiguée et je m'endormais lout le temps, mais pendant mon sommeil j'avais des rêves pénibles, des cauche- mars insensés. J'ai eu bien souvent la migraine, et il me suffisait de fixer un tant soit peu un objet pour avoir immédiatement des éblouissements. On m'a fait prendre beaucoup de módicameDts, mais ils n'ont pas donné les résultafs attendus. On m'a fait prendre alors les pilules Pink, et avec ces pilules j'ai eu de suite du soulagement' C'est extraordinaire combien elles ont apporté du changement dans mon état de santé et en rien de temps J'ai été de nouveau bien vite forte, et tous mes mal ises out rapidement disparu. Les pilules Pink sont recommandóes a tous les affaiblis, les épuisés. Les pilules Pink sont une source de forces, elles donnent de l'appétit, de bonnes digestions. Elles guérissent l'auémie, la chlorose, la faiblesse générale, les maux d'esto- mac, migraines, névralgies, sciatique, danse de St-Guy, rhumatismes. Elles sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépot: Pharmacie Derneville,66,Boulevard de Waterloo. Bruxelles 3.50 fr. la boite, 17.5" les 6 boites, franco. Dépot A Ypres, ;harmacieC. LIBOTTE;4 Poperinghe, pharmacie MONTEYNE.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2