On demande
MAISON DE RENTIER
PUNAISES
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Julius Holz,
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DÉTACHEUh IfVlPERiÊL
CHROM! QUE YPHOISE
op de RIJWIELEN
sur la methode pour apprendre des langues modernes
Elections Communales
A Comines
Le retour dage
L'age critique
Huwelijksafkondigingen
Le cocher de fiacre
Lundi 14 Octobre 1907,
Lundi 28 du même mois,
Scéféf «éi MÊSÈLèk èièüihiteèi êièl èièiêlêl èlêlêièièi élê>lêiM$u
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publiquo et gratuite
psir le Directeur de la Victoria Schools of Languages
LE DIMANCHE 29 SEPTEMBRE A i I 1/2 H.
a la salie de >1 ilice (Hotel de vilie)
(Extrait du Bien Public)
Yprcs sous le régime clerical
1 Les femmes bien avkctss'y préparen!
Lh cure des Pilults Pink
ViiiNTE I'UOLIQUE
si Ypres
Le Notaire EUGÈNE VAN DER
MEERSCH, résidant a Ypres,
expose;a en vente publique i'immeu-
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Ce sont M. Emile de Lalieux, bourgmes-
re M. Charles Vanpée, échevin Dr Léon
Itouffs, conseiller sortant M. Firmin Hau
ler, conseillier sortant, ainsi que MM. Fer-
iinand Delcrroix, industriel et président de
a fanfare royale Les Amis de la Concor-
ie et Geo rges Defalque, brasseur et prési-
lent de Ligaie démocratique.
Les Bocialistes, dont lea libéraux avaient
recherché I'alliance, n'ont pu obtenir l'in-
troduction d'un candidat sur la liste libé
rale et ont décidé cependant en petit
comité de voter pour les anticléricaux.
Mais il est évident que de ce cotê il y aura
du déchetles libéraux pourraient avoir du
désenchantement, aucun grief ne pouvaDt
être articulé centre radministration com
munale et son dévoué chef, MEmile de
Lalieux.
COURTR.AI. Les dix conssillers catho-
liques dont les noms suivent se représente-
ront
MM. Pierre-Amaud Tack, ministro d'E-
tat, échevim des finances Henri Devos,
échevin des travaux publics Victor Ver-
cruysseJules Vuylsteke, Raymond De
Bien, Emile Kerckhof, Léopold Gillou,
Arthur Doutreligne, August Peel et
Alphonse Suyssen.
Les socialistes ont formé une liste de sept
candidats seulement et dont voici les noms
avec leur professions
Emile Carlier, boulanger Joseph Coole,
ancien tisserand, secrétaire des syndicats
■ocialistes Adolphe Dejaeghere, négociant;
Gustave Desmedt, négociant Edouard
Desmet, cmbaretier Adolphe Groenweghe,
ancien ébéaaiste, tenancier et administrateur
du Volk.srecht n Francois Mattelaer,
ancien ouvrier imprimeur, secrétaire du
Volksrecht
SCHAERBEEK. Le poli de l'Associa-
tion libérale et progretsiste a désigné, au
premier tour de scrutia. MM. Reyers, Bergé
Devèze, Mlarbottin, Wittmann et Vander-
velden. Suivent immédiatement MM. Bos
saerts, Ley et Gicart, en ballotage,avec une
asiez forte avance, sur trois autres candi
dats.
U/AiN-M. rniTj. i'ix. oiciu!
n :iw -«;t_
pour le choix des candidats. MM. Giroul,
membre de la Chambre des représentants et
échevin de l'instruction publique Eugène
Mottaert, avocat, conseiller communal
Leopold Lebrun, négoeiaut, conseiller com
munal, et AdolpheWarnant, brasseur, éche
vin des travaux publics, out été p; oclamés
candidats.
On sait que libéraux et socialistes présen
tent une liste commune. Les candidats
socialistes sont MM. F. Lebeau, avocat, et
Berlo, gérant de la cooperative Les Prolé
taires Hutois
DANS L'ARRONDISSEMENT DE VER-
VIERS. Les partis politiques commen-
cent a s'agiter dans les communes de notre
l'arrondissement, nous mande notre corres-
pondant de Verviers.
A Verviers et a Dison, il y aura trois
listes en présence, et peu de changements
sont a prévoir.
Spa sera le theatre d'uue lutte homérique.
La liste des intéréts communaux ayant a sa
tête la baron de Crawhez va tenter de mettre
par terre la majorité magonico socialiste
qui préside si tristement aux destinées de
la charmante ville d'eau. La campagne est
engage r et elle s'annonce ardente et féconde
en incidents
A Pepinster et a Limbourg le cartel est
renouvelé, mais nos amis ne désespèrent
pas d'ébrécher ie bloc de leurs adversaires.
A Tnuiu la bataille sera également trés
chaude ainsi qu'a Lierneux.
De tous les points de Parrondissement
arrivent les meilleures nouvelles, de la sur-
tout oil Padministration sortante est aux
mains des li' éraux oudu cartel.
dermotte et Polydore Reyniers, sortants,
ont été désignés pour représenter spéciale-
ment sur la liste commune catholique les
ouvriers catholiques de Gand.
Les autres candidats, provisoires, MM. F.
De Clercq, R. De Bruyne, L. Duprez, dé
signés pac les délégués, ayant refusé par
écrit d'entrer en concurrence avec les sor
tants, il n 'y a pas eu lieu de faire un poll.
Les candidats de PAssociation Cathohque
sont
MM. Jos. Casier, sortant; Alf. Claeys, dis
tillateur; Eug.de Hemptinne, sortantH. de
Stella, médecin et professor a l'Université
Léon Nève, notaire Alb. Tollenaere, fabri-
cantAlois Vandevyvere, avocat.
AI.OST. La liste catholique vieDt d'etre
définitivenaent constituée comme suitMM.
Isidore Bauwens, médecin L. De Clercq,
médecin Victor De Geest, notaire De So
mer, entrepreneur Désiré De Wolf, négo
ciant Acbdlle Eeman, commeigantGee-
roms, contremaitreRornain Moyersoen,
avocat, et Polydore Van Gyzegem, indus
trie!.
NINOVE. L'association catholique
vient de designer ses candidats les voici
MM. F. De Clercq-De Cuen, L dustrielFr.
De Clippel, brasseur De Cooman-Eliaert,
médeciu Joseph Kieckeus, avocat, et Van-
denbosscher-Brijs, commergant.
MONS. La liste des candidats libéraux
vient d'être définitivement arrétée. Elle com-
prend les moms de MM. Lescart, bourgmes-
tre Barbier et Marlier, óchevins Sohier,
conseiller sortantsJottrand, Desenfans,
Putsage. Manceaux, Mignon, Gosselin, De
france et Toussaint, candidats nouveaux.
II reste rxn candidat a désignés par PÜDion
ouvrière libérale.
MALINES. Le poll de 1'Association
conservatrice a donnéles résultats suivants:
MM. Decocq. bourgmestre; Claes, Nobels,
Masboom et Louviaux, échevins Laenen et
Miller, neg-ociants Winckelmans, médecin,
et WycknEans, boulanger, tous membres
sortants.
MM. Fritz De Cock, brasseur, Delvaux,
banquier, Van Pelt, négociant, et Verdellen,
ouvrier scmlpteur, secrétaire de Ia Fédéra-
tion des nantnalistes, ont été désignés pour
remplir les places vacantes.
Le Werkers Kring doit encore fait
connaitre aon candidat.
Le cartel n'ayant pas été conclu entre
libéraux et socialistes, ceux-ci lutteront avec
une liste uncomplete.
HUY. Le cercle libéral progressiste des
intéréts communaux a procédé k un poll
Les elections communales ont, dans leco-
nomie de nos institutions, un caractère
beaucoup plus administratif que politique.
En les organisant, le législateur n'appelle
pas les citoyens a émettre un jugement sur
les affaires générales de la nation, mais a
sauvegarder les intéréts immédiats et locaux
8-1"' 1-V i -1„ 1_
gestion des édiles chargés de diriger le
ménage communal.
A ce point de vue, l'on peut, en théorie
pure, parfaitement comprendre et admettre
que la classification habituelle des partis ne
se maintienne pas, avec sa netteté habituelle,
sur le terrain communal proprement dit.
Pourquoi dts gens, profondément divisés
par des différends religieux ou politiques, ne
parviendraient-ils pas a se mettre d'accord
sur des questions d'un intérêt plutot matériel,
plus restreint et d'un tout autre ordre On
napeicoit pas trop, a première vue, ce que
les sujets qui nous divisent le plus souvent,
peuvent avoir de connexe a l'exactitude de la
comptabilité communale, a 1'observation des
régies de l'hygiène publique, a l'établisse-
ment dune boune police, a l'étude et a l'exé-
cution de travaux ve'ritablement entrepris
dans un but d utilité générale. II serait, d'ad
leurs aisé de citer des cas et des communes
importantes oü 1 accord momentané des
partis s'est produit avec une efficacité remar-
quable et a donné, sur te terrain administra
tif, d'excellents résultats. Ainsi pourparler
ici de nos affaires gantoises, M. le bourg
mestre Braun n a-t-il pas été amené a recon-
naitre qu'il avait rencontré en M. le comte
de Smet de Nayer un constant et généreux
appui, et que ce ministre, son adversaire
politique irréductible, avait b en mérité de la
ville de Gand
Malheureusement, s il se rencontre des
citoyens, nonchalants et indifférents aux
intéréts publics, qui font profession de ne
pas s occuper de politique, on en trouve,
également en grand nombre, qui font de la
politique partout et toujours,la même oü cette
préocupation nest pas de mise, comme par
exemple a propos de l'éclairage communal,
de la distribution des eaux, de l'ouverlure
de nouvelles rues ou de nouveaux quartiers,
etc. II suffit qu'une proposition de ce genre
émane d'une personnalité déterminée pour
qu'ils la combattent et qu'ils la déclarent
mauvaise, alors qu'ils l'approuveraient sans
réserve si elle s'était produite sous un autre
patronage. Ces mesquineries constituent
ce que l'on appelle communément la poli
tique de petite villebien qu'elle sévisse
également dans les grandes cités. oü les
questions personnelles et d'intérêt personnel
prennent trop souvent le pas sur l'intérêt
général.
Reconnaissons aussi quecertaines attribu
tions des autorités communales. —celles, par
exemple, qui ont trait aux charges du culte,
celles, qui concernant l'enseignement com-
- munal, la répartition des taxes, la nomina
tion aux emplois, etc. exposent facilement
ceux qui les exercent a céder aux suggestions
de l'esprit politique Ne connaissons-nous
pas, et pour cause, des administrations
communales pour qui le culte catholique
e'est l'ennemi, qui ne voient dans l'enseigne
ment officiel qu'une institution de combat
dirigée contre l'enseignement libre, qui trou
vent les cléricaux bons a payer des taxes,
mais indignes d'occuper les charges les plus
modestes ou même des emplois non rétribués
dans les commissions des hospices oü dans
d'autres colléges analogues?
II est évident que placés par la force même
des choses dans de telles condidions, nos
amis doivent s'assouplir aux circonstances et
se tenir a la hauteur des devoirs que celles-ci
leur imposent. A une politique ouvertement
agressive, ils doivent répondre par une
politique résolument défensive On peut bien
être conciliant et modéré, mais il ne faut
jamais pousser la conciliation et la modera
tion jusqu'a l'abdication et a la duperie.
Pénétrés du veritable esprit de nos insti
tutions et de nos lrJnchises locales, nous
devons avoir grandement a coeur le souci des
intéréts communsmais nous devons, en
même temps, comprendre la nécessité dop
posser un bloc compact et ferme a ceux qui,
sur le terrain politique et religieux, ont pour
principal souci de faire bloc contre nous.
Les circonstances sont telles qu'elles incul-
quent, pour ainsi dire d'elles mêmes, aux
catholiques l'importance et la gravité de ce
devoir. Nous avons la confiance qu'ils
sauront l'accomplir avec vaillance et accroitre
ainsi le nombre des succes qui sont venus,
depuis des années, consolider notre situation
générale dans le pays et reccompenser nos
patriotiques efforts.
L'éiève de cinquième qui tient la plume du
Progrès pendant les vacances, a éent un
article que nous reproduirions volontiers,
n'était sa longueur. Nous alions tacber de
le résumer
Le beau temps nous est rever u les
O parents peuveut envoy; r leurs enl'auts tn
voyage... les trains sont bondés. quoi de
plus instructif que le voyage L'archi-
teclure, dans la construction des maisons
prend un grand développemeut, ce qui
dénote, sans contevte, de l'aisance et du
bieo-étre Les villes s'embellissentelles
construisent des égoüts, suppriment des
impasses et installent une distribution
d'eau potable saine et abondante... De
larges artères piantés d'arbres remplacent
los anciens quartiers a rues étroites...
Pw* (ivw4 lv^o -rillv-vj Lxcu Ctdiilliljctró OO j
ou procure de l'air et de la verdure
Mais a Ypre3, on n'a rien fait de tout cela
sous radministration cléricale
Qu'on retourne quinze ans en arrière, et
Ypres prospérait, s'embellissait, augmentait
en population et en bien-être C'eit enten
du mais ni les Yprois ni les étrangers ne
seront de l'avis de l'éiève du Progrès.
Nous nous réservons d'énumérer tout ce
qui a été execute de travaux publics d'em.
bellissement et d'assainissement sous l'ad.
ministration catholique.
Et,comme a chaque election depuis 1890,
l'opinion publique dira le dernier mot. II
lui suffira d'ouvrir les yeux pour voir clair,
a la difference du Progrès, qui se fourre
toujours le doit dans l'oeil.
Dimanche dernier les rues de Comines
splendidement pavoisées offraient un aspect
joyeux. La société YUnion musicale, har
monie catholique dite des bleus a cause de la
couleur de son uniforme, avait organisé une
grande fête musicale. Elle y avait convié des
sociétés catholiques amies et Ten Brielen,
Poperinghe, Wervicq Belgique, Houthem,
Bas Warnêton et laFanfare Royalend'Ypres
avaient gracieusement re'ponda a l'aimable
invitation. A 3 h., a l'arrivée des trains les
membres de la commission avec la société
1'Union musicale recevaient les sociétés invi-
tées. Accueil fraternel et réponse sympathi-
que. La réception faite, le cortege parcourut
aux sons de la musique les rues de la ville.
Dans les maisons et dans les rues une foule
immense de spectateurs acclama les sociétés
participantes. I.a plus grande animation n'a
cessé de régner pendant le concert magistra-
lement exécuté sur le kioske de la place Ste
Anne.
Parmi les nombreux amis qui ont bien
voulu honorer de leur présence cette char
mante fête nous avons remarqué avec plaisir
M MColaert, représentant et bourgmestre
d'Ypres, Fraeijs, conseiller provincial, prési
dent de l'Association catholique de l'arron
dissement et d'autres notabilités des com
munes voisines. La présence de ces hommes
distingués et dévoue's a la bonne cause était
un précieux encouragement pour YUnion
musicale, et une marque d'estime pour le
parti catholique de Comines, qui est le
parti du clergé.
Fête bien réussïe, dont tous les Cominois
garderont un excellent souvenir.
Au moment du retour d age, les femmes arri-
vent k ta période de leur vie la plus redoutable,
et l'anxiété qu'elles éprouvent toutes a ce mo-
me'nt n'est pas sans raisou. Ne pas epréparerê
ce changement, e'est, on peut le dire, i
quer le mal .a_„o
A l'approche d=> cette période, les symptomes
tels que suffocation, cbaleurs.maux de tet
de reins, anxiétó. bourdonnements. dansi ws
oreilles, p-dpitations de coeur, ébloutssemenis,
irrégularttés, constipation, appétit capimteux,
faiblesse et inquiétude, font leur apparition.
symptömes sont, pour ainsi dire, des» appe is
aux secours - poussé3 par la nature. 1. o< o3"''-'
me demande assistance et il faut ócouter
appel.
Les Pilules Pink réi ondent et satisfont aux
besoius des femmes a l'age critique. Elles ®ou"
liannent l'organisme, puriflent et enricbissetii
le sang, tonifient le système nerveux. Elles ont
fait traverser a des milliers de lemmes cette
redouble période. Les Pilules Pink sont bonnes
pour toutes le.-» femmes il faut se souvenir
qu'elles favorisont la formation des jeunes nlles,
qu'eiles régulariseut les fonctious, développeut
l'appétit, donnent des forces.
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les maux d'estomac, migraines, névralgies, scia-
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atteintes de rhumes, de catarrhes, de bron-
okitns pt Hp. maux de gorge, il est bon de
appeler que la Pastille peeiuialo du Dr
Walthéry est un remède merveilleux contre
es affections. Efiet certain. Goüt exquis.
1 fr. la bolte partout.
Le matin so léve sur la Capitale Beige. Tout
est encore endormi sur les boulevards Seuls les
moineaux sont la,et jouent sur les pavés devant
la palais royal, s'étonnant de ce que le faction-
naire a l'air si peu éveillé. Respectant le som-
meil des Bruxeliois, ils ne font pas plus de bruit
que nécessaire. Tout d'un coup, le bruit d'un
fouet los fait s'envoler, le fiacre t o. 525 s'amène
sur la place. Le cocher Victor Jean-Remy
Dawance tient les rènes. C'est un homme fort
connu a Bruxelles, sous le sobriquet de Victor,
le cocher. Hou crie-t-il a ton cheval Attendoz
une minute, Victor, interpellons nous, nous
voudrions vous causer quelquo peu Trés
bien, monsieur, k votro service - Ou nous a
dit que vous avez été guéri prr le Siiop de
l'Abbays, est ce bien vrai, Victor? Parfaitement,
Monsieur, et je puis vous dire que c'est un
excellent remède. Je vais vous dire comment
cela c'est passé. J'a.ais pris un froid l'üiver
dernier. Ainsi que cela va, j'ai négligé ce rhunu
et il s'eu est suivi une bronchite. J'avais des
augoisses terribles, ma poitnne siiliait, mes
glaires uo se détachaient pas. J'ai essayé tous
les remèdes.mais saus résuitat. Uu de mes amis,
guéri par le Sirop de l'Abbaye me disaitVictor,
si vous voulez vous remettre, vous aussi devrez
prendre le Strop de l'Abbaye. Je l'ai fait et ine
voila rétabli. Si cela vous intéresse, vous pouvez
hardiment le raconter dans tous les journaux.
Au revoir, Monsieur - Au revoin, Victor.
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