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J. FIBRS-LÜÜWYGK
RULINE
fl:
m
Causerie féminine
A bas la politique
Laïcisme
Pensées diverses
La beauté s'en va
quand l'anémie arrive
Act es officiels
Manifestation G. Franeotte,
PI I iV! I Ql P Q Cafards' mites' fourmis et
Examens
Mr MEIER, chirurgiendentiste Spécaliste
de COURTRAl, est toujours a consulter a
YPRES, comme par le passé, trois jours par
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les joies d'un foyer honnête et chrétien, la
rélection après le travail et le repos dans la
vieillesse. Noscandidats catholiques n'oubli-
ent pas de remonter a la cause première des
dévastations démagogiques le mépris des
idees de devoir, de morale et de sacrifice
en d'autres termes l'aflaiblissement de l'esprit
religieux.
Dans le cercle limité de leur» attributions
nos magistrats communaux catholiques
trouveront mainte occasion de contribuer
quelque peu a la realisation de eet idéal.
Tout cela fait partie de leur programme.
Ace programme MM. Froidure et con
sorts ne souscriront jamais. Après cela pas
n'est besoin qu'ils viennent nous dire qu'ils
ne sont pas libéraux.
Malgré tout le soin qu'ils mettent a garder
leur drapeau en poche, il en perce un coin,
tout petit mais bien bleu.
Cela suffit pour qu'ancun catholique digne
de ce nom n'accorde le moindre suffrage a
MM. Froidure et consorts.
Paulö minora canamus l Excusez, Mes
sieurs, ces mots savants que j'ai glanés
ailleurs que dans mon livre de messe. Je ne
suis pas tenue, n'est ce pas, malgré mon
horreur des bas bleus, de partager lavis de
Molière lorsqu'il prétend, l'égoïste,,que
La femme en sait assez quand sa valeur se hausse
A eonnaltre un pourpoint d'avec un haut-de-chausse
Oui, baissons de sujet, car il serait ma
laisé, sans doute, de trouver a l'actif de
notre édilité des faits et gestes comparables
en utilité et en importance a ceux que nous
avons loués.
L'amélioration de la voirie a son prix
cependant.
Pour apprécier notammont les bienfaits
d'un bon trotloir, il faut, comme c'est notre
cas.avoir a. surveil'.er sans cesse un équihbre
mal assuré par nos bottines a la mode il
faut avoir a trainer constamment cette bala-
yeuse non brevetée qu'on appelle une jupe
il faut avoir a promener une fournée de
gosses aux pas encore chancelants. Depuis
l'avènement des automobiles surtout, depuis
la création de la route royale et la vogue des
vélos, motos, etc., la multiplication et l'élar-
gissement des trottoirs étaient devenus un
des besoins les plus urgents de notre ville.
Je me suis laissée dire qu'il y en avait déja
pour 200.000 francs de cestravaux lüVoila
certes de l'argent bien employé.
D'autant que c'est même une des coquet-
teries de notre ville de montrer des trottous
entretenus comme un vestibule d'hótel. Cela
émerveille tous les étrangers et leur fait
aimer le séjour de notre ville.
Et ce n'est pas tout. On peut en dire
autant du soin donné a nos incomparables
promenades des remparts, une ceinture de
pares que les plus grandes villes nous en-
vient. Des pares non seulement bien entre
tenus, mais de vrais jardins botaniques oü
l'on peut maintenant, grüce a l'étiquetage
des arbres, se livrer, tout en se promenant,
une étude des plus utiles.
Ajoutez y nos plantations de rues, notre
superbe square de la gare, ceux qui
entourent les églises St-Martin, St Pierre,
St Jacques, etc., et cherchez done la petite
ville de l'importance de la nötre qui peut
rivaliser avec ell© en esthétique empruntee
a la nature.
Et 3i l'architecture des jardins y est k ce
point en honneur, l'architecture civile n y
est pas en retard, il s'en fautet c est encore
en grande partie a nos édiles qu'il laut en
rendre hommage.
Non seulement ils ont pris a cceur et se
sont mis en mesure de restaurer tous nos
grands monuments, non seulement ils nous
ont fait doter de l'Hótel des Postes, mais ils
ont seconde la restauration de nos plus bel
les facades, déterminé et guidé la construc
tion de nombre de superbes etabiissements
hospitaliers, comme celle de quantité de
maisons et villas de grande allure surgissant
fatalement de terre a la suite de la création
des éléments premiers de beaux quartiers
(rues spacieuses, égoüts, canalisations deau
et de gaz, etc.) Faut il citer la somptueuse
place de la gare et le boulevard Malou
Une conséquence non moins heureuse du
développement que prend notre ville, sous
la féconde impulsion de l'administratfon
catholique, c'est rembellissement de toutes
leB devantures de magasitis.
Nos commergants sont d'ailleurs rude-
ment bien inspirés, car la belle vitrine nous
vaut un étalage en rapport, et le bel étalage
opère nécessairement ses séductions.
Avouons le bien franchement, c'était
devenu une règle chez nous, n'est il pas
vrai, de courir Bruxelles oh ailleurs pour
nos emplettes de nouveautés et le reste.
Ypres... c'était la province. Que peut on
bien trouver en province
Ces temps la sont passés. Nous nous ha-
billons et nous nous fournissons maintenant
a Ypres et nous y trouvons avantage a tous
égards.
Aussi, quand il m'arrive maintenant de
faire un tour de rue, le soir, pour voirl'efïet
que font a la lumière les mille articles de
modes exposés par le3 magasins montés a
l'instar de ceux de la capitale, cette profu
sion de lumière, naguère inconnue, qui
envahit maintenant, presque de porte en
porte, nos rues commergantes, me fait tou-
jours l'effet d'une sorte d'illumination de
fête, quelque chose comme un grand cierge
de reconnaissance allumé par le commerce
Yprois en l'honneur de l'administration
catholique. Rosette.
L'on entend encore parfois de fort braves
gens, natures pacifiques autant que naïves.se
demander pourquoi toute cette politique,
pourquoi ces apres querelles et ces malheu-
reuses divisions entre concitoyens, amis,
parents même,a propos des affaires publiques?
Est ce bien la peine de se passionner com
me cela pour des prunes, et de se chamailler
ainsi sur des queues de cerises On trouve
bien assez de tracas comme cela dans la
gestion de ses propres affaires.II n'y a pas de
quoi chercher d'autres ennuis...
II n'y a pas de quoi Braves gens, assuré-
ment 1 Eh qui done parmi les gens senses
ne caresse avec vous ce joli rêve de la paix
inaltérable et de l'universelle fraternité Mais
héias ce n'est qu'un joli rêve dont la pour-
suite se révèle de jour en jour plus utopique.
C'est que les affaires publiques ne sont plus
ce que vos ames candides s'imaginent, ce
qu'elles étaient peut ètre dans votre jeune
2ge. Les questions d'ordre materiel ont beau
en constituer le fond et absorber la majeure
partie de l'activité de ceux qui s'y consacrent,
il est certaines questions, si rarement même
dussent elles être agitées, qui prennent telle-
ment le pas sur toutes les autres que c'est
autour de celles la seulement que se circons-
crit en réalité la lutte des partis.
Düt-on réussir a grossir une question
d'ordre materiel au point d'en faire un im
mense ballon capable de fascinerles regards
de tous les enfants et de tous les simples, que
tout homme sérieux, pour peu qu'il ait des
convictions, aura tot fait de tirer la soupape
et de de'gonfler le géant fait de gaz.
Attraction foraine toujours sure de son
succès, le ballon fait sourire l'électeur sérieux
qui se dit que nos cornices electoraux ne sont
point une extension de la Tuindag. II laisse
ces amusements la pour ceux a qui ils con-
viennent et élève ses regards, lui, vers
quelque chose de beaucoup plus gros que
cela, vers un globe incommensurable, plus
vaste que le monde, bien solide et bien con-
sistant celui la et qui ne s'élève au dessus des
petitesses de la terre que pour s'élancer dans
l'infini. C'est le monde des intéréts sacrés
qui dérivent de nos principes philosophiques.
On peut avoir des convictions catholiques,
magonniques, ou socialistes mais on ne
relègue pas ces choses la dans le trente-sixiè-
me dessous.
Rarement cette vérité a recu une démon-
stration plus éclatante qu'a l'heure actuelle a
Ypres.
Voici un groupe de candidats au goüt des
braves gens dont nous parlions tout a
l'heure, n'aimant la politique que toute juste,
affectant même l'avoir en horreur et de ne
s'occuper que des intéréts matériels de la
commune. L'un d'eux, au dire du Progrés,
serait même plus catholique que des élus du
parti catholique siégeant a l'hötel de ville.
Et malgré cela, les catholiques n'en veulent
pas.
Dans ce même groupe l'on trouve des
libéraux incontestablement plus modérés
d'opinions et mieux considérés dans le parti
liberal que les candidats du parti liberal eux
mêmes. Et malgré tout, les libéraux les
répudient et les sacrifient impitoyablement,
tout en gardant quatre votes disponibles
Recommandation expresse est faite dans les
deux camps de voter exclusivement pour les
candidats du parti.
Et si nous avons rarement l'occasion de
féliciter nos adversaires, il faut bien cepen
dant que nous les félicitions aujourd'hui de
leur parfaite logique.
Mais est-il rien de lamentable et de sug-
gestif a la fois comme l'abandon complet de
ces candidats soi disant des intéréts commu
naux Voila des hommes qui, dans le privé,
sont certainement des gens trés comme il
faut, des personnes d'un commerce agréable,
d'aimables confrères de sociétés sportives ou
autres, des patrons traitant bien leurs
ouvriers de plus, ils ont des relations, une
situation de fortune, une considération que
n'ont peut être pas tous les candidats du
parti....
Misère que tout cela cela ne saurait entrer
en ligne de compte du moment qu il leur
manque l'essentiel une adhésion franche
et formelle aux principes Jpour lesquels les
partis existent et combattent.
Aussi nul doute que la legon doive leur
servir. Et c'est vraiment pour rien que de
l'acheter au prix de l'échec retentissant qui les
attend dans buit jours.
Ennemis de la contrainte cléricale de
l'obscurantisme religieux, nos adversaires
rêvent volontiers de nous affranchir des
superstitions gothiques qui embarrassent
le progrès moderne et, dans une ardeur de
laïeisation a outrance, ils souhaitent des
écoles laïques, des hopitaux laïcs la reli
gion elle-même ils la voudraient laïciser
Pour des raisons a nous personnelles et
que partagent tous les catholiques nous
jugeons ces pretentions excessives ou exagé-
rées et les résultats de ce système appliqué
dans un pays voisin du notre, nous confir-
ment dans nos idée3 et démontrent qu'au
point de vue simplement humain, purement
pratique,c'est nous qui sommes dans le vrai.
Que d'exemples ne pourrions nous citer,
qui démontrent la faillite de leur système,
et quelles lemons ue pourrions-nous trouver
dans l'échec de leur politique. Echec moral,
échec financier, échec dans tous les domai-
nes. On sait déja, quelle somme a produit la
liquidation des bians des congregations et
comment le fameux milliard fondit comme
neige au soleil entre les mains des liquida-
teurs inexpérimentés I
Aussi lamentables sont les résultats obte
nus par la laïeisation des höpitaux et tous
les jours des journaux frangais, même anti-
cléricaux, signaleDt, sans y voir malice, des
inconvénients nouveaux. Parmi ceux-la, la
Revue Bleue enregistre celui du pourboire
dont il faut, a tout moment, gratifier l'infir
mier, pour avoir droit a des soins plus com
plets et a des attentions plus grandes. En
principe sans doute, il est prohibé, mais en
réalité, on ne tient aucun compte de la dé-
fense.
Ce ne sont pas seulement les èglements
administratif's, qui se trouvent ainsi violés,
dit k ce sujet la Revue Bleuele cas est
plus grave il intéresse la morale publique,
II est inadmissible que dans des étabfisse-
ments gratuits les soins soient proportion,
nés a la quotité de ces allocations presque
forcées. A l administration incombe le soin
de rémunérer ses agents du travail qu'elle
leur demande. En acceptant un pourboire
ceux ci avilissent leurs fonctions a l'inter-
diction d'en recevoir on ne saurait édicter
e'e sanction trop sévère.
Ce n't-st point la l'unique inconvenient de
la suppression des religieuses dans ces éta-
blissements oü, seules, elles peuvent accom-
plir une tache que par la foi et la charité
elles éloveiit a la hauteur d'un sacerdoce au
service <'e i'humapité souffrante. On leur a
substil.ué des salaries aux exigences sans
cesse croissanfes, et dont ies négligences et
les revendications appauvrissent le trésor.
Témoin le bilan de Dijon dont les dépenses
se sont majorées de 158,000 francs, consé
quence, dit l'auteur du rapport, du gaspilla-
ge, de la mauvaise gestion, du manque de
surveillance. II n'y a pas plus de malades
qu'avant;eu comptant bien, on ne serait
pas arrivé a un tel résu'itat.
L'aveu est d'autant plus précieux h rete-
nir qu'il émane d'un conseiller radical.
Tels auront été, a Dijon, comme ailleurs,
les seuls benefices de l'expulsion des soeurs.
Les laïciseurs seuls se garderont bien
d'en convenir.
Le zèle d'ailleurs de ces infirmiers n'est
pas plus extraordinaire et l'on se rappelle
encore qu'a Paris ces singuliers serviteurs
voulaient S3 mettre en grève, paree qu'il ne
leur était point accordé de sortie de nuit.
Bien plus, récemment encore, dans une
colonie francaise le gouvernement ne fut-il
pas obligé d'en appeler a la générosité des
soeurs pour remplacer des infirmiers qui se
refusaient a soigner des lépreux Que diront
après cela nos adversaires, en concluront-
ils encore aux indiscutables bienfaits de la
laïeisation
Ils ne le pourront et s'ils ne veulent con-
clure k la supériorité d'une religion, qui
inspire le désintéressement de la charité, ils
devront pourtant reconnaitre que dans ses
effets matériels les plus immódiats, au
simple point de vue humanitaire, nos éta-
blissements l'emportent sur toutes les insti
tutions civiles et laïques.
Ni un homme, ni un peuple ne sauraient
se passer de vie religieuse sans de grandes
souffrances.
Paul Bourget.
Le maïtre d'école ne peut pas être neutre
en religion... Je ne veux pas du professeur
neutre paree que je ne l'estime pas... Celui
qui est neutre est nul.
lules Simon
II faut que les catholiques sachent se
montrer catholiques. Les hommes craintifs
versicolores.qui cherchent a ménager toutes
les opinions, sont la perte de leur parti. Ce
qu'il faut conserver avant tout, ce sont les
principes catholiques dans leur iutégrité; ne
pas oser s'avouer catholique, c'est une
faiblesse peu honorable pour notre cause.
On crée un journal,mais a condition qu'il
ne blessera ouvertement les opinions de
personne, qu'il ne se mettra en hostilité
avec personne on veut ménager les suscep-
tibilités de ses adversaires, paree qu'ils sont
puissants et redoutables, qu'ils font et
défont les reputations. Quant a nous, nous
pensons qu'un catholique doit tenir son
drapeau haut et ferme, paree que c'est avec
ce drapeau qu'il doit triompher in hoe
signo vinces. Tout chrétien est soldat quand
la religion du Christ est attaquóe il doit la
défendre ses risques et périls, et se dire
(i Fais ce que dois, advienne que pourra.
Baron de Gerlache
Les pilules Pink font fuir l'anémie
- Chaque so iffra ca creusa une ride -, on l'a
souvent dit et rien n'est plus exact. L'anémie.
par la variété des malaises qu'elle occasionne
fait souffrir jour et nuit. Aussi, quand l'anéoaie
arrive, ia beauté s'en va II y a heureusement
beaucoup de personnes qui savent que quand
l'anémie arrive les pilules Pink la mettent en
fuite. Elles se préservent ainsi des soufframiees
et de leur.-* funeste3 conséquences. Mile Suzanne
Laprade, dont nous donnons ici le portrait a été
anémique ello a appe'é a son aide les pilules
Pink et ne l'a nas lori^temns.
Mile Suzanne Laprade
(Gl. Pierre Petit)
Je viens vous remercier des bons et rapide8
résultats que las pilules Pink m'ont donnés,
écrit-elle. il y a quelque temps j'étais devenae
trés rapidernent faible, anémique. J'avais trés
mauvaise mine et je souffrais beaucoup, non pas
que mes souffrances soient trés pénibles, mais
elles étaient constantcs. Quand je n'avais plus
la migrainej'avais des crampes d'estomac.quand
les crampes d'estomac me laiasaient tranquilla
j'avais des éblouissements, et ainsi de suite. La
nuit, je ne dormais pas. Je conn-is plusieurs
jeunes lilies qui se sont trés bien guéries de
l'anémie grace aux pilules Pink J';.i done pris
moi aussi ies pilules Pink etje m'en juis trouvée
on ne peut mieux. Tous mes malaises ont disp a -
ru,je suis redevenu forle.et j'ai trés bonne mine
MUe Suzarrfie I.aprado, babite 14, citó 'iuéaof,
Paris, (France).
Avant que l'anómie n'ait fait dans votre orga
nism o trop de ravages et creusé trop de rides
sur votre visage, preaez les pilules Pink, elles
vous guériront.La beauté est un présent da la na
ture.il faut savoir Ia conserver.
Les pilules Pink guérissent toutes les maladies
dues a la pauvreté du sang, a la faiblesse du
système nerveux anémie, clilorose, faiblesse
générale, maux d'estomac, rhumatismes, névrai-
gies, sciatique, neurastbénie.
Elles sont en vente dans toutes les pharmacies
et au dépot: Pharmaeie Derneville,66,Boulevard
de Waterloo, Bruxelles 3.50 fr. la boïte, 17.50
les 6 boites, franco.
Dépöt a Ypres, pharmaeie G. LIBOTTE k
Poperingbc, pharmaeie MONfEYNE.
La Ligue des bons remèdes inforrne le
public que la délicieuse Pastille pectorale
Walthéry, qui guérit, la toux la plus pénible
en 2 jours, se vend un franc la boïte dans
toutes les pharmacies beiges et étrangères.
M. Auguste ÜENECKER de Moorslede,
ancien élève du Collége St Vincent a subi
avec succès le premier examen de docteur
en droit.
M. Robert LEBBE d'Ypres, ancien élève
du Collége St Vincent, a passé le dernier
examen de docteur en droit. épreuve finale)
Par arrêté royal du 29 Avril 1907, la
médaille commémorative est décernée aux
personnes dont les noms suivent Mr Henri
Roets, inspecteur de l'enseignement libre,
ancien instituteur privé subsidié a Ypres,
Me Veuve D'Haeseleire, ancienne institutrice
communale a Ypres, Re'v. MM. Hugo Ver-
riest, ancien principal du Collége St Vincent
a Ypres, cure' a Ingoyghem, Chanoine De-
brouwer, ancien supérieur du petit seminarie
de Roulers, curé-doyen a Ypres, J. Dilger,
directeur de l'Orphelinat de garcons a Ypres.
Par arrêlé royal du 24 Septembre 1907, la
médaille civique de ire classe est accordée a
Mr H. Vandenboogaerde, échevin de la ville
d'Ypres.
IIII——
Maladies de la bouche et des dents arti-
ficielles depuis 5 fr. dentiers complets depuis
100 fr. Garanties pour laavie.
LE THERM0GÈNE. Rhumes, Maux de Gorge
La constipation et les inflammations du foi,
et des intestins sont toujours guéries par la
Pilule antiglaireuse du Dr Walthéry. Une
boïte de fr. 1.00 suffit.
C'est le dimanche, 3 novembre prochaiQ
qu'aura lieu a Bruxelles, la Manifestatie'
mutualiste organisée en 1'honneur de lw
cien Ministre del Industrie et du Travail'
Les sociétés de secours mutuels, de retraite
et de prévoyance parcoureront en cortègy
les rues de la capitale, accompagnées da
nombreux corps de musique, et se rendronj
au Palais des Académies oü elles remst.
tront a M. G. Franeotte une ceuvre dart
symbolisantle travail,la mutualité, la frater-'
nité et la solidarité, due au talent de M. D*
Wever, l'arliste bruxellois si justement ap.
préció.
La fête setermiuera par un banquet, qqj
sera offert au héros de la Manifestation.
De trés nombreuses adhésions de sociétés
et de particuli issout déja parveuues au
Comité organisateur et peuvent encore êti
adressées au secretaire géuéral, M. Félix Dy
Myltenaere, avenue du Roi, 96, Bruxelles.
Cette manifestation, organisée en dehors
de tout esprit de parti, aura uu caractèro
exclusivement mutualiste et constituora ui
excellente propagande en faveur des idéos
de piévoyance.
o
Le flls étzit phtisique.
L'autre enfant souffrait d'inflammation.
Le Sirop de 1'Abbaye fut le reméde qui les
guérit.
Mr. Louis VERELST babite Mooldyk, N°
39-12 a Lierre. Ge Monsieur nous déclar'e ca
qui suitMon flls Frangois souffrait depuis sa
naissanco, d'angoisses de poitrine qui em-
piraient avcc l'age. Finalemtnt ces augoisses
dégénórèrent en phtisie. II s'affaiblissait etmai-
grissait, il ne savait manger, il avait des aceès
de cbaud et de froid. Sa couleur était belle,
mais malsaine, la couleur du phtisique. II n'avait
plus de sang dans leslèvres.le moindre effort le
faliguait. La toux ótaitsi violente et si douleu-
reuse que jecraignais le voir succomber un
jour pendant une de cesquintes. Son état s'ern-
pirait toujours; j'avais la conviction qu'il n'ew
avait plus que pour deux jours. II gardait le lit,
malade a mourir je veillais a cötédeluijla
pensée de devoir perdre eet enfant me tortürait
horriblement. Le hasard voulut que je trouve
dans la Gazet van Antwerpen *ne aDnonce du
Sirop de l'Abbaye. Le lendemain matin je lis
prendre un flacon de ce remède chez Mr le phar-
macien Slootmans G'est incroyable, mais c'est
la vérité: l'emploi du Sirop de l'Abbaye lit du
bien a mon garcon. Les forces revenaient, il
demandait k manger; les douieurs de la poitrine
et les aecès de toux, de mêmo que les sueurs
allaient en diminuant. II eontinua a se traiter par
le Sirop de l'Abbaye; il est complètement guéri
a cette heure Le Sirop de l'Abbaye a fait pour
mon flls oe qu'aucun autre remède n'avait pu
faire avant. Mod autre enfant souffrait d'inflam
mation pulmonaire peu de temps après; les
petits remèdes habituels ue furent d'aucunq
utilité.Alors je me souvins du Sirop de l'Abbaye,'
et, pour la deuxième fois, eet excellent remède
a apporté la joie dans ma maison mon enfant a
été guéri, encore par ce remède.
On ne peut pas toujours guérïr la phtisie,
mais beaucoup de malades, qui s'y sont pris en
temps, ont pu se remettre en .Tenant le Sirop
de l'Abbaye Couvent Sancta Paulo. Le Sirop de
l'Abbaye donne de nouvelles forces aux pon-
moLS et augmente leur resistance. En plus d'un
cas le Sirop de l'Abbaye a vaincu absolument
les germes de la maladie.
Le Sirop de l'Abbaye guérit aussi toutes les
affections de la poitrine et de la gorge, l'asthme,
lesfroids anciens,le mal de gorge,la coqueluche,
les glaires, et toutes les maladies des voies
respiratoires.
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