7 J. FIBRS-LÜÜWYGK RULINE fl: m Causerie féminine A bas la politique Laïcisme Pensées diverses La beauté s'en va quand l'anémie arrive Act es officiels Manifestation G. Franeotte, PI I iV! I Ql P Q Cafards' mites' fourmis et Examens Mr MEIER, chirurgiendentiste Spécaliste de COURTRAl, est toujours a consulter a YPRES, comme par le passé, trois jours par semaine, les Lundi, Jeudis et Samedis de 9 a midi, chez Mme VAN KEMMEL, Grand'Place, 5. S)( ux guérisens dans un même ménage TRAVAIL POUR TOUS POlSSOlWERIE rue League du Marais, u° 20 Y P R Poissons fins et ordinaires Huitres lrequalitc Crevettes de 1'lank.enberghe. S applique sur toutflacon 0.90 c. Destruction garantie. nfTIPHFIIR SsUPtïllIl le flacon 0.45. Nettoie tout, enlève tout UL I nUIILUn I If I rLOSnL les taches. Produit merveilleux et incomparable En vente Pharmaeie Moderne, 21, rue de Lille, Ypres. les joies d'un foyer honnête et chrétien, la rélection après le travail et le repos dans la vieillesse. Noscandidats catholiques n'oubli- ent pas de remonter a la cause première des dévastations démagogiques le mépris des idees de devoir, de morale et de sacrifice en d'autres termes l'aflaiblissement de l'esprit religieux. Dans le cercle limité de leur» attributions nos magistrats communaux catholiques trouveront mainte occasion de contribuer quelque peu a la realisation de eet idéal. Tout cela fait partie de leur programme. Ace programme MM. Froidure et con sorts ne souscriront jamais. Après cela pas n'est besoin qu'ils viennent nous dire qu'ils ne sont pas libéraux. Malgré tout le soin qu'ils mettent a garder leur drapeau en poche, il en perce un coin, tout petit mais bien bleu. Cela suffit pour qu'ancun catholique digne de ce nom n'accorde le moindre suffrage a MM. Froidure et consorts. Paulö minora canamus l Excusez, Mes sieurs, ces mots savants que j'ai glanés ailleurs que dans mon livre de messe. Je ne suis pas tenue, n'est ce pas, malgré mon horreur des bas bleus, de partager lavis de Molière lorsqu'il prétend, l'égoïste,,que La femme en sait assez quand sa valeur se hausse A eonnaltre un pourpoint d'avec un haut-de-chausse Oui, baissons de sujet, car il serait ma laisé, sans doute, de trouver a l'actif de notre édilité des faits et gestes comparables en utilité et en importance a ceux que nous avons loués. L'amélioration de la voirie a son prix cependant. Pour apprécier notammont les bienfaits d'un bon trotloir, il faut, comme c'est notre cas.avoir a. surveil'.er sans cesse un équihbre mal assuré par nos bottines a la mode il faut avoir a trainer constamment cette bala- yeuse non brevetée qu'on appelle une jupe il faut avoir a promener une fournée de gosses aux pas encore chancelants. Depuis l'avènement des automobiles surtout, depuis la création de la route royale et la vogue des vélos, motos, etc., la multiplication et l'élar- gissement des trottoirs étaient devenus un des besoins les plus urgents de notre ville. Je me suis laissée dire qu'il y en avait déja pour 200.000 francs de cestravaux lüVoila certes de l'argent bien employé. D'autant que c'est même une des coquet- teries de notre ville de montrer des trottous entretenus comme un vestibule d'hótel. Cela émerveille tous les étrangers et leur fait aimer le séjour de notre ville. Et ce n'est pas tout. On peut en dire autant du soin donné a nos incomparables promenades des remparts, une ceinture de pares que les plus grandes villes nous en- vient. Des pares non seulement bien entre tenus, mais de vrais jardins botaniques oü l'on peut maintenant, grüce a l'étiquetage des arbres, se livrer, tout en se promenant, une étude des plus utiles. Ajoutez y nos plantations de rues, notre superbe square de la gare, ceux qui entourent les églises St-Martin, St Pierre, St Jacques, etc., et cherchez done la petite ville de l'importance de la nötre qui peut rivaliser avec ell© en esthétique empruntee a la nature. Et 3i l'architecture des jardins y est k ce point en honneur, l'architecture civile n y est pas en retard, il s'en fautet c est encore en grande partie a nos édiles qu'il laut en rendre hommage. Non seulement ils ont pris a cceur et se sont mis en mesure de restaurer tous nos grands monuments, non seulement ils nous ont fait doter de l'Hótel des Postes, mais ils ont seconde la restauration de nos plus bel les facades, déterminé et guidé la construc tion de nombre de superbes etabiissements hospitaliers, comme celle de quantité de maisons et villas de grande allure surgissant fatalement de terre a la suite de la création des éléments premiers de beaux quartiers (rues spacieuses, égoüts, canalisations deau et de gaz, etc.) Faut il citer la somptueuse place de la gare et le boulevard Malou Une conséquence non moins heureuse du développement que prend notre ville, sous la féconde impulsion de l'administratfon catholique, c'est rembellissement de toutes leB devantures de magasitis. Nos commergants sont d'ailleurs rude- ment bien inspirés, car la belle vitrine nous vaut un étalage en rapport, et le bel étalage opère nécessairement ses séductions. Avouons le bien franchement, c'était devenu une règle chez nous, n'est il pas vrai, de courir Bruxelles oh ailleurs pour nos emplettes de nouveautés et le reste. Ypres... c'était la province. Que peut on bien trouver en province Ces temps la sont passés. Nous nous ha- billons et nous nous fournissons maintenant a Ypres et nous y trouvons avantage a tous égards. Aussi, quand il m'arrive maintenant de faire un tour de rue, le soir, pour voirl'efïet que font a la lumière les mille articles de modes exposés par le3 magasins montés a l'instar de ceux de la capitale, cette profu sion de lumière, naguère inconnue, qui envahit maintenant, presque de porte en porte, nos rues commergantes, me fait tou- jours l'effet d'une sorte d'illumination de fête, quelque chose comme un grand cierge de reconnaissance allumé par le commerce Yprois en l'honneur de l'administration catholique. Rosette. L'on entend encore parfois de fort braves gens, natures pacifiques autant que naïves.se demander pourquoi toute cette politique, pourquoi ces apres querelles et ces malheu- reuses divisions entre concitoyens, amis, parents même,a propos des affaires publiques? Est ce bien la peine de se passionner com me cela pour des prunes, et de se chamailler ainsi sur des queues de cerises On trouve bien assez de tracas comme cela dans la gestion de ses propres affaires.II n'y a pas de quoi chercher d'autres ennuis... II n'y a pas de quoi Braves gens, assuré- ment 1 Eh qui done parmi les gens senses ne caresse avec vous ce joli rêve de la paix inaltérable et de l'universelle fraternité Mais héias ce n'est qu'un joli rêve dont la pour- suite se révèle de jour en jour plus utopique. C'est que les affaires publiques ne sont plus ce que vos ames candides s'imaginent, ce qu'elles étaient peut ètre dans votre jeune 2ge. Les questions d'ordre materiel ont beau en constituer le fond et absorber la majeure partie de l'activité de ceux qui s'y consacrent, il est certaines questions, si rarement même dussent elles être agitées, qui prennent telle- ment le pas sur toutes les autres que c'est autour de celles la seulement que se circons- crit en réalité la lutte des partis. Düt-on réussir a grossir une question d'ordre materiel au point d'en faire un im mense ballon capable de fascinerles regards de tous les enfants et de tous les simples, que tout homme sérieux, pour peu qu'il ait des convictions, aura tot fait de tirer la soupape et de de'gonfler le géant fait de gaz. Attraction foraine toujours sure de son succès, le ballon fait sourire l'électeur sérieux qui se dit que nos cornices electoraux ne sont point une extension de la Tuindag. II laisse ces amusements la pour ceux a qui ils con- viennent et élève ses regards, lui, vers quelque chose de beaucoup plus gros que cela, vers un globe incommensurable, plus vaste que le monde, bien solide et bien con- sistant celui la et qui ne s'élève au dessus des petitesses de la terre que pour s'élancer dans l'infini. C'est le monde des intéréts sacrés qui dérivent de nos principes philosophiques. On peut avoir des convictions catholiques, magonniques, ou socialistes mais on ne relègue pas ces choses la dans le trente-sixiè- me dessous. Rarement cette vérité a recu une démon- stration plus éclatante qu'a l'heure actuelle a Ypres. Voici un groupe de candidats au goüt des braves gens dont nous parlions tout a l'heure, n'aimant la politique que toute juste, affectant même l'avoir en horreur et de ne s'occuper que des intéréts matériels de la commune. L'un d'eux, au dire du Progrés, serait même plus catholique que des élus du parti catholique siégeant a l'hötel de ville. Et malgré cela, les catholiques n'en veulent pas. Dans ce même groupe l'on trouve des libéraux incontestablement plus modérés d'opinions et mieux considérés dans le parti liberal que les candidats du parti liberal eux mêmes. Et malgré tout, les libéraux les répudient et les sacrifient impitoyablement, tout en gardant quatre votes disponibles Recommandation expresse est faite dans les deux camps de voter exclusivement pour les candidats du parti. Et si nous avons rarement l'occasion de féliciter nos adversaires, il faut bien cepen dant que nous les félicitions aujourd'hui de leur parfaite logique. Mais est-il rien de lamentable et de sug- gestif a la fois comme l'abandon complet de ces candidats soi disant des intéréts commu naux Voila des hommes qui, dans le privé, sont certainement des gens trés comme il faut, des personnes d'un commerce agréable, d'aimables confrères de sociétés sportives ou autres, des patrons traitant bien leurs ouvriers de plus, ils ont des relations, une situation de fortune, une considération que n'ont peut être pas tous les candidats du parti.... Misère que tout cela cela ne saurait entrer en ligne de compte du moment qu il leur manque l'essentiel une adhésion franche et formelle aux principes Jpour lesquels les partis existent et combattent. Aussi nul doute que la legon doive leur servir. Et c'est vraiment pour rien que de l'acheter au prix de l'échec retentissant qui les attend dans buit jours. Ennemis de la contrainte cléricale de l'obscurantisme religieux, nos adversaires rêvent volontiers de nous affranchir des superstitions gothiques qui embarrassent le progrès moderne et, dans une ardeur de laïeisation a outrance, ils souhaitent des écoles laïques, des hopitaux laïcs la reli gion elle-même ils la voudraient laïciser Pour des raisons a nous personnelles et que partagent tous les catholiques nous jugeons ces pretentions excessives ou exagé- rées et les résultats de ce système appliqué dans un pays voisin du notre, nous confir- ment dans nos idée3 et démontrent qu'au point de vue simplement humain, purement pratique,c'est nous qui sommes dans le vrai. Que d'exemples ne pourrions nous citer, qui démontrent la faillite de leur système, et quelles lemons ue pourrions-nous trouver dans l'échec de leur politique. Echec moral, échec financier, échec dans tous les domai- nes. On sait déja, quelle somme a produit la liquidation des bians des congregations et comment le fameux milliard fondit comme neige au soleil entre les mains des liquida- teurs inexpérimentés I Aussi lamentables sont les résultats obte nus par la laïeisation des höpitaux et tous les jours des journaux frangais, même anti- cléricaux, signaleDt, sans y voir malice, des inconvénients nouveaux. Parmi ceux-la, la Revue Bleue enregistre celui du pourboire dont il faut, a tout moment, gratifier l'infir mier, pour avoir droit a des soins plus com plets et a des attentions plus grandes. En principe sans doute, il est prohibé, mais en réalité, on ne tient aucun compte de la dé- fense. Ce ne sont pas seulement les èglements administratif's, qui se trouvent ainsi violés, dit k ce sujet la Revue Bleuele cas est plus grave il intéresse la morale publique, II est inadmissible que dans des étabfisse- ments gratuits les soins soient proportion, nés a la quotité de ces allocations presque forcées. A l administration incombe le soin de rémunérer ses agents du travail qu'elle leur demande. En acceptant un pourboire ceux ci avilissent leurs fonctions a l'inter- diction d'en recevoir on ne saurait édicter e'e sanction trop sévère. Ce n't-st point la l'unique inconvenient de la suppression des religieuses dans ces éta- blissements oü, seules, elles peuvent accom- plir une tache que par la foi et la charité elles éloveiit a la hauteur d'un sacerdoce au service <'e i'humapité souffrante. On leur a substil.ué des salaries aux exigences sans cesse croissanfes, et dont ies négligences et les revendications appauvrissent le trésor. Témoin le bilan de Dijon dont les dépenses se sont majorées de 158,000 francs, consé quence, dit l'auteur du rapport, du gaspilla- ge, de la mauvaise gestion, du manque de surveillance. II n'y a pas plus de malades qu'avant;eu comptant bien, on ne serait pas arrivé a un tel résu'itat. L'aveu est d'autant plus précieux h rete- nir qu'il émane d'un conseiller radical. Tels auront été, a Dijon, comme ailleurs, les seuls benefices de l'expulsion des soeurs. Les laïciseurs seuls se garderont bien d'en convenir. Le zèle d'ailleurs de ces infirmiers n'est pas plus extraordinaire et l'on se rappelle encore qu'a Paris ces singuliers serviteurs voulaient S3 mettre en grève, paree qu'il ne leur était point accordé de sortie de nuit. Bien plus, récemment encore, dans une colonie francaise le gouvernement ne fut-il pas obligé d'en appeler a la générosité des soeurs pour remplacer des infirmiers qui se refusaient a soigner des lépreux Que diront après cela nos adversaires, en concluront- ils encore aux indiscutables bienfaits de la laïeisation Ils ne le pourront et s'ils ne veulent con- clure k la supériorité d'une religion, qui inspire le désintéressement de la charité, ils devront pourtant reconnaitre que dans ses effets matériels les plus immódiats, au simple point de vue humanitaire, nos éta- blissements l'emportent sur toutes les insti tutions civiles et laïques. Ni un homme, ni un peuple ne sauraient se passer de vie religieuse sans de grandes souffrances. Paul Bourget. Le maïtre d'école ne peut pas être neutre en religion... Je ne veux pas du professeur neutre paree que je ne l'estime pas... Celui qui est neutre est nul. lules Simon II faut que les catholiques sachent se montrer catholiques. Les hommes craintifs versicolores.qui cherchent a ménager toutes les opinions, sont la perte de leur parti. Ce qu'il faut conserver avant tout, ce sont les principes catholiques dans leur iutégrité; ne pas oser s'avouer catholique, c'est une faiblesse peu honorable pour notre cause. On crée un journal,mais a condition qu'il ne blessera ouvertement les opinions de personne, qu'il ne se mettra en hostilité avec personne on veut ménager les suscep- tibilités de ses adversaires, paree qu'ils sont puissants et redoutables, qu'ils font et défont les reputations. Quant a nous, nous pensons qu'un catholique doit tenir son drapeau haut et ferme, paree que c'est avec ce drapeau qu'il doit triompher in hoe signo vinces. Tout chrétien est soldat quand la religion du Christ est attaquóe il doit la défendre ses risques et périls, et se dire (i Fais ce que dois, advienne que pourra. Baron de Gerlache Les pilules Pink font fuir l'anémie - Chaque so iffra ca creusa une ride -, on l'a souvent dit et rien n'est plus exact. L'anémie. par la variété des malaises qu'elle occasionne fait souffrir jour et nuit. Aussi, quand l'anéoaie arrive, ia beauté s'en va II y a heureusement beaucoup de personnes qui savent que quand l'anémie arrive les pilules Pink la mettent en fuite. Elles se préservent ainsi des soufframiees et de leur.-* funeste3 conséquences. Mile Suzanne Laprade, dont nous donnons ici le portrait a été anémique ello a appe'é a son aide les pilules Pink et ne l'a nas lori^temns. Mile Suzanne Laprade (Gl. Pierre Petit) Je viens vous remercier des bons et rapide8 résultats que las pilules Pink m'ont donnés, écrit-elle. il y a quelque temps j'étais devenae trés rapidernent faible, anémique. J'avais trés mauvaise mine et je souffrais beaucoup, non pas que mes souffrances soient trés pénibles, mais elles étaient constantcs. Quand je n'avais plus la migrainej'avais des crampes d'estomac.quand les crampes d'estomac me laiasaient tranquilla j'avais des éblouissements, et ainsi de suite. La nuit, je ne dormais pas. Je conn-is plusieurs jeunes lilies qui se sont trés bien guéries de l'anémie grace aux pilules Pink J';.i done pris moi aussi ies pilules Pink etje m'en juis trouvée on ne peut mieux. Tous mes malaises ont disp a - ru,je suis redevenu forle.et j'ai trés bonne mine MUe Suzarrfie I.aprado, babite 14, citó 'iuéaof, Paris, (France). Avant que l'anómie n'ait fait dans votre orga nism o trop de ravages et creusé trop de rides sur votre visage, preaez les pilules Pink, elles vous guériront.La beauté est un présent da la na ture.il faut savoir Ia conserver. Les pilules Pink guérissent toutes les maladies dues a la pauvreté du sang, a la faiblesse du système nerveux anémie, clilorose, faiblesse générale, maux d'estomac, rhumatismes, névrai- gies, sciatique, neurastbénie. 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Hugo Ver- riest, ancien principal du Collége St Vincent a Ypres, cure' a Ingoyghem, Chanoine De- brouwer, ancien supérieur du petit seminarie de Roulers, curé-doyen a Ypres, J. Dilger, directeur de l'Orphelinat de garcons a Ypres. Par arrêlé royal du 24 Septembre 1907, la médaille civique de ire classe est accordée a Mr H. Vandenboogaerde, échevin de la ville d'Ypres. IIII—— Maladies de la bouche et des dents arti- ficielles depuis 5 fr. dentiers complets depuis 100 fr. Garanties pour laavie. LE THERM0GÈNE. Rhumes, Maux de Gorge La constipation et les inflammations du foi, et des intestins sont toujours guéries par la Pilule antiglaireuse du Dr Walthéry. Une boïte de fr. 1.00 suffit. C'est le dimanche, 3 novembre prochaiQ qu'aura lieu a Bruxelles, la Manifestatie' mutualiste organisée en 1'honneur de lw cien Ministre del Industrie et du Travail' Les sociétés de secours mutuels, de retraite et de prévoyance parcoureront en cortègy les rues de la capitale, accompagnées da nombreux corps de musique, et se rendronj au Palais des Académies oü elles remst. tront a M. G. Franeotte une ceuvre dart symbolisantle travail,la mutualité, la frater-' nité et la solidarité, due au talent de M. D* Wever, l'arliste bruxellois si justement ap. préció. La fête setermiuera par un banquet, qqj sera offert au héros de la Manifestation. De trés nombreuses adhésions de sociétés et de particuli issout déja parveuues au Comité organisateur et peuvent encore êti adressées au secretaire géuéral, M. Félix Dy Myltenaere, avenue du Roi, 96, Bruxelles. Cette manifestation, organisée en dehors de tout esprit de parti, aura uu caractèro exclusivement mutualiste et constituora ui excellente propagande en faveur des idéos de piévoyance. o Le flls étzit phtisique. L'autre enfant souffrait d'inflammation. Le Sirop de 1'Abbaye fut le reméde qui les guérit. Mr. Louis VERELST babite Mooldyk, N° 39-12 a Lierre. Ge Monsieur nous déclar'e ca qui suitMon flls Frangois souffrait depuis sa naissanco, d'angoisses de poitrine qui em- piraient avcc l'age. Finalemtnt ces augoisses dégénórèrent en phtisie. II s'affaiblissait etmai- grissait, il ne savait manger, il avait des aceès de cbaud et de froid. Sa couleur était belle, mais malsaine, la couleur du phtisique. II n'avait plus de sang dans leslèvres.le moindre effort le faliguait. La toux ótaitsi violente et si douleu- reuse que jecraignais le voir succomber un jour pendant une de cesquintes. Son état s'ern- pirait toujours; j'avais la conviction qu'il n'ew avait plus que pour deux jours. II gardait le lit, malade a mourir je veillais a cötédeluijla pensée de devoir perdre eet enfant me tortürait horriblement. Le hasard voulut que je trouve dans la Gazet van Antwerpen *ne aDnonce du Sirop de l'Abbaye. Le lendemain matin je lis prendre un flacon de ce remède chez Mr le phar- macien Slootmans G'est incroyable, mais c'est la vérité: l'emploi du Sirop de l'Abbaye lit du bien a mon garcon. Les forces revenaient, il demandait k manger; les douieurs de la poitrine et les aecès de toux, de mêmo que les sueurs allaient en diminuant. II eontinua a se traiter par le Sirop de l'Abbaye; il est complètement guéri a cette heure Le Sirop de l'Abbaye a fait pour mon flls oe qu'aucun autre remède n'avait pu faire avant. Mod autre enfant souffrait d'inflam mation pulmonaire peu de temps après; les petits remèdes habituels ue furent d'aucunq utilité.Alors je me souvins du Sirop de l'Abbaye,' et, pour la deuxième fois, eet excellent remède a apporté la joie dans ma maison mon enfant a été guéri, encore par ce remède. On ne peut pas toujours guérïr la phtisie, mais beaucoup de malades, qui s'y sont pris en temps, ont pu se remettre en .Tenant le Sirop de l'Abbaye Couvent Sancta Paulo. Le Sirop de l'Abbaye donne de nouvelles forces aux pon- moLS et augmente leur resistance. En plus d'un cas le Sirop de l'Abbaye a vaincu absolument les germes de la maladie. Le Sirop de l'Abbaye guérit aussi toutes les affections de la poitrine et de la gorge, l'asthme, lesfroids anciens,le mal de gorge,la coqueluche, les glaires, et toutes les maladies des voies respiratoires. Prix 2, 4 et 7 fr. le flacon. Depót général L. I. Akker, Rotterdam. Dépöt principal pour la Belgique O. de Beu', Longue Rue Neuve 57, Anvers. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2