Causerie féminine
Avis aux flottanls
A l'Electeur
MAISON DE RENTIER
Leur respect de la Religion
Menlez, mentez..
il en restera quelque chose
Pour' notre Jubilaire
Pensées diverses
Les niaux d'esloroac
ce n'est rien
Lundi 28 Octobre 1907,
Nous voici arrivés i la veille du scrutin et
e n'ai pu trouver le temps de passer en revue,
au cours de mes petites causeries, une foule
de laits et gestes administratifs qui méritaient
d'etre mentionnés en l'honneur de notre
édilité.
Et pas moyen cependant de combler cette
lacune aujourd'hui, vu les exigences de Tac-
tualité, Le grand sujet de conversation du
jour n'est ce pas, en effet, le jubilé de notre
éminent bourgmestre M. Colaert Et con-
viendrait il a de vrais enfants d'Ypres dene
pas être préoccupés avant tout aujourd'hui
de fêter le digne Père de leur citéf
Ausai bien, qu'est-il besoin de relever a
l'actif de l'administration catholique d'autres
mesures de tout ordre répondant aux besoins
ou aux voeux des Yprois Quelle que soit la
part revenant plus spe'cialement au bourg
mestre dans Ia gestion des affaires commu-
nales, c'est lui qui représente l'administration
et c'est son nom qui restera attaché aux
éminents services rendus a la ville d'Ypres
par les administrateurs catholiques.
Le voici depuis vingt ans attelé nuit et jour
a cette besogne dontla partiela moins ingrate
ne fut pas de scruter, avec des regards d'Ar-
gus, tous lea recoins et tous les tiroirs de la
maison commune, de s assimiler tous les
dossiers, de vérifier toute la comptabilité et
puis de monter une garde vigilante jusqu'a
l'arrivée de ses amis.
C'est cette rude besogne la, il convient
de le dire aujonrd'hui bien haut c'est cette
clairvoyante vigilance qui,bien plus que tout
autre effort de l'armée catholique, contribua
a élargir la brêche par oü ses amis devraient
pénétrer dans la citadelle et s'en rendre
maitres.
Je n'entreprendrai pas de retracer cette
carrière administrative qui s'étend sur prés
d'un quart de siècle. II suffit d'ouvrir les
yeux pour en lire l'histoire sur tous les murs
de notre ville. Les iaits parient plus haut
que toutes les paroles et tous les éloges que
je pourrais prononcer, en cette circonstance
jubilaire, seraient au dessous de ceux que la
voix du peuple n'a cessé de lui décerner
depuis vingt ans, en lui renouvelant solen-
nellement sa confiance, a chaque reelection,
malgré l'hostilité acharnée d'adversaires trop
politiquement ou trop personnellement inté
ressés pour que leur avis ne soit pas forcé-
ment suspect et récusable.
Je n'ai d'ailleurs a parler ici qu'au nom de
mes concitoyennes. Et mon röle, comme
celui de toute femme, doit être avant tout un
röle d'apaisement au milieu des disputes des
hommes.
Mais le suffrage plural nous ayant accordé,
pour nous et nos enfants, un double vote, a
émettre par voie procurative, il convient que
nous mêlions notre voix au concert de felici
tations qui s'élève aujourd hui de tous les
points de la ville d'Ypres en l'honneur du
grand citoyen qui dirigea si sagement les
affaires de la commune et s'y dévoua sans
compter pendant vingt ans, dans des condi
tions rebutantes et au milieu de difficultés et
d'ennuis'que ne connut aucun de ses prédé-
cesseurs.
Pour se montrer a la hauteur d'une tAche
pareille.il fallait être a la fois le vrai chrétien,
l'admistrateur habile et prudent, et l'homme
a l'esprit large et généreux qui n'a cessé de
s'affirmer dès le début et que les difficultés
et les affronts n'ont fait que mieux tremper
encore.
Que les hommes qui voteront demain en
notre nom soient nos fidèles interprètes et les
urnes acclameront eeux qui doivent faciliter
au lieu de compliquer et de contrecarrer la
réalisation du grand oeuvre qui doit mériter
a M. le bourgmestre Colaert la tardive re
connaissance de ses contemporains et l'admi-
ration unanime de la postérité.
Rosette.
La liste N° 2 n'a d'autre raison
d'être que de tacher d'enlever
des voix aux catholiques, d'em-
pêeher ceux-ci d'atteindre la
majorite' absolue et d'assurer par
la R. P. l'entre'e de Brunfaut au
conseil communal.
Le Progrès, organe officiel du libéralisme
Yprois et organe officieux du Groupe gazier
est toujours édifiant a lire.... en temps
d election. Ilestalors a tu et A toi avec le
bon Dieu et ses saints, et c'est de sa plus
belle encre qu'il imprime des protestations
de ce genre Pessonne ne songe a arra-
cher l'idée de Dieu du coeur du peuple
nous respectons tout autant celui qui croit
sincèrement qui celui qui n'a pas de foi
nous ne disons pas que les enfants ne
doivent pas connaitre la religion etc. etc.
(Progrès du 13 Octobre 1907).
Le malheur c'est que ces beaux sentiments
la ne durent pas guère et que dans 1 inter-
valle des périodes électorales son respect
de la Religion sait baisser au point de lui
faire imprimer, par exemple, (n° du 6 aoftt
1905)Le fait de siatufior sur une place
publique l'Immaculée Conception est hila-
rant et digne de commisération de la part
des gens raisonanables... Ypres aura
montré l'exemple de la bouffonnerie 1
C'est avec un souci tout pareil de l'édu-
cation morale de l'enfance que le modèle de
M. Brunfaut, Emile Combes, a poursuivi si
Aprement la déchristianisation de la France.
N'avait-il pas l'aplomb de dire, le 25 janvier
1905 Notre société ne peut pas se con-
tenter des simples idéés morales telles qu'on
les donne actuellement dans lenseignement
superficiel et borné de nos écoles primai-
res... Nous considérons, en ce moment, les
idéés morales telles que les Eglises les
donnent, et elles sont seules a les donner en
dehors de l'école primaire, comme^es idéés
nécessaires.
Ehbien, nous sommes depuis assez long.
temps édifiés sur la valeur de toutes ces
belles protestations de circonstaoce, con-
stamment contredites par d'autres paroles
et, qui pis est, par des actes nous savons
trop bien aussi ce qui se cache sous la
menteuse étiquette de neutralité pour
ne plus nous y fier.
Malgré le silence prudent gardé par une
partie des candidads de l'opposition au sujet
de leur programme religieux et scolaire,
nous savons aujourd'hui que tous, Jusqu'au
dernier, sont partisans de l'école neutra.
Dès lors nous n'insistons plus pour con
naitre leur opinion a l'endroit des intéréts
d'ordre primordial quils auront a gérer
a l'hótel de ville.
Pas un seul cathslique digne de ce nom
n'égarera son vote sur le nom d'aucun de
ces hommes la.
Votez en tête de liste, sous le
N° s. C'est le vote le plus simple
et le plus efficace.
Nous avons étó beaucoup trop généreux
envers les candidats de la Rancune en
attribuant le mutisme officiel a l'embarras oü
ils se trouvaient de soumettre a 1'opiDion
un programme politique qui püt leur rallier
quelques adhéreuts détachée de l'un des
partis sans leur fermer du coup le parti
adverse.
On s'imagine mal, en effet, le candidal
prétendüment catholique de ce groupe
quémandant des votes de principe en faveur
d'un de ses collègues naguére libéral mili
tant et candidat de son parti.
Le silence s'imposait done pour ce motif.
II y en avait un autre, le principal, et nous
sommes A même aujourd'hui de le révéler.
Ils ne pouvaient pas parler parceque les
tribunaux leur auraient fermé la bouche.
Leurs amis, en effet, car eux mêmes ne
sortent pas de leur prudent silence leurs
amis, s'inspirant du précepte de Vo'taire,
ont demandé au mensonge et a la calomDie
ce qu'ils désespéraient d'obtenir d'un pro-
gramme quelconque de leurs candidats.
Ce n'est rien moins que d'odieux
trafies de maudat et de malversations consi-
dérables, chiffres précis a l'appui, qu'ils
accusent formellement plusieurs de nos
administrateurs communaux.
Nous le répétons, il s'agit ici de propos
privés que ces messieurs s'empresseraient
de désavouer si on leur en demandait raison.
Mais ces propos sont livrés si librement a
tous les échos, on leur donne un ton de
sinééritéet de précision tel que la calomnie
fait nécessairement son effet.
11 est malheureusement trop tard pour
réparer le mal faitmais que ceux qui
l'escomptent pour se hisser au pouvoir, eux
ou leurs amis, ne se flattent pas de n'avoir
pasa répondre de la vilenie. Si elle fut assez
discrète pour réusir, peut être, a leur faire
esquiver les, tribunaux constitués, elle ne le
fut pas assez pour les soustraire au tribunal
de l'opinion pubiique.
Ce tribunal la siégera prochainement a
1 hotel de ville leur seule planche de salut
sera de faire défaut.
C'est avec le jubilé de notre éminent
Bourgmestre, le 23 Octobre la ving-
tième année révolue depuis son entrée a
l'hótel de ville, que cancide la cabale d'un
groupe de rancuneux, assez inconscients
s'ils ne sont tout A fait libéraux eux mêmes
pour servir bénévolement d'escabeau aux
libéraux. a seule fin de créer des embarras
a M. Colaert.
Nous eussions compris, dans une certaine
mesure, qu'ils aient choisi pour assouv:r
leur rancuno l'échéance du prochain renou-
vellemeut du mandat de M. Colaert. Leur
acte eüt été plus logique et leur vengeance
pouvait être plus compléte.
Aujourd hui ils ne sauraient aboutir, en
toute hypothèse, qu'a pousser un radical a
l'hótel de ville.
Dans ces conditions, nous ne pouvons
admettre qu'une tentative aussi blAmable
puisse rallier le concours d'aucun catholi
que.
Nous ne comprendrions pas davantage
que les amis de M. Colaert ne déploient pas
uneardeur exceptionnellepour faire échouer
l'indigne cabale.
i Ils ont entendu dimanche, au Volkshuis,
l'aveu de certains conseillers catholiques
disant qu'arrivés a l'hótel de ville avec le
goüt de la critique, ils y avaient appris,
d'expérience, la vérité du proverbela
critique est aisée, mais l'art est difficile
qu'une bonne gestion administrative est un
art des plus difficile et qu il ne faut pas a la
légère compliquer la tache de ceux qui en
portent tout le poids.
M. Colaert vient de porter courageuse.
menr ce poids la pendant vingt an3 il l'a
fait dans des conditions particulièrement
dures sous tous les rapports et ce serait au
momeut oü ce fardeau commence a le mar-
quer de son empreinte glorieuse mais cruel-
le, que l'on songerait lui rendre désermais
la tache plus lourde encore et plus compli-
quée, par le fait de l'obstruction stérile d'un
M. Brunfaut, de celui-lA-même qu'il a le
mérite d'avoir maté et finalement culbuté,
pour le plus grand bien de la ville d'Ypres 1
Une telle ingratitude ne se concevrait
pas. Quand on a été a la peine, il est juste
que l'on soit Thonneur.
11 importe que notre digne Bourgmestre
poursuive et achève, dans un calme bien
mérité, l'couvre magnifique commencée qar
lui.
Et le cadeau jubilaire que tout yprois
au coeur reconnaissant, tiendra a lui offrir
demain, ce sera l'élection deB candidats
catholiques qui doivent permettre a M. Co
laert de couronner son oeuvre, au sein d'une
paix vaillament conquise a la guerre.
La politique du doigt mouillé conservera
toujours quelques fidèles. Suivant que le
vent souffle du nord ou bien du midi, ils
voteront blanc ou noir.
Une indication suffisante pour ceux la, en
l'occurence, c'est le fait que l'élection ne se
fait pas, cette fois, pour la majorite.
Leur intérêt est done de voter pour la liste
n" 1, attendu que le vent vient de ce cöté
la et qu'il ne saurait, quoi qu'ils fassent,
changer de direction.
II est d'autres flottauts encore, catholiques
ceux la, mais catholiques ignorants ou trop
peu soucieux du grave devoir de conscience
qu'ils ont a rempür cn n'accordant leurs
suffrages qu'aux seuls candidats qui offrent
des garanties non douteuses pour la défense
des intéréts primordiaux de la religion, de la
morale et de l'éducation.
Assez catholiques pour ne pas voter a plai-
sir pour des libéraux avancés, ils ne le sont
pus assez pour résister, éventuellement, a la
tentation d'accorder leurs suffrages a quelque
ami ou compagnon de club, soi-disant
neutre ou d'opinion libérale modérée. II
importe de guider ceux la. Et pour que notre
avis ne puisse leur paraitre suspect, nous
nous bornerons a répéter l'avis formulé par
ceux-la même a qui ils pourraient être tentés
d'accorder leurs suffrages.Nous avons appris,
en effet, de source absolument süre, que les
calculs les plus optimistes des candidats de la
liste n° 2 n'aboutissent qua leur faire espérer
un peu plus de 400 voix, représentant peut
être une centaine et demi delecteurs.
Ce calcul la, cela va sans dire, n'avait pas
besoin d'être qualifié d'optimiste par ses
auteurs. Mais admettons le quand même,
comme s'il n'était pas exagéré. Ce n'est pas,
400 voix, c'est plus de 1000 qu'il leur faut
pour faire passer un seul des leurs 1
Bref, le vote accordé par un catholique
flottant a la liste n" s ne saurait avoir d'autre
effet que de rendre passible l'élection d'un
sectaire tel que M. Brunfaut.
Ce n'est pas notre certitude a nous seule-
ment c'est, nous le répétons, la conviction
des candidats du gaz eux-mêmes.
Seraitil compréhensible qu'un catholique,
quelque peu soucieux de ses devoirs de con
science, püt hésister un seul instant devant
pareille alternative
Au fond de chacune de nos questions poli-
ques, il y a une question de théologie.
Proudhon
(Confessions d'un révolutionnaire).
Le franc-ma^nnerie est le complément
nécessaire du parti libéral... Elle est la
philosophic du libéralisme.
Cte Goblet d'Alviella.
(Discours de 1877 a la Loge des Amis
philanthropes).
Le tigre qui déchire fait (son métier le
vrai coupable est celui qui le démusèle et le
lance sur la société.
Joseph de Maistre.
Celui-la combat pour la patrie qui comba
pour la religion, fondement même de la
patrie. Pie IX.
Autrefois, a la mort d'un homme de bien,
on disait pour faire son éloge funèbre il
fut bon époux, bon père. Ce n'est plus avec
ces seules vertus-la qu'on peut gagner le
Paradis aujourd'hui Taction politique est
devenue un devoir pour tout catholique, et il
faut qu'on puisse dire de lui II fut bon
Le devoir électoral est un grave devoir.
Bien peu le comprennent un petit nombre
y réfléchit.
II est souvent affligeant de voir la lutte
électorale se restreindre, pour ainsi dire ex-
clusivement, a des passes darmes discour
toises, ne visantque la personne des candi
dats ou l'intérèt local. Tristes nioyens,
résultat nul.
L'on dit et l'on répète au peuple qu'il est
souverain. Le vote étant son sceptre, on se
prosterne devant lui. Mais, de ce scep're, on
a violé la croix, et, ne la voyant plus, le
peuple ne voit plus les lourdes respons bi-
li tés de la puissance qu'il détient. Il vote en
aveugle, avec passion et sans conscience. II
ne s'aperqoit pas qu'il fait sa perte de ce qui
doit être son salut. A trop rtvendiquer ses
droits, il oublie ses devoirs.
Et, cependant, il en a de bien graves,
comme chrétien et comme beige.
Je ne puls songer au devoir de Télecteur,
sans évoquer le souvenir de ce pauvre irlan-
dais, qui, terrorisé par son propriétaire tout
puissant, n'osait voter pour O'Connell. Sa
femme, en haillons, lui cria. Souviens-toi
de ton Ame et de ta liberie'. Cette sublime
parole d'une femme du peuple résumé toute
la vie de Tame irlandaise.
Ne résumé t elle pas aussi la vie de Time
beige? Electeur chrétien, souviens toi de
ton ame et de ta liberté.
Baptisé, racheté du sang d'un Dieu, fils
d'une longue lignéa de croyar-ts,souviens toi
de ton Ame, ne commets pas le lacbe péché
d'un vote antichrétien.
Scrute les listes en préseQce Tune est
pour Jósus-Christ, 1 autre ou les autres sont
contre Lui. Avant de prendre ton parti,
électeui', souviens-toi de ton ame.
Rappelle-toi qu'en 1879, line voix d'élec-
teur créa la loi scolaire et ses néfastes
conséquencesle Christ chassé de l école,
la foi tuée en tant d'ames d'enfants. Electeur
chrétien, souviens toi de ton Ame.
Vois ce qui se passe en France plus de
Dieu, plus de foi. C'est le hut avoué des
candidats antichrétiens; c'est leur seul point
de ralliement. Electeur chrétien, souviens
toi de ton Ame.
Electeur beige, souviens toi de ta liberté.
La liberté, c'est le fond de nolre ame et de
notre vie nationale. Elle est inscrite A toutes
les pages de notre histoire. Etpartout, c'est
la loi qui en signa les chartes.
A quoi devons-nous notre émancipation
de la domination espagnole de la domina
tion frangaise? de la domination hollandaise?
de la domination sectaire de 1879? A la
foi. Electeur beige souviens-toi de ta liberté,
et de cequ'elle a coüté. Ne vote pas contre
la foi.
L'Eglise, c'est le Christ. Etant le Christ,
elle est d'amour. Etant Tamour, elle est la
liberté.
Son oeuvre de vingt siècles a été de répan-
dre la liberté sur la terre. De Saint-Paul,
défendant 1 esclave Onésime, au Cardinal
Lavigerie, combattent la traite africaine,c'est
la foi, c'est l'amour de l'Eglise du Christ qui
a usé, par ses baisers, les chatnes de l'escla-
ve. Electeur beige, souviens toi de ta liberté:
ne vote pas contre l'Eglise.
L'Eglise seule apprend aux hommes deux
vérités qui les font libres qu' ils sont des
hommes asservis A Dieu seul, leur «Peren
commun qu'ils ne sont que des hommes,
frères entre eux, en raison ee cette com
mune filiation.Une fois cette notion détruite,
adieu Ja liberté. Electeur beige souviens-toi
de la liberté ne vote pas contre l'Eglise.
Les pilules Pink les guérissent
tres bien
Si vous souffrez de Testomac.vous êtes a plain-
dre non seulement vous endurez de cruelles
souffrances, mais encore, il vous est impossible
de vous nourrir convenablemeDt et de réparer
vos forces.Vous êtes done des affaiblis par force.
Toutefois, ne vous désespérez pasquelques
boites de pilules Pink auront bien vite raison de
votre estomae récalcitrant. Voyez ce qu'elles
viennent de faire pour Mile Madeleine Lher-
mite, dont nous donnons ici le portrait
Sf JL
époux bon père et bon citoyen.
Mabille.
Mile Lhermite (Cl. Photo-Parisiene. Bethune)
Elle écrit J'ai le plaisirde vous informer que
les pilules Pink m'ont fait beaucoup da bieD. Je
ne croyais pas que je pourrais être aussi rapide-
ment guérie desmauxd'estomacdontje souffrais
depuis si longtemps II était temps que je prenne
li s pilules Pink paree que les autres médica-
ments n'ayant rien fait, j'avais continué a pou
voir a peine marger et j'étais par conséquent
devenue d'une faiblesse inquiétante. f és que
j'ai pris les pilules Pink, je me suis sentie
mieux, c'est-A-dire que je me suis sentie plus
mon aise et plus forto. J'ai tout de suite
mangé avec un sieilleur appótit et ai beaucoup
mieux digéré la nourriture.Mes maux d'estomac
se sont rapidement atténués et espacés, et après
un traitement court, j'étais guérie Mile Lher
mite habite A Sains-en-Gohelle, par Nceux-U
Mines (Pas-de-Calais) France.
Si vous souffrez de l'estomac, il est done nart
faitement inutile de vous tracasser. Allez tou
simplement acheter quelques boites de pilules
Pink. Le traitement sera plus ou moins Ion»
suivant les cas et suivant les tempérament?
mais il mènera k la même conclusion; la »u/
rison.
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Voici lrs preuves
La meilleure preuve de la
vogue du Sirop de l'Abbaye,
du Couvent iiancta Paulo, dans
le monde entier, consiste bien
dans les louanges que nous
recevons régulièrement des
hommes et dames du meilleur
monde. Des médecins, des ju
ristes,des membres du clergé,
des banquiers nous ont déja
fait transmettre leurs remer-
ciements pour les romarqua-
bles guérisons obtenues par
l'emploi du Sirop de l'Abbaye.
Voici la décDration de
Monsieur Louis Degive k
Jemelle-Marche; Luxembourg):
Depuis un temps déji long
j'avais des angoisses de poi-
trine, écrit-il. Et il ajoute Je
trainais ainsi pendant des
mois. Je maigrissais de jour
en jour, je faiblissais beaucoup
et j'avais des insomnies. Le
moindre effort me fatiguait, je
toussais presque toute lajour-
née. Je ne pouvais courir,
étant immédiatement a bout et
terrassé par des oppressions
terribles. J'étais court d'halei-
ne. la respiration était irrégu-
liére, ma poitrine sifflait. De
puis que j'ai employé le Sirop
de l'Abbaye du Couvent Sancta
Paulo, mes forces sout bien
revenues, l'expectoration a
dimmué, la respiration est
redevenue norm le. A présent
je puis cosrir pendant des
heures. saus ressentir la fati
gue je declare étre absolu
ment guéri. Je suis heureux
d'avoir connu le Sirop de
l'Abbaye, sans lui je serais
toujours un malade.
Le remède pour les affee
tions de la poitrine et des
poumons c-xiste il s'appelle
Sirop de l'Abbaye Vous n'avez
qu a le prendre pour vous
guerir. N'hésitez pas plus
longtemps si vous souffrez de
maladi de poitrine ou des
ro'irnons. d'asthm», mais re-
courez au remède i,u' I vous
faut Le Sirop de l'Abbaye
guérit les autres, pou'quoi i.e
vous guériraü-i] past
Prix 2,4 et 7 fr. le flacon.
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