Jauserie feminine Le Lendemain de Ia Victoire 1 Nos remerciments aux hommes de la rancune Les grands remèdes pour les femmes LES PILULES PUNK Actes officiels Rosette. L'exompie d'autrui st done u suivre a dos adversaires de plus fortes de'ceptions si j'envie leur prend de recommencer. Mais ne nous occupons pas aujourd'hui de l'avenir bornons nous a dire quelques mots du dernier scrutin, qui a une saveur particu liere et actuelle. Nous connaissons les vainqueurs de la journe'e les catholiques, qui ont triomphé d'une honteuse coalition. Mais le vaincu, est-ce le parti liberal ou le Groupe Yprois En attendant que 1t Progrès nous le dise, nous nous permettons de croire que Tun est battu et l'autre... aussi. lis ont ensemble 2212 voix de liste, et nous seuls nous en avons 2557. Nous l'emportons done haut la main. Mais si Ton prend chaque liste a part, quelle difference entre notre chiffre et les leurs Les libéraux ont 1197 voix, et les Gaziers ioi5 I Mais les libe'raux ont joué le jeu que 1'on connait. lis se sont enlevé a eux-mêmes un milier de voix qu'ils ont généreusement ac- corde'es au Groupe Yprois. Le Groupe Yproig a done recueilli moins de 200 voix 1 Et peut-être faut-il en rebattre encore, a moins que les libéraux ne reconnaissent qu'ils ont donné aux Gaziers moins de voix que nous le prétendons. Mais alors la défaite des libéraux devient une véritable déroute. Qu'ils choisissent, mais qu'ils s'expli- quent de ce jour ne soit pas fait pour leur faire reprendre courage. Méfions nous cependant. lis ne se com- promettront évidemment plus avec des sol- dats sans drapeau, mais ils se rallieront encore autour du drapeau qu'ils out déserté, dimanche.sur l'ordre d'un général aux abois. Sans combattre précisément a la facon des Jeanne d'Arc et des Jeanne Hachette, nous poursuivrons sans trève la lutte autour du drapeau de la Foi catholique, afin qu'il con tinue de Hotter librement sur les maisons d'éducation de nos chers enfants. Car e'est la la signification de la mémora- ble victoire du 20 Octobre.Elle fut confirmée par l'inoubliable manifestation des mères yproises, le lendemain de la grande journée. Depuis la journée du soulagement du pre mier février 1891, se souvient-on d'une ma nifestation plus grandiose Ces centaines d'enfants et de bébés qui faisaient leur partie dans les acclamations de la foule qui s'écrasait au Volkshuis ces milliers de mères entourées d'enfants qui suivaient le cortege oü se pressaient joyeuses sur son passage; ces orphelines de Ste Elisa beth naguère menacées de se voir arrachées des bras de leurs mères adoptives ces enfants et ses religieuses de nos institutions libres ces anges gardiens de nos hospices ces anges de charité de nos höpitaux toutes ces mères enfin, selon la chair ou selon l'esprit, qui laissaient éclater leur joie et leur reconnaissance au passage de leurs protec- teurs, c'était la réédition par les femmes et Quant a nous, nous sommes convaincus Par 'es et>fems du scrutin significatif de la que les Gaziers ne nous ont pas enlevé 100 voix, et que, sans le beau geste du parti libéral, ils auraient eu un peu plus que les 40 voix qui distancent M. Froidure, un soi- disant catholique, de MM. Valcke, Lapiere et H. Vermeulen, ses co-candidats, libéraux ceux-la. Quelle défaite pour le parti libéral 1 Quel écrasement pour le Groupe Yprois 1 L'insuccès des Gaziers a e'té prédit par leurs amis. Ils ont préféré croire M.Brunfaut et sa coterie Nous-mêmes nous avons dit a MM. Froi dure et Butaye que la rancune est mauvaise conseillère. Ils ont pensé que le ressentiment était un leith motive suffisant pour entrainer les foules, et que l'ambition peut suppléer a la capacité administrative et a la confiance qu'assure la solidité des principes. Nous les plaignons sincèrement d'etre tombés dans un piège qui leur a été tendu par des hommes qui ne leur avaient jamais montré aucune sympathie.Bien au contraire, n'est-ce pas M. Froidure Mais, ne récriminons plus. La lecon a été assez dure pour qu'elle profile a ces Mes sieurs. Quant a nos adversaires habituels, nous nous en chargeons a l'avenir comme dans le passé. Ce que femme veut, Dieu le veut dit un proverbe. Et nous tenons notre victoire Oui.la notre, Dieu aidant. Nous avons revendiqué notre part d'inter- vention dans les votes de nos maitres nous avons prié avec une égale ferveur, avec une entière confiance notre Maitre du ciel et celui de la terre, et nous avons été doublement exaucées. Mais, a la difïérence des hommes qu; maintenant vont se reposer des fatigues de la Jutte, nous allons, nous, continuer notre oeuvre qui ne vise pas tant a conquérir pour quatre ans un hötel de ville qu'a gagner défi- nitivement a la bonne cause ceux qui nous sont chers. Nous poursuivrons notre mission par la parole, puisque c'est prétendüment notre spécialité par cette parole autrement persua sive que la parole nécessairement suspecte des politiciens par cette parole qui sort triomphante de nos coeurs pour atteindre le coeur aimé, nous souvenant que le coeur a des raisons que la raison ignore. Nous poursuivrons notre mission plus encore par l'exemple. Car si la parole vole l'exemple entraine. Quelle preuve plus manifeste de l'influence de notre exemple, que celle qui s'affirma dans nos murs, il y a quinze jours a peine Le pèlerinage du Rosaire qui naguère se composait a peu prés exclusivement de femmes voit croitre, d'année en année, le nombre des hommes, au point de nous faire craindre de nous voir^bientot distancées par eux. Et il faut en dire autant des autres ma nifestations de la vie religieuse. Cette lourde et sombre atmosphère de crainte et de respect humain, qui enveloppait notre ville depuis un demi siècle, se dissipe peu a peu au clair soleil de la liberté instau- rée par les catholiques. Les timorés de jadis osent maintenant afïirmer publiquement leurs convictions religieuses. Nos paroles et nos exemples achèveront d'affranchir les pusilanimes et de réveiller ceux dont la foi n'est qu'endormie. Ainsi notre triomphé d'aujourd'hui se complètera, l'année durant, par de nouvelles victoires, de facon a oter désormais aux vrais ennemis de notre Foi toute velléité de lutte. A vrai dire, il semble que leur écrasement veille. Nous garderons fidèlement ses enseigne- ments pour les luttes de l'avenir. A moins que le 20 Octobre 1907 n'ait marqué le début d'une paix définitive et inaltérable parmi les enfants de la cité que protégé Notre Dame de Tuine. Dans une correspondence qui nous est adressée par un de nos lecteurs, nous trou- vons un ensemble de réflexions judicieuses et si vraies, que nous nous faisons un plaisir de la reproduire toute entière dans ce numéro. Monsieur I'Etideur du Journal d' Ypres. La journée du 20 Octobre 1907 sera marquee en lettres d'or dans les glorieuses annales du parti catholique d'Ypres. Nous avon3 livré une bataille décisive, nous remportons un vrai triomphé. L'issue du combat mérite d'être étudiée elle suggère des réflexions qui me paraissent intéressantes et instructives vous voudrez juger si elles sont dignes de figurer dans votre journal. Et d'abord n'est ce pas remarquable que le nombre des bulletins ou blancs ou nuls soit si restreints, 80 a peine II y a done bien peu d'électeurs incolores, peu d'élec- teurs aussi qui par ignorance ou par pres- sion, ont anéanté leur vote. Plus remarquable me parait le fait que le total des bulletins panachés, n'est que de 86. Qu'est ce a dire, sinon, que les opinions et les convictions se marquent de plus en plus franchement Or cette expression des convictions est particulièrement significative en faveur du parti catholique. Raisonnons un instant. Je constate que le chiffre des votes de parti pour les catholiques, dépasse de 15, le chiffre des votes obtenus par le candidat catholique le plus favorisé, soit 2542 donnés a M. Biebuyck. J'en conclus que ce n'est pas aux catholiques que les panachages ont pro- fité, et que toutes les voix obtennes par eux sont de purs votes catholiques La raison de leurs écart3 entre eux est a attribuer a l'omission de iel ou tel nom dans les bulletins catholiques incomplets. Par contre le nombre des votes du parti obtenus par les gaziers et par les libéraux est inférieur a tous chiffres obtenus par les candidats de ces deux listes. J'en conclus que c'est dans leur camp que se sont trouvés la plupart des paDacheurs. Dans la supposition que ces 86 votes panachés soient done réellement des votes de parti (mais de quel parti libéral indé- pendant quoi toujours hybride), la ma jority du parti catholique sur ses adversaires ainsi réunis dans un cartel quelconque, est encore de 249 voix. C'est fort beau, a coup sür. Et en réalité ce chiffre répond assez bien a la différence qu'il y a entre la moyenne des chiffres obtenus par les catholiques 2523, et les moyennes réunies des gaziers 1058 et des libéraux 1224. Ici la différence est de 241. Comme il avait raison ce vieux routier de travail électoral, un catholique celui-la, qui me disait, chiffres en main, deux jours avant l'élection nos previsions sont de 249 voix de majorité, pour la liste catholique. Nous laissons aux adversaires toute la parti flot- tante des .électeurs. Je comprends maintenant le calme avec lequel ces élections ont été travaillées. Les catholiques marchaient méthodiquement et sürement a la victoire. Ils connaissent leurs hommes. Moins éclairés et moins sagaces ont été les libéraux et le Groupe Yprois. Je plains surtout ces derniers. Quelle piteuce mine doivent faire.M.Froidure et ses compagnons de malheur Hier encore j'entendais dire par monvoisin ils ont été roulés Mais aussi qu'allaient-ils faire dans cette ga'.ère Encités, pressés, enlacés par les libéraux d'ici ou d'ailleurs, ils posent leur candida ture sur la question du gaz d'abord et sur celle des adjudiaations publiques, puis après, sur la question du controle et de la représentation des minorités. Ces Messieurs, qui, au témoignage du Progrès étaient l'un, plus catholique même que certains Conseillers Communaux, actuels les autres de bons et anciens amis du Pro grèsseront dorénavant neutres oui, bien neutresdans toutes les questions religieuses et politiques, ne soignant que les seuls intéréts matériels et commerciaux des habitants d'Ypres. Franchement, ils ne savaient pas trop ce qu'ils voulaient, ou bien ils n osaient trop le dire. Les libéraux, eux, saisissont avidement cette belle occasion. Ils se posent a trois pour achever le nombre 7 des opposants. Et aussitót ils partent en guerre. Le mot d ordre est donné libéraux, votez tous, comme un seul homme, sous le numéro 3 Le Groupe Yprois exercera ses brigandages dans les rangs catholiques. Les catholiques n'arriveront pas a la majorité absolue. Et alors nous, libéraux, nous recueillerons le butin. Mais voila un mouvement puissant dans l'armée catholique,un mot d'ordre est donné et reste invariablement Je même catholi ques, votez tous sous le nr 1. Alerte dans les rangs du Groupe Yprois.Récriminations contre leurs faux frères, les dirigeants libé raux. Ceux-ci, genre aussi Caméléon que leurs quatre confrères, invitent leurs élec- teurs a plusieurs voix a partager leurs votes entre les têtes des listes nr 2 et nr 3. Ils finissent même par engager leurs électeurs a donner leurs voix aux deux listes. Et malgré toutes j ces tergiversations, malgré leurs plus persévérants efforts, malgré les protestations de tel candidat dé ses sentiments religieux auprès d'un bon nombre d'électeurs, malgré le concours d'une respectable fraction des libéraux, malgré les suffrages de la partie flottanté des électeurs, le malheureux Groupe Yprois sort bon dernier du scrutin. C'est un vrai écrasement. Et voilé la question du gaz bien tranchée et bellement enterrée. Encore unefois comme ils ont été joués et quelle erreur ils ont faite de croire que la population d'Ypres ne mettrait pas la question d'intérêt général au-dessus de celle des intéréts privés. On dit que trois des quatre ont juré leurs grands dieux qu'on ne les y prendrait plus. La conclusion de tout cela, c'est que le parti catholique est bien organisé et en bril- lente situation. II pourrait affrontir et subir des chocs plus grands encore l'administra- tion catholique a obtenu une solennelle approbation de sa bonne gestion.Quant a ces messieurs du Groupe Yprois, ils n'ont rien de mieux a faire que de rentrer décidément dans leur bircail. Pardonnez moi, Monsieur l'éditeur, que j'aie été un peu long a traduire ma pensée. Yous donnerez a cette correspondance le sort que vous voudrez. Agréez, etc. Un Catholique tout court. Nous voici en une singulière posture. II y a huit jours, nous blamions énergiquement le Groupe yprois de sa honteuse compromis sion avec nos adversaires politiques, en vue de réussir a frapper notre digne bourgmes- tre... Aujourd'hui, nous ne résistons pas au besoin d'allumer un grand .cierge de recon naissance en l'honneur de ce Groupe j C'est que nous célèbrons, cette semaicie, le vingtième anniversaire de l'entrée de M. Colaert a l'hötel de ville et que tout le lyrisme que nous pourrions mettre dans nos compliments de circonstance palirait a cöté de l'éloge que le Groupe yprois a fait écrire en son honneur par la population d'Ypres, dans le recueillement et le secret des isoloirs électoraux. Si nous n'avions eu devant nous que le parti libéral seul, le scrutin n'aurait eu qu'une signification d'opinion. Avec l'entrée en lice du Groupe yprois, c'était en outre une consultation de l'opinion publique a l'endroit de la gestion administrative des catholiques et particulièrement du chef de l'édilité. Au surplus, étant donné le caractère de neutralité politique qu'affectaient de se don ner les candidats du Groupe yprois, neutre lui même, ils devaient ngcessairement rallier a leur opposition tous ceux des gle.cjteurs flottants qui, pour une raison quelconque, pouvaient tenir a mainfester par leur vote leurs sentiments a l'égard de M. Colaert. L'écrasante majorité de i5oo voix de la liste catholique sur la liste de la Rancune, voila le verdict du peuple yprois relativement a la gestion de notre habile bourgmestre. Qu'eut-ce été si quelque sept ou huit cents libéraux, fidèles au mot d'ordre de leur clef, n'avaient poussé le désintéressement jusqu'a trahirleur parti au profit des candidats de la Rancune Quelle éloquence dans ces 2517 voix yproises, admiratrices de la gestion de notre éminent bourgmestre, couvrant 25o voix discordantes, échos de quelques mise'rables rancunes, de quelques vise'es ambitieuses ou de spéculations d'intérêts matériels Et nous faisons au groupe d'opposition la part dé- mesurément large. Est-il besoin, après un tel éloge, de profi- ter de la circonstance pour rappeler les titres de notre digne bourgmestre a la reconnais sance de ses concitoyens Pour l'ensemble de sa gestion, plus encore que pour l'affaire trés particulière du gaz, la j population yproise, clairvoyante et richement dote'e de bon sens flamand.mais dédaigneuse par la même de chercher la petite béte, s'est borne'e a ouvrir les yeux. Elle a compare', d'une part, les travaux accomplis sous l'im- pulsion de M. Colaert avec ceux accomplis par ses prédécesseurs d'autre part, ses leüil- les de contributions actuelles avec celles de jadis et, cela fait, elle a renvoyé a leurs gazomètres démodés ceux qui essayaient de nier devant elle la clarté du jour. Nous nous trompons. II est un autre groupe yprois, plus important que celui qui vient de trépasser, qui, bien avant la nais- sance du groupe défunt, existait déja et qui se compose, lui aussi, d'adversaires de M. Colaert. C est celui des catholiques qui ont souffert de l'ostracisme de l'administration libérale et qui trouvent notre bourgmestre trop tolérant et trop généreux envers nos adversaires politiques. A notre avis, 1 existence de ce groupe yprois, héritier de l'autre, n'est pas le moin- dre des titres que possède notre bourgmestre a notre admiration. Et c'est pourquoi nous n'he'sitons pas a prédire si téméraire que puisse paraitre la prédiction qu'a l'instar du Groupe yprois qui a tenu a rehausser par son immolation, l'éclat du présent jubilé de M. Colaert, le parti libéral n attendra pas même l'échéance du x5e anniversaire pour proclamer, en re- noncant a la lutte, que notre bourgmestre est digne d'y être et digne d'y rester toujours. Les pilules Pink sont souveraines contre tous les troubles de l'organisme féminin, 11 n'y a rien de comparable aux pilules Pink pour le décon- gestionner, l'assouplir, lui rendre la force par l'apport d'un sang pur, riche, et pour mettre un terme aux misères de toutes sortes, tiraillements, pesanteurs, vertiges, migraines, pertes, vomis- sements, indispositions qui rendent a beaucoup de femmes la vie semblable a un long martyre. Deux fois dans sa vie, Mm8 A. Duinelier, Cité 16, N° 121, a Bruay (Pas-de-Galais) France, a eu recours aux pilules Pink, deux fois, elle n'a eu qu'a s'en louer s Mad. A Dumelier (Cl. Destoppeleire, Bruay) A la suite de couches, j'ai eu de trés fortes hémorragies et je suis restée, écrit-elle, dans un état de faiblesse extraordinaire. Je ne pouvais même plus marcher.Malgré tous les soins.l'amé lioration ne venait pas.J'ai eu alors recours aux pilules Pink qui, il y a trois ans, m'avaient déja fait tant de bien. A eet époque, j'avais été aussi trés malade, atteinte d'anémie au dernier degró. Seuleg les pilules Pink avaient pu me rétablir. Je suis done donblpment reconnaissante aux pi lules Pink Los pilules Pink sont souveraines contre l'ané- mie, lachlorose. la neurastónie, la faiblesse gér nérale, les maux d'estomac, migraines, névral- gies, douleurs. On peut se les procurer dans toutes les phar macies et au dépót Pharmacie Derneville, 66, Boulevard de Waterloo, firuxelles 3.50 fr. la boïte, 17.50. les 6 boites, franco. Dépot a Ypres, pharmacie C. LIBOTTE a Poperinghe, pharmacie MONfEYNE. Par arrêté royal du 2 Octobre 1907 M. E. Vandelanotte receveur de l'enregistrement et des domaines a Glabbeek est nommé receveur des mêmes produits a Rousbrugge- Haringhe. Des arrêtés royaux du 26 Septembre 1907 autorisent les conseils communaux ci-après a percevoir des taxes Oostvleteren sur les chiens. Ploegsteert, pour la construction et tretien des aqueducs. Un arrêté royal du 26 Septembre l0 approuve une délibération de la députat permanente du conseil provincial de Flandre Occidentale, autorisant le transf du service public et régulier de transpo-i commun par terre exploité par M* U Derensy entre Rousbrugghe et Ypres Proven,Poperinghe et Vlamertinghe) an de M. L. Haezebroek, de Beveren-sur-v"011 X Sgf Par arrêté royal en date du 26 SeptemK >907 la commission administrative hospices civils de Reninghelst est-autoris* ahéner, a concurrence d'un capital non/* de 10,000 un titre de rente beige 3 p série, N' 85n, a l'effet de payer lés dr' succession affe'rents au legs Berten 3ro'ts d( Par arrêté royal du i5 Juillet décoration industrielle de 2<= classe accordée a Pbilomène Duboi Wervicq, Catherine Wervicq, Clemence 1907 Dujard in. a été servante j servante v 1 ri Lignée'l, servante s Ypres, Luce Persyn servante a Ypres,Mari lruvost, servante a Ypres, Ameüe Vanden bossche, servante a Ypres, Amelie Van denputte, servante a Ypres, Virginie Ve brugghe, servante a St-Jean-lez Ypres. Tous les jours nous publions dans ce journal des lettres de reconnaissance, émanant de n sonnes gueries par le Sirop de l'Abbaye. Un i d une malad.e de poitrine un autre d'une b on chite chromqued'autres encore dé' l'mfLenz, et do ses suites. Pouvez-vous encore douter 1 presence de toutes ces preuves indiscutablel Ma lades de poitrine, il y va de votre intórêu Lisez ce qui suit, lisez attentivement. Vous trou verez la guérison, aussi bien que les milliers de personnes, qui doivent leur sal ut au Sirop cIq 1 Abbaye. JCAriMETTE. VyuriNEM d'après photographie. Mademoiselle Jeannette Wynnen, 43 Terlooi str. Borgerhout (Anvers) souffrait, de'puis son enfance, d'angoisses de poitrine. J'étais bien atteinte! J'avaisdesmauxdetête épouvantables toujours des douleurs a la poitrine, froid aux piedset des points de cóté. Je transpirais énor- mement, et j'avais sans discontinuer une sensa tion de tatigue extreme. Fiualement je ne- pouvais plus vaquer a mes occupations. Mot appétit était fort bas, je ne dormais presque pas la nuit Continuellementje toussais, et pendant les accès nombreux, il me faillait 10 minutes pour retrouver l'haleine. Je maigrissais a vue dosil, et je ne croyais pas pouvoir résister long- temps en effet, j'avais déja pris tant de remèdes et aucunneme donna du soulagement. Je vis dans mon journal une lettre d'une personne atteinte de la même maladie, et qui s'était guérie en prenant le Sirop de 1 Abbaye. Malgré monincré: dulité, je fis chercher un flacon de Sirop de l'Abbaye a la pharmacie Hoet. Déja, après avoir pris une seule cuillerée, les glaires se détachèrent avec plus de facilitë. Lorsque j avais pris mon deuxième flacon, de graudes glaires dures, jaune-vertes, se dégagè- rent. Gela mesoulagea beaucoup, et j'avais bien plus d'air.Il a fallu 10 bouteilles pour me guérir. Je vous autorise a publier mon attestation, dans l'iutórêt de l'humauité souffrante. 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HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2