ié. AVIS AUX CYCLISTES AiGLE TORPEDO V£LÖ,S Celles qui coiffent bainte Calhérine Fêtez Sle Catherine, deraain Fêtez Marie toujours Wervicq Acies officiels Feminisme de bon aloi Pour les ouvriers du bemin de ferde Ia Flandre Conférences d' Apologétique Après sa fille, son fils Pensées diverses Le droit de licence .Vlauvais sang Exigez pour vos les roulements Mercredi 27 Novembre 1907 LES RELIGIONS j Une mè/ ea ses dei x enfants cjnéris par les Pilules Pink Une des deux grands mérites et le brillant résultat de ses efforts. Nos chaleureuses félicitations au Com mandant Baus. La même distinction vient d'etre accordée Monsieur Albert Ligy, major-chef de la Garde Civique d'Ypres, qui commande avec autant de tact que d'autorité notre milice citoyenne. Nos sincères félicitations au Major Ligy. Avec le retour de leur fête, les vieilies filles reiiront avidemeut l«s pages consola- trices que ie P. Van Tricht écrivit en leur honneur. Et, le livre fermé, elles continueront de coiffer Ste Cathérine avec un amour doublé de toutes les affections dont elles ont fait le sacrifice avecjoie, résolution, fierté même... jusqu'a la première occasion. Elles se remettront a caresser con amore leur fidéle caniche, le seul être, des hommes ou des bêtes, ft l'amour constant. Elles reprendront leur caquetage avec le perroquet, a la voix masculine, tenu en res pect derrière les barreaux de sa cage. Elles lnisseront encore pour le journal de modes ou le roman honnête 1' Imitation munie de son signet au chapitre 42 du 3* livre^ Et, sans plus regretter les bouquets eni- vrants et les flours de rhétorique dont les ont fru3trées les galants, elles entourent de soins maternels, sans mêler une larme a l'eau d'arrosage, les fleurs sans parfum de l'arrière-saison. Mais ce serait mal les fêter que d'étaler au grand jour leurs petites manies pis encore de repreodre pour mon compte les causti- ques plaisanteries dont elles sont couram- ment l'objet.en compagnie des belles mères, de la part des artisans de leur veuvage anticipé. Non avec le charitable Jésuite, que je citais en commencant, je m'incliue avec respect devant ces jeunesses flétries, plus respectables que les ruines les plus augustes de la vie conjugaleet qui conservent jusqu'en leur vieillesse ce que leur jeunesse avait de plus glorieux. Je les salue surtout lorsque, a l'exemple de leur grande Patronne, elles remplacent par la culture de l'esprit et du coeur ces soins, toujours inférieurs ou secondaires, qui absorbent l'activité de tant d'épouses et de mères, même les moins mondaines lorsqu'elles concentront la virginité de leur coeur sur des êtres plus dignes encore d'afi'ection que l'époux le mieux doué, que l'enfant le plus aimable issu de leurs en- trailles lorsque, au milieu du siècle et parmi les turpitudes de Babylone, elles font fleurir ces grandes vertus de vieilies filles de cloitre qui relèvent la société ou retardent sa déca- dence. CelSe-la rachètent amplement tout ce que certaines vieilies filles, acariitres et mania- ques, font pour rêter le flanc k la plaisan- terie. Celles-la méritent tout notre respect celles-la sont dignes Ju bel éloge qu'en a fait Van Tricht dont je veux, a leur intention et pour leur fête, citer une page Oü va-t-eile, l'enfant 1 Oüelleva?.. La- bas, tout la bas, dans votre grand fleuve, oü les plus vailiants ne regardent qu'avec effroi, oü la mort 1 l'horrible mort fait car- na e, oücinq cents émigrants tordus sous l'étreinte du choléra, hurlent dans les affres d© Tagonie, elle va la, souriante, de ses petite8 mains da vingt ans, soigner ces abandonnés, ces mourants, comme une mère ne ferait pas de ses fils 1 Ah saint Frangois, vous avez épousé la pauvreté... elle a fait mieux, elle a épousé Ia souffrance humaine, et ce chant des agonies sera le chant de ces noces.il n'y aura plus ni misère, ni douleur, ni torture humaine a qui ce coeur ne-soit ouvert, Quand dans ce grand navire morne, aux flancs muets, la mort aura fait silence, elle reviendra et alors, sans cesse on quêta des douloureux, elle vivra les sauver et a les guérir. Vous disiez que les femmes ont 1 instinct de la maternité. Oui, oui, voyez comme elle les cherche, par les humbles maisonnées des pauvres, dans les galetas, dans les taudis, les pauvres petits enfants du peuple Ell© les rassemhle, elle leur fait un nid plus chaud, des berceaux plus doux, elle leur crée ce foyer des eniants pauvres, qui souf- frent, d'un nom si triste mais si beau Höpital des petits enfants 1 Et la sera sa vraie demeure a elle Ah qui dira !es milliers de petits enfants qui ont passé dans ses bras et sur ses genoux, qui lui out sour1 dans leur souffrance, a qui elle a été douce plus qu une mère 1 Ua jour. a l'hoizon. gronde letonnerre des batailles Elle par>, elle vole... Ah 1 Ton va souffrir la-bas.horriblemeutsouffrir... Elle court a la souffrance, son épousée, et sur ces terres rouges du beau sang des sol- dats, tant qu'il y aura une douleur, elle restera debout, le coeur et les bras toujours ouverts. Après, elle secouera de son manteau la poussière de la poudre et reviendra servir ses pauvres petits enfants. Mais il y a d'autres batailles que les batailles de feu et de fer...il y a l'affreuse et silencieuse bataille de tous les jours, la grande bataille de la vie. Dites quel est le blessé de cette guerre la qui soit venu a elle et dont elle n'ait pas pansé le coeur endolori et déchiré... Dites celui qu'elle n'ait pas été relever de ses mains et reconduiie alespérance... Dites la pauvreté qu'elle n'a pas adoucie t Dites la douleur qu'elle n'a pas consolée Dites la misère qu elle n'a pas défendue contre le désespoir Et vingt ans, trente ans, quarante ans de cette vie d'abnégation, d'héroïsme, d'amour n'ont pas lassé la vieille fille... Elle va, elle va toujours, un peu penchée par l'age, de son pas viril et vaillaut. Oü elle va Tou jours a la souffrance... Et quand elle passé, riches, pauvres, jeunes, vieux, tous respec- tueux s'inclinent. Et tout bas, émus, véué- rant, l'ou se dit «La sainte demoiselle qui passe. Généralement quand une femme du monde arrive a l age de la vieille fille et qu'elle passe, ce que l'on s© dit tout bas parmi le? bienveiilants c'est, d'ordinaire Vous voyez cette dame?.. Elie a été trés bien dans Ie temps. Avoaez qu'entre les deux il y a de la marge Serait ce en l'honneur des jeunes filles qui la coiffent que Ste Catherine, la grande sainte, préside ainsi a l'une des plus brillantes floralies de l'année Rivales des roses qui fleurissent au mois de Marie oü a la Fête-Dieu pour étaler un tapis vraiment royal sur le passage du Roi des -Rois, ou pour encadrer l'image de la Rose mystique, voici les fleurs de Ste Ca therine qui vienntnt consoler les coeurs tristes, Fheure oü les mélancolies de l'hiver viennent se greffer sur le deuil des rêves de jeunesse. Mais la Reine des fleurs d'automne, tout comme les roses, ne vit, hélas que ce que vivent les rosesl'espace d'un matin. Et quand ses pétales de rêve seront flétris, que restera-t-il a celles qui s'enivrèrent jalouse ment de ses attraits fugaces Un regret de plus. Elles nous sauront gré de leur donner un bon conseil. Une fois la dernière gerbe de chrysanthèmes vouée aux gémonie» domes- tiques, qu'elle soit bien vite remplacée dans les mains de toutes les servantes de Marie paria GERBE A L'lMMACULÉE que l'on pourra glaner incessamment dans les par terres artistiques de la maison Callewaert-De Meulenaere. Les fleurs de cette gerbe la seront immar- cessibles. Et surtout, elles conviendront mieux que toutes autres fleurs pour être offertes a la Vierge, car ce recueil de fleurs poétiques se vendra, a prix modique, au profit de jeunes coeurs, qui s'épanouissent pourla joie de Jésus et de sa Mère dans nos patronages de jeunes gens. Fêtez Sainte Catherine Fêtez Marie, son sublime modèle ouvriers de cette Compagnie qui passe a l'Etat. M le Ministre leur a fait savoir que les ouvriers de la société passeront tous au service de l'Etat et recevront un minimum de x fr. 6o de salaire par jour, ce qui pour nombre d'entr'eux sera uae réelle améliora- tion. Au surplus, les ouvriers de l'Etat qui tra- vaillent a la voie font un service normal de douze heures par jourles heures supplé- mentaires leur sont évidemment payées aussi. Les ouvriers de la Flandre qui passent au service de l'Etat jouiront des mêmes avantages. Mais ilsne seront appliqués qu'au moment oü la reprise sera un fait accompli. Le Conseil provincial de la Flandre Occidentale est convoqué en session extraor dinaire pour le Mardi 3 Décembre 1907 i 10 heures. le conseil socc.upeia des pouvoirs, s'il y a i. de loi, amendé par justice, qui propose A propos du projet Mle ministre de la de faciliter le mariage, le comité du Fé- minisme chrétien de Belgiquevient d'adresser a la Chambre des représentants et a M. Renkin une pétition iutéressante. Les féministes chrétiens demandent que la femme puisse être témoin du mariage, comme elle est autorisée a être témoin de facte de notoriété (artyi du code civil). lis disent notamment L'exclusion de la lemme des fonctions de témoin aux actes de l'état-civil est dif- ficihement justifiable. Son témoignage est admis en justice, en matière civile et com- merciale, alors qu il peut avoir pour consé- quence des atteintes a l'honorabilité et a Ia liberté des personnes citées devant le tribu nal. Puisque la loi reconnait a la femme le droit de témoignage dans des cas entrainant d'aussi lourdes responsabilités, pourquoi lui refuse-t-elle cette chose si simple qu est le droit d etre témoin d un manage II nous semble que l'occasion est excel lente pour mettre un terme a cette malie. ano- Les représentants catholiques des arron- dissements de Bruges, Courtrai, Roulers- Tbielt et Ypres avaient, a l'occasion de la reprise par l'Etat du chemin de fer de la Flandre Occidentale, adressé une requête a M. le Ministre Helleputte, en faveur des Lundi ?5 courant, la musique communale fête la Ste Cécile. A Tissue de la messe dite a l'église paroissiale, 891/3 heures, matinée musicale, sous la direction M. GABELLES, officier d'académie, au local le Chapitre, Programme Ruy-Blas, ouverture symphonique, MENDELSSOHN Scènes pittoresques, i* Marche 2° Air de ballet 5° Angelus 4° Fête Bohème. MASSENET 3. Les Gnómes, morceau caractéristique Eilenberg 4. Jubelouverture symphonique. WEBER j a 8 1/2 h. trés précises. j 'i La première conférence se donnera le '4 Le titre de la première conférence signifie i un bref apergu des Religions autres que le christianisme. 1 Les religions monothéistes le christianis me et lTslamisme issues du Judaïsme. Les religions Polythéistes.Le Polythéisme sauvage, oriental, occidental. De ces religions nous ne retenons que les principales, celles qui se partagent les pcuples les plus connus de notre temps. Conclusion Transcendance du christia- nisme. N. B. Deuxième Conférence Mercredi 11 j Décembre 1907. Sujet Le Miracle, signe de la religion vérttable. Troisième Conférence Mercredi 18 Dé- cembre 1907. Sujet La Prophétie, signe de la religion veritable. Quatrième et cinquième conférence en Janvier 1908. Sixième conférence en Février 1908. Dans cette session après la vérilication échet, de 1 intervention de la province, concurrence d'un quart, dans la formation des capitaux nécessaires a l'établisseinent d'un réseau de tramways électriques Bruges et dans les communes suburbaines Par arrèté royal du 14 Novembre 1907, lacroix civique lre clatse est accordée a i major Ligy chef de la garde civiq ie d'Ypres. la croix de 2e classe au capitaine cpinmin- dant C. Baus des sipeurs pompiers com- muuaux armés d'Ypres et la médaille civique de l'e classe aux lieutenant E. Van decasteele, sergent major C. Rooze, sergent- fourrier J. Pector, sergenis Cs try, Richard, Dumont des sapeurs pompiers commuua ix armés de Wervicq. Par arrèté du 13 Novembre 19J7, la médaille civique de 3e classe est accordée a M.M. J. Deboutte cantonnier k Comines et Is. Delporte cantonnier a Poperinghe. II y a quelque temps.nous avons publié cette même place le certiflcat de Mile Lydie Fantouil- lier. Cette jeune fille, atteintode chloro-anémie, avait été épuisée par la eroissance et la formation et il avait fallu toute la puissance régénératrice des Pilules Pink pour la rétiblir. Ciiez son jeune frère, Roger, la pauvreté du sang avait eu un autre effet, il fut aiteint de la Danse de St Guy. A ce sujet,voici ce qu'écrit Madame Fantouiller le disait naguère feu Coomans, une des bases de la constitution. Mais leur puissance électorale, bien que fort diminuée depuis la suppression du régime censitaire, n'en est pas moins restée trés appreciable. Et bien des députés craignent de se mettre les caba retiers a dos. D'autre part, le maintien dn droit de licence, dans les conditions actuel- les qui favorisent les anciens cabaretiers, est considéré par les nouveaux comme une injustice et une inégalité des citoyens devant l'impót. Quant a la suppression pure et simple, le gouvernement n'en veut pas entendre parler, pour deux raisons: 1° Paree que ce serait iudireccement favoriser l'alcoo- lisme; 2° Paree que ce serait ptiver le Trésor public d'une recette indispensable. Le gouvernement propose d'appliquer le droit de licence a tous los cabaratiers sans distinction, mais eu le réduisant, d'établir une taxe d ouverture sur les nouveaux caba rets, et de fixer, daus l'intérêt de l'hygiène et de la santé publique, certaines régies qui devront être observées dans tous les cabarets (fixant par example le cube d'air minimum des locaux affeccés au pub ic, etc.) 11 paraït que dans la Fédération nationale des cabaretiers on commence a reconnailre que la suppression pure et simple est impos sible, et que la solution ia plus équitable serait de le généraliser en le réduisant Mon seuiiment est que les propositions du Gou vernement ne tarderont pas a êtie votées. [dffp f f TSor Dieu, quel temps de chien tout le monde tousse, crache, éternue. Ileureusement que la délicieuse Pastille pectorale Walthéry guérit toutes ces misères, eu moini de 2 jours. 1 fr. (Ne pas confondre avec la l'ilule purgative Walthéry.) Carte d'abonnement a la série des six conférences, prix 3 fr. Carte de Conférence, prix 1 fr. On peut se procurer des cartes a l'entrée de la salie. Si c'est a quoi Dieu nous appelle, soyons des écrivains,ne souhaitons que cela faisons f même, au besoin, de grands sacrifices pour I n'être que cela. Acceptons,dans le travail des Lettres, une sorte de sacerdoce n'en usons pas plus pour l'avancement de notre fortune que pour la satisfaction de notre vanité. Dieu saura nous faire vivre d'un labeur que nous lui sonsacrerons et notre vie, comme elle en sera soutenue, en sera bien assez occupée. La sagesse humaine nous rappelle que celui qui a le don de conseil a rarement le don de faction. Nous nous mêlerons suffi- samment des affaires du monde, en donx.ant a ceux qui les mènent des avis désintéressés, qu'ils sauront peut-être mieux appliquer que nous notre parole aura plus de salutaire autorité quand le public verra que nous n'en faisons pas l'instrument de nos petites ambi tions. L. Veuillot. a J'aime mieux rendre compte d'un zèle imprudent que d'un manque de zèle j'aime mieux aller dans le purgatoire pour ma chaleur, que dans l'enfer pour ma tiédeur. Idem. Ce n'est pas aimer la vérité que de la vouloir flatteuse et agréable. II faut en aimer les épines et les blessures, Montaigne. a O'Connelrecueillait souvent de ses travaux des injures de toute sorte. Mais, écrivait-il a sa femme, vous ne devez pas en être mécontente. Personne ne doit compter sur la gratitude publique. Je demande a Dieu que mes motifs soient assez purs et assez désin téressés pour que je puisse ne tenir nul compte de la reconnaissance et des applau- dissements. Mile Lydie Fantouiller - M.R. Fantouiller (cl. Photo Moderne.) Mon fils, Roger, avait depuis trois ans la Danse de St Guy IIétait si violemment agité qu'on nous a prié de ne plus l'envoyer a l'école. ba maladie le fatigeait énormément et a nous, parents,ca nous faisait du mal de le voir toujours ainsi. Tous les remèdt-s restaient sans effets. Ma fille Lydie, qui était anérmque, a pris sur des conseils qui lui ont été donnés les pilurns Pink et s'eQ est excessivement bien trouvée. En lisant un des modes d'emploi qui avait entouré les boites de pilules Pink prises par ma fille, j j'ai vu que les pilules Pink étaieDt recomman- dées contre la Danse do St-Gny. Vu les bons i résultats qu'elles avaient donnés a ma fille, je j les ai fait prendre de suite a mon fils. Mon pau- vre Roger, qui pendant trois années avait tant j souffert a été guéri en quelques semaines par l ces merveilleuses pilules. La familie Fantouiller est bien connue a Limo ges, oü elle habite, 45, Avenue Garibaldi. Les pilules Pink sont soureraines contre l'anémie, la chlorose, la neurasthénie, la lai- blesse générale, les maux d'estomac, le rhuma- tisme. On peut so les procurer dans toutes les phar macies et au dépót Pharmaeie Derneville, 66, Boulevard de Waterloo, Bruxelles 3.5U fr. la boite, 17.50. les 6 boites, franco. Dépöt a Ypres, pharmaeie G. LIBOTTE A Poperinghe, pharmaeie MONTEYNE. L'une des deux personnes figurant sur ie por tret ei dessous est Mme Remaysect de Nfjlen lez Lierre. Cette dame a souffert de l'asthme, et en a été débarrassée grace a la forco curative du Sirop de l'Abbaye du Gouveilt Sancta Paulo Lorsque notre rapporter rencontra Mme Remay- sen, eite était trés beureuse do pouvoir expiïmer touie sa reconnaissance pour le bien quo lui avait fait le Sirop de l'Abbaye. Sur la demande de noire envoyé e 11 acoiila ce qui suil J'ai longtemps souffert de l'asthme. J'étais toujours oppresses, je n'étais bien po:ta:.te un seul jour, toujours haletante, toujours la poitri 110 siiilante. Je so .ffrais énormément de mal de tóte et de froid aux pieds. Souvent aussi j'avais des douleurs dans le dos et dans les épaules je me Oü en est cette question pour le moment Un membre de la Chambre le dit en ces termes dans le Patriote Trois solutions sont envisagées depuis longtempsle maintien du droit de licence, sa suppression, sa généralisatioD.Et les trois solutions trouvent des partisans dans tous les arrondissements. Cependant la question n'a pas fait un pas, paree que plusieurs députés, aussi bien a Droite qua Gauche, redoutent les effets électoraux d'une généra- lisation du droit de licence. Sans doute, les baes d'estaminets ne som plus, comme Madame Remaysen d'après photographie. trouvais faible, fatiguée, découragée. Je ne pou- vais vaquer a mes occupations habituelles. Une marche de cinq minutes me fatiguait. Mon état était si critique, paree que j'avais essayé tous les remèdes sans trouver le moindre soulagement. Un jour je lus dans le journal que le Sirop de l'Abbaye avait opérédes guérisonsremarquables. Je me procuraice remède a la pharmaeie Sloot- mans Lierre déja aux premiers verres je res. sentis une amélioration dans mon état ;les glaires toujours rebelles jusque la, cédèrent par grands morceaux. Après avoir pris une deuxième bou- teille, j'ai retrouvé le sommeilmes maux ont disparus, je suis complètement guérie. Je suis on ne peut plus reconnaissante de ma guérison, et je désire que vous fassiez publier ma dóclara- tion Le Sirop de l'Abbaye du Couvent Sancta Paulo est un remède unique pour jeunes et pour vieux; il est inoffensif, touifie les voies respiratoires et les poumons; il guérit absolumeut la toux la plus rebelle, les froids les plus invétérés.l'ast ime, les maux de'gorge, l'enrouement, ia coqueluche, les glaires, lïufluenza, la bronchite et toutes les affections de la poitrine et des poumons. Prix 2, 4 et 7 fr. le flacon. Dépót général L. I. AKKER, Rotterdam. Dépót principal pourla Belgique O de Beu', Longue Rue Neuve 57, Anvers. En vente a YPRES L. Aertsens, pharmaeie Bécuwe, Marché au ue'-re 7, Pharrn. Centrale Ch. May, Grand'Place, 35G. Libotte, rue du Verger A. Donck, rue de Lille. POPERINGHE A Monteyne. Grand'Place, 18 COMINES F. Van Windekens, et dans toutes les bonnes pharma - cies. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2