emoise ie"rrse;intelli- Frédéric Ozanam. s|a14i i 1 m Salle Iweins Fanfare Royale Propagande socialiste La réunion des Bourgmestres Reniflez moi ca La Sa in te Cécile Pensees diverses St Jean Chrysostome. ermsme uwelijksafkondigingen BOITE^rr^ Conférences (Tapologétique Prenons garde Franro ^,v.ous vou'ez être certain Combien font deux fois deux W-F: a t' %'j K i ELLES GUEBiSSE F LA TOSJa LA PLUS OP!NlATEE II faut maintenant reconnaitre la religion chrétienne comme la seule vraie, la seule divine. On la reconnaltra aux signes authentiques: le Miracle et ia prophétie. On la reconnaltra •ui'tout a la preuve fondamentale la Résur- rection. Ce sera l'objet des conférences suivantes. Inutile de dire que le R.P. Symphorien a été fort goüté et chaleureusement applaudi. Organisées par le cercie d'études et de conférences Excelsior Les cinq conférences subséquentes auront lieu a 8 1/2 heures du soir aux dates ci-après Le Miraclemercredi 11 décembre. La Prophétiemercredi 18 décembre. La Réssurection, mercredi 15 Janvier. L'influence morale du catholicisme, mer credi 29 janvier. L'influence économique du catholicisme, mercredi 12 février. On peut s'inscrira chez M. Tyberghein- Fraeijs, imprimeur, rue des chiens, ou le jour de la conférence a I'entrée de la salle Iweins. La Sainte-Cécile traditionnelle a été fêtée Dinaanche dernier par la Fanfare Royale. C'est aux sons de joyeux pas-redoublés bien rythmés qu'elle s'est rendue a la cathé drale St Martin pour y assister a la messe de il 1/2 heures. A 6 heures du soir a eu lieu aux Halles un brillant concert dans la superbe Salle Pauwels, dont on admire toutes les beautés a la lumière des lustres. Beaucoup de monde pour apprécier l'ex- cellente interprétation des divers morceaux du programme. Citons spécialernent l'impo saate ouverture Richard III de R. Gilson, et l'artistique fantaisie de l'opéra Manon de J. Massenet. Nos sincères felicitations aux executants et it leur chef distingué Mr Verstraete. A 7 1/2 heures tous les membres de notre société royale se trouvaient re'unis a la Salle Iweins pour prendre part au banquet preside par Monsieur le Sénateur baron de Vinck. Nous y remarquons la presence de MM. Colaert, bourgmestre-député, Struye échevin, Fraeijs,président de l'HarmonieCommunale, Baus, commandant des Pompiers, Iweins d'Eeckhoutte et Callewaert, vice-presidents de la Fanfare Royale, des membres de la Commission, de auelques Conseiilers Com. munaux, ainsi que d'un petit nombre de membres honoraires, voulant donner une marque de sympathie a la musique officieile du parti catholique. Le repas agrémenté d'un petit concert a étéempreint d'une franche cordialité. Les divers toasts ont été tres applaudis et le champagne a coulé en l'honneur des mem bres du Conseil Communal élus le 20 Octo- bre dernier. La fête traditionnelle du Mardi a été trés réussie. Une superbe tombola offerte par le sympathique président et des membres de la Commission a permis a chaque musicien d'emporter chez lui une agréable surprise on un jolie cadeau. culisé son auteur et a fait grandir en conside ration ceux que la charité de Rosette était chargée d'amoindrir tout cela, nous défions tout homme impartial de nous le signaler dans aucun des articles de Rosette. L'épithète de «t charitable donnée ironi- quement a Rosette est, dans toute la sincé- rité de son acception, la meilleure qui convienne a toutes les causenes de la digne bavarde que le hargneux correspondant du Progrès gagnerait a prendre pour modèle. D'autant plus qu'en parlant, aussi étour- diment qu'injustement, de malpropre besogne os loquitur ex abundantid cordis le trivial correspondant du Progrès nous oblige a remuer une ordure quil dépo- sa un jour lui même,a Pinsu de la rédaction, dans nos propres colonnes. Les allures sportives de l'article jointes aux allures amies de son auteur avaient réussi a surprendre la vigilance de notre imprimeur, qui ne crut pas devoir y regarder de plus prés et par le fait de cette incorrection de l'ondoyant per- sonnage.il nous arriva d'insérer un camouflet a notre adresse et, pis que cela, une incon- gruité, dans toute la force du terme. Nous aurons la charité de Rosette pour lui pardonner cette fois encore tenant compte qu'il ne peut évidemment pas, au bout de cinq semaines seulement, être remis de l'épouvantable pile qu'il a partsgée avec ses amis, le 20 Octobre dernier. Le conseil général du parti socialiste, réuni mercredi dernier a la Maison du peuple de Bruxelles, a dëcidé d accorder au Vooruit, pour l'annee 1908, un subside de 1.200 francs pour assurer la pénétration de la presse flamande en pays flamand. Le Bureau du Conseil général est charge de faire une enquête au sein des fédérations politiques de Wallonië l'effet de connaitre les sommes que les organisations mettent a la disposition du parti pour faire de la propagande au miüeu des ouvriers flamands travaillant en Wallonië. A ckacuu de nous de veiller a combattre cette propagande et a répandre de plus en plus nos quotidiens et hebdomadaires flamands. que de manger, manger comme il faut s'entend. Ce que l'amour est pour le coeur, l'appétit l'est pour l'estomac. L'estomac est le maitre de chapelle qui gouverne et active le grand orchestie de nos passions l'estomac vide me présente le basson ou la petite flüte, grognant le mécontentement ou glapissant l'envie l'estomac plein, au contraire, c'est le triangle du plaisir ou les tim a!es de la j joie. Quant k l'amour, je tiens pour la prima donna par exceil nee, pour Ia diva chantant j dans le cerveau ses cavatines, dont l'.oreille s'enivre et qui ra vissen t le coeur. Manger j On sait que les bourgmestres des grandes villes du pays devaient se réunir en vue de «'entendre pour organiser une vaste pubii- cité a l'étranger dans le but de faire connaitre la Belgique au dehors et princi- palement en Amérique. Voici quelles sont les grandes lignes de ce projet Un comité, en voie de formation, se composera de délégués de toutes les prin- cipales villes beiges et la présidence d'honneur en sera offerte aux quatre bourgmestres des villes de Bruxelles, An- vers, Gand et Liége. Leur adhésion n'est pas douteuse. Bruxelles et Anvers ont déja promis chacuDe un subside de deux mille cinq cents francs. D'autres subventions sont encore attendues. Des affiches illustrées, des tracis et des brochures de tous genres seront envoyés a profusion dans toute 1'Amérique. O Le Progrès possède un correspondant des plus compromettants, un correspondant qui. a la suite de son article Une prise de voile nous oblige, une fois de plus, a qualifier de fieffé menteur l'organe de nos adversaires, car nous le mettons au défi de signaler dans aucun des articles de Rosette une attaque malveillante quelconque de nature it mériter a son auteur les inimitiés dont il parle. Tout ce fiel de son ame dévote qu'elle aurait bavé durant quatre semainss sur certains concitoyens des plus honorables toute cette malpropre besogne qui a ridi- Un vrai brelan de fêtes, a cette époque de l'année. Sans parler des lendemains de victoire, c'était, il y a quelques jours, la Saint Martin, mettant la joie au coeur des enfants... et des fournisseurs du grand saintpuis ia Saint Léopold, fêtée dés la veille, pour la fêter plus grassement, üar tous les patriotes rien de celui de Bruxellespuis la fête des marbriers, fêtée plutöt trois jours que deuxenfin, la Ste Cécile, fête des musiciens. II serait peut être excessif de prétendre que c'est en vue de la féter plus religieuse- ment que les musiciens tiennent a reporter la Ste Cécile au dimanche. De fait, pourtaat, il y a un progrès considérable sous ce rapport. Car, si bonne musicienne qu'elle ait été Ste Cécile, nous nc doutons pas quelle receive plus volontiers en hommage les invocations qu'on lui adresse pendant la messe de Ste Cécile, que les plus brillants morceaux de musique que la Fanfare Royale pourrait exécuter en son honneur au cours de cette messe. Ets'il était possible de la consulterace sujet, il nous semble quelle opinerait, avec Victor Hugo, que L'orgue est le seal concert, le seul gémissement Qui mêle aux cieux la terre La seule voix qui puisse, avec le ilot dormant Et les foréls bénies, Murmurer ici bas quelque commencement Des ehoses inflnies En matière de musique, en effet, on peut en croire les poètes, ces bardes infa- tigables qui ne quittent jamais leur lyre fidéle. lis sont encore plus musiciens que poètes, a en juger par cette déclaration de Lamar- tine lui même Si je devais rei aitre sur la terre, je demanderais de renaitre avec le génie de Mozart oude Rossini, et avec la voix de Malibran, préf'érant leurs notes aux plus beaux vers et la langue de l'infini a la langue des mots Les hommes parient, les anges chantent. Et du coté du chant d'église, quel progrès également Aussi nul doute que Sainte Cécile, mieux honorée que jamais par les musiciens, leur pardonnera plus volontiers que jamais aussi de ne pas fêter religieusement que pendant une courte demi heure pour ne plus songer après cela qu'è lui offrir la sérénadè folatre des verres et des fourchettes en goguettes. Après tout, pour mourir saint comme Ste Cécile, il faut bien commencer par vivre. C'était Favis de l'illustre Rossini, lequel préférait a la musique nou pas la poésie mais... la cuisine. Après ne rien faire, disait-il, je ne sais pas pour moi de plus précieuse occupation et aimer, chanter et digérer tels sent, a vrai dire, les quatre actes de eet opéra boufïe qu'on appelle la vie, et qui s'évanouit comme la mousse d'une bouteille de champagne. Hètons nous d'ajouter, pour plaire Ste Cécile, qu'uu musicien plus illustre encore que l'auteur de Guillaume Teil, l'immortc 1 Mozart avait une conception de la vie beaucoup plus sérif use. Voici ce que 1 on trouve dans sa correspóndance "Com me la mort, a la bien considérer, est le but de notre vie, je me suis, depuis plusieurs années tellement familiarisé avec ce véri table ami deJ'homme, que son image, loin d'etre «ffrayante pour moi, n'a rien que de doux et de consolant. Je remercie mon Dieu de m'avoir aecordé la grace de connaitre la mort comme la clé de notre véritable béati- tude. Je ne me mets jamais au lit sans penser que tout jeune que je suis, je puis ne pas me relever le lendemain et cepen dant aucun de ceux qui me connaissent ne pourra dire que dans l'habitude de la vie, je sois morose ou triste je rends grace tous les jours a mon Créateur de ce bonheur et le souhaite de tout mon coeur, a tous les hommes, mes frères. Et terminons par cette pensee de Gounod, fidéle interprète de l'avis de Ste Cécile Un océan de génie ne vaut pas une goutte de sainteté. nom? Déclare-t-elle la guerre, comme Ij prétendent ses détiacteurs, au progrès de l'esprit humain Non, mille fois non. Mais alors qu'est-ce que c'est?que désigne- t elle que condamne-t"el!e sous ce noui Évidemment, c'est un ensemble de tendances ayant un piincipe commuu, qui se retrouvent, depuis quatre siècles, dans los diverses manifestations de 1 esprit humain, en dehors de la pensée catholique. Quelles tendances et quel prb cipe Allons le demauder, Messieurs et cbers amis, a nos adversaires eux-mêmes. II est, entre beaucoup d'autres, un livre d'un rationaliste allemand, foil enuemi du catho licisme, Burchardfc, sur ia Civilisation de de la Renaissance cn Italiëlivre qui fait autorité en la maiière et bien capable de nous renseigner. Sur quoi, sur quelle idéé fondamentale repose cci ouvrage Sur l'opposition que fait l'auteur entre rhomme du moyen age, pour ne pas dire l'homme chrétien, et l'homme moderne. L homme moderne,c'est celui qui a retrouvé la nature, qui a retrouvé le libre usage de sa raison, et qui, s'appuyant sur la nature et sur la raison, donne le maximum de dé- veloppement a sa personnalité. Au fond, Messieurs, l'homme moderne, c'est *1 Liomme antique, l'homme d avant le chrisfianisme, qui préfend ne relever que de la nature et de la raison. A suivre R< ynaert Maurice, doctoor in rechten, en kandidaat notaris Wyckhuvse Maria z 'b 1 Yper. w Monié Louis, koopman in kolen Vlaemynck Octavie, winkelierster, beiden te Yper. Duflot Alfred, z. b. teCampenhout&Dehouck Cecile z. b. te Yper. Stertgevallen Oog tie Rosalie, 71 j. echtgt. Laire Karei, 0ude Konijnénstraat. 1 Croos Ange, 9-2 j. z. b. ongehuwd Gustaaf De Stuersstraat. Tavenier Francis 63 j. z. b. e hlgt. Godderis Maria, Gustaaf de Stuerstraat. Werrebrouck Alixia, 39 j. kanten werk ster e< htgt. Cof'tjvn Arthur Doorgangstraat. Debriiyne Catherine, 76 j z. b. wwe Spinne- wyn Josef en Gryson Engel, Wisselaarstraat. Quand j'étais jeune, je disais Moi plus tard, j'ai dit Moi et Mozart plus tard encore, j'ai ditMozart et moi et maintenant je dis Mozart GOUNOl). Dieu donne aux riches le pouvoir de pren dre sur les biens qu'H leur a confiés, ce qui est nécessaire a l'honnête entretien de leur familie, mais en les obligeant de donner le reste aux pauvres. Fléchier. Les personnes trop comblées de dons de la fortune sont comme des vaisseaux trop chargés qui risquent plus que les autres de couler a fond. Dans les jours de pluie il tombe bien des gouttes d'eau Sur cent, quatre-vingt-dix-neuf se mêleront a la poussière et feront de ia difficile de faire mieux saisir par les esprits w mais qu,une seulg soit recueiüie dans l'exaete portee des récents enseignements le creux de la main et elje forme Ja gouUe d'eau du baptême. Ah Mesdames, les dé- poncoc <juc vous faitca. chaque jour, pour plaisirs sont les gouttes gente et active, désirant se cre'ei un position dans maison de commerce de la ville une peut s'adresser pour renseignements chez 1'éditeur de ce journal. de guérir votre toux ou vos maux de gorge en 2 jours, refusez toute imitation et exigez la Pastille Walthe'ry qui est infaillible. Si votre pharmacien ne l'a pas, envoyez 1 fr. a Ia Pharmacie Pirard, a Verviers, et vous en recevrez une botte franco. Le frès remarquable discours prononcé par Mgr Baudrillart, recteur de 1 Institut catholique de l'aris, h la séance d'ouverture f des cours, vieut de paraitre en brochure. Nous en détac'uons les pages suivantes que nous signalons d'une manière toute spéciale a l'attention de nos lecteurs. La questiou actuelle du modernisme s'y trouve traitée avec une clarté d'exposition et une force d argumentation tout a fait en harmo nie avec l'importance du sujet. II serait du Saint Siège L'Eglise. dit- Mgr Baudrillart, viont de condamner, sous le nom do modernisme, une erreur aux formes multiples, qui en résumé et en conlient beaucoup d'autres le Pape lui-même le déclare. Ce nom de modernisme, certaines person nes, a première vue, le redoutaient un peu, paree que, comme naguère le mot de libéralisme, il était susceptible de deux sens et risquait d'engendrer de fócheuses équivo ques. L'Eglise l'a choisi c'est done qu'elle avait des raisons meilleures que celles qu'on lui opposait Dès lors il n'y a plus qu'è. chercher pourquoi elle l'a choisi, et cette recherche féconde nous permettra d'aller plus avant dans la connaissance de la vérité. Modernisme vient de moderne. Y-t-il done entre 1 esprit moderne et l'esprit chrétien, entre 1 homme moderne et l'homn e chré tien, quèlque chose de radicalement incom patible, quelque chose que l'Eglise, pour deineurer fidéle a sa mission,doive nécessai- remeDt condamner Quel est le sens du mot moderne,et qu'est- ce que l'Eglise condamce dans l'esprit moderne, père du modernisme Moderne est-ce simplement une période de l'histoire.oelle qui commence oü le moyen age finit, celle ou nous vivous? Non. L'Eglisene cond'amneeu bloc aucunepériode de l'histoire elle ne condamne pas tout ce qui se fait de nos jours, toutes les tendances de notre temps, tout ce qui s'est manifesté de nouveau dans le monde a partir de ce siècle. Est-ce la mode et ses changeants caprices? Pas davantage. On peut porter tel costume que Pon veut, füt-il le plus ridicule du monde, avoir tel goüt littéraire, se passion- ner pour telle ou telle école artistique, et même pour le modern style, sans que l'Eglise en ait cure. Est-ce le domaine immense de la civilisa tion extérieure ou matérielle, avec toutes les découvertes dont notre vie physique profite et dont notre intelligence se glorifie? La machine vapeur, le télégraphe, le téléphone, les automobiles Non encore. Et-ce done tout le domaine de la civilisa tion inférieure intellectuelle Quand elle condamne l'esprit moderne et Terreur mo'lerniste, l'Eglise prétend-elle qu'il ne s'est rien produitde bon dans eet ordre supérieur, dont tous les autres dépendent, depuis le déclin du moyen age,qu'il n'y a rien de vrai, rien d'utilisable dans les systèmes auxquels taut de grands penseurs ont attaché leur votre luxe et vos H d eau qui torment la boue mais la pièce de I monnaie mise dans les bonnes oeuvres, c'est la goutte d'eau qui tombe dans la main de Dieu et transforme les ames. Cardinal MeRMILLOD. I Nous ne savons pas aimer Dieu comme les Saints 1 aimaient, car il semble qu'il faille j voir pour aimer et nous ne voyons Dieu que des yeux de la foi, et notre foi est si faible 1 SMais les hommes, mais les pauvres, nous les voyons des yeux de la chair, ils sont la, et nous pouvons mettre le doigt et la main if dans leurs plaies, et les traces de la couronne d épines sont visibles sur leur front. Ici lincrédulité n'a plus de place pos sible, et nous devrions tomber a leurs pieds et leur dire avec l'apotre Tu es Dominus et Deus meus vous êtes nos maitres et nous sommes vos serviteurs, vous êtes pour nous les images sacre'es de ce Dieu que nous ne voyons pas, et ne sachant pas L'aimer autre- ment, nous L'aimons en vos personnes. Hilair Bulckaen, melkverkooper te Kem- mel en Gertrude Masschelein, z.b. te Yper. Petrus Nys, bediende bij de nationale bank te Brussel, voorg. te Yper en Bertha De Buf, z. b. te Oostende. Guido Bossaert leurder en Emma Vande- voorde, kantenwerkster, beiden te Yper. Edouard Simoens, leurder en Philomene Parein, kantenwerkster, beiden te Yper en tijdelijk verblijvende te Brugge. En voila u e question, direz vous. Le j,ius pelit enfant peut la savoir aprös deux jours d'óeole. Nous sommes de votre avis, maisrous avons posé la question, suMósant bi in que o'est un prob ème difficile. N'est il pas vrai que lorsque nous avons posé des questions beaucoup plus simples, vous hanssez les épaules et ee savez que fópondréï Nous allons vous !e démon- trer. Si des amis ou connaissances vous demandent, s'il 11'existe aucun remède pouvant vous dó r- rasserde votre asthme, de votre affection de de poitrine ou des poumons, de votre brouchite, vous ré] ondez il n'existe pas de remède pour mon mal Et cependant la réponse a cette ques tion est ioute aussi simple que la solution du problems combien font deux fois deux? Ghaqua semifine ce journal publie des attestations de personnes guéries par le Sirop de l'Abbaye du Cou vent Saucta Paulo, de maladies de poitriue ou de poumons anciennes chaque semaine vous iisez ces articles et néaumoins, lorsqu'on vous pose la simple question, vous répondez je u'en sais riem Pourquoi répondie ainsi Nousallon3 vous le dire ce n'est pas par ignorance, mais seulement ,,arce que vous êtes incrédule vous n'ajoutez pas foi aux quaiités curatives du Sirop de l'Abbaye du Couvent Sancta Paulo. Et pour quoi pas Nous repondrons pour vous jamais vous ne vous êtes dunné la peine de piendre des informations chez un guéride cette faqon vous agissez criminellement envers vous mrme et envers votre familie. Car si vous vouliez sim plement prendre l'avis de l'une ou l'autre 1 er- soi.r.e guórie, vous verriez fléchir vos idéés préconcucs devant la vérité de ce que l'on vous dirait. Vousauriez recours au Sirop de l'Abbaye, et de même que des milliers de personnes avant vous, vous seriez guérie. Nous tie pouvons faire plus q*e d'attirer votre attention sur la force curative merveilleuse du Sirop de l'Abbaye du Couvent Sancta Paulo.Nous ne pouvons vous forcer, nous ne pouvons rester a cöté de vous avec une cuiller p.our vous faire prendre le remède.Si nous en avions le pouvoir, nous ie ferions sans hésiter et nous diminue- rions, faisant cela, le nombre annuel de malades de h poitriue, des poumons, de l'asthme, de quelques millions d'unités. Mais, nous ne pou vons faire plus, répétons le, qua d'insister sur l'emploi du Sirop de l'Abbaye et vous dire: il vous guórira. Si vous persistez a ne pas écouter de bons consoils, vous continuerez a trainer votre mal, et cela par votre pronre faute. Vous savez done ce qui vous reste a faire. Prix 2, 4 et 7 fr. le flacon. Dépöt général L. I. AKKER, Rotterdam. Déoót principal pour la Belgique O de Beul, Longue Rue Neuve 57, Anvers. En vente a YPRES L. Aertsens, pharmacie Bécuwe, Marciié au ue'-re 7, Pharm. Centrale Cd. May, Grand'Place, 35C. Ifibotte, rue de Verger A. Donck, rue de Lille. POPERTNGHE A.Monteyna. Grand'Place, i8 COMINES F. Van Windekens, et dans toutes les bonnes pharma cies. Vivraif-nn Vivrait ondessièclesentiers que l'on ne découvriiait jamais un purgatif plus parfait ni plus agréable que la Pilule antiglaireuse Wal- théry, qui ne coüte cependant que 1 fr. D boite. Une boite suffit pour plus d'un an. BURGERSTAND VAN YPER van den 22 tot den 29 November 1907 Geboorten Schryvers Apollonia, Sint Maartensnieuw- weg. Vandéïbrecht Suzanna, Ste Godelievestra'at. Glorie Brunona, Lange Thouroutstraal. Bouckaert Josi f, Dickebuschsteenweg. Gillot Roger, Pilckemslraat. Percque Robert, Lange Thouroutsraat. HuweRjken Ossieur Henri, kleermakersgast Maerten Valentina, naaister, beiden te Yper. Velghe Robert, timmermansgast Delbecque Martha, kanteuwerkster, beiden te Yper. De Bruyne Henri, leurder Castelein Emelie leurster, beiden te Yper. II n'y a absolument aucun remèdl agissant aussi jiromptement et au.u' complètemeiit. Une seule pastille donne du soulagemenc; clles peuvnt être prist* par les personnes les plus delicates. Si la toux vous empêche de dortnifi une seule pastille Keating vous remetlru- Tout mèdecin vous dira qu'elles sont absolument uniques. L8 public est avisé que, au lieu du timbre du Gouvernement Britannique, chaque boite porte maint nant, comme garantie d'authen- ticité. lo cachot du Propriétaire THOMAS KEATING, Chimiste h LONDRES. Par suite, le prix de la boite est rédnit a fr. 1.2 5 (au lieu de fr. S.40), la quafte du produit restant absolument la même. vendues partoutenboltesdeferblnncöfr. et is. 3.50 dans toute? les boooos pharuiowe

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2