Demoisehe sérirs in,elli" Modernisme Au Conseil Provincial Chromquc religieuse AT J.-A. Van Werveke Guórison d'une co r.mercanle II uwelijksafkondiginge n OCCASIONS Ar busies d' Ornement Dés spérés Ceux qui prennent ies pilules Pink guérissent HAD. Dt WÏTfïiff?/ ses regards s'élèvent avec contiance. se pen- cherdoucement vers lui comme pour l'assu rer que sa prière était exaucée. Duns Scot se relève et se rend a la Sor- bonne oü devait avoir lieu la discussion décisive. ADrès l'exposé de la thèse par le jeune religieux anglais, alors Agé de 31 ans, plus de deux cents docteurs se ièvent tour a tour pour eombattre le privilège de Marie. Quand tous ont donné leurs objections, Scot parle a son tour. Avec une mémoire prodigieuso il répète dans l'ordre oü elles avaient été exposées toutes les objections de ces deux cents contradicteurs il les réfute ensuite une a une et rétablit le vrai sens des textes de l'Ecriture, des conciles et des Pères qu'on lui avait opposes. Quand il eut réfuté toutes les objections, le docteur franciscain exposa les arguments qui étayaient sa thèse avec une clarté et une profondeur telles que ses adversaires ne purent rion iui répondre. Letriomphe de Duns Scot était complet; il fut souligné par les acclamations de l'irn- mense assemblée ralliée toute entière a la thèse du défenseur de l'Immaculée Concep tion. Et le lendemain les docteurs de 1 uni- versité de Paris s'assemblèrent sous la pré- sidence des légats du Pape. 11 fut résolu que la doctrine du privilège de Marie serait désormais toujours enseignée dans l'univer- fcité, et que la fête de l'Immaculée Concep tion serait célébrée, chaque année, en grande pompe. Cette glorification de Marie ne devait être surpassée que par la definition dogmatique, faite par Pie IX, de rimmaculée Conception de la Mère de Dieu. Cette definition solennelle se fit au milieu de 53 cardinaux, de 43 arclievêques et de loO évêqiies venus de tous les points du monde et donna lieu dans l'univers entier a une explosion 'd'enthousiasme dont les fètes du cinquantenaire ODt pu nous donner une idée. L'immortel pontife, qui présida a cette apothéose, a narré les impressions qu il ressentit au moment de proclamer solennel- lement le dogmé de l'Immaculée Conception. Voici le récit qu'il en fit a ia supérieure de l'asile qu'il avait f'ondé a Imola Quand jecommengai a prononcer le décret, je sentais ma voix impuissante a se faire entendre a l'immense multitude qui se pres- sait dans la basilique vaticane (50.000 personnes). Quand je fus arrivé aux paroles de la définition, Dieu donna a la voix de son Vicaire une telle force et une étendue si surnaturelle que toute la Basilique en retentit. Je fus si impressionné de ce secours divin que je fus foicé de m'arrêter un instant pour donner libre cours a mes larmes. Puis, tandisque Dieu proclamait le dogme par la bouche de sou indigne vicaire, il (Tónna a mon esprit une connaissance si claire et si étendue de la pureté imcompara ble de la trés sainte Vierge, qu'abimée dans la profondeur de cette connaissance, qu'au- cune expression ni comparaison ne peuvent rendre, mon üme fut inonaée de déüces inénarr bles, de délices qui ne sent point de la terne, qui semblent ne pouvoir être experimenters qu'au ciel. Aucune joie, aucuu b inlieur ici bas ne pourront jamais en donner la moindre idée. Je ne crains pas de ledire, il fallait au Vicaire de Jésus- Ghrist une race spéciale pour ne pas mourir de bonheui sous l'impression de cette con naissance et de c; sentiment de la beauté incomparable de Marie Immaculée Rappel) -s quo non seulement la Belgique prit une largo part a la jubilation univer- selle qui se manifesta a l'occasion de ce triompiie do Marie, mais qu'un illustre enfant dYpres, Mgr Malou, d'impérissable mémoire,apporta une glorieuse contribution a l'apotliéose de la Vierge Immaculée. Après avoir, dans ud magistral ouvrage, écrit en quelque sorte la préface théologique de la Buile édictée par Pie IX, après avoir largement contribué par sa parole, par ses écrits et par son exemple a défendre le dogme de limmaculée conception, et a propagcr le culte de la Mère de Dieu, ce grand serviteur do Marie congut le projet de l'église monumentale de Dadizeele et en commenga la construction. La première pierre de Tcdifice fut posée le 8 Septembro 1857 par N. N. S. S. Malou et D.lbecque, évêque de Gand. Le 8 Septembre 18S0 Mgr Faict consacrait lo nouveau temple que, par une faveur insigne, S.S. Léon XIHó'eva au rang de Basilique mineure, le 13 Janvier 1882. Rappelons enfin que ce fut Mgr Waffelaert qui procéda, le 20 Avril 1902, au couronne- ment solennel de la statue miraculeuso do Notre Dame de Dadiz ele. Si rapproché de no.re viile que soit ce grandiose monument élevé a la gloire de rimmaculée Conception, nous n'a.vons pas voulu nous en coitenter. En plus de nos Halles et de notre holel de villc,qui forment en quelque sorte des autels monumentaux artistique érigé plus spécialement la gloire de l'Immaculée Conception. Saisissous cette occasion du cinquante naire de Lourdes, ainsique celle de la res- tauration de nos monuments, aujourd'hut résolument entamée, pour demander a l'édilité de bien vouloir rendre atout seigneur tout honneur. Si je ne vois de mes yeux, si ma raison j fidèles. Bon père et bon époux, il avait pour personnelle n'est pas pleinement satisfaite, j les siens une sollicitude toujours en éveil. si je ne croirai pas, le principe agissait tou- j Catkolique tout d'une pièce, il nourrissait jours, dissolvant successivement toutes les 'une foi profond" et agissante, il puisait dans doctrines, jusqu'au terme final de l'agnoticis me, et les vérités morales qu'on avait d'abord proclamées intangibles, n'étaiènt pas moins discutées que les vérités métaphysiques a La madone placée a la place d'honneur leur tour, elles se sont écroulées les unes sur du plus important monument civil de la Belgique a rudement subi, elle aussi, les injures du temps. II ne faut pas qu'il soit dit que les enfauts d'Ypres partent pour Lour des, en vue d'y honorer et couronner la Vierge jubiiaire, en laissant la Madone protectrics de leur cité lamentablement découronnée et affreusement mutilée. Plusieurs articles sont réservés chain numéro. (Suite et fin Or, au moment même oü la Renaissance proclamait cette souveraineté des droits de la nature et de la raison, le protestantisme de son coté posait le principe de la libre interprétation de la Sainte Ecriture et le substituait, en matière de doctrine,au dogme de l'autorité de l'Eglise. Et, bien qu'origi- nairement le protestantisme maudit la nature et la raison, par la lorce des choses, la libre interprétation de la Sainte Ecriture, c était bientol le libre examen dans toute son éten due, c'était l'usage totalement indépendant de la raison individuelle, c'était l'individua- lisme, le rationalisme, le subjectivisme reli gieux. Si bien que, par des cbemins indi rects et en dépit d'un sens plus religieux, Tesp»f--protestant se trouvait travailler a la même oeuvre que l'esprit moderne tel que i'avait concu la Renaissance. A la fin du XVIII' siècle, un puissant génie condensait ces tendances et donnait, avec sa marque personnelle, la forme sous laquelle elles devaient agir, avec quelle intensité 1 sur le siècle suivantKant méritait d'être appele' le pbilosophe du pro testantisme et !e père de l'esprit moderne. Le protestant, e'est l'homme qui ne recon- nait pas d'autorité religieuse au dessus ni en dehors de lui, qui tire de sa propre conscien ce la vérité religieuse dont il vit l'homme moderne, c'est celui qui entend ne rtle.ver que de lui-même, autrement dit, qui est a lui-même son Dieu. De part et d autre, vous le voyez, on abou- tit a la doctrine de l'autonomie et de la glori fication personnelle de 1 homme. C'est la l'esprit moderne, tel qu'il nous apparaït aujourd'hui constitué, et il est radicalement contraire a l'esprit chrétien. K Je dis radicalement contraire, paree que le principe moderne ne diffère pas seulement du principe chrétien, quant au degré, mais quant a l'espèce ce sont choses d'ordre différent. Le principe chrétien suppose un Dieu souverain maitre, une vérité, une autorité, qui sont bien au-dessus de nous, qui s'im. posent a nous du dehors, des dons surnatu- rels qui sajoutent a notre nature, auxquels nous n'avons pas droit, mais que nous n'avons pas la permission de repousser l'obéissance de l'esprit, l'obéissance du coeur sont exigées de nous. Et, si nous sommes des êtres divinises, vos autem dii estisc'est par le libre don de Dieu; tandis que. d'aprèsle principe moderne,nous sommes autonomes et nous nous divinisons nous mêmes. L opposition est done compléte, et c'est pourquoi toute tentative de rap prochement, de réconciliation, est inutile et condamnée d'avance. L'homme moderne doit renoncer a son autocratie usurpee il n a pas autre chose a fairesinon, il ne peut pas devenir homme chrétien. un Appliquons maintenant ce principe dans l ordre inteilectuel et scientifique, lorsqu'il s'agit, bien entendu, des vérités qui interes- sent la religion et la morale. Comment se sont opérées les destructions successives qui ont abouti aux désolants re'sultats dont je vous présentais le tableau au début de ce discours Uniquement par Ie jeu logique du libre exercice ét de la souve raineté de la raison individuelle. On s est borné d abord a nier l'autorité doctrinale de l'Eglise et Bon a dit que Ton n'en avait que faire pour sauvegarder la Bible ct les grandes vérités religieuses qu'elle contient. I res bien 1 Mais peu a peu, sous Taction d'une critique sans frein, la Bible a changé d aspect elle est devenue un livre comme les autres, elle n'a plus été cense'e contenir ces mêmes vérités religieuses, le judaïsme et le christianisme ont été mis au rang des autres religions, bonnesou mauvai- ses, suivant le point de vue, en tous cas humaines, soumises aux mêmes lois d'évolu- tion et dtstinées a périr comme les autres. Quïmpcrte? disait-on. N'avons nous-pas la raison Et la raison ne suffit-elle pas a nous donner Dieu, lame, la vie future, tout ce qui dans la religion est essentiel et vraiment utile a 1 homme Oui, mais la religion na- au pro- les autres. Et vraiment, s'il y a encore quelque mora- lité dans notre société, et si cette société tient encore debout c'est en vertu des traditions qui subsistent malgré tout chez un grand nombre et dont les traces se retrouvent jusque chez ceux qui se révoltent conlre elles. Comme Ta dit un des hommes qui ont le plus contribué a créer eet état d'esprit Nous vivons de Tombre d'une ombre et du parfum qui reste quand la liqueur est répandue et le vase brisé. De cela, ou ne vit pas longtemps. Et done I il faut remonter Ia pente. Jusqu'au point de départ. Si le principe posé au XVIIe siècle a produit tant de ravages, c'est qu'il contenait en lui un germe de mortc'est qu'il faut une limite au libre examen, au libre exercice de la raison individuelle. Et quelle limite? Celle-la même que les protestants ont ren versée l'autorité doctrinale de TEgiise on n en saurait concevoir d autre, car i esprit humain ne peut s'incliner que devant une j autorité d'origine divine et qu'il tient pour I telle. j ses convictions religiea es ie réconfort lheure des épreuves. On peut dire de Lui qu'il fut l'homme de j bien d..ns la vie publique magistrat j exemplaire, dans la vie privée vaillant chrétien, au caractère fortement trempé. C'est avec pleine contiance que nous espé- rons pour lui la recompense éternelle il a trouvé la paix et le bonheur que. le monde ne peut donuer même aux meilleurs. Les funérailles de M. Van Werveke ont eu liou le 21 Octobro 1907, au milieu d'un grand concours de monde. A la rriortuairè, M. Giron, premier président de la Cour de cassation, eu presence do la Cour cn corps et en robe, a rendu hommage aux qualités supérieures du défuut et dit le dernier adieu a l'église de Saint Josse, Ia Cour d'appel et le Tribunal de lre instance de Bruxelles en corps et en robe, s'é'aieut joints a la cérémonie. Mais vous me direz notre recherche en ce cas n'est pas sincere, elle n'est pas rigou reusement scientifique. Pardon, l'Eglise ne vous interdit pis, de faire usage des métodes scientiliques, propres a chaque science; le Concile du Vatican vous y autorise même formelleineut. Elle vous dit seulementquand vous vous heurtez a une vérité détinie par moi, en vertu de 1 autorité divine que vous recon- naissez en moi, arrêtez-vous. C'est paree que vous êtes en présence de Le conseil provincial de la Flanlre Occidentale s'cst réuni Mardi dernier pour I examiner la proposition de la Deputation permanente relative a letablissement d'un réseau de tramways ölectriques a Bruges et dans les communes suburbaines. La proposition a été admise a l'unani- inité. la vérité que 1 Eglise vous arrête et vous EGLISE DE St MaRTIN Confrérie de N.-D. de Lourdes etaposto- laf de la prière pour la conversion des péeheurs. 8 Décembre Fête de 1'Immaculée Conc p- tion de 'a Siintö Vierge. indulgence I'LÉNIERE- Lundi 9. Messe solennelle a 8 heures a l'intenlion des Associés. ditSi vous n'y arriwz pas-, a cette vérité, eu vertu do vos r«cli'-rches, c e-t quo vos documents sontii complets ou que vous faites mauvais usage de la méthode. Une comparaison ïécemmint employée par uu illustre cri ique catbolique vous rendia la chose plus intelligible. Supposez que tous les texes bi'sloriquessubsistant nous disent qu une eclipse a eu lieu tel jour et que les calculs les plus certains de l'astro- nomie établissent que cette éclipse n'a pu avoir lieu cejour-!a, mais la veille, ou le lendemainrecourrons-nous a cette ineptie: Il est vrai en histoire et il est faux en astronomie que l'éclipse ait eu lieu tel jour il est vrai en astronomie et il est faux en histoire qu'elle q eu lieu 'a veille ou le lendemain Non nous nous arrêterons devant la vérité que uous considérons comme supérieure, comme établie par un instrumeut de recherche plus sür, et nous chercherons a nous expliquer Terreur ou Tinsuffisance des bistoriens. Aiusi faisous-nous, toutes proportions et toutes différences gardées, quand nous inclinons notre critique devant l'autorité doctrinale de l'Eglise. oü trone l'imagede la divine Proteetrice de turelle ct Ie spiritualisme sont allés réjoin potre ville, nous possédons un monument dre la Bible et la révélation. Notre éminent concitoyen M. le conseiller Van Werveke, qui est décélé a Bruxelles, le 17 Octobre dernier, était membre du Comité de patronage de la Revue Catbo lique de Droit. A l'occasion de ce décès le numéro de Novembre de cette excellente Revue parait en deuil et consacreau regretté défunt une notice, que nous nous faisons un devoir de reproduire M. le conseiller Van Werveke avait par- couru une brillante et honorable carrière substitut du procureur du Roi a Termonde (1873) et a Gand (1875), conseiller a la Cour d appel de Gand (1885), conseiller a la Cour de Cassation (1899), commandeur do lOrdre de Leopold. Cette haute fortune judiciaire, au lémoi- guage de tous, était bien méritée magistrat de valeur, il a dès le début fait preuve de qualités supérieures oliicier du Parquet, il lut plein de zèle et d'ardeur dans l exercice de ses lonctions deveuu conseiller a la Cour dappol de Gand, son iDtégiiié, soa impar tialité reconnue, sa sciencejuridique, /ruit de constantes études, le mirent bientot liors de pair. 11 lut appslé, jeune encore, a la Cour de cassation, bien préparé a prendre place avec hotmeur dans cette haute et éminente juridicalion il avait devant lui la perspec tive de continuer brillamment sa carrière dans le plein épanouissement de sa valeur intellectuelle. C'est alors que le malheur vint s'asseoir a son foyer il fut cruellement alteint dans ses affections de père lamaladie le saisita son tour et le tint sous son étreinte pendant de longues et douloureuses années. Ceux qui ont connu ce digce magistrat se plaisent a rendre hommage a ses qualités aimaibles. Comme collègue ou amiiljouis- sait de l'universelle sympathie. Il avait a Gand notammentdes amities qui luircstent Mme Philomöne I amioy, e i.mmerganlo a j Jumet, cbsussóe de Bruxelles n° 161, a élé guérie j paries pipul.es Pink. Comme tous les commer- j cants et eommercantes, Mme Jumet a besoiu detoutes ses forees et la piredes cboses pouvant i lui ari iver, était do tomber malade. Cela lui est malheureusement arrivé, mais elle a pris les j j ilules Pink et ce remarquable médicament a aussilót fait fuir: Tanémie qui la minait II est 1 seulement rc-grettable qu'elle n'ait pris les pilu- j les Pr k plus tót. Eile aurait élé guérie plus tót j et n'aurait pas laissé son organisme être miné j par le mal pendant 3 ans. ij Pendant 3 ans, ócrit-elle, en eff.-t, j'ai été j miriée par Ta> émie et il n'y a rien de plus préju- diciable a une commergante que ces maladies j qui trainent et dont on ne peut parvenir a se s débarasser. Si j'avais connu les pilules Pink plus j tót. évidemment je D'aurais pas souffert si long temps Je vous donne Tautorisation de publier mon attestation justement dans l'espoir qu'elle tombera sous les yeux du plus grand nombre et évitera a bien des personnes ce qui m'est arrivé, c'est-a-dire de souffrir pendant longtemps inuti- lement. Les pilules Pink m'ont redonné des forces, de Tappétit, de bonnes digestions. Je n'ai plus d'oppression, plus de points de cóté, et je repose bien la Duit. Les pilules Pink sont souveraines contre l'ané- mie, la chlorose, la ueurasthénie, la faiblesse générale, le rhumatisme. On peut se les procurer dans toutes les phar macies et au dépót Pharmacie Derneville, 66, Boulevard-ce Waterloo, Bruxelles; 3.5) fr. la boite, 17.50. les 6 boites, franco. Dépot k Ypres, pharmacie C LIBOTTE a Poperingh", pha-macie MONTEYNE. Jules Depikker, landwerkoren Maria Kesle- loot werkvrouw, beiden te Yper. Louis Deléye vuurStokrr te Ypur en Amelie Van Looy, dienstmeid te Vorsselaere voorg. te Antwerpen. BURGERSTAND VAN YPER van den 29 Nov. lot den 6 Dec. 1907 Geboorten Denoyelle Ferdinand, Veemarkt. Storme Anlonia, Hondslraal. Huwelijken Vanb ,11e Cam iel, melser te SI Jan Bloimne Ilormiiia, dienslmeid, te Yper. Goliyn Gamiel, tiediende aan den huurlspoor- wog Cla.eys Julia, z. b. beiden te Yper. Ilauspio Gonstanlin, z. h. wedr. Mennebal Nathalie Depuydt Elisa, paaister, b iden le Yper. Uebaok Michaël, eersle sergeant majoor bij hel 3° linie regiment Plancke Albertina, mu- dewerksler, beiden te Yper. Sterfgevallen Worrebrouck Maria, t j. Nazarethstraat. Houssen Eudoxia, 70 j. kantenw. echigte Van Mackelberghe Leonard, Bukkerslraat. Gourtequisse Maria, 2 j. Brakkestraat. Ghyssaert Eugenia, 60 j. z. b. echtgte Van- rwelewijn Emiel, Boterslraat. Vermeersch Archangel, 55j. landbouwer, echlgt Vanoverberghe Felicie,Pos!hoornstraat. Crevit Jules, 13 j. z. b. Drie zottenstraal. Despienne Augustin, 78 j. z. b. ongehuwd Bolliugstraat. Debrouwer Rachel, 11 maanden, Goude Poorlstraat. Vous, malades, souffrant de refroidissement d'oppressions. de faiblesse de poitrinevous tous qui êtes atteints aux voies respiratoires et a la gorge; vous qui craignez de prendrefroid au moindre courant d'air vous qui redoutez l'effet nuisible des vents du Nord vousasthma- tiques. qui avez on vain essayé tous les remèdes. ne retardez pas votre guérison en hesitant plus longtemps, ne laissez pas empirer votre état Suivez le conseil que vous donnent de millions de personnes ne souffrez plus, le Siropdel'Ab- baye du Couvent Sancta Paulo vous apportera la guérison et vous soulagera, alors que d'autres remèdes n'ont pu le faire. Le célèbre Sirop de TAbbaye du Convent Sancta Paulo guérit ton jours, mais vórifiez si Ton vous donne bien le véritablo, car la guérison est ce prix. AUTOMOBILES F. N. Rochet Schneider beige, de Dion Bouton. Représentant pour la Flandre Occ. E. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2