Demoiselle swr Dili SANTÉ DEI II, La Gilde de St-Michel Toujours des trucs Mgr Malou OCCAMONS Ar bustes d'Ornement ceur, pounion? Une anémique de moins fn Memoriam Be l'utilité de lire les journaux. Grace aux pilules Piük IeMEILLEUR des P< ;SS lergé mime a l'église, a trouvé maintenan1 cquc Hélas I le prédicateur de talent sans doutequi a sermoné les fidèles,le Dimanche i* Décembre, a l'Eglise St-Martin, n'était que l'homonyme... du grand prédicateur franqais. Bravo! Progrès c'est fort bien imagine. Le prédicateur du sermon de charité de cette année, qui est bel et bien le même que le prédicateur de l'année passée, lequel e'tail, en chair et en os, le grand prédicateur parisien le Pèr* Ollivier, ...n'est plus le Père Ollivier. Pa» possible Foi du Progrès. N'empiche qu'il est asse{ cocasse d'oser lancer pareille bourde f Pas plus cocasse que cent autres affir mations et interprétations de ce véridique journal. Ce que c'est que la force de Vhabiiude. T a-t-il encore de» préjugé» contre la gymnastique Probablement oui. Pourtant il y a dans la gymnastique autre chose qu'un passe-temps et une suite de mouvements plus oumoins automatiques. La gymnastique joue un grand role social, moral et humanitaire. Ce» grands mots feronthausser les épaules et plus dun en rira, c» qui n'ealèvera rien a leur rigide exactitude. La gymnastique est un des grands moyeus pour conserrer a notre époque de ne intense une »anté rigoureuss, un corps fort et robuste. Ne prétendez pas que vous taites assez de mourement. Vous faites du mouve ment, mais ce mouvement est tout machinal et en rous fatiguant rous use et vous afiai- blit surtout. Regardez avec attention les geus que vous rencontrez que de personneB a pei- trine enfoncée, au ventre préominant, ia tête inclinée trop en arrière ou faisant contrepoid» a une épine dorsale difformee, aux jambes tordues et soutenant mal un corps aux franches déséquilibrées. L'an «era un tailleur a qui la continuelle position assise et inclinée a donné dis bras^ des jambes, un corps courbés. Le dos vo l'épaule surélevée de eet autre y0 indiquer* un menuisier. Le voilé, au tors1 tordu, eest un fergeron que le grand marteau ©t l'enclum© out rendu ainsi. Ce ui la aux reins cassés, au dos courbé n est autre qu'un oordonnier. Et l'homme do «cience, le buraliste n'ont ils pas le coip, incliné rers le pupitre 1 Tous pourtant font du mouvement. Om maistoujoursle même mouvement uniior me. Une partie des nerl's se développe au dépens de la généralité. Les autres nerls ne fonctionnent que rarement, uue atrophie en «uit, la fatigue se produit plus vite, et le corps s use et s'affaiblit trop. II faut done du mouvement qui assoupht tous les nerfs et donne au corps toute sa rigueur, toute sa force. C'est ici que ia gymnastique entre en ligne avec ses exer- cices scientiüques, multiples et raisonnes. Eüe sera d'abord préserratnee et progres- «ivement améiorera. Tels sont les idéés, qui nous violent, h l'osprit en assistant, Dimanche passé huit jours, a la iête de gymnastique orgaeisée par la vaillante Gilde St Michel, qui est en train de nous former une classe ouvrière robuste ot valide que le struggle for live n'effrayera pas. La fète elle même, inuti.e de le dire, a bien réussie.Tous les uuméros enlevaient les enthousiastes applaudissements du nom- breux public. Citons néanmoius les mouve ments d'ensemble par les pupilles et ceux par les gymnaste. de la 1' et 2' section, le» gladiateurs romains, la legon descrime et les incomparables poses plastiquesLa campagne de Groeninghe. Noublions pas non plus l'Harmonie St Michel, qui a contribué pour une large part a la réussite de cette déiicieuse fete. Pour finir.un mot de remerciement a ceux qui ont fondé, dirigent, soutiennent et travaillent k 1» proipérité de la Gilde St Michel. je ne sui» pas de l'administration commu nale ni de cell* des Hospices, je n'ai aucun intórêt la distribution des commandes des hospice»; maïs je li» dan» le Progrès du 8 Décembre 1907 u Nos administrateur» des Hospices ne veulent pa» dune adjudication publique étendue a tou» le» articles de quelque importance paree que, dans ce cas, ils ne pourraient favoriser leurs amis ni faire des commandea, en temps detection, a tous ceux qui sont correctibles. Yoilé un vilain truc doublé d'mjustice que signal» le Progrès. i/aia mie dit la loi 1 Mais que La loi, dit le Progrès, et les instructions ministérielles qui règlent la manière dont let Ho»pices seront administrées, prescri- vent de faire appel d la concurrence pour ies obiets a fournir aux établissements,,. Est-ce bien la le texte de la loi - Mai» Mors qu# viennent faire ces motscités plus haut' tout lei articles de quelque impor tance Est-ce vou» Progrès qui iaterprêtez ainsi la loi Je vous trouve un peu osé, mais fort raisonnable. Si c'est la loi elle-méme ou les instructions ministérielles qui ont donné cette interpré- tation, il l'audra done dire que la loi laisse aux administrations des Hospices de juger par elles mêmes de l'importanc# relaiive des articles a fournir. D'accord voyons Progrès Et si l'administration des Hospices fait appel a l'adjudication publique pour les articles importants et, de plu», fait appel a la concurrence plus restreinte pour la généralité des autres articles, k prétendre qua tous les objets passent par l'adjudication publique, vous étes exagéré, Progrès, dans vo» exigences N'importe. Mais des administrateurs intelligents et sages vous donneront tort, et trouveront que beaucoup de fournitures peuvent être acquises par une autre voie N'importe. Si vous voulez étendre ce systême d'adju- dication publique, il pourra se faire, qu'une société puissante, anonyme, étrangère, obtienne le monopok des livraisons ce qui gemble étranger aux intentions des fonda- teurs des biens d hospice N'importe. Encore il pourra se fair# que quelques grands industriels s'accapareront tout le géteau, et ce sera la ruine de la petite bour geoisie qui trouve déja trop difficilement Bes moyens d'existence. N'importe. Et il est fort a craindre que la nourriture et le confort des administrés des Hospices auront tout a perdre au rabais des prix de fouruiture d'une concurrence exagérée. N'importe. N'importe Tous faites erreur, "Progrès et ce n'est ni a vous ni a tnoi de régler les achats et les économies a faire par les Hos pices. Vous étiez mieux inspiré dans cette décla- ration que vous fites et qui devient ma conclusion II importe que la manne que la commission des Hospices répandpar ces commandes soit distribuée équitablement A U MIEUX DES INTÉRÉTS DE TOUS. X. Quelque regain d'actualité qu'ait apporté le décès de la digne doyenne des soeurs Lamothe, soeur Scholastique, a l'un des faits les plus saillants de l'histoire de notre politique locale, nous nous absliendrons de poiémiquer sur ce cercueil fraichement cloué. Que d'autres n'ésitent pas, a l'occasion, a jongler avec un cadavre, peu nous im porte il ne nous convient pas de nous autoriser de leur mauvais exemple. Mais si nous entendons nous abstenir de commentaires irritant» au sujet de l'événe- ment auquel nous faisons allusion, nous ne tenons que davantage a en rappeler un des aspects les plus lumineux et les plus repo- sants. Ce simple souvenir d'une noble carrière de 81 ans remplacera d'ailleurs avantageu- sement, a lui seul, le plus bel éloge funèbre que nous pourrions faire de la vénérée défunte. Avec ses 21 consceurs, elle venait de subii' le supplice le plus cruel que l'on puissse faire endurer k une mère celui de lui arracher des bras ses entants. Seule pourtant elle ne se laissa pa» affoler par la douleur. Peut être était-elle, mieux que les autres, aguerrieparde plusnombreux sacrifices.Tandisque ses coasoeurs éperdues, abandonnaient, sous la contrainte, le cher asiie, témoin de leur inlassable de'voüment, soeur Scholastique se préparait k un dernier sacrifice, le plus pénible de tous, car la résistance était inutile. Se souvenant quelle n'avait pas seulement la garde de jeunes ames, mais encore celle du tabernacle,elle court,Vestale chrétienne, occuper son poste sacerdotal et prétend rester la, malgré tout, pour la défense de son Dieu et pour la garde du feu sacré qui Lui rend témoignage... Certes,on salue avec admiration et respect la mémoire de ces braves qui. préposés a la garde du drapeau de la patrie, préiérènt s'enseveiir dans ses plis plutót que d» le livrer, vivants, a l'ennemi. L'histoire a coaservé leurs noms et plus d'un s'est vu ériger, sur la place publique, un gloriaux monument commémoratif. Mais quel chrétien ne saluera plus pro- fondément encore la dépouille de cette vaillante religieuse qui rêva de périr sur les marches del'autelquelle voulait préser ver de la profanation Soeur Scholastique n'aura point son mo nument de bronze ou de marbre une simple croix de bois marquera la place de ses cendre8 au cimetière. Mais le Dieu des tabernacles dont elle De voulut point se séparer pendant la vie l'a déja, nous en avons la ferme espérance, récompensée de son amour et de sa fidélité en lui assurant son ineffable iatimité a travers les siècles saus fin. La fête de l'Immaculée Conception ne saurait être célébrée icQsans rappeler a notre souvenir eet illustre enfant d'Ypres qui apporta une si large part a la glorification de Marie en 1854. Cette noble figure ne saurait s effacer de la mémoire de ses contemporains mais il est bon de la montrer a la generation nou velle, afin que celle-ci apprenne, a son tour, a la vénérer et a la bénir. Mgr Jean-Baptiste Malou naquit a Ypres lesoJuin 1809, d'une familie ancienne et distinguée. 11 acheva ses études au célèbre college de Saint Acheul, prés d Amiens. II se rendit ensuite a Rome pour faire ses études théologiques, fut ordonné prêtre en 18I4, avons pleuré volontiers avec devint docteur en théologie a l'Université vénérable Frère, l'éminent évêq Grégorienne, et, rentré en Belgique, passa quelque temps au Séminaire de Bruges, puis futnommé professeur de théologie dogma- tique a l'Université de Louvain. Devenu chanoine honoraire de la cathédrale de Bru ges et membre de l'Académie romaine de la religion cathoi'ique,Mgr Malou fut préconisé évêque de Bruges au consistoire secret tenu a Gaëte, le il décembre 1848 et sacré a Bruges, le 1 Mai suivant; il piit pour devise: In cruce salus. Le 12 Janvier 1849. le nouveau prélat fut, a Louvain même, l'objet d'une brillante manifestation de la part du corps professoral. LesacredeMgr Malou revêtit un caraclère de grandeur et de magnificence peu commu nes de nombreux prélats rehaussèrent la cérémonie de leur presence. Mgr Malou assista, le 8 décembre 1854, a Rome, a la proclamation du dogme de l'Im maculée Conception de la Ste Vierge. Dans les assemblées des évêques accourus a Rome de tous les points du globe, pour examiner le projet de la bulle destinée a promulguer la definition du dogme, Mgr Malou prit plus d'une fois la parole et se fit admirer de tous par l'étendue de ses connaissances théologi ques et la rare aisance avec laquelie il maniait la langue latine. Aussi n y eut-il qu'une voix, dans la docte assemblée, pour presser l'Evêque de Bruges de publier le fruit de ses éludes sur le dogme qu'allait proclamer Pie IX. De'férant a ce désir, Mgr Malou, a peine de retour dans son diocese, mit la main a l'oeuvre et, deux ans plus tard, il publiait son grand ouvrage L'Immaculée Conception de la bienheureuse Vierge Ma rie, considérée comme dogme de foi, dont le Papc accepta la dédicace. Mgr Malou était lié d'une étroite amitié avec l'illustre Dom Pitra, bénédiclin de Solesmes, qui fut créé cardinal prêtre par Pie IX. M. le chanoine Rembry a puisé dans la correspondance des deux amis, ainsi- que dans la bjographie du cardinal Pitra, des détails peu connus qui feront grandir dans l'estime de nos lecteurs l'évêque beige qu# Hurter appelle avec tant de raison Insigne Ecclesia: belgicce, decus. Dom Pitra, a propos de conseils qu'il donna un jour a son ami Mgr Malou, écrit a l'évêque de La Rochelle, Mgr Landriot Le meilleur ami que je me connaisse hors de France, Mgr Malou, venait d'être nommé Evêque de Bruges. Tres jeune a cóté des prélats de la Belgique, il devait sa rapide élévation a l'éclat de ses études, a un court et brillant enseignement. Après avoir rappelé les conseils donnés a Mgr Malou, Dom Pitra ajoute Le savant évêque de Bruges n'avait assurément nul besoin de mes suppliques. II prit si admira- blement sa juste et bonne place, qu'en res tant attaché de coeur et de paroles au chef de l'Eglise, il devint lui-même le pivot des catholiques beiges. L'épiscopat beige en fit son représentant aux conférences del'Imma culée Conception, et en ce même voyage il recevait une mission confidentielle des régu liers beiges pour traiter en leur nom de trés graves intéréts. Je ne connais pas, dans toute l'Eglise, beaucoup de positions épiscopales plus éminentes, plus honorées et plus honorables que celle de l'évêque de Bruges.» Dans une lettre a Dom Pitra, Mgr Malou entretient son ami de ses études sur le schisme d'Orient, mes questions de pre dilection, dit-il, a qui je continue de donner les heureslibres que 111e laissent naessouffran- ces et ma faiblesse. Et après quelquts nouvelles sur l'état de sa santé, hélas bien précaire, le vaillant prélat continue Mon sort est entre les mains du Seigneur je suis plus convaincu que jamais de la vanité des 1 choses humaines et du bonheur d'entrer au Ciel. Je suis done toujours disposé, avec la grace de Dieu, a y monter. Mais tout espoir de vous revoir en ce monde ne me parait point perdu. Si je ne vous vois plus comme je vous vis a Louvain, rassembler des bouts de chandelles ou des fonds de lampe, pour atteindre l'aurore sans ténèbres et passer la nuit a letude, je pourrai vous voir peut-être encore au milieu des splendeurs de la cour romaine, servant l'Eglise et le St-Siége avec succes. Que la volonté du Seigneur soit laite Hélas ces agréables rapporls devaient cesser bientót. La mort allait rompre les liens qui unissent ces deux grandes ames, le Cardinal Pitra et Mgr Malou. Le i3 mars 1864, 1' auguste prélat succombait a la fleur le l'ige il n'avait pas 55 ans,— après deux années de souffrances, supportées avec un courage héro'ique. Cette mort prématurée fut pour le cardinal Pitra une des grandes dou- leurs de sa vieécoutons le exhaler ses plaintes En ce mois de Mars meurt mon excellent ami, le saint et savaut évêque de Bruges. C'est une perte pour l'Eglise et pour le monde elle est irreparable pour la Belgique. Un autre ami, Mgr de Montpellier,évêque de L'ége,prononca. lors des funérailles, une oraison funèbre aussi élogieuse que sincère et vraie. Mgr de Montpellier fit hommage a sa S. S. Pie IX d'un exemplaire de l'oraison funèbre. Le St-Père l'en remercia par son bref du 8 juin 1864 qui débute ainsi Nous vous, notre évêque de Bruges qui nous a été enlevé a la bien grande affliction de notre coeur. Pourtant, comme Augustin a la mort de sa mere, Nous n'avons pas cru qu'il convint de manifester Notre deuil par des larmes mêlées a des plaintes et a des gémissements, puisque sa fin n a pas été malheureuse, puisque même il n'est point mort tout a fait, comme Nous le démontrent et les enseignements de sa conduite et la sincérilé de sa foi, et les solides raisons que vous avez si éloquemment exposées. A son tour, S. S. Léon XIII, dans 1'audience accorde'e en Décembre 1900 aux pélerins beiges, disait notamment aux délé- gués de 1 Université de Louvain J'ai suivi tous les progrès de 1 enseignement a 1 Uni versité. Mgr de Ram était recteur quand j'étais nonce je l'ai bien connu. J ai bien connu aussi les professeurs je me suuviens spécialement de M. Malou; j ai contribué plus tard a le faire nommer évêque de Bruges; il a laissé un grand souvenir par ses mérites de sainteté et par la lumière de sa science. Qu'après tous ces nobles etjustes éloges prunoucés par les bouches les plus autorisées du monde entier, les scribes du Progrès donnent l'air quelques fois encore a l'inepte calomnie forgée par eux sur le compte d§ Mgr Malou, ce n'est pas la mémoire de ctt illustre enfant d Ypres qui s'en trouveia amoindrie datis l'csprit de nos concitoyens. AUTOMOBILES F. N. Rochet Schneider beige, de Dion Bouton. Représentant pour la Fiandro Occ. E. Christiaen, auto-garage pu Littoral a Ostende. L'utilité et l'avantage de la lecture des jour- naux, dans une société civilisóe, a été souvent démontré aussi tout le monde doit en être con vaincu a présent. Mr. Frangois Herregods, domiciliéA Nederbrakel, a pu se convaincre par lui même qu'il est utile de lire les journaux. Voici ce que nous dit ce Monsieur J'ai souf- fert pendant trois ans d'une grave maladie de la poitrine, qui me dérangeait beaucoup. Les glai- res tenaient comme un mur, pas moyen deles faire céder. J'étais toujours angoissé. Le moin. Pour guérir la TOUX, le SIROP PECTORAL DEPRATFRE est sans rival. Lui seul guérie sans danger, tandis que d'autres remèdes inconnus nrisent au coeur et a lestoma lonst'pei t u brülent les extrémités capfi. la; res des branches, le Sirop Depratere ae itnferme aucun narcotique et peut être prs même par les enfants dont il guérit même 1, coquluche en 8 jours. l'iix 2 lr. la grande bouteille chez rinventuer Od. 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J'avais quitté tout espoir de me guérir jamais, lorsqueje lus dans le journal une annonceduSirop de l'Abbaye du Couvert Sancta Paulo. J'avais déja entendu faire, d'autre part, l'éloge de ce remède. J'ache- tai un flacon de 2 fr. a la pharmacie de Beer, a Nederbrakel Après l'emploi des trois premières cuillerées, je ressentis un soulagement les glaires se détachèrent sans peine. Je continual k me traiter avec le Sirop de l'Abbaye j'ai em ployé 4 bouteilles, et je suis radicalement guéri. Mon appétit et mon sommeil qui laissaient abso- lumenta désirer, sont revenus, et je travaille tout la journée sans être encore dórangé le moins du monde. Le Sirop de l'Abbaye est un remède sérieux qui mérite d'etre recommandé. Attention I procurez vous le même Sirop de l'Abbaye, que celui employé par Mr Herregods; celui seul guérit et se reconnait a la bande rou geautourdede la bouteille et portant la signa ture de l'agent général, L. J. Akker, Rotterdam. 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Malheureusemeut, je n'y étais pas parvenue et j'allais toujours en m'affaibiissant davantage. J'avais trés mauvaise mine, j'étais excessivement faible.je ne maugeais presque plus t ne savais que devenir. Ai rès avoir lu dans mon journal plusieurs certiflcats de guérisons obtenues grace aux pilules Pink, j'ai voulu faire essai de ces pilules dont on parle tant. Je les ai done prises et de suite elles m'ont fait beaucoup de bien.Maintenant, j'ai retrouve une excellente santé, je suis forte et méconnais- sable Toute anémique doit essayer les pilules Pink, même s'il est découragé paree que les autres remèdes n'ont pas donné de résultats.Los pilules Pink donnent des résultats alors que les autres médicaments ont échoué. Sous l'infiuenoe puissante des pilules Pink, 6 sang circula dans les veines plus abondanL p ns généreux, il porte dans tous les cöins de l'orga- nisme ia force. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1907 | | pagina 2