VOYAGtUR
I
I
f
GRAINS de VALS
H
Au Volkshuis
iavidsfohds
Manifestation Yproise
Chronique Locale
Saint Hubert et Pasteur
Huwelijksafkondigingen
Bonne nuii
Guérit tou! Certes' la Piluledu Dr
OCCAMO^S
Ar bus les d' Ornement
CONSTIPATION
Allez-vous souffrir
tout l'hiver
de vos rhumatismes
Commencez a les guérir
aujourd'hai avec
les Pilules Pink
Un entretien avec le messager
de Nijlen
urilIVirnD offregratuitement
;i1 iii'üili}!'■■Uil de faire connaitre
èt Gus ceux qui sont atteints
d'une maladie de la peau dar
tres, eczémas, boutons, déman-
geaisons, bronchitss chroni
ques, maladies de la poitrina, de
Festomac et de la vessie, et de
rhumatismes, un moyen infail-
iible de se guérir promptement,
ainsi qu'il l'a été radicalement
1 ui-même, après avoir souffert et
essayé en vain, de tous les remè
des préconisés. Cette offre, doet
onapprécieraiebut humanitaire,
est la conséquence d'un vceu.
Lei Syllabus annon^aut et réaumant cette
quatrième conférence seront encore uue fois
'-■mis a douQicile,ctiez Messieurs lei Abonnés
aux coaférences d'apoiogétique.
i5 Décembre igoy
Laaalle du Volkshuis toute spacieuse
qu'elle est, et si parfaitement améuagée
depuis qu'en y a placé dea gradins, est
devenue trop petite. Nous n'exagérons pas
en disantque dimanche dernier, le monde
a été obligé de s'y entasser.
lia société dramatique Willen is kun
nen a présenté cette fois deux comédie»
flamande8 Les nihilistes et le Jeune
dragon
iivSi la.drame s'adresae plus au cceur quil
emotionne par des sentiments plus éleves.
s'il donne A admirer quelque beau et grand
caractère, la comédie plait davantage la
foule. Toutefois le succès de la sociéte
Willen is kunnen va grandissant.
1 Cette vogue pour les representations
ilonnées au Volkshuis est móritée. Les
«cteurs formés 4 l'école de M. Godefroid
De Jaegher affirmeat de plus en plus toutes
leurs qualités et le» variétés de leur talent.
Noas connaissons de longue date, nous
admirons et applaudissons, depuis des
annóes, Jos. Casier, Tiet. Cuvelie, Gust.
Delahaye, Gust. Flamey, auxquels est
venu n'ajouter un maitre-acteur comme M.
Ch. Bostyn, qui a si délicieusement rendu
le röle de Kuike, agent de police dont la
clairvoyance et le tact n'égatent pas le zèle
inconsidéré qu'il met 4 trouver partout dö»
Nihilistes puis Arthur Burggraeve, J.
Riem et plusieurs autres.
Le charmant petit Dobbelaere, qu on
croirait né pour la scène, tant sa diction et
ion jeu de physionomie sont naturels et
expressifs a fait merveille. 11 faut ajouter
que Joliquet, c'était son nom, qui
jouait le röle prinicpal de la pièce traigco-
eomique Le jeune dragon chante a la
perfection. XJn beau talent. Mais si précoca
que ce serait dommage de ne pas ménagei
-Son Age et ses forces.
Une séance, a tous points, réussie, qui a
vivement intéressé et admirablement amuse
le public.
M. Louis Kindt, le vaillant représentant
de l'importante firme Froidure-Dumortier,
prend la parole au aom des commis
voyageurs. Vrai tribun, il prononce un
discours flamand sensationnel, évoquant la
gloire commerciale de notre cité au moyen-
4ge et faisant appel aux riches Yprois pour
rétablir en notre ville 1 industrie qui de vrai t
nourrir nos families ouvrières obligées de
gagner ail leurs le pain quotidien. Dans une
vibrante péroraison il fait acclamer les
dignes Jubilaires au milieu du plus grand
enthousiasme.
A Tissue du banquet le comité conduit
les héros de lafête aux Halles oü avait lieu
uu brillant concert douné par l'Harmonie
Communale. Ces jubilaires y ont été accla-
més aux sons de la Brabancoane et de Fair
traditionnel Yprois, et congratulés par M.
le Bourgmestre, depute, Colaert.
Le Journal d Ypres présente a son tour
ses cordiales felicitations a MM. F. Angloo
et C. Bagein et leur souhaite encore longue
vie et prospérité au milieu de leurs conci-
toyens.
Ne faut ils pas regretter que le pouvoir
pourtant si prodige de décorations, n'ait pas
une distinction a offrir 4 des hommes
méritants qui pendant une période de
cinquante aunées ont mieux que beaucoup
d'aulres contribué dans la dure lutte pour
la vie a la richesse et la prospérité de la
nation.
La section Yproise du Davidstonds offre a
ies amis une soirée musicale et littéraire a
la salie des fètes du Collége épiscopat
d'Ypres luudi 23 décembre 1907 a 8 1/4 h.
du soir. Après uue déclamation patriotique,
une valse eutrainante puur vioion et
piano, un chaut de saison, ou entendra une
conférence-programme pour Flamands que
veut bien venir douner M. le docteur R.
Speleers, oculiste a Gand.
Nos voyageurs de commerce Yprois
étaient en liesse Dimanche dernier al'occasion
du cinquantenaire prolessionnel de deux de
leurs confrères MM. Francois Angloo et
Cyrille Bagein.
Un comité compose de MM. Arthur
Stoffel, président, Prosper Craye, vice-
président, Tirmin Nouwynck, secrétaire
Atmé Gruwez, trésorier Richard Mahteu et
RoDert Morfion, commissairé's;avait organise
une touchante manifestation de sympathie a
laquelle cent dix sept chevaliers de la mar-
motte ont participé.
A i heure de relevée, pendant que le
Carillon aux sons joyeux de 1 air d'Ypres
annonce du haut du beffrot l'heureux événe
ment local, la reception solennelie des
jubilaires a lieu au theatre communal, splcn-
didement orné et gracieusesaent offert par
1 administration communale.
M. C. Bagein est seul présent. M. F.
Angloo, indisposé, s'étant fait remplacer par
M. Nestor Angloo, son üis.
Au nom de l'assemblée, M. Stoffel félicite
chaleureusement les jubilaires et leur ollre
en souvenir de cette manifestation leur
portrait parfaitement réussi daus un beau
cadre ariistique.
Les héros de la fête, longuement acclamés,
remercient, après quoi Ion se réunit en un
banquet, préparé par les soins de M. Poot-
Casier.
Agapes toutes fraternelles agrementees
d'une partie musicale et littéraire qui donne
la note gaie et cordiale.
A l'heure des toasts, M. le secrétaire
Nouwynck boit aux jubilaires, et dans une
improvisation brillante et humoristique il
retrace leur vie toute d'activité et de lutte
devenus de commis-voyageues des patrons-
voyageurs honorables et universellement
estimés.
Sur la proposition de M.Robert Froidure,
une petition signée par tous les participants
est envoyée au ministre des chemins de fer,
demandant une rneilleure réglementation de j
l'horaire de la ligne Hazebrouck-Ypres-
Bruxelles.
Voila un bon point pour les convives qui
en hommes pratiques savent joindre Futile a
l'agréable. Espérons que ce voeu appuyé par
■os députés se réalisera sans retard.
Embrassons nous, Folleville C'est l'iii-
vitation que nous adresse gentiment le
coriespondant neuve-églisois du Progrès
A la boune heure 1 Voila au moins un
contradicteur qui a du chie.
Un duelliste correct, quand il se sent
atfceint par lepée de son adversaire, lui crie,
touché et lui tend la main avec un
sourire.
Celui que nous avons tarabustó uu tantinet
oh 1 nen que pour lui rendre ia monnaie
de sa pièce le puriste que nos typos out
bombatdé juriste, n« se fache pas pour si
peu, et plutöt que de rire jaune on vert
comme ses confrères, plutöt que de se mettre
en oolère surt'out, il rit de bon cceur et
répond par un appel a i'embrassade...
C'est aussi habile que ehevaleresquo.
Mais la ltqon est un pen dure tout de
même pour ses confrères de redaction.
Fóurvu quits ne la prenuent pas de
mauvaise part I Dans i'état d'espnt oü tls
sont, il n y aurait rien d'étonnant.
Cest ég d, une rupture de bons rapports
a propos de coquilles, ca ferait un diguo
pendant a la fameuse rupture de fiauqailles
de iVl'le de la Virgule avec Mr du Tréma.
C'est le moment de la rappeler.
Monsieur, dit un jour Mell# de la Virgule
a M. du Tréma, avaut de vous epouser, j ai
voulu prendre des reuseignemeuts sur votre
conduite, etjai aporis aiors que voua étiez
en relations avec une Mademoiselle Oédihe 1
Mes parents sont indignés autaut que moi
veuii.ez done reuoncer au trait d'uuion et a
toute parantaèse.
Monsieur du Tréma, piqué par se3 paro
les, prouoncées d'uu accent ajgu, répond
d'une accent grave
Mademoiselle
Assez, Monsieur poiut d'exclamation,
car je ue subtrai poiut d'interrogation...
Lepauvre du Tréma, sousle coup dune
telle apostrophe, couroa la tête en manière
d acceut circonflexe et sortit en serrant les
deux poings, taudisque Me"e Cédille, vou-
lant accentuer encore davantage que la
séparation s'imposait et que toute nouvelle
proposition de conjonction serait repoussée,
se paye cette dernière interjection
Fi done 1 que je participe jamais a
pareil abaissement de mon nom 1 L'amour 1
on ne badine pas avec cet article la.
Les nombreux cas de rage signalés depuis
quelque temps au centre du pays ramènent
Tattention sur les précautions a prendre et
les remèdes a appiiquer.
Une seuie précaution semble efficace et
elle est aux mains des pouvoirs publics
c'est le port obligatoire de la muselière pour
tous les chiens mdistiuctement, aussttot
qu'un cas de rage canine est signalé dans la
région. Comme nos édile» n'out pas l'habi-
tude de manquer de próvoyance et de zèle
pour proteger, autaut qui! dépend deux,
nos vies et nos santés.nous pouvons négiiger
ie cbapitre des précautions.
Mais la meilleure vigilance peut être
trompée, et elle ne lest que trop souvent
par le perfide microbe de la rage.
11 est bon, dés lors, de rappaler, de temps
en temps au public, comment il faut s'y
prendre pour conjurer les terribles effets de
la maladie.
Aussi bien le Trogrès vient-il de nous y
inviter enbavant a nouveau sa salive enragée
sur un saint que son corre»pondant vénérait
naguère et dont il se serait empressé d'im-
piorer le secours, si un chien euragé était
verm a le mordre a l'époque, relativenaent
récente, oü l'institut antirabique de Saint
Hubert était le siul de son espèce, et brillait
au premier rang des institutions charitables
qui sont la gloire séculaire de FEglise k
l'époque ou les savants chrétiens, Pasteur en
tête, priaient Dieu, par Finterventioa de S.
Hubert et des autres saints, de bènir leurs
recherches scientifiques et de faire progres-
•ser toujours davantage la science appliquée
a S. Hubert et dans les höpitaux en général.
Nous passons sur Fharésie" scientiüque
que commet le scientiste du Trogrès lors-
qu'il professe que, pour pouvoir être attaint
de la rage, il faut, au préalable, avoir été
inordu ou avoir mordu soi même Notons
seulement que toute la RédactionduiVogrès
contresigne expressément cette énormité
Et c'est tout en se montrant a ce point en
retard sur la science moderne que son scien
tiste se flatte de nous mettre dansl'embarras
en nous demandant si, en cas de rage, nous
nous adresserions a Saint Hubert ou bien a
1 institut Pasteur pour obtenir la guérison
Mais appreuez done, cher étourdi, que
nous sommes assez catholiques pour croire
sans réserve et I Evangile et recueillir av:de*
ment les enseignements et les conseils du
Verbe divin, de Celui qui guérissait les
maiades ec res-iuscitatt les rnorts par la
vertu du Trés Haut.
C est Lui qui disaittu ue tenteras point
ie Seigneur ton Dieu continuant ainsi
cette maxime Aide toi, le Ciel t'aidera
i Car c est Lui aussi qui pour récompenser la
i foidu centurion, guérit son serviteur mala-
j de et tui du Ya, et qu'ii te soit lait selon
j que tu as cru se plaisant en même temps
I 4 céiébrer cette foi devant la loule Eu
vérité, je vous le dis, je n'ai pas trouvé une
si grande loi daas Israël.
Et voila pourquoi nous vous informons
i scientiste, que mordus par uu animal
euragé ou même par vous, nous irions saus
j retaid nous taire soigner dans quelque
j institut Pasteur plutöt qu'a Saint Hubert
maïs, mieux in piré que vous, nous ne le
lenons pas sans commencer par prendre
notre recours a S. Hubert et sans demanuer
a Dieu, par i intervention do son grand
saint, de béuir le nouveau traitement, tout
comme jadia,nvant iu découve. to de Pasteur,
on Lui demandait de bénir le traitement
basé sur la cauterisation.
Cai nous savons que la science humaine
est iailnble daus ses applications plus encore
que dans ses tüéories que la vaccination,
pour être ie traitement spécifique, n'en a
pas moins enregistré déja d iunombrables
mécomptes nes mécomptes luiputables,
sans duute, plus souvent aux maiades quau
méueciu ou au traitement, mats des me-
comptes qui subsisieront iouj .urs, an grand
desespoir nes mecréauts. Le cürótien y von
le doigi de Dieupartois toujours le champ
if action reservé a aa toute puissance.
C est pourquoi, s'ii nous arnvait de voir
un raiuque sc uisposer a panir pour Saint
uubeit avant davoir subi le traitement
pastorien.uous n iiésitenons pas a le biamer,
quoique sous certaines réserves, avec la
memo franchise qu y metl Egiise,dépositaire
de ia F oi du Maitre delavieetde la mort,
loisqu elle dit de Certains actes de ceux la
uieme qu eile a mis sur ses autels potiüs
admiranda quam imitanda.
Limuiortel Pasteur lui même ne pensait
pas autrement, lui qui,savant consciencieux
entry tous, se piut toujours a mettre le
suruaturel et le monde ex4 érimeutal a leur
place respective mais aussi 4 les affirmer
tous deux avee la méuue conviction, et qui,
parlantpar exempie du Positivi me, s'expri-
mait comme suit
La grande et visible lacuae du système
consiste en co que, dans la conception posi
tive c est a dire scientitique du monde, il ne
tient pas compte de la plus importante des
notions positives, celie delTutmi.Au del4 de
cette voüte étoilée qu'y a t il Do nouveaux
cieux étoiiés. Soit 1 Et au dela L esprit
humam, pousse' par une force invincible, ne
cessera jamais de se demander Qu y a t il
au deiü 11 ne sert de rien do répoudre
au dela sont des espaces, des temps ou des
grandeuxs sans limites.Nul ne cousprend ees
paroles- (Jelui qui proclame 1 existence de
1 ïntini,. et personne ne peut y échapper,
accumule dans cette affirmation plus de
surnaturei qu'il n'y en a dans tous les
miracles de toutes les religionscar la
notiooi de Finhni a ce double caractère de
s imposer et d'être iucompréheusible. Quand
cett.e notion s'empare de l'entendement, il
n y a qu a se prosternar.Encore,» ce moment
de poignantos angoisses, il faut demander
g race a sa raison tous les ressorts dela
vie iutellectuelle menacent de se détendre
cm se sent prés d'être saisi par la sublime
folie de Pascal. Cette notion positive et
primordiale, is positivisme 1 écarté gi atui-
tement, elle et toutes ses consequences,dans
la vie des sociétés. La notion de l'infini dans
le monde, j'en vois partout linévitable
expression. Par elle, ie surnaturei est au
fond de tous les cceurs. L'itlée de Disu est
une forme de Tidée de l'infini. Tant qua le
my stère de l'infini pèsera sur la pensée
liuinaine, des temples seront élevés au culte
de l'infini. Et sur la dalle de ces temples,
voi is verrez des hommes agenouillés, pros
ter nés, abimés dans la pensée de l'infini...
J'ai beaucoup étudié, c'est pourquoi j'ai
gardé la foi du Bretonsi j'avais étudié
davantage, j aurais la foi de la Bretonne.
Jules Géning, luitenant bij het derde linie
regiment te Yper en Elisa Witkin z. b. te
Gent, voorg. te Kortrijk.
Nestor Vermeersch, vuurstoker te Roux-
voorgd. te Yper en Anna Monsieur,huishou,
ster te Roux.
Oscar Deschuyteneer, mijnwerker te
Edingen en Elene Ücvos, kanten werkster te
Yper.
Puu
p i -s r o 'u s
nuiis 11 voulucr K
matin gai et dispos, suns tousser m êire
oppressé, sucez i ou i Pastilles PectoraLs
Walthéry, en vous couchanr. i fr. purtour.
BURGERSTAND VaN YPER
van dm tot 13 den 20 nc. 1007
Giibourlcii
Moniez Anlonia, Di Haernestraat.
Lajorte Margareta, Kailvaart.
Uepuydt Hector, Kaaistraat.
Versmissen Joanne, Eigen Heerdstraat.
Scherlynclc Simonna, de Steursstraat,
Taets Gaston, Veurnesteenweg.
Sterigevallen
Waelkens Ferdinand, 82 j. daglooner, ecbtgt,
Baillieul Maria, Beluikstraat.
Banckaert Gustaaf, 30 j. handelaar, eehtg.,
Stragier Eugenia, Kalfvaart.
Dewaele Jan, 70 j uurwerkmaker, ongeh.,
Boomgaardstraat.
Bosstyu Amelia, 81 j Wwe Desodt Desideer
en Borry Petrus, Zonnebekesteenweg.
Hoet Jooris il d. Kortnjkstraat.
Coppens Maria, 3 j. Patteelstraat,
Morel uermaua, 9 m. Paradijsstraat.
Volke Karei, 25 j. z.b, ongeh. L. Thouroutstr.
Santy Oeraard, 1 j. Zo nebeke steenweg.
Verhille Isidoor, 25 j. aardewerker,ongehuwd
Zonnebeke stee weg.
Moermangieter, 89 j. orgelist, wdr Maerten
Molanie, Elverdinghestraat
Allaert Adolf, 7! j. z.b. ong li. I,. Thouroutstr.
Bols Jan, 44 j. hoc fd betvak er der staatswel-
(ladigheidsclkol, ecbtgt Rosart Celine, Meenen-
steenweg.
Tant que le poison
du rhumatisme n'aura
pas été classé de votre
sang, il suffira d'une
journée humide pour
réveiller vos douleurs.
Les pilules Pink ont
une action directe sur
le sang. Elles y atta-
quent le mal. Elles
ont guéri toutes les
formes de rhumatisme.
sstf «fr Elles ont guéri des
S rhumatismes qui pas-
saient pour chroniques.
Guérison
Je soussigné Flamand E., habitant rue Jen-
nart 4 Molenbeek, déclare avoir /ait usage des
pilules Pink contre les rhumatismes, et m'en
être trés bien trouvé».
Elles sont en ventedans toutes les pharmacies
et au dépot: Pharmacia Derneville, 66, Boule
vard de Waterloo. Bruxelles 3.50 fr. la boite,
17.50. les 6 boites, franco.
Dépót a Ypres, pharmacie C LIBOTTE a
Poperinghn, pharmacie MONTEYNE.
mission, est demandé.Prendre adresse au bureau
du Journal.
pouvant s'adjoin-
dre article 4 com-
Pour guérir la T0UX, le SIR0P PECTORAL
DEPRATFRE est sans rival. Lui seul guérie
sans danger, tandis que d'autres remèdes
inconnus nrisent au coeur et a lestoma
tonst'pe t'U brülent les extrémités capil-
la: res des branches, le Sirop Depratere ne
itnierme aucun narcotique et peut être prs
même pat les enfants dont il guérir même la
coqiiluche en 8 jours.
Pi ix 2 lr. la grande bouteille chez
l'inventuer Od. Depratere, pharmacien,
Ostende, qui envoit en province contre bon
poste de 2.bo fr. (o.5o en plus pour 6 post) et
a Ypres, pharmacie Socquet, Libotte, Donck
et Aeitsens; Poperinghe, pbarm. Monteyne,
Gommes, Van Windekens Menin, Sioen et
Rotiers Warneton, Vander Marlière;Cour-
liai, Hulpiau et De Boey Roulers, Veys
Dixmude, Ghyssaert; Iseghem, Grand'Place
Rodenbach.
uueiii iuui. Wakhéryne guérit pas
tous les maux mais grace a son action sur
les glaires et les vices du sang, elle est
toujours salutaire. i fr. partout.
Le messager de Nijlen a Lierre, Remaysen a
la réputatiou d'être un komme trés roud. Comme
nousle voyions, il était occupé a atteler soa
énorme eheval devant la charrette, dans uno
petite cour inté ieur Ses poules trottaient
autour de lui notre reporter l'observa pendant
quelques instants. Vraiment, il rusounait avec
son cheva!
Mon vieux, attention aujourd'iiui Kous inau-
gurons le nouveau ti et e dit e los moueü a 0[
les nouv il.-s c och bes Un petit peu en »rriè.
re.tie vojk.z vous don pas que, vous aliezecrasér
le etiat Nous prendrons avec nous du foiu
quaiitné, mais alois il laut marcher bom rue il
fan
EbTi°>mne,r I
A la fin de cette conversation les qprtes Ai rent
ou vertes, et Remaysen, un honime comma un
géant, sortit. armé de son fouet 4 manch -
jonc, et mit son clieval a la ruo. Le filet rmiv
fut secoué, les cioohèttes tinïèrenC les deux
roues massives de la charrette s'ébranlörent
Remaysen en b'eu, et le eheval, en rouge, So
mesurérent au pas. N'ous l'avons accompagnó
pendant un certain temps. 11 nous a, par son
entretien, bien abrégó la route de N'ijlon a Liar,
re. Nous avons retenu de notre conversation ca
qui suitDepuis que je suis massager j'ai vu a
Nijlen, a Kessel et a Lierre pas mal de pirson-
nes guéries par l'emploi du célóbre Sirop de
l'Abbaye du Couvent Saneta Paulo. L'une souk
frait de maladie de poitrin?, une autre était
atteinte de l'asthme, une troisième de broochite
d autres de phtisie ou d'alTections pulmonaircs'
Plus d'une fois j'ai rapporto des boutoilles de
Sirop de 1 Abbaye pour des personnes qui
avaient essayó lous les iemêdes et tous leg
traitements, et ne pouvaient se guérir. Mais le
Sirop de I' Abbaye leur rendit la santé. J'ai tou
jours entendu fairo le plus grand óloge du Strop
de l'Abbaye je consoille a tous les maiades de
la poitrine ou dos poumons, toux asthmatiq i^s
ce remöde béni, parce que j'ai la conviction
qu lis y trouveront la guérison, anssi bien que
cles c^ntaines do pGivoniiPS avant eux.
Finalement, le messager Remaysen nous co :-
iia que sa lemme aussi s'était dóbarrassée d'un
asthme violent par l'emploi du Sirop de l'Ab
baye.
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