Extrait AVIS EN 20fW\J0URS CHRÖNIQUE TPM18E loSCQS! Encore 1908 L'ApoIogétique Catholique Pensées du jour La Fêle Nos SOCiöS adversaires qu'ils soient, socialistes, libé- raux etcatholiques. tous enfin, sontd'accord pour reconnaitre que la Pilule antiglaireuse Walthéry est un purgatif sans égal. 1 franc partout. Acles officiels Enfin libre par Ed. Froidure. RAD,CALE rAnémie hr WllXto de S^-lfiMClMT Idem 1 LV FOLIE D'ATTLlN RE D'tin exploit d'ajournement signifié par le ministère de l'huissier Noliet, a Ypres, en date du trente décembre 1907. enregistré. Il apperi que Sidonie DEHVE\UX épouse E imonif CNEUDT, admise au bénéticr- de la procédure gratuite par jiigement du tribunal de preui ère instance d'Ypres, en date du 23 octo- i'ie 1907, domiciliée aveeson époux a Wervicq, a for mé contre son dit époux une instance en separation de eiens. Elle a coustitué en cette cause .\i(' hi! min Lebbe, comme avnué. FïrmÏn Lebbe, Avocat. Le Conmissionnairc Bruxellois GERBE A L'IMMACULÉE antiglaireuse iWahhéry, 1 fr partout BUÉR IS ON \m^W DE Tillage natal. "Nul doute, dès lors, que ce «oit offrir a la Vierge de Lourdes un hom mage doublement agréable que d'associer a •on: Nom béni.jceluijdu jubilaire de Rome qui depuis sa plus) tendre enfance ne!cessa de manifester un zèle ardent pour la gloire de la Mère de Dieu. Bénie soit l'Immaculée Conception 1 Et Vive Pie X Après i83o, aucune autre année ne bril- lera, sans doute, d'ici longtemps, d un éclat comparable dans les fastes de la Belgique. i83o fut marqué:par l'affraachissement du joug étianger. 1908 le sera par l'abandon du maillot de bébé qui nous étouffe et entrave notre libre essor. Rien de gentil comme la romance Enfant, reste toujours petit I chante'e par une jolie compatriote, sur un air de Massenet. Rien qui traduise mieux le sentiment dominant de l'enfant de toute race mais du Beige surtout, que)les)paroles de l'hymne de Grétry Waar kunnen wij toch beter \ijn als in ons moeders keuken Mais, malgré toutes les romances, l'enfant grandit toujours et la cuisine maternelle, a son tour, devientlbientöt si étroite que ses occupants finissent par préférer quand même l'air du dehors, fut-il torride ou glacé'. L'hymne del l'expansion [[succède fatale- ment aux doux refrains du foyer. La nation a beau, dans son ensemble, garder jalouse- ment son humeur casanière, elle n'en subit pas moins, a son) heuré,|la)loi inéluctable de l'expansion. Quand ce n'est pas la colonisa tion concertée,Tfacilitée et lécondéei par l'application de la belle devise beige L'Union fait la force c'est Immigration a la débandade, avec ses aléas et ses misères. Puur le bon sens flamand, pour l'esprit pratique)[de Beige, l'hésitation n'e'tait pas possible. Entre les deux systèmes notre choix est fait depuis longtemps. Mais nous n'avons pas voulu faire un saut dans l'incon- nu. Pour notre expansion coloniale aussi bien que pour revolution de nos institutions, pour l'extension du [droit de suffrage, etc., nous entendons procéder avec prudence. Chi va piano va sana et chi va sano va lontano. Voici de longues [années que nous pou- vions,'grace a la prévoyance de notre Roi, nous payerïce luxe d'une colonie qui consti- tue le souci dominant de tous les peuples. Nous ne Tavons' pas [voulu paree que nous n'avions pas nos apaisements a tous égards. Maintenant que nous sommes fïxés, nous n'avions plus de raisons pour prolonger l'expectative. L'heure a sonné, heureuse autant que glorieuse, ou tout en assurant[nos destinées temporelies, nous pouvons etdevons entamer résolument notre mission providentielle et réaliser, comme nation, la pensée de Léon XIII que nous citons[dans nos Pensees du jour. Dans ces conditions,'Tan [1908 sera'plus que tout autre pour notre Patrie un an de grace et de bénédiction. II y a deux manières d'aborder la religion, comme il y a deux manières de faire un dessin. Dessineriez vous Et mêmeje peins... Alors je continue cette comparaison, vous la comprendrez. Quand [vous dessinez un paysage, vous pouvez commencer par les détails, faire les feuilles des branches, les branches elles- mêmes, puis les gros rameaux... Mauvaise manière I Ce sera long, vous serez arrêlé a chaque instant, et jamais vous n'arriverez a l'effet cherché. Est-ce vrai t Tout-a-fait. Deuxième manière: Vous fixez d'abord les lignes essentielies du paysage; vous faites les masses et vous n'inscrivez ensuite les details que si vous avez le temps. Excellente manière. Pour la religion, c'est absolument pareil. Vous pouvez l'aborder par les petits cötés, par les détails, les dévotions person- nelles, les objections particulières. Mauvaise manière I Vous n'arriverez jamais et ce sera une fourmilière de points d'interrogation. Mais,si vous prenez la religion par ses lignes essentielies, vous êtes immédiatement frappé de son imposante grandeur, de la logique, de l'enchainement de ses déductions le reste, ensuite, s'inscrit presque tout seul. Qu'appelez.vous lignes essentielies Voili. je précise Dieupremière vérité évidente... Je trouverais ce cure-dent au milieu du désert, je dirais un homme et probablement un homme civilisé a passé par la. Or je vois partout des merveilles d'intel- ligence dans la nature... Je dis un être intelligent a passé par la. Deuxième vérité évidente j'ai une ame. Si je n'avais pas d'ame, il n'y aurait que le orps, Le corps change physiquement touteg les six semaines, et je sens bien qu'il y a en moi quelqu'un qui reste immobile sous la mobilité des accidents. Je' constate que je suis la même personne qu'il y a dix... vingt. trente ans... que je dois tenir les engage ments pris alors... que je suis responsable du bien et du mal que j'ai fait. Si je n'avais pas dame, alors le plus gros garcon boucher, celui qui aura le sang le plus rouge,les biceps les plus proéminents, le cerveau le plus lourd, serait le roi de la société Lame, mais je la touchejdu doigt au lit de mort de aaes malades... quand le corps n'est plus qu'une vieille machine usée... Quand les poumons sont des soufflets crevés c'est a ces moments la que souvent de malheureux agonisants ont les plus belles pensées qu'ils font les sacrifices les plus héro'iques que voyant la mort dans toute son immédiate horreur, ils l'acceptent, lui tendent les bras, et au lieu d'avaler, en révoltés, le calice d'amertume,ils le savourent avec résignation, les yeux fixés sur le crucifixJe vous emmènerai un jour, si vous le voulez, chez le pauvre tailleur de pierre que je visite. Son ème Vous Ia verrez dans ses yeux, vous l'entendrez dans ses paroles; elle frolera peut-être la vótre, comme elle a souvent touché la mienne Troisième vérité [évidente Entre Dieu et l'ame,ilya des rapports.Quand un véritable artiste a produit une belle oeuvre, il ne s'en désintéresse pas, et pourtant la statue est une chose inerte Dieu a fait l'homme vivant et intelligent ;|il le suit.Ces[rapports s'appel- lent la Religion. Quatrième vérité évidenteToutes les religions qui prétendent être la Religion ne peuvent pas être ivraies) ensemble, car elles sont contradictoires l'une de 1 autre. Deux et deux font quatre ou cinq mais['pas quatre et cinq en même temps. Or, le christiamsme dit Pardonne a celui qui t'a fait du mal Le Juifrépond oeil pour ceil Evidem- ment il y a quelqu'un qui se trompe. Mais, en mettant les religions les unes a cóté des autres, le christianisme les dépasse: toutes par la logique de ses dogmes et la beauté superéminente de son idéal. Sur ce point-la, le doute me parait finalement impossible pour une intelligence droite et un coeur pur. Si la religion catholique est la meillcure, si elle est la plus belle, elle est aussi la vraie. Done je l'embrasse et je la garde, car il m'en faut une, Elle a des mystères Mais ici bas, tout est mystère. La[beauté de la fleur la force du grain de blé la vie la mort grands mystères que tout cela. Mon pauvre cerveau pourrait-il contenir l'intelligence divine Voici les déductions qui peuvent conduire un homme a la foi.... laquelle, remarquez-le bien, reste un acte surnaturel. C'est-a-dire que, a la fin, il faut toujours se mettre a genoux et redire l'admirabfe prière de l'évangile Je crois, Seigneur, mais aidez mon incrédulité. La foi, c'est done la rencontre de deux bonnes volontés, deux rayons se cherchant dans l'intervalle qui sépare le fini de l'infini... la bonne volonté de Dieu combien eb[toujours bonne cherchant la bonne volonté de l'homme. Ai je été clair Absolument,répond Gilles sans hésiter. Avez-vous compris. Jc le crois. Et pourtant vous n'êtes pas convain- cu Gilles eut alors un sourire évasif qui ne paraissait être, ^ns la circonstance,[que la defense de sa liberté. J ai souvent remarquéj cela, continue 1 abbé Bourgeois on ne sort pas de la reli gion et on nyrevientpas par le raisonne- ment.Tenez, un peintre[de mes amis a résisté a tous les arguments. Un jour, sa fille, en vi légiature ici, tomba gravement malade mon pauvre ami, fou de douleur, courut avec sa femme se jeter devant un calva.re venere et situé en pleine forêt de Sainte 1 a egon e. Quand il revint, l'enfant allait un peu mieux et elle' guérit quelques'jours i apres. Absolument, cela, pour nous, ne i prouvait pas grand'ehose. Pour lui, ce fut autrement. Aujourd'hui, eet artiste commu nie tous les mois et peint a fresque une chapelle de Sceurs. Pierre l'ERMITE bien 0 superbe, petit dieu, voici le grand Dieu vivant qui s abaisse pour te con on re L homme se fait dieu par l'orgueil, et Dieu se fait homme par condescendence. BOSSUET. Ce qui nous empêche d'aller au souverain bien, c est 1 illusion des biens apparents, eest la folie et ridicule créance que tout le bonheur de la vie consiste dans ces biens extérieurs que n0us[nommons les[honneurs, les richesseset les plaisirs. C'est pourquoi le Fils de Dieu semble n être^venu sur la terre que pour fouler aux pieds toute cette vaine pompe et braver, pour ainsi dire, par la pauvreté de sa crèche, notre faste ridicule et nos vanités extravagantes II prend tout ce que les hommes évitent, tout ce qu'ils craignent, tout ce qu'ils méprisent, tout ce qui fait horreur a leurs sens, pour faire voir combien les grandeurs du siècle lui semblent vaines et imaginaires. Les Juifs espèrent encore le Messie qui les combiera de pros- pérités sur la terre. Ah 1 combien de Juifs parmi nous! Combien de chrétiens voudraient un Sauveur qui les enrichit, qui contentêt leur embition, ou qui voulüt flatter notre délicatesse Ce n'est pas la notre Jésus Christ. II me faut un Sauveur qui fasse honte aux superbes, qui fasse peur aux délicats de la terre, que le monde ne puisse compren- dre, qui ne puisse êtreconnu que des hum bles du cceur. II me faut un Sauveur qui m'apprenne, par son exemple, que tout ce que je vois n est qu'un songe, et qu'il n'y a de grand que de suivre Dieu. Le voila, je l'ai rencoutré, je le reconnais oui, mon Dieu, je vous reconnais a ces signes, vous êtes le libérateur quej'attends toute la beauté. Les solistes. MM.Verstraete, ir' prix du Conservatoire de Bruxelles, Derudder et Dobbelaere, ont été surtout appréciés. II vaut nieux próvenir queguérir, chacunsait 5a. II n'erapêche que beaueoup considèrent com ma négligeable, pas sérieuse, la petite indispO' silion du jour qui, la semaine prochaine, sera devenue maladie. Petits'lmaux deviennent grau des souffrances. Atteudre Quelle folie Pourquoi attendm Attendi e quoil Que vous -oyezjplus malades Dès que vous ne vous seutez pas Dien, au pre mier symptöme de"faiblesse, prenez done des pilules Pink qui donnent du seng et toniflent les nerfs. M. Désiré Janssens, 9, rue Charles-Nieaise, a La Louvière, écrit Faisons les fiers tant que nous voudrons, philosophes et raisonneurs que nous sommes aujourd'hui; mais qui de nous, parmi les agitations du mouvement moderne, ou dans les captivités volontaires de l'étude, dans ses dpres et solitaires poursuites, qui de nous entend sans emotion le bruit de ces belles fêtes chrétienues, la voie touchante des cloches, et comme leur maternel repro- che Qui peut voir, sans leur porter envie, ces fidèles qui sortent aflots del'église, qui reviennent de la table divine rajeunis et renouvelés L'esprit reste ferme," mais l'&me est bien triste. Le croyant de l'avenir, qui neu tient pas moins au passé, pose alors la plume et ferme le livre. II ne peut sempêcher de dire Oh 1 que ne suis-je avec eux, un des leurs, et le plus simple, le moindre de leurs enfants 1 Michelet. Le temps, les jours, mots que la foule ignore Mots profonds qu'elle croit h d'autres mots pareils Quand l'heure, tout a coup, léve sa voix sonore, Combien peu de morielsécoutent ses conseils L homme les use, hélas ces fugitives heures, En folie passion, en iolle volupté, Et croit que Dieu n'a pas fait dechoses meiiieures Que les chants, les banquets, le rire et la beauté. Quand ses projets hitifs run sur l'autre s'écroulent Quand ses illussions meurent son cóté Quand il sent le niveau de ses jours qui s'écoulent, Laisser rapidement comme un torrent d'élé. Alors en chancelant, il s'écrie, il réclame, 11 ditAi-je done hu toute celte liqueur 1 Plus de vin pour ma soif, pms d'amour pour mon ème Qui done vide, k la fois, et ma coupe et mon coeur Mais rien ne lui répond. Et triste, et le front bléme, f e ses débiles mains, de sqji souffle glacé, Vainement il remue, en s'y cherchantjlui-même tas de cendre éteint qu'on nommeje passé V. Hugo. Les arsnées se mangent un'peu'comme les censes [dans Ie/pamerjde lecolier on va dabord aux plus belles, puis viennent les bonnes, puis les moindresenfin on est heureux de celles[dont on_n'avait pas. voulu. Mme SWETCHINE. Ne penser qua soi et au présent, source d'erreur en politique. La BRUYÈRE. Quiconque a rété. gratifié "par la bonté divine d'une plus grande abondance de biens exterieurs, d'avantages physiques, de dons de 1 ame, les a regus dans le but de les faire servir a son propre perfectionnement et, en meme temps, comme ministre de la Provi dence, au soulagement des autres hommes. LÉON xiii. que la section Yproise dela ligue chrétienne ffamande contre le blesphème et Tobscénité a organisée dimanche soir, au Volkshuis a reuni un public nombreux, au premier rang duquel se trouvaient MM. Henri Vander- ghote, conseiller communal, président de la section yproise, Chanoine Detrouwer, curé oyen Colaert, bourgmestre-député.Struye, ancien, sénateur, Brebuyck, président du una e jre instance, Fraeijs, conseiller communal et provincial, plusieurs autres no- ïtes et un grand nombre d'ecclésiasti- ques Après l'exécution de plusieurs Noëls, M. Vanderghote présente M. Ch. Beyaert, e Bruges, le conférencier populaire bien connu. Celui cï, pendant plus d une heure, ans un Iangage entrainant, tout émaillé d anecdotes et de faits, a traité des moeurs, coutumes et vie cbrétiennes comme la vraie et unique solution de la question sociale, ainsi que l'indique si clairement, dans sa celèbre encychque Rerum Novarum,\t Pape Le'on XIII. Le conférencier a été chaude- ment applaudi a plusieurs reprises. L assistance a goüté ensuite un vrai re'gal musical dans l'exécution par un chceur mixte d'hommes et d'enfants, en tout une bonne centaine d'exécutants, de l'Oratorio Cédle de A. Wiltberger. Les choeurs sous la direction de M. Bostyn, ont inter- prete avec finesse, ensemble et un grand art r,oeuvre magistrale, et en ont fait ressortir M. Janssens (Photo, oooreman, La Louvière) «Depuis un an environ, j'ótais malade. Je manquais de_forces, je souffraisjcruellement de névralgies et demaux d'estomac parfois intolé- rables. Je digérais trés péniblement et je n'avais plus de sommeil. J'ai attendu d'abord, je pen sais que tout cela allait disparaitre, que ce n'était la que malaise.- passagers II m'a fallu me soigner. Maiheureusement, les médicaments que j'ai pris ne m'oi t rion fait. J'ai pris les pilules 1 ink eDiin, sur les conseils de plusieurs person nel. Grace h vos bonnes Pilules j'ai été parfaite- meni guéri Les pilules Pink. guérissent l'anémie, la chlo- 1 ose, la faiblesse générale, les maux d'estomac, migraines, névralgies, sciaiique. Elles sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépot, 'lerneville, 66 boulevard de Waterloo, Bruxel les, 3 fr. 50 la boite, .17 fr.50 les 6 boites, franco. Dépót a Ypres, pharmacie G. L1BOTTE k Poperingbe, pliaimacia MONTEYNE. La société nationale des chemins de fer vicinaux estautorisée a établir et a exploiter,k titre de partie intégrante de la ligne vicinale de Roulers-Dixmude-Bixschote, la partie de cette ligne s'étendant sur le territoire de la commune de Langemarck, suivant une mo dification au plan primitif. La fabrique] de l'église de Gheluwe est autorisée a vendre de gré a gré, pour le prix de 8.700 fr., une maison avec jardin située a Gheluwe, sect. C. N° 992 et 993 Su cadastre d une contenance totale de i3 ares 80 cen- tiares. M. Wauters receveur des contributions directes et des accises a Alveringhem est nommé receveur des contributions directes, douanes et accises a Wervicq. Par arrêté royai du 21 Décembre 1907 la démission de M. G. Boucquey, de ses fonctions de juge suppléant a Ia justice de paix du canton de Poperinghe est acceptée. La reconnaissance légale est accordée aux soctétés mutualistes d'assurance contre la mortalité du bétail ci-après dési- gnée» Werkerswelzijn, établie a Zillebeke, Het nieuw Melkkoeitje, établie a Wyt schaete. La médaille civique de classe est décernée a Mr M. Fraipont,receveur commu nal de la ville d'Ypres. Par arrèté royal du »i Décembre 1907, Monsieur Scbramme, procureur du roi prés le tribunal de i« instance d'Ypres est nommé chevalier de Tordre de Léopold. Par arrêté royal du 10 Déeembre 1907 la décoration civique est décernée Le croix de ire classe a M.M" H. Bailleul, et H. D'Hoine, échevins de la commune de de Wytschaete. La médaille de 1" classe a M.M. A. Joye, conseiller communal, et F. Leterme, bourg- mestre de la commune de Wytschaete. Si voulez avoir le corps libre et vous débarrasser de vos malaises, purifiez-vous Pour extrait certifié conforme et véritable, Lectours, si votre respect pour les travailleurs obscurs éiale seulement de moitié celui que leur porta 1 auteur de ces lignes, je vous prierai do regarder avec un intérêt l'bomme dont la plioto- graphie est reproduite ci-de-sus. C'est l'image d'un commissionnaire bruxellois, Mr. Isidore Maes. Je ne connais vraiment une persoune plus active et plus laborieuse qua ce commissionnaire bruxellois. Dans le monde animal ce sont les fourmis qui détiennent le record de 1'activUó. Les commissionnaires bruxellois sont les four mis de la sociétéen génóra], ce sont des gail- lards solides. Et il le faut bien sinon commen pourraient-ils transporter des fardeaux dans une ville aussi accidentée que Bruxelles Mr. Isidore Maes, le commissionnair dont le portrait accompagne eet article.hahite Cbaussée de Gand, 58 Molenbeek iez Bruxelles Ce brave homme' nous a accordé un interview, oü nous trouvons les déclarations suivantes J'avais pris froid, e j'ai souffert longtemps de la poitrine ètdes voies respiratoires. Ma poitrine était bien prise, elle sifilait comme une voiture mal graissée. J'étais nerveux et de mauvais humeur c'était trop que quelqu nn me parlat. Je -ouffrais de froid aux mains el aux pieds. Mes expectorations étaient striées de sang. J'avais par moments des accès d atigoisse, je craignais succomber pendant ces attaques. Unaminae eonseilia le Sir p de l'Ab- baye du Couvent Saucta Paulo, que lui-même avait employé avec succès. Je me procurai ce remède chez le pbarmacien Vergauwen. Bonle- vard Auspach. Après avoir employé 4 bouteilles j ai été radicalement guéri. Je marche et je cours facilement, mes glaires ne contiennent plus de sang, en un mot je suis aussi bien portant que le poisson dansl'eau. Le Sirop de l'Abbay du Couvent Sancta Paulo est un remède béni pour jeunes et vieux, il est toujours inoffsensif, il toDifle les voies respira toires et les poumons, ii guérit infailliblement la toux la plus violente, le Uoid le plus rebelle, 1 asthme, les maux de gorge, la cöqueluche, les glaires, la bronehite, l'influenza et toutes les affections de la poitrine et des poumons. Prix 2, 4 et 7 fr. le flacon. Dépót général L. I. AKKER, Rotterdam. Dépot principal pour la Belgique O de Beul Longue .Rue Neuve 57, Anvers. En vente a YPRES L. Aertsens, pharmaeie Bécuwe, Marchó au eu're7, Pharm. Centrale Ch. May, Grand Place, 35C. Libotte, rue du Verger A. Donck, rue de Lille. POPERINGHE A.Monteyne. Grand'Place, 18 COMINES F. Van Windekens, et dans toutes les bonnes pharma cies. La Banque de Courtrai, succursale d Ypres, a l'honneur d informer Messieurs lesporteurs de lots de la Ville d Anvers Emprunt i88y qu'elle se chargera a dater du II Janvier courant, de l'opération d'échange de ces litres contre des lotsnouveaux du dit emprunt. Komt te verschijnen Prijs 15o fr., verkocht ten profijte van patronagen. Te verkrijgen ten bureele van 't Nieuws blad. corps avocle purgatif idéal, appolé Pilule L» »«ul autorisi sptelalemtnt. JPoar aentfti-acmeots, adranar abaa lat BtEtTRS dela CHARITÉ.105, R. 8t-Domlnlqne^»af*b GUINET, Pbansaclea-Chlmlcte, 1, Paitage Sanlnier, Parte. D(ff. Waéral y la Belgique: CH. DELACRB, Brxixellaa. TOUTES PHARMACIES.Bkochvbe Faiaco.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2