cmomue worn Pensées diverses Emile Olivier Actes officiels La Fête des ois Un Succès f lection d'un S^ehevin Mise au point M1SÜELLAMÉES I La dignité du prêtre Le recul de l'alcool ölc Ennemie dans la Maison Le droit de licence Notre situation financière et éconoiuique II awelijksafkondiging t FS FXcès NE T0USSEZ PLUS PRENEZLES PASTILLES PECTORALES DE KEATING Far arrêtó royal du 9 Decembre 1907, la commission administrative des hospices civils de Poperinghe est autorisée a ahener une inscription nominative du grand-livre du crédit communal 41i p. N. HOol, au c^M nominal du 82.700 francs en vue d'affecter le produit de cette aliénation au payement de frais de succession afferents au legs Berten. M. Louis Biebuyck, président du tribunal de première instauce a Ypres, est nomm membre de la commission administrative de l lnstitution royale de Messiues, pour un nouveau terme de sept années, qui expirera le 31 Décember 1914. Un joyeux et fraternel souper a réuni Lundi soir dans le local de la rue de Menin un grand nombre de membres du Cercle Catholique. Les anciens aussi bien que les jeunes y étaient largemen. «presente.. Quelques-uns, et parm. les plus ass.dus de cette fête traditionnelle, avaient dü se faire excusei par suite de deuil ou étaient retenus chez eux par une indisposition, hsperons qua la prochaine Epiphanie ils pourront tous prendre part au souper des Rois. La cordialité et l'animation qui n'ont cesse de régner toute la soirée ont fait de ces agapes une vraic fête de familie. Le gêteau a la fève servit a désigner le roi du jour. Le sort lomba a M. Fraeijs. Ce fut une nouvelle occasion pour tous les membres de boire a sa santé et de réitérer leurs souhaits au dévoué et sympathique président du Cercle Catholique et de l'Association Conservatrice. Nous lisons «fans le Journal de Courtrai du 19 Décembre qu'un concours public a été organise par l'Administration Communale de cette ville en vue de l'érection de la nou veile église de St-Jean-Baptiste. Onze projets ont été soumis a 1 examen du jury appelé a juger le résulta*: du concours. Ce jury était composé de M. Léonard Blomme, membre de la commission des monuments, a Anvers M. de la Censerie, architect?, membre de la commission des monuments, a Bruges M. Emile Jaulet, architecte, memcre de la commission des monuments, a Bruxelles M. Mortier, architecte provincial, a Gand M. Sonne- vi 11c, architecte a Tournai. Ce jury, a ïunanimité de ses membres, a classé premier le projet introduit par notre Ingénieur-Architecte communal J.Coomans Nous présentons nos plus cordiales félici. tations au lauréat. Au moment de mettre sous presse nous apprenons que le Conseil Communal, en sa séance de Samedi soir, a désigné M. Ernest Fraeijs, pour succéder a M. E ugène Struye, échevin sortant. Le resultat du scrutin g été le suivant 9 voix a M. Fraeijs, deux voix a M. Sobry» une voix a M. Boone et deux bulletins blancs. Tous les conseillers communaux étaient présents, a l'exception de M.Iweins d Eeck- houtte, indisposé. Les élus du 20 octobre avaient préalabiement prêté serment entre les mains d M. le Bourgmestre. Nous présentons nos plus sincères félici- tations au nouvel échevin. 1908 1 Notre vieux Progrès a vieilli d'uti an encore.... Hélas On ne sen aper^oit que trop. II derieat gourd comme un pot et il a des amoésies significatives. Mais patience.Nous aurons la charité de crier un peu plus fort pour nous faire entendre et de répéter aussi souvent qu'il le faudra ce qu'il ignore, ce qu'il a su et brüle de savoir encore, dans son amour de la vérité et du progrès. Nou» lui avons rappelé l'admirable exem- ple de renoncement donné par le clergé francais, sur un signe du Pape, lors de la dénonciation du concordat. Peine perdue. C'est comme si nous n avions rien dit. Notre sourd confrère n'a rien entendu, et répète imperturbablementL'Eglise... une bouti que Il nous comprendra peut être mieux quand nous lui aurons dit que si boutique il y a, c'est de sa faute, ou du moins de la faute des grands ancêtres dont il se réclame et dont il célèbre avec fierté les hauts faits. II oublie, eD effet, que c'est de la revolution franchise que date ce prétendu mercantilis me quil reproche a l'Eglise. Avant cette époque il était pourvu aux besoins du culte d une manière a la fois plus simple et plus efficace que par le système actuel qui déplait autant a lEglise elle même qu'a notre confrère du Progrès. II y avait les donations larges et spontanées des tidèles aisés... et il n'y avait pas de spolia- teurs officiel» pour s'en emparer. Au contraire, les pouvoirs publics non seule- ment respectaient les donations volontaires et la propriété ecclésiastique la oü elles existaient,mais pour rendre le culte possible partout et pour régulariser plus ou moins les ressources du clergé, ils assuraient la rentrée de la dime ecclésiastique, dime de 4 °/o seulement, le plus souvent. Celle-ci, variable d'après les fluctuations des récoltes etsujette a des conventions amiables eDtre le curé et ses paroissiens, correspondait j assez bien au denier du culte nouvellement établi en France. L'Etat disposait bien des j trois quarts du revenu des biens de l'Eglise j pour d'autres que des membres du clergé j paroissial, mais malgré cela et malgré les énormes fluctuations de cette source de 1 revenu8, la dime, jointe au revenu des i propriétés foncières, permettait d'assurer dignement le cuite partout. Elle avait un grave défaut son caractère obligatoire. II est vrai qu'en retour le prètre non seule ment administrait gratuitement les sacre- ments, cornu e il le fait aujourd'liui, mais on le voyait b&tir et entreteuir les temples, payer le personnel et pourvoir en général a tous les frais quotidiens du culte. On le voyait même promouvoir le développement des sciences et des arts et soulager toutes les misères. Faut il apprendre au Progrès que le concordat qui succéda un peu plus tard a la nationalisation des biens du clergé ne rétablit pas la situation antérieure Illa rétablit si peu que, même lorsque le contrac tant civil tenait ses engagements, il ne pourvoyait qu'imparfaitement aux besoins du culte. 11 supposait que ceux des tidèles qui demanderaient des faveurs, des extra, du luxe.coutribueraient pour une large part a l'entretien du temple et de ses ministres. Voila la raison de ce casuel dont le Progrès dénature le caractère et qu'il voudrait faire passer pour un trafic. Mais examinons de plus prés ce casuel tant honni. Le plus clair de ces ressources ran con après tout d'uno vanitó ou d'un souci de distinction plus ou moins légitime, absolu- ment comme les voitures-salons du chemin de ter, les loges de théütre, etc. etc. le plus clair de ces ressources va aux fabri- ques, aux employés laïques, aux fournis- seurs de tout genre, souvent des amis du Progrès. Le prêtre n'en recoit qu'une part modique, nullement proportionnée aux fatigues de ses fonctions, et, sa subsistance assurée, elle passe encore en majeure partie dans les mains des pauvres oubliés par ceux qui aboyent a la soutane et jalousent ces maigres revenus. Voyon,s Progrès, vous qui prêtez si généreusement au clergé l'esprit mercantile et le génie de Sexploitation si le prêtre est un homme dargent, s'il s'y entend si bien a soigner sa caisse, comment se fait-il que parmi ses nombreuses fonctions il 11e donne pas le premier rang a celles qui aboutissent au casuel Est ce soigner son casuel que de passer des heures entières a enseiguer le catéchis- me aux enfants Est ce soigner son casuel que de se lever a toute heure de la nuit, par les plus riches intempéries, pour aller a des kilomètres de distance administrer un moribond pauvre Est ce soigner son casuel que d'aller, au mépris de sa santé, parfois au péril de sa vie, visiter, consoler et secourir ses paroissiens indigents dans leur taudis insalubres ou contaminés Est ce soigner son casuel que de passer d'interminables heures au confessional pour y attendre, entre autres, ce voleur ou ce spoliateur repentant qui le chargera d'un lourd secret, parfois d'une restitution Est ce soigner son casuel que d'accompa- gner au cimetière, par tous les temps, la dépouille de l'indigent Et voila les prêtres séculiers Auriez vous, par hasard, cher confrère, voulu parler des pré'tres réguliers, deux ou trois fois plus nombreux encor De ceux dont le voeu solennel de pauvreté inflige un solennel démenti a vos accusations Ou bien de ces prêtres missionnaires que Gambetta lui-même et les plus fougeux prêtrophobes a sa suite éprouvèrent le besoin de protéger. bien loin de lescombattre De quelque cóté que nous nous retour- nions, nous n'apercevons pas les marchands dont vous remplissez nos e'glises. Mais alors oü est la boutique? La boutique, dites vous, elle est dans le denier de S. Pierre Dans les donations acceptées Dans la main-morte 111 Dans la sociétéde S. Vincent de Paul 111! Après celle la, il faut bien tirer 1'échelJe mats nous aurons soin de la replacer un autre jour. L'esprit de charité. L'abbé Peyrarnale, cure de Lourdes a l'époque des Apparitions, se dépouillait de tout au profit des pauvres. Sa servante, le voyant un jour gratifier un mendiant d'un gilet de flanelle acheté la veille, n'y put tenir Eh quoi I Monsieur le curé, vous lui avez donné le gilet neuf Ne pouvez vous pas, tout aussi bien, lui faire 1 aumone de celui qui est tout usé Labbé Peyrarnale eut une réponse su perbe Cet homme était assez riche en guenil les. II était inutile de lui en agouter une de plus. Pour quoi les corbeaux sont noirs. (Conté arabe). Dieu ciéa le corbeau blanc comme la neige immaculée et lui dit «Voici deux sacs l'un tst plein de drahamm; distribuez- en le contenu a mes fldèles musulmans l'autre renferme des poux répands les sur les infidèles, sur les roumis mandils Le corbeau partitmais trouvant la route longue et le sac d'argent trop lourd, il le vida pour s'alléger sur les premiers hommes qu'il racontra c'étaient les chrétiens. Le sac de vermine, moins pesant, fut transport^ sans fatigue par le corbeau qui le secoua tout entier sur les musulmans habitant beaucoup plus loin. Depuis cette époque, les infidèles sont riches d'écus et les vrais croyants possèdent des poux a foison. Dieu irrité d'avoir été désobéi par son messager lui ditTu as transgressé mes ordres. Four te punir, toi et les tiens, vous serez noirs désormais Un mot du P. Ollivier (Confér. d'apol. 1907-08). II est des gens qui demandent a être souffletés pourquoi ne les satisferions nous pas Sans doute, il est dit dans l'Evan- gile si vous recevez un soufflet sur la joue droite, présentez la joue gauche mais il n est pas dit ce qu il faut faire après Pour ma part, je vous dirais volontiers, Messieuis si de tels gailla'-ds vous donneut un soufflet sur ia joue droite, tendez «eurla joue gauche pour uu second, et puis rendez en quatre. Un mot du P. Monsabré. Un jour, a leglise, uoe dame se présente fortinoppor- tunément au 1'. Monsabré, au moment oü il se disposait a monter en chaire, et lui expose en minaudant un cas de conscience elle s'est regardée dans sa glace le matin avec plus de complaisance que de coutume et, ma foi 1 elle s'est trouvée jolie... Allez en paix, ma fille, répond le Fère, une erreur n'est pas une faute «jSWu- ---- La haine même de ses ennemis est un I témoignage de son éminent:- dignité. C'est pour cela qu'ils chercbent a le déconsidérer j par une foule d'accusations aussi ridicules qu'odieuses et en s'effor^ant de tarir par des lois sacrileges les sources du sacerdoce. Dans le fait, le prêtre n'est coupable a leurs yeux que de leur rappeler l'éternel Pontife dont le pardon, inefficace pour leurs ames corrom- pues, les accuse d'ingratitude et de trahison devant Dieu et devantles hommes. S'ils pouvaient atteindre le prêtre divin et lesupprimer, il leur serait indifférent qu'il y eüt des prêtres dans le monde. Les lamas, les talapeins, les bonzes, les brahames, les muphtis, les derviches, les rabbins et même les ministres des sectes protestantes ne les nent guère mais dans le prêtre catho lique ils voient l'homme de Dieu, le Christ lui même voila le secret de leurs haines et de leurs sinistres projets. Sans le vouloir, ils justifient cette belle parole de St Ephrem: Oh 1 qu'il y a de profondeur dans le formidable et admirable sacerdoce de la lo nouvelle R. P MONSABRÉ. Le pretre prévaricateur est bien coupable mais son sacerdoce reste toujours le même; c'est celui de Jésus-Christ, que rien ne peut altérer ni détruire. MOR. DE SÉGUR. Etre catholique c'est être avec le Pape il n'y a pas d'autre manière d'étre catholique. Denys Cochin. Sur tous ceux qui la calomnient, qui l'en- chainent ou qui la trahissent, i'Eglise obtien- dra une victoire et une vengeance. Sa vengeance sera de prier pour eux, sa victoire de leur survivre. MONTALEMBERT. Lo plaisant est que plus d'un parmi ceux qui reprochent aux jésuites, avec une superbe assurance, de compromettre la religion, serait embarrassé de léciter le Credo. II fant que la passion contre l'Eglise catholique soit bien forte pour que des gens qui n'ont rien de plus cher que l'honneur de leur esprit, risquent tout, même de se voir accuser d'ignorance, dans le seul but de l'outrager et d'affranchir ce qu'Elle réprime. LOUIS VeUILLOT. On boit moins d'alcool, et on continue a boire moins d alcool. C'est une constatation générale qui s appuie sur des faits precis tels que la réduction du petit verre, le mouillage plus fort et les plaintes générales des ciébitants 1 Leschiffres que le gouvernement publie dans l'Exposé général du p ojet de budget des voies et moyens, en fournissent une nouvelle preuve que nos adversaires pour- j ront difficilement contester. Ils établissent que la. consommation hu- maine de l'eau-de-vie est en de'croissance. En 1904 elle était, par tête d habitant.de 5 lit. 94 elle tombe en igo5 a 5 lit 78 en 1906 i 5 lit. 76 et en 1907 a 5 lit. 61 (sauf léger redres8ement éventuel). Ce mouvement a des rapports étroits avec le relèvement du droit dacciscs. A chaque relèvement du droit a corresppndu une chute dans la quantilé de 1 alcool de bouche mais la chute a été généralement suivie d'un relèvement, .sauf durant ccs dernières années. De 1890 a 1895 la consommation d'alcool de bouche s'é.ève progressivement de 594 219 a 677,215 hectolitres. En 1896, a la suite du relèvement du droit a 1 franc au litre (loi du 17 juin 1896, art. 5), elle tombe a 589,085 hectolitres. Elle se relève progressivement pour at- teindre en igoi 670,025 hectolitres. Après une régression en 190a ell tombe enigo3 3370,099 hectolitres, par suite du relèvement du droit de 1 fr. a 1 fr. 5o (loi du 18 février 190?, art. 4). En 1904 un léger relèvement s'est produit encore 413,260 hectolitres. Mais c'est le point d'arrêt sont ouverts au commerce mondial, sont reliés aux extrémités de la Belgique par un réseau ferré de 4,6o3 kilomètres de longueur, auquel il faut ajouter 2,920 kilometres de chemins de fer vicinaux 9.542 kilometres de routes et 19,585 kilomètres de chemins vicinaux pavés ou empierrés. Les lignes télégraphiques ont 7,099 kilomètres de déve loppement etleslignes téléptioniques 148,010 kilomètres. Pour vivre vieux el bien por- tant, évilez tout excès et punfi z vous de temps en temps !e corps avec la Pilule antiglaireuse Wallhéry. 1 fr. partout. L'Anemie chassée par les pilules Pink Les pilules Pink ont cbassó i'anemiede la de- inéure de Mme Gustin, 3"), rue St-Pierre, Bruxelles. Mme Gustin, la victime désignée, secourue a temps par les pilules Pink a retrouvó uce santé parfaite. i Mme Gustin (Püoto. Devolder Bruxelles) s Je déclare, écrit elle, que les pilules Pink I j u uueiw 1 o, ou» u v/iiO) quo 100 1U t uo l ilJtV En iqoó la consommation nest que de j m'ont fait le plus grand bien pourcombattro un 406,853 hectolitres. En 1906 elle est de 409,181 hectolitres i état d'anémie qui s'agravait tous les jours. Jat I pris les pilules Pink paree que c'est grace a elles Eten .907 (8 mo.s) de 267, 3x6 hecto- personne qui a demeuré dans notre mai- son s estguerie. Or, nous la croyions tous per- litres. Cette stagnation est d'autant plus caracté- ristique qu'elle se produit au milieu de cir- g Constances qui soilicitent normalement une progression. La population, en effet, ne cesse de croitre et la diffusion de la richesse ne cesse de faciliter les dépenses de luxe. Félicitons-nous de ce recul dans la con sommation. Félicitons surtout ceux qui ont fait voter Jes lots sur le relèvement des droits sur l'alcool, malgré les criailleries el les honteuses manifestations des partis d'opposi- tion. 1 duo et les médeoins l'avaient abandonnée. De- M. Liebaert, ministre des finances, a regu une délégation des cafetiers de Belgi- ijue. Cette délégation, comp isée de MM. Van Staa en, président de la Fédération nationale des cabaretiers de Belgique Nagels, secrétaire de la Fédération des cafetiers de Bruxelles, et Van Heu e, prési dent du Bond a Gand, a été introduit auprès du ministre par M. Maenhaut, député de Gand. Ces messieurs out demandé la réduction notable du taux du droit de licei.ce et admis, en compensation, son extension tous les débitants sans exception. Le droit varierait suivant uu classement d'après 1 importance du débit. Une taxe d'ouverture frapperait aussi les nouveaux débits. M. le ministre a déclué qu'il ne pouvait se railier a la generalisation complete de ia taxe, ui consentir a une réduction notable qui aboutirait a uu re.«ouveau de l'alcoo- lisme mais il a annoncé qu'il avait i'inten- tion de déposer prochainement un projet de loi sur la matière. M. Thibbaut, dans son remarquable rapport sur le budjet des voies et moyens attire l'attention sur notre suuationfinancière et économique qui continue d'étre excellente. Sans doute, ie budjet de 1908 ne prévoit qu'un excédent de recettes de 407,270 fr. 92. C'est peu. Mais il est fort probable que les recouvrements dépasserorit les prévisions. C'est au chapitre Chemins de ter quil faut aller cherctier la cause de la faiblesse de cet excédent. Les dépenses y sont, en effet, en augmentation de plus de 23 millions,alors que 1 augmentation des recettes n'est que de 16 millions. C'est la cherté au charbon qui est cause de cette disproportion. M. Thibbaut se félicite de l'admirabie épanouissement de notre mouvement com mercial qui alteignait en 1906, comme commerce général, a l'exportation et al'im- portation, 10,787 millions, contre 202 mil lions en 1831 1 La progression du commerce beige en 1905 a dépassée de 60 millions la progession du commerce francais et cepsn- dant la Belgique ne compte que 7 millions d'habitants contre 40 millions de Francais De 1891 a 1907 nos importations et nos exportalions ont augmente de cent pour cent 1 II est vrai que notre outillage économique se perfectionne chaque jour: Nos potts, qui puis qu'elle a pris les pilules Piuk elie se porta trés bien. Les pilules Pink ont été aussi bonnes pour moi. Je leur dois d'étre redevenue forte, de n'avoir plus de migraines, de névralgies et d'avoir de nouveau de l'appétit et de bonnes couleurs Les pilules Pink sont. des enr emies de l'anémie qui est l'ennemie de ia maison. Les pilules Puik donneut du sang evec ebaque dose. N'oublions pas que c'est dans le sang que s'accumulent tou tes les énergies nécessaires la vie, énergies venantdu dehors, énergies nées des combinai- sons intraorganiques. C'est lui qui par sou cours incessant, régie le système nerveux, répartit ses forces dans l'économie au prorata des besoins de chaque portion de l'organisme. Les pilules Pink sont souveraines contre l'anémie, la chlo- rose, la faiblesse générale, les maux d'estomac, migraines, névralgies, scialique. Elles sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépöt Derneville, 66 boulevard de Waterloo, Bruxel les, 3 fr. 50 la boite, 17 fr.50 les 6 boites, franco. Dépót a Ypres, pharmacie G LIBOTTE a Poperingtje, pliaimacie MONTEYNE. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2