A la diamine Le paiement au comptant Mise au point La Gilde Saint-Michel Unc conversation tur les pilules Pink Actes Officiels J 1,1 - Une familie heureuse. Uue entre mille. aboutir k quelque chose. Voyez plutót au champ de glace ce sont eo grande partie es patineurs eux-mêmes qui parsèment la glace de ces pelures d'orange et de ces débris de baguettes qui occasionnent tant de chütes! Mais ici encore, l'avertissement s'adresse surtout a l'enfance et ici aussi le père de familie et le maitre decole sont plus précieux que'l'agent de police. Rendons hommage, a cette occasion, a la vigilance[de la gendarmerie qui a déja dressé plusieurs procès-verbaux a des pêcheurs qui cassaient la glace du canal. Parmi les causesidiverses qui font traver ser a la classe si intéressante de la petite bourgeoisie une crise grave pouvant amener les pire» catastrophes, l'une des principales est sans doute'Ja plaie du crédit. Dans les Congres de la petite bourgeoisie, des hommes de coeur se sont occupés d y apporter remède; et comme jmoyen pratique pour renir en aide aux artisans et bouti- quiersTon a fondé a Bruxelles, sous a pré»idence _d'honneur du Ministre d Etat Beernaert, une Ligue nationale pour le paiement au comptant. Cette association qui corHptejdéja plusieurs sections en province, a pour but de .combattre les abus des paiements trop' retardés, et d'arriver a cet heureux résultat que les marchandises achetées soient payees a une courte échéac ce fixée de commun accord ou mieux encore si possible avec de l'argent comptant. L'ceuvre du paiement au comptant n inté resse pas seulement les vendeurs, elle est cgalement utile aux acheteurs de toute con dition. En effet, quand on prend l'habitudc de payer comptant on ne a'expose pas a faire des achats au].dessus de ses moyeas, on évite de faire des.dettes, cause de troubles dans beaucoup de ménages. Une première dette en amène une seconde, elles saccu- mulent, au bout de l'année les notes pleu- yent et beaucoup de gens se trouvent devant une situation inextricable qui les met dans la gêne eux et leurs fournisseurs et produit bien souvent de tristes décoi fitures. Une nouvelle section vient d'etre fondéo au chef-lieu de notre province et a cette occasion Mgr Waffelaert, évêque de Bruges adresse aux fondateurs une lettre dont voici la teneur J'apprends avec bonheur, dit 1 éminent prélat, que votre comité de la ligne natio nale pour le paiement au comptant vicnt de fonder une section brugeoise. Introduire la pratique du paiement au comptant, c'est rendre un précieux service k chacun et surtout la classe moyenne de la société. C'est un devoir de justice pour l'acheteur de ne pas retarder le paiement sans raison sérieuse, retard si préjudiciaine en beaucoup de cas au fournisseur. Mais ce dernier doit aussi contribuer a 1'oeuvre en évitant Jtoute négligence dans l'envoi de sa note. Bien souvent, le vendeur n'ose pus envoyer celle-ci avant de 1 avoir été demandée, paree qu'il presume et par fois non sans raison, quelle sera mal accueillie. Que l'acheteur, a chaque commande, réclame;doncdnstamment sa note et la pair. Ensuite, quand la note est réelamée, on entend souvent le^fournisseur dire rien ne presse, alors même qu'il en souhaite ardem- ment le paiement.^Pourquoi f Parce quil craint qu'après te reglement du compte il n'aura plus rien a lournir. Que l'acheteur bien intentionné próvien- ne charitablement ce soupqon et fasse bien comprendre qu'il réclame la note unique- ment parce qu'il est partisan du paiement au comptant. La ligue nationale] est précisément iastituée pour prévenir tout malentendu et abus de ce genre par l'acceptation solidaire de mesures sages et d'entente mutuelle entre acheteurs et vendeurs. J'applaudis dont de tout coeur a vos louables efforts et suis heureux de profiter de l'occasion pour faire un chaleureux appel aux écclésiastiques et la'iques, afiu qu ils e'affilient a la ligue du paiement au comptant et soutiennent de^toutes leur iorces le comité de la Section brugeoise. Cette demarche de notre digne évêque est •ignificative et mérite l'attention de toutes les families chrétiennes aussi bien k Ypies qu'ailleurs. Cértes il faut tenir compte des circon- stances locales et voir si une pareiile institution serait opportune en notre ville. Mais en tous cas, que les]classes dirigean- tes donnent l'exensple de ce beau mouve ment du paiement au comptant, ce serait pour les commerqants et les hommes de métier un immense avantage. Tous, iiche, bourgeois et ouvrièrs y trouveraient leur compte et la gêne,source de tant de misères, ferait bientót place a une aisance relative pour le bien général Tenons en bonneur le vieil adage de nos pères Quipaie ses dettes senrichit. U vaut de l or pour chacun de nous. (Suite) La Religion du Christ est une religion d'argent parce que... la société de S.Vincent de Paul se développe a ses cötés Voili l'affirmation servie par le Progrès a ses lecteurs, en guise d'étrennes, le 5 Janvier I90S Si les lecteurs du Progrès ne sont pas estomaqués par de pareiiles étrennes, c'est qu'ilssont bien difficiles. Pour notre part, nous l'avouoos franche- ment, nous restons confondus, anéaotis par cette éblouissante logique. S. Vincent de Paul marchand du temple Un rédacteur du Progrès pouvaitseul trouver celle-la. Marchand du temple cet apótre de la charite' parfaite, ce héros du renoncement sublime dont la noble figure, immortalisée par le chef-d oeuvre de Falguière, a les hon neurs du Panthéon Marchand du temple ce prêtre austère, épuisé par les privations, qui, le jour et la nuit, parcourait les quartiers populeux pour recueillir les vieillaids et sauver les petits abandonnés jetés a la rue Marchandes du temple ces Filles de la Charité qui se sont répandues sur toutes les plages, sur tous les champs de bataille, sans autre aspiration que de donner leur vie pour l'amour du prochain Marchands du temple tous ces di ciples du héros, depuis Ozanam jusqu'au dernier membre de nos conférences, qui savent, en plus de leur dévoüment personnel, alimenter un budget, consacré exclusivement a la charité, qui s elève a seize millions Et ce ne sont pas les seuls Marchands du temple encore les évêques et curés qui accor- dent si libéralcment des dispenses de jeune ct d'abstinence, au lieu de montrer une intran- sigeance que justifieraient bien un ptu les extiêmes adoucissements apportés a la loi de pénitence Serait-il indiscret de demander a notre confrère, s'il ne lui est jamais arrivé d'aller e'couter, entre deux bals masque's de carnaval, ia lecture, en chaire, du mandement de carême Dans ce cas il a dü entendre procla- mer qu on peut se libérer par des piières de Tauinóne qui lient lieu d'ce.uvre expiatoire en cas de dispense. Mais nous oublions que notre confière est sourd. Ah quel malheur d'etre sourd Marchands du temple encore Messieurs les membres du Bureau de bienfaisance et Mes sieurs les Marguilliers qui collecteur a 1 église en faveur des pauvres secourus par ia-ville ou par la paroisse en faveur des enfants pauvres de nos salles d'asile pour des con fréries et ceuvres de charité quelconques pour les petits malheur, ux des pays barbares recueillis par les missionnaires pour le rachat des esclaves, pour les égiises pauvres, etc. I Boutique que 1'glise parce que des chré- tiens lui lèguent en mourant des honoraires de messes de requiem et que, pour être plus sürs que leurs volontés seront exécutés, ils commencent par pourvoir aux frais de lumi- naire, etc., et par procurer de quoi vivre a tous ceux qu'ils veulent voir concourir a la célébration des messes et offices demandés prêlres, acolytes, chantres, organiste, sacris- tain, etc. Boutique que l'Eglise parce que, en toute liberté, une partie des fidèles aisés offrent au Pontile-Roi, indignement de'possédé de ses Etats, un dédommagement pécuniaire récla mé par les obligations de son rang et de sa dignité, par des missions et des oeuvres sans nombre, par des institutions arlistiques et scientifiques telles que observatoire.musées, bibliothèques, colleges et instituts savants, qui comptent parmi les plus importants et les plus utiles du monde entie I Boutique enfin pour deux autres raisons encore que nous examinerons un autre jour. II est une dernière raison que le Progrès signale en restant pru Jemment dans le vague, mais que nous le meltons au défi de formu- ler avec précision en y accolant les noms des coupables les successions accaparées au détriment des families. Tant qu'il u'aura pas le courage de préciser ses odieuses accusations, nous lui dirons que sa boutique a lui est un débit de calomnies. impression, car la Gilde Saint-Michel a ce caractére essentiel de la charité moderne. A l'age de douze ou treize bds le jeune ouvrier quitte l'école et setrouve jeté sans appui dans un milieu nouveau, exposé a tant de séductions et a tant de périls. Les distractions eufantines ne lui suffisent plus et il se trouve sans défense contre l'attrait des plaisirs dangereux, qui viennent solliciter son inexperience. La Gilde Saint-Michel interviewt et lui procure cette distraction supérieure qu est la gymnastique tout en lui inculquant cette vertu mystérieuse,qui réforme les coeurs. L'exubérence de sa jeunesse trouvera son champ d'action, la lutte pour la vie ne l'ef- frayera pas, et il connaitra que la vraie science de la vie c'est d'aimer et de souffrir avec Jésus-Christ. Par tous ces considerations je suis amecé assez loin de mon sujet, car je me proposais simplement de dire en quelque lignes que la fête organisée dimanche dernier par Ia Gilde Saint Michel a été couronnée comme d'habitude d'un beau succ-ès. Une foule excessivement nombreuse em- plissait le spacieuse salie du Volkshuis, ce qui est bien la preuve la plus évidente de l'intérêt qu on porte a la Gilde." L'Harmoraie Saint-Michel, qui prêtait son concours, ouvre la l'air de N.-D. de Tuine Suit un défilé au chant de Naar wijd en Zijd Des mouvements d'ensemble par les juniores sont trés goutés.ainsique deux duos chantés par de tout jeunes membres de la société. Car j'oubliais de le dire, le pro- gramme comportait une partie musicale et dramatique, faisant diversion au,|x numé- ros réservés spécialement a la gymtrastique. Des mouvements d'ensemble aux gaLssues et un travail aux fusils font preuve de beau coup de science. Un dialogue comique est l'occasion pour deux tins matois du faire rire, au nom des vrais principes de l'art dramati que comique, jusqu'aux plus moroses. Les exercices de boxe tran raise,qui pour arriver en dernier lieu u'en constituent pas moins le numéro le plus intéressant, sont trés ap- plaudis par la nombreuse assistance, qui d'aideurs n'a, a aucun moment, menagé ses approbations. Tousles gynmastes fxécutent quelqües superbes pyramidés, dernière, l'Harmonie Saint-Michel jouo une vibrante Braban^onne et nous renti ons a la maison tout content d'avoir passé une rencontrera plus d'enfants ne fréquentant aucune école. Quant k la fréquentation scolaire jusqu'a l age de 14 ans, c'est la un rêve qui ne peut se réaliser dans un pays comme le nótre. Le llelge ne tolérerait pas la réglementation a outrance imposée dans d'autres pays, et notamment en Allemagne oü le peuple a été préparé pendant des siècles a la discipline qui le domine. Si l'on voulait imposer l'age scolaire de 14 ans aux enfants qui, dès leur douzième annéa ont acquis les cunnaissauces que comporte i'euseigueiiient primaire, nous aurions a constater que a loi d obligation n'existe que sur le papier. Ii en est ainsi en France, Si l'on veut connaitre la situation de l'enseignemeut primaire dans ce pays, qu'on lise le rapport de 1904 de M. Cazes, inspecteur général, qui dit que la situation est a peu prés aujourd'hui ce qu elle était avant l'application de 1882. Le même membre fait encore observer que dans un grand nombre de communes beiges 1 enseignement officiel jouitde faveurs dont 1 enseignemeut libre est privé. Avant de réaliser l'instruction obligatoire, il fau- drait préalablemont que 1 egalité de toute les écoles vis a-vis du Trésor public füt établie et garantie. II faudrait aussi que, dans les communes oü, faute de ressources privées, Hputhem, M. A. Breyn©. Popennghe, M. F. Van Merri». Voormezeele, M. J. Bailleul. Watou, M. Ch. Brutsaert. Woesten, M. F. Vanneste. Wulverghem, M. F. Lemahieu. Zantvoorde, M. J.-B. Laumosnier. Zillebeke, M. le Baron G. de Vinck. Zonnebeke, M. A. Vandenbulcke. Bar arrêté royal du 31 Décembre 19U7, la caisse d'assurance et de retraite k laquelle étaieut afflliés ies fonctionnaires et employés de la société anonyme des chemins de fer de la Flandre Occidentale est reprise par 1 Etat qui en assurera le fonctionnement conformément aux statute de la dite caisse. Par arrêté royal du 31 Décembre 1907, M. H. Six Masselis a Wervicq, est autorisé, sous certaines conditions, a établir une scierie de bois actionnée par un moteur gaz, en cette ville, section G. n° 851d et 852d du plan cadastral a environ 30 metres de l'axe do la Lys, riviere mitoyenne. Par arrêté royal du 29 Décembre 1907, la reconnaissance légale est accordée k la société mutualiste d'assurance contre la mortalité du bétailDe Geitenboer»,établie a Voormezeele. L£ UX jjl C bcti. b üUU B uvuiuiuuvw c*xuha uu vtv. rvoouuivou i vuu, lête par l'exécution de I l'enseignement libre ne pourrait être oi'ga- I Un subside de 4658 fr. 03 est accordé a la ie. I nisé, les pouvoirs publics fussent obligés de fabrique de l'église du Notre Dame hPope- agréable soiree. Je lisais bautre jour que la charité se transforme, quelle ne corisiste plus, comme du temps de Sainte-Elisabeth, a distribuer aux pauvres le pain de chaque jour, qu'elle devient avaut tout morale, qu'elle ne se con tente plus de pallier le mal, qu'elle veut le prévenir et répaudre par l'instruction et la moralisation, la semence de toute prospérité et de toute richesse. Je venais d'assister dimanche dernier a une de ces attrayantes fètes que la vaiilante et florissante gilde Saint-Michel a coutume e donner et ce passage me tit une profonde Nous venons de parcourir le rapport fait au nom de la section centrale,par M.Colaert, sur le budget du ministère des sciences et des arts, pour 1908, et a có de quelques considérations inspirées par des observa tions sur divers articles de ce budget, l'honorable rapporteur aborde la question de l'enseignement obligatoire qui a fait presquo exclusivement les frais de ia discus sion de ce chapitre. Il dit Un membre a proposé qu'une enquête soit fait© par le gouvernement sur les points suivants 1° Quel est le nombre d'enfants de 6 a 11 ans qui fréquentent 1 école 2° Quel est le nombre d'enfants de 11 k 14 ans qui ne fréquentent aucune école 3° Quel est le nombre de ceux qui fréquen tent l'école irrégulièrement 4° Quelles sont les causes de cette irrégu- larité A l'unanimité moins une absiention, la section centrale est d'avis qu'il y a lieu de proceder a une enquete portaüt sur les quatre points énumérés. Mais un membre estime que ce sont plutot les administrations communales, aidées par la police, qui devraient, tout au moins dans les grandes villes, faire l'euquête, plutót que l'inspec- teur de leuseigaement primaire. Deux membres sont d'avis que s'il est vrai, comme le prétend un membre que la fréquentation scolaire s étend chaque an- née et s élève actuellement au moins a 97 o/0 dans i'essemble du pays, encore faut-il pren die des mesures pour que les enfants fré quentent l'école jusqua l'dge de 14 ans. L'instruction obligatoire leur parait être de seul moyen d'arriver a ce résultat, Dans les pays oü le système a été établi, l'enseignement s'est sensiblement étendu, k tel point que le voyageur qui parcourt ces pays est irappé de constater que tout le monde a un degré d'instruction qui est loin d'etre aussi général et aussi élevé dans notre pays. C'est notamment pour ces motifs qu'ils proposent que section centrale se prononce en faveur de Vinstruétion obligate, avec liberté pour les chefs de familie quant au choix de Vécole. Un membre a répondu qu'il ne peut se rallier ni aux considérations qui précédent ni a la proposition faite. Il se base sur les motifs qui ont été développés 1 an dernier dans le rapport de la section centrale. La liberté dit il, a fait progresser l'enseigne ment populaire au point qu© bientót on ne seconder les particuliers qui veulent organi ser l'enseignement libre si non, celui-ci n'existerait pas et la volonté du père de familie serait méconnue. La proposition demandant que la section centrale se prononce en faveur de l'enseigne ment obligatoireavec liberté pour les chefs de familie quant au choix de l'écolemise aux voix en l'absence de deux membres, a été adoptée par deux voix contre une et deux absteutions. Plusieu! s articles sont remis au prochain numéro. Tout au bout d'Anvers prés de la porte de Boom, au 223 de la Brederodestraat, je soune. Jw désire avoir une conversation avec Madame surtout la j Lemmens, car je viens d'appr. ndre qu'elle a été guéria par les pilules Pink d'une maladie d'esto- niac qui ia faisait beaucoup souffrir. O. £8t venu m'ouvrir, et M. et Mme Lemmens mis au courant du but de ma visite me reqoivent et se mettent a mou entière disposition pour me fournir les renseiguements qui me sont nóces sabres. Ge n'est certes pas la première fois, dis-je,que j'entends parier des guérisons remar- quabies oi érées par ies pilules Pink. J'ai pu lire depuis des aunées cbaque jour, pour ainsi dire, dans les journaux des certiflcats trés élogieux et qui, je l'ai remarqué, sont toujours nouveaux. J'ai visité un grand nombre de personnes guéi ies, et je suis trés heureux de voir qua vous étes du nombre, Madame.» «Ah! j'ai bien souffert, me dit Mme Lemmens. Gelui qui n'a pa» souffert de l'estomac ne peut se faire une idéé des souffrances que Ton éprouve, et j'ai souffert pendant environ? ans. Mm' Lemmens (Photo. Edward, Anvers). Pendant. 8 ans j'ai été obligée de surveiller mon alimentation, de ne manger que certaines choses. II me semblait que j'avais le feu dans l'esto mac, j avais une soif épouvantable, des aigreurs, des crampes. Impossible de trouver le sommeil. Je m'affaiblissais. je n'anémiais et les remèdes ne me guérissaient pas. J'avais lu bien souvent des certiflcats de guérisons dues aux pilules Pink, les symtómes qui étaient décrits dans ces certiflcats étaient si identiques a ceux que j'éprouvais, que j'ai voulu prendre les pilules Pink. Je me suis mise a ce traitement et j'ai ennstaté de suite ceci. J'avais de l'appétit, il me faisail plaisir de manger et j'avais en vie de manger ce qui m'était défendu. Je ne m'y risquais pas cependant. Puis je me sentir plus forte, et ayant toujours grand appétit, je me suis laissée aller a manger un petit peu de ce que je ne pouvais pas manger sans en souffrir. Je n'en ai pas souffert. J'ai continué ie traitement, mes digestions sont devenues trés boni es, J'ai pu manger da tout sans arrière pensée et maintenant je suis guérie. Voici fldèlement rapporté ce que m'a dit sur les pilules Pink Lemmens, et tout cela me fut confirmé par son mari. g g Les pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépót, pharmacie Derneville 66 boulevard de Waterloo, Bruxelles 3 lr 50 la botte, 17 fr.50 les 6 boites, franco. Dépót a Ypres, pharraacio G LIBOTTE t> Poperingbe, pharmacie MONTEYNE. Par arrêtés royaux du 21 Décembre 1907 sont nommés bourgmestres dans les com' munes ci-après Bas Warneton, M. H. Joye. Hollebeke, M. D. Ooudezeune. ringhe, pour la restauration des toitures.des voütes et des arcades intérieures de la nef centrale de l'église. Un arrêté royal du 3 Janvier 1908 a chargé d'exercer les fonctions de police ju- diciaire déterminées par la loi du 25 Juillet 1B91, les agents ci-aprè3 désignés repris de raucieone compagnie des chemins de ter de la Flandre occidentale. En qualité d'Inspecteur. M.M. Deblock,chef de station a Wervicq; Demeyere, id. a Poperingbe L. Hoet, id. k Zonnebeke V. Hoet, id. a Vlamertinghe Luyssen, id a CominesHosiers, id a Ypres. En qnalité de garde voyer M M Camerlynck, commis. ff. de sous- chef de station Comines; Clou, id a Pope- ringhe Vaudr-mme, a Ypres Delandts- heer, chef-garde a Ypies Jacques, id a Ypres; Mesure, id a Yptvs Boose, id a Ypres; Vanhoenacker, id. a Poperinghe Vandenberghe, agréé ff. de chef de halte a Houthem Slambrouck, piqueur a Zonne beke Vaneename, id. a Ypres, ïïll «ianff Si le sang vous gêne si vous avez des vertiges, des bour- donnemenls d'oreilles, prenez la Pilule anti- glaireuse du Dr Waithéry. 1 fr. partout La familie de Florent de Winter Nylen lez Lierre, est restée heureuse, grace au Sirop de i'Abbaye du Gouvent Sancta Paulo. Ce père heureux nous écrit a ce sujet Depuis 8 ans ma femme souffrait d'une bronchite chro- nique. Son état était tel que chaque soir, en se couchant, elle fut prise d'un accès de toux qui durait un quart d'heure. Je devais alors soutenir sa lête de mes deux mains. Aucune plume ne peut décrire ce qu'elle a souffert pendant ces huil années. La familie de Fl. de Winter d'après phothographie Elle n'avait pas une seule nuit tranquflle. Elle était beaucoup plus fatiguée le matin que le soir en se couchant. Elle óïait oppressée elle avai des douleurs dans la poitrine et dans le dos sa respiration était lourde et difficile. Une annonce attira notre attention sur les effets salutaires et merveilleux du Sirop de I'Abbaye du Gouvent Sancta Paulo, Nous dócidêmes de faire l'essai d'un flacon. Après avoir pris cette seule bou- teille, elle ressentit un bien-être, inconnu avec les autres médicaments qu'elle avait employés. Elle coDtinua, et quelques boutelles de Sirop de I'Abbaye ont sufff pour faire dispa- raitre sa bronchite chronique. Elle est complè- tement guérie. Elle dort et elle mange comme si jamais elle n'avait été malade. Le Sirop de I'Abbaye du Gouvent Sancta Paulo est un remède salutaire pour dégager les glaires. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2