Manifestation Struye Pensées di verses Lundi 17 Février 1908 L'AUJÏÏHICÜTIQS PUBLIQUE TAILLEUH Gouttes de Vérité Nominations ecclésiastiques Pourquoi souffrir Ville de POPE HING 11E a l'Hótel de Ville POPERINGHE, des Travaux de Voütement fr. 1944-1.40 fr. 2000.00 Huwelijksafkondigingen Ënrhumé. Si Constipation. KlpyEM te does LEUaËN" «s*- La liste de souscriplion au baoquet offert a Monsieur Eugène Struye le Dimanche 16 Février, sera défiuitive- ment close le Jeudi 6 de ce mois. Las souscripleurs sont inst8mment priésjfde bien vouloir envoyer sans retard leur adhesion Monsieur Ernest Fraeijs, président du Cercle Catholique et'de ^'Association Conser vatrice de l'Arrondissement d' fpres. Les ''ilules Pink. üoivent guérir a3 ||2 li.de l'après-midi DE IL SEIS A PROCÉDÉ A d'une parlie du cartal de Poperinghe sur Ia Graud Place en cette ville, iVlontant du devis IVlontant du cautionnement Los plans, devis et cahier des char ges sont deposes a l'inspection des intéressés au Süéeorétariat communal de POPERINGHE. L'eftet salutaire du Sirop de l'Abbaye Saucla Paul se fail sentir dt s pieds i Ia lête Oa dptnande de suittj ouvrier tailleur sachaot faire coslurne. Nourriture et logetiént p!us 25 a HO fr. par mois. Travail assure. S'idresser chez rthur VJEHBELC JB, Marchaud-Tailleur NEUVE-EGLISE 2 porlcs chêne a parineaux a deux baltauls.pour chapelte. 20 portes chêue a pauueaux. Chaoibraules et emhrasements, etc. Pour renseignemeuts s'adresser au bureau du Journal. E¥EBEN Dtn» certain» villes les militaires son exemptéa, i Sans garler de la France oü l'abolition de la taxe doit être rendue générale, il est même déjk en *fcelgique des égliges oü la taxe est supprimée exceptionellement, voire défini- tivement (k Bruxelles notamment). C'est le cas, k Ypres, a certainea messes matinales mais nous ne garantissons pas que 1 oreiller de la chaisière n'y est pour rien. Bref, telle quelle, la critique du Progrès est mal fondée. Mais, la part des choses faite, nous le voyons avec plaisir souhaiter, comme nous, l'abolition d'une taxe malencontreuse a tous égards. Passoms k la main-morte. Et tout d'abord invitons notre confrère a la saluer avec nous. Cars'il sait épeler A, B, C, c'est en définitive a la main-morte quil le doit. Le main-morte se confond avec le mona- chisme, sauveur de la civilisation occidentale aux prises avec la barbarie. Avec tous les plus grands historiens, même les moins suspects de cléricalisme, notre confrère n'hésitera pas k rendre hommage a ces groupements d'activités et de ressources dont les bienfaits sont inestimables. Que disons nous C'est déjk chose faite. Notre confrère s'apercevant a temps qu'il venait de dire une grosse b...lague, s'empressa d opérer une courbe rentrante, II tient bon toujours pour la boutique, mais savourez done sa nouvelle explication k Oï, qui parle de manipulation d argent, d'achat et de vente, parle de boutique incon- testablement Nouscommenïons a comprendre pourquoi la main-morte, la société de St Vincent de Paul, etc. prouvent la boutique. Incontesta- blement, les oeuvres de charité que l'espi it de l'Eglise fait éclore entrainent de grandes manipulations d'argentla société de S.Vin cent de Paul, k elle seule, rassemble annuel- lement 16 millions pour les donner aux pau- vresles fabriques d'église consacrent de grosses sommes a l'achat et a l'entretien de tout ce qui est nécessaire au culte une foule de catholiques, de libéraux, de protestants, de juifs même en vivent. Et la main morte done 1 C est vraiment une dérision que la mobilité de teaucoup de grosses fortunes, nullement cléricales, ac- quittant une fois ou deux par siècle quelques droits de mutation, k cöté des creations gigantesques, d'utilité générale, qu enfantent ces féconds groupements decapitaux toujours remués par des mains bien vivantes. C'est même précisément paree que les gens de main-morte, gens de renoncementet de vie austère, au lieu de maoger tranquillement leur avoir mis en commun, le dépensaient en institutions hospitalières, en monuments artistiques, en travaux de défrichement et d'assainissements, en oeuvres d assistance de toutes les misères, en établissements d en- seigaement, etc. etc., c'est pour cela que la haine antireligieuse inventa les méfaits de la main-morte afin d'avoir un bkton sous la main pour assommer le chien gênant. Mais transformer en rapacité la prodigalité des gens de main-morte, c'est vraiment dépas. ser les bornes en inférer au mercantilisme de la religion catholique, c'est un comble. L'énormité de cette allégation décrépite n'est dépassée que par son a-propos. Essayer de la rajeunir en présense des exploits des liquida- teurs de la main-morte, c'est d'une belle inconscience. Voici quelques jours a peine qu'on a vu la main-morte traverser les ruts de Paris,saluée avec vénération non seulement par tout le peuple de la Ville-Lumière, mais même par les agents des persécuteurs officiels. Sur l'impériale des cinq omnibus oü la main, morte avait pris place quelques sacs de toile grossière, remplis de vêtements de bure, représentaient le milliard des congrégations. Mais ce n'est pas k lui qu'allaient les pensées des anges de charité expulsés de l'Hötel- Dieules membres soufïrants du Christ qu'elles soignaient la depuis iJ siècles occupaient seuls leur esprit et leur coeur. Leur charité n'était certes pas en faillite, mais on les arrachait de force a la boutique oü elle se dépensait. Boutique glorieuse entre toutes, tenue par les plus nobles représentants de l'humanité, par les dignes descendantes du Saint diacre Laurent, qui, a l'aube du christianisme, thésaurisait déjk de cette fa$on la Le jour oü l'organe libéral, admirateur des liquidateurs, pourra nous montrer parmi les oeuvres de son parti, quelque chose qui approche des gloires de la main-morte et des mérites de la firme du Christ, nous lui rendrons de trés sincères hommages et nous nous engageons a ne charger ni liquidateurs ni détrousseurs quelconques de piller sa boutique. Trois maximes excellentes pour la jeu- iiesse. II vaut mieux apprendre et bien savoir une chose que connaïtre un peu de tout. II vaut mieux Youloir fermement, que désirer beaucoup. II vaut mieux se laisser bien conduire.que courirenTiberté. Rien de plus insupportablajdans la discus sion, que des braillards qui croient racheter l'indigenceVia^leuis raisonnements, par Ha quantité de'son'qu'ils dépensent. Vous avez lu ce livre Mais il est d'une saleté révoltante. Ah 1 mon Père, ne me grondez pas 5a ne m a pas fait de mal. Eh, Madame, si votre enfant,après s'être roulé volontairement dans 1 ordure pendant une demi-journée, venait vous dire Maman, 5a ne m a pas fait de mal vous dispenseriez-vous de le fouetter I L'humble ressemble aux vases d argile que portaient lesYoldatSjde Gédéon. II faut que la mort leTrise" pour qu'on puisse voir, en tout son éclat la lumière de ses vertus. L'incompréhensible n'humilie que les petits esprits Une grande etlforte raison trouve tout naturel de plier ses ailes devant le mystère, et d'adoreF.l''être' supérieur qui s'en est fait un vêtement. Y Elle]{ertime que c'est unjgrand honneur pour elle _de le connaitre'même sansle comprendre. Deuxrenfants jouaient>nsemble, en jetant des dés sur un carton.'Jeün'approchaFet] je lus Jeu d'oie, renouvelé des Grecs. Re- nouvelé des Grecs, c'est' ce qu'on pourrait écrire sur la plupart]des objections contem- poraines contre les miracles et les dogmes de la religion. L'incrédulité moderne les armées de fioritures].scientifiques mais le fond n'est qu'un emprunt fait aux vieilles erreurs que la dialectique sacrée a mille fois refutées. Le plus souvent, ce sont de vérita- bles jeux d'oie. Ne pas confondre le sentiment de sa supériorité, avec l'illusion de sa supériorité. L'un est plus commun que l'autre.Je connais pas malde sots qui se croientfquelqu un. Une grande ^science renforcejla^modestie. La demi-science nourrit l'orgueil et lasottise. Le barbare est la matière première de la civilisation. Le sauvage en est le dernier déchet, a On peut éteindre 1* paupérisme, misère enrégimentée sous les mêmes guenilles et les mêmes vices on ne fera jamaisjdispa- raitre le pauvre. Vérité}™de l'Evangile Semper entm pauperes habetis vobiscum. A défaut des accidents qui engendrent la pauvreté dans l'humanité déchue, il y aura toujours des volontaires engagés sous le drapeau du roi éternel des pauvres. Sans eux, le .Christ ne serait plus représenté sous un de ses aspects les plus touchaDts. La religion ami de la justice et miséricor- dieuse, étend son manteau sur les proprié- laires pour protéger leurs droits. Les imbéciles le déchirent a belles dents. lis ont bonne grkce de crier au voleur quand les va-nu pieds et les meurt-de-faim entrent par les trous qu'ils ont faits, pour les piller! Les avonturiers politiques trouvent tou jours un écho dans l'kme du peuple, comme on en trouve dans.tous les grands bailments vides. Les.bons gouvernements usent du pou- voir pour faire payer tout juste au peuple les services qu'on lui rend. C'est toujours dans les prix doux. Les mauvais gouvernements usent du pouvoir pour faire payer largement au peuple les services qu'on lui rend. C'est toujours trés cher. s Derrière les révolutionnaires triomphants et satisfaits, on entend tout de suite, rugir la béte populaire doot on a excité les appe- tits gloutons. 11 faut lui donner a manger. Mange du religieux! J'ai faim encore! Mange du prêtre, mange l'Eglise J'ai faim Mange la justice J'ai faim! Mange la force protrectrice du droit! J'ai faim Mange du bourgeois Toujours faim C'est fini, il n'y a plus rien Eh bien, c'est vous que nous allons manger! Et la béte mange, jusqu'a ce que Dieu arrive et dise A mon tour P. Monsabré Mgr. l'Evêque de Bruges a nommé Curé a Bavicbove, M. Van Overschelde, curé k Crombeke. Curé k Crombeke, M. Catteeuw, curé a Zande. Curé a Rolleghem-Capelle, M. Rooms, directeur des écoles, k Wynghene. Curé a Zande, M. D'Hertoghe, vicaire k Houthem lez Furnes. II n'y a d« nécessaire que Dieu, et, pour marquer sa suprème indépendance, il n'est pas rare que le Très.Hautbrise ses meilleurs instruments i l'heure oü sa cause es attend les plus grands services. Cardinal Pie. Prenons garde d'être complices de la diminution de vertu qui menacerait nos sociétég si le christianisme venait a s'affai- blir. Que serions, nous'Bans lui Qui rem- placera ces grandes écoles de sérieux et de respect telles que Saint Sulpice.ce ministère de dévowement des Pilles de la Charité Comment n'être pas effrayé de la séchereBse de coeur et de la petitesse d'esprit qui enva- hissent le monde 'I... Ernest Renan. La distinction entre le Catholicisms et le cléricalisme est purement officielle, subtile, faite pour les besoins de la tribune; mais ici, en Loge, disons lejhautement et pour la vérité, le catholicisme et le cléricalisme ne font qu'un. Le Fr.-. Courdavaux, k la loge 1' Etoile du Nord a Lille. Saint Vincent de Paul prouve mieux que Bossuet la divinitó de la religion qui a fait l'un et l'autre. Lacordaire. Les biens dont on dépouille l'Eglise portent malheur a ceux qui les acquièrent. Charles-Albert, roi de Sardaigne. La confiscation des biens du clergé a fait a la France une mauvaise conscience. Vicomte de Tocqueville, de l'Académie francaise. Beaucoup d'espritg ne veulent pas admet- tre la nécessité d'un culte formel. Dieu n'en a pas besoin, dit-on. II est vraimais ia perfection de Dieu ne noüs dispense pas de nos devoirs. Quand notre bienfaiteur est tellement au dessus de nous que nous ne pouvons rien pour sa gloire et pour son bonheur, nous n'en sommes pas moins tonus a exprimer notre reconnaissance. Dieu aime le monde, puisqu'il a voulu le faire et il aime les hommes d'un amour de prédilection, puisqu'il les a eréés intelligents et libres... Affirmer qu'il est indifférent notre culte et a notre amour, n'est ce pas une témérité, quand nous savons qu'il se réjouit de nos vertus et qu'il nous aime a proportion de noB mérites Dieu n'avait pas besoin non plus de créer le monde. C'est mal raisonner et mal faire que de chercher, dans la perfec tion de sa nature, un prétexte pour nos vices. Nous ne pouvons parler qu'en trem- blant de la nature de Dieu, mais nous devons parler avec certitude des obligations de l'homme. Jules Simon. L'église est la maison de tous. C'est bien la, qu'on oublie. Femme du peuple qui peinez tant, voulez vous oublier ia mansar de oü il fait froid et oü l'on a pas toujours du pain, le loyer qui n'est pas payó, le mari qui vous bat quand il est ivre, les enfants mort8 ou mal poitants, toute la douleur de vivre 1 Et vous, blies et femmes tentées par la misère..., et vous, mendiants, infirmes et meurt-de-faim..., venez, venez ici Une fois les lourds battants feutrés retom- bés derrière vous, tout est fini, rien de lout cela n existe plus vous entrez dans un monde nouveau, dans un lieu de mystère oü vous pouvez croire que la vie est uu vague et mauvais rêve allégé par des trèves bienfai- santes qui font pressentir le réveil ailleurs et vous sortirez avec une douceur dans l'ame et une résignation un peu moins inutile que la révolte. Venez, vous qui peinez et qui êtes chargés, je vous soulagerai. Jules Lemaitre. La Libre Pensee est accomodante elle permet de donner beaueoup a César,pourvu qu'on refuse tout a Dieu. A. de Pontmarin. Certes, on trouve aujourd'bui bon nombre de capitalist«8 qui renient leurs .ancêtres et ont oublié que les biens de l'Eglise, confis- qués et vendus k vil prix, sont le fondement des fortunes colossales que nous connais- >008. Sont ils assez spirituels et assez naits ces adversaires qui osent nous demander com ment nous pourrions nous procurer 1 argent nécessaire, pour Yéaliser les réformes que nous'projetons. Parbleu en expropriant les expropria- teurs Vooruitjanvier 1903. Alleman Biieck 11 noue fait de la peine de voir les gens souffrir de l'estomac, car nous savons qu'ils peuvent être guéris par nos Pilules F'ink.Y a-t-il^une maladie plus commune, et qui soit aussi dculoureuse, afl'aiblissante Les pilul <s Pink la guérissent trés bien- M.Lericke, de Soignies,rue de Braine, a été guéri par les pilules Pin1', et a éarit M.Leriche (Photo. Théo.Coppieters.Soignies) Je déclare avoir été guéri par I s pilules Pink, d'une maladie d'estomac qui durait depuis longtemps Les maux d'estomac ont presque tous une'origine commune: surmenage de l'esto mac, provenant, soit d'un état de faibiesse gé nérale, soit d'un souci erroné de suralimenta- tion. On charge outre mesure l'estomac et bieniól celui-ci ne digère plus qu'en souffraut.puis il ne digère plus du] tout. Les] vomissemeDts, les diarrhées, rendent la nutrition impossible ou bien alors les aliments non digérés séjournent dans l'estomac, s'y corrompent, deviennent poi- soi set empoisonnent l'organisme. Dans l'un comme dans l'autre cas, il faut remé- diera l'affaiblissement de l'estomac, et les pilu les Pinkfsont le remède. La dyspepsie mine les hommes. Elle est une entrave sérieuse a l'ac- complissement de leurs devoirs Quand l'estomac est malade, tout le système est en déroute. Les pilples Pink s'assimilent, parfaitement et fortifient tous les organes.Elles donnent du sang, tonitient_les nerfs. Elles ïsont aussi spuveraines contre l'anémie, la cfilorose, la faiblesse généra le, migraines, névralgies.sciatique.rhumatismes- Les pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépótPb1» Derneville, 66, boulevard de Waterloo, Bruxelles. Frs 3,50 la boite. Frs: 17,50 les six boites, franco. Dépot a Ypres, pharmacia C LlBOTTE k PoperiDghe, pbaimacie MONTEYNE. Joseph Léonard, handelaar te Doornijk en Juliana Lebbe, z. b. te Yper. Armand Donck, brouwer en Maria Vermeu len, z. b. te Yper. Richard Talpe, toeziener te Zillebeke, en Octavie De Groote, z. b. te Moorseele voorg. te Yper. BURGERSTAND VAN YPER van den 24 Jan. 1908 tot den 31 Jan. 1908 Geboorten Lootens Gabriel, Zillebekestraat Gouwy Maria, Wieltjestraat. Declercq Ivonna, Veemarkt. Rotru Cyriel, Groenestraat. Lancaire Ivonna, Dixmudesteenweg. Dassonne'ville Andreas, Rijselsteenweg. Depoorter Maria, SchutteUrestmat. Huwelijken Vanbaecke Henri, timmerman en Pbilomena, strijkster beiden te Yper. lndevuyst Jan, aardewerker en Octavie, werkvrouw beiden te Yper. Sterfgevallen Hoorelbeke Emiel, 21 j. laadwerker ongeil Lange 'fbouroutstraat. De weer Rosalie, 58 j kantenwerksler ongeh. St Jacobstraat. Taets Gaston, 5 weken Veurnesteenweg. Gailliez Margareta, 22 maaridea Mondstraat. Gastelein Bruno, 74 j. z. b. eclitgt. Develter Cecilia, Weduwenstraat. Thiteca Magdalena, 5 m Dervaux Amelie, «1 j. z vic, Wenuinckstraat. De Bruyne Maria,87 j.z. b ongeb.Dixmudestr. Dewilde Octavie, 67 j kantenwerkster wwa Bonte Francies, Ryke Klareu^traat. Vandecasteele Florentina, 29 j. z. b. ongeh. Poperinghesteenweg. Carton Amelie,71 j.z. b. ccblgt. Morent Karei, Poperinghesteenwog. Vaudecastelle Clern°nt:n3, 77 j. z. b. ongeh. De Haernestraa-. Vermeulen Clementina, 76 j. b. wwe Sampers Karei, Rysolstraat Blauwe Leliestraat, b. wwe Odent Ludo- certain que tu suras guéri en 2 jours de la toux et de tes maux de gorge, si lu prends la veritable Pastille Pectorale du 1)'' Waltbéry. 1 fr partout. Mr. E Ko ingswinter, Rue Bara n° t a Bruxelles,déclara a notre reporter ce qui suit: J'ai souffert d'une maladie de la poitriue depuis to ans j'ai employé en vain de nombreux médicaments saus pouvoir m'un débat rasser. Mon som- meil et monappétit laissaient a désirer. J'avais la poitrine sifflante, des poiuts de eöté, d s aogoisses coutinuciies. A la maison on craignait de me voir rester dans une de ces crises. Mes glai- res ne pouvaient se détacher. Oa me recommanda,comme remède excellent, le Sirop de l'Abbaye du Couvent Sancta Paulo; j'bésitais k i'essayer, paree que je ne pouvais m'imaginer qu'un remède Pftt encore me soulager. Je me déeidai cepertdant, et je fis chercher une bou- teille de Sirop de l'Abbaye chez le phar- macien Vergauweu,Boulevard Anspach. Après avoir pris quatre cuilleréas, je ressentais un mieux, les glaires se dé- tachaient plus facilement. Peu a peu le sommeil et l'appétit s'améliorèr nt. Six boutoilles ont sutB a mo guórip jo m, sens comme rajeuni. Vous pouvez pu blier cette attestation. I e Sirop de l'Ab baye du Couvent Sancta Paulo coüte 2 fr., 4 fr. et 7 fr. le flacon, et se vond chez O. de Beul, pharmacie, Longue Rue Neuve 57, Anvers. En vente k YPRESL. Aertsens, pharmacie Bécuwe.Marché au Beu-re 7, Pharm. Centrale Ch. May, Grand'Place, 35, C. Libotte, rue du Verger; A. Donck, rue de Lille. POPERINGHE; A.Monteyne.Grand'Place, 18. COMINES: F. Van Windekens, et dans tou'es les bonnes pharmacies. la pilule antiglaireuse du Dr Walthéry. Des milliers de guétisons par an. 1 fr. partout. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2