A la Lhambre
EXTRAIT
t
Intéréts de l i
petit bourgeoisie
Actes officiels
A Cominci
Kieore la Chambre
Rapport de M. Colaert
Chromque reJigieuse
Comment me débarrasser de mon
Asthme
b ux"ir"'1 PaS liCU de "Panter les
ment dl S°nt aCtuelle"
ment, dans ce corps savant.
Eglise tie St Marlin
ÜÖójours dt; /atigue par an
Notoz {^'ez-aue- la boite de Pilules anti-
D'nu jiigemt nt roudu, le 26 jmllet
190", par le fribuual de première
iosiance d Ypres, dnmeut eüregistré
of signifié, enlre Leor.ie Vaodamme
demaoderesse, con Ire Arthur Benaut,
son cpoux, met,nisier domicilie
Comities ten Brielen, défendenr
li appert que ia dite Leonie Van-
damme a été séparce dé corps et de
biens avec son prédit époux, Arthur
Benaul, et que celui-ei a été condam-
ne aux dépans.
Pour extrait eer lip sincèrc et
veritable par l'avoué soussigrté con-
slitué pour Leonie Vandamme.
LEBBE Firmin.
(-4 suivre.)
BBPPI.I.
Nona apprenons avec nlaisir que sur
I'initiative de Monsieur l avocat Begerem,
eonseiller communal, un comité catho.'ique
pour la defense des intéréts de la petite
bourgeoisie, yient d'être constitué en notre
rille.
Nous reproduisons, d'après les Annales
parlementaires, le discours prononcé par M.
Colaert, dans la discussion du Budget du
Ministère de 1'Intérieur.
AL Colaertrapporteur. Messieurs,
l'honorable M. Vandervelde a profité de la
discussion du budget du ministère de l'intë-
rieur pour entamer, trés brièvement du reste,
une sorte de débat sur la politique générale
du gouvernement, et sur ce terrain il a été
suivi par l'honorable M. Woeste, qui lui a
répondu en peu de mots.
Je ne veux pas suivre l'exemple de ces
honorables membres et je ne parlerai pas de
la question militaire. Nous connaissons k ce
sujet le sentiment du gouvernement et nous
sarons aussi l'opinion que partagent sur cette
question la plupart des membres de la
droite.
Quant au suffrage universel et a I'unifica-
tion de notre système électoral, dont il a été
question, la Chambre parait décidée a ajour-
aer le débat jusqu'au jour oü les propositions
de M. Vandervelde et de M. Vandewalle
pourront être examinées.
Je veux dire un mot de l'instruction obli
gatoire, bien que cette question soit devenue
éttangère au budget de l'intérieur.
M Vandervelde a voulu marquer le pro-
grès qui se manifeste au sujet de l'obligation
scolaire et l'honorable membre nous a dit
que, lors de la discussion en section centrale
du budget des sciences et des arts, un voeu
avait été admis en faveur de la realisation de
cette réforme. C'est exactmais il importe
de signaler dans quelles conditions ce voeu a
été adopté. Deux membres de la section
centrale étaient momentanément absents au
moment du vote, ttle voeu a été admis par
deux voix contre une et deux abstentions.
Si ces deux membres avaient été présents, la
proposition,je crois pouvoir l'affirmer, aurait
été rejetée par parité de voix et trois absten
tions.
M. Vandervelde. Abstentions favora-
bles au principe.
M.dïolaert, rapporteur. En effet, mais
il importe de signaler les motifs d'abstention
T** lüa SouL uavis, LUirjiuc
Thonorable M. Vandervelde, qu'il faudrait
admettre la liberté du choix du père de fa
milie puur ce qui concerne l'école a suivre
par ses enfants mais a cóté de cette liberté
ils demandent quelles garanties nous seront
données en vue du jour oü, l'instruction
obligatoire étant admise, nos adversaires
seraient au pouvoir.
Af. Mechelynck. Mais l'instruction
publique n est plus rattachée au ministère de
l'intérieur.
AL Colaertrapporteur. Je le sais et je
Viens de le dire mais je désire répondre
deux mots a M. Vandervelde qui a entamé ce
débat, et l'honorable membre admettra par-
faitement que je le suive, mais le plus briève
ment possible.
M. Vandervelde. II a toujours été
admis qu'a propos dun budget on pourait
discuter la politique générale.
M. Colaert, rapporteur. Les garanties
dont je pariais tout a l'heure sont les suivan
tes d'abord il faut que l'enseignement libre
soit traité sur un pied d'égalité avec l'en
seignement officiel, au point de vue des
subsides.
Af. V an der vel de. Cela n'a aucun rap
port avec la question de l'instruction obliga
toire.
Af. Colaert, rapporteur. Pardon, et si
cette garantie était donnéeje suis convaincu
que ceux qui se sont abstenus sur la proposi
tion qui a été faite a la section centrale du
budget des sciences et des arts admettraient,
sans doute, le principe de l'instruction obli
gatoire mais la généralité des membres de
la droite ne seraient pas ralliés a la réforme,
paree que nous vouions d'autres garanties
dont j'ai parlé dans le rapport du budget des
sciences et des arts.
J'ai fait obsei ver aussi a l'honorable M.
Vandervelde que, lorsque l'instruction
obligatoire a été admise dans certains pays,
il n'en est pas résulté un progrès réel Pro
testations a gauche).
Af. Demblon. Profonde erreur
Af. Colaert, rapporteur. Ge n'est pas
une erreur.
Af. Berlo\. Si 1
Af. Colaert, rapporteur.Dans la discus
sion que provoquera certainement l'examen
du budjet des sciences et des arts, nous
examinerons, d'ailleurs, la question de plus
prés et je vous prouverai que, notamment en
Fiance, il est constaté officiellement que,
depuis 1881époque a laquelle l'instruction
obliga.oire a été instaurée, la situation de
l'enseignement est a peu prés restée la même
qu avant cette date Nouvellesprotestations a
gauche.)
Af. Vandervelde. C'est tout k fait
inexact I Nous en reparlerons.
Af. Demblon. Dites qu'on n'a pas
atteint 1 idéal, mais ne niez pas le progrès 1
Af. Colaert, lapporteur. Je me base sur
les rapports d'inspecteurs officiels...
Af. Demblon. Même en Italië il y a eu
quelque progrès.
M. Colaert, rapporteur. Non.
Af. Vandervelde. Nous vous abandon-
nons l'Italie oü l'obligation scolaire n'est
d'ailleurs effective.
Af. Colaert,rapporteur.Si vous m'aban-
donnez l'Italie, vous pouvez en faire autant
de la France, oü d'après les statistiques
officielies, les progrès constatés ne sont rien
moins que considérables.
Af. Vandervelde. C'est une erreur. Le
progrès est considérable, mais j'ajoute qu'il
est insuffisant.
Af. Colaert, rapporteur. Presque nul,
j'aurai 1 occasion de vous le prouver, tandis
que chez nous la liberté a amené des progrès
i n can testab los
encore trop incontestable.
Af Fumémont. - On va présenter un
nouveau projet de loi en France. Ne vous en
desolez pas. Que Ton nous donne le régime
de la France et nous serons déja contents.
A suivre
Suivent la discussion et le vote du budget
des affaires étrangères.
Af. Brene\ interpelle au sujet de la
catastrophe du Couchant du Flénu.
La responsabilité incombe aux porions
qui out commis une imprudence grave.
Après avoir entendu les explications du
ministre la Chambre reraet a mardi la suite
de la discussion.
Mercredi 5 février
Discussion du budget des chemins de ïer.
Af. Vandervelde defend l'exploitation par
l'Etat. Les compagnies veulent avant tout
faire des bénétices. Elles exploitent les
industriels, negligent les lignes qui ne rap
portent pas et ne veillent pas assez a la
sécurité des voyageurs. L'orateur invoque
l'exemple de l'étranger.
Af. Anseele revendique pour les ouvriers
du railway le droit de se constituer en
syndicats.
A son tour, le socialiste Bertrand, defend
l'administration des chemins de fer beiges.
Notre situation, même au point de vue des
bénéfices, est meilleure que dans un grand
nombre de pays.
Jeudi 6 février
Af. Demblon demande qu'il soit interdit
de fumer dans les trains, comme dans les
tramways.
Af. Nolf réclame des modifications aux
horaires actuels.
Af. Lemonnier parle aussi en faveur de la
liberté syndicale. En fait, le personnel des
chemins de fer use de cette liberlé.
Vendredi y février
Le chef du cabinet depose un projet de loi
reculant de huit jours, la date des élections
provinciales de cette année.
Af. Lemonnier continue son discours et
s occupe de la situation du personnel il
félicite le ministre d'avoir portó a 3 fis. le
salaire de nombreux agents.
de 51 a 56, celui de ses membres ouvriers
qui était de 147 en 1905 est actuellement do
205 les secours distribués ne s'élevaient
qu'a 727 fr. en 1902, ils atteignirent 22G7
fr. pendant l'année 1907 I
Ces résultats encourageants permettent
d'augurer pour l'aveuir uu plus grand déve-
loppement de la Conférence de St Vincent de
Paul du Patronage.
Par arrêté royal du ï9 janvier 1908, sont
nommés Procureur du Roi prés le tribunal
dulr<> instance deTermonde,M.V.Schramme,
procureur du roi pros le tribunal du lre
instance d'Ypres.
Procureur du Roi prés le tribunal de l,c
instance d'Ypres M. J. V< rhelst, substitut
du procureur du roi prés le tribuutil de l'e
instance de Gand.
Par arrêté royal du 3 janvier 1908, sont
nommés: bourgmestre a Oostvleteren; M Ch.
Vandenberghe a Passuhendaele, M. Ch.
Bayaert; a Westoutre M. H. Bocuwe.
C'est la question que des milüers do fois se
posent ceux qui sont atteints de i'asttime, el qui
ont en vain essayó tous les remèdes et suivi tous
les traitements. II est triste de constater qu'il y
ait ei core tant d'asthmatiques, qui ne sa vent pas
que de nos jours il existe un rémède unique
qui non seulement procure aux malades des
soulagements, mais procure aussi la guérison
daDS la plupart des cas. Pour reux qui l'igno-
rent nous proclamons que le célèbre Sirop de
l'Abbaye, du Couvent Sancta Pauio, est ie seul
remède qui ait rendu la santé h des milliers et
des milliers d'asthmatiques.
Voici la déclaration d'une personrie ayant
souffert d'asthme pendant 10 ans, et qui a été
guérie parle Sirop de l'Abbaye.
Mardi y février
M.Cooreman, président, fait part de la
tragedie sanglante de Lisbonne il invite
o Parlement a flétrir le crime odieux et prie
le gouvernement de transmettre aux mem
bres survivants de la familie royale portu-
gaise 1 hommage de la compatissante sympa-
thie de la Chambre beige.
Tandis que Af. Davignon s'associe a ces
paroles de condoléance, Af. Vandervelde au
nom de la gauche socialiste, envoie son
salut a ses amis de Portugal avec l'espoir
de leur liberation prochaine par la procla-
matton de la Répubüque.
Sur le budget du Ministère des Sciences et
des Arts, pour Lexercice igo8
Nous extrayons, i l'intention de nos leeteurs
les passages principaux du remarquable rannort
que notre Député M. Colaert, a consacré comme
rapporteur de la section centrale, au budget du
ministère des Sciences et des Arts.
A propos de la denomination du
Ministère, un membre de la i" section a
déclaré qu'il regrettait que le titre de ce
Ministère ait été changé. fl attribue la modi
fication a des préoccupations politiques. II
n'y avait aucün motif plausible, d'après lui,
de faire disparaltre la mention de Ministère...
de l'Instruction publique.
Sans aller jusqu'a dire, avec un honorable
membre du Sénat, que cette critique est
puérile, la Section centrale est d'avis qu'elle
n'a aucune importance, les Sciences compre-
nant l'enseignement a tous les degre's, même
^instruction primaire qui mêne a la science
et qui est indispensable a la culture de l'art.
D autre part, lors de sa constitution, le
Gouvernement a déclaré formellement qu'il
avait l'intention de développer encore l'en
seignement a tous les degre's. On l'en a
critique, paree que sa declaration assimilait
1 enseignement privé a l'enseignement officiel.
On ne saurait pourtant méconnaitre que
l'enseignement libre est consacré par la Con-
itution, et il serait difficile de contestcr q
een est qua son défaut que l'enseignement
public doit etre organisé. II est done juste
que 1 enseignement privé soit traité, avec les
memes egards que l'enseignement public
surtout au point de vue des subsides a accor-
der a 1 un et a l'autre.
allnn" Pr°P?.S' CODStat0ns que les crédits
alloues pour 1 instruction publique moutent
sanscesse. Depuis ,88i. le Budget a aug-
mente de plus de 8,000,000 de francs. C'est
surtout 1 enseignement primaire qui a be'né-
des augmentations annuelles des crédits
portes au Budget de l'Etat. Les budgets des
provinces et des communes ont généralement
sum cette progression de 2,000,000 de frs
en 1843, on est arrivé-, en 1881. a 3a,000,000
pour monter au.jourd'hui a 45,ooo,ooo I C'est
a ce chiSre que s elève approximativement
tensemble des credits consacrés, par les pou-
voirs publics, au seul enseignement primaire
Nous navons pas a nous occuper ici du
com de 1 enseignement libre. 11 ne serait du
reste, pas poss.ble de l'e'valuer mais on peut
aftrmer, sans crainte d'être coatredit, que
1 initiative prive'e consacré chaque année, a
instruction populaire, des sommes telles que
si eet enseignement n'existait plus, il résulte-
rait de sa disparition une charge double pour
les pouvoirs publics (r).
II est done incontestable que l'enseigne-
De notre correspondant
Une grande soirée recreative offerte par
les membres de la Conference ouvrière du
Patronage réunissait Dimanche dernier un
nombreux public.
On y remarquait le clergé et les notabili-
tés cathoiiques de la ville, parini lesquelles
MM. P. berrant et J. Vandermersch, éche-
vins, les membres de la majorité du conseil
communal, etc.
Les acteurs, dont plusieurs paraissaient
pai'Taifemënlrèmpli lëür role dans iTcomé-
die Les Chanteurs en déconfiture et
La Succession Beaugaillard Cette der-
n.ère pièce, oeuvre d'Antuny Mars, a eu un
succès extraordinaire.
Un merci tout particulier a eeux qui en
vrais artistes ont régalé l'assistance de mor-
ceaux de musique et de chaut parfaitement
rendus. Monsieur Pilate, chanteur comique
a egalement été fort apprécié.
La Conférence ouvrière fondée en 1902
grace surtout a l'initiative de Monsieur le
cmeDecocketau dévoüment de Monsieur
Albeit Reague, Président de la Conférence,
eja realisé un bien immense. Depuis sa
delen011 a distribué pour 9516 francs
aient dP°Ur Cela les ouvfiers
aten du verser la moindre cotisation.
M.Henn Dumortierlut un rapport détail
il con IT"8 d0mil 6St 16 dévoué ^crétaire;
constata avec une iégitimefierté les pro-
Le nomE a aCCOmPlis Par la Conférence.
Le nombre de ses membres actifs est passé
f?OtlftnC7T
(1) Rapport fait, au nom de la Section centrale
par M. Colaert, sur le Budget de l'intérieur et de'
instruction publique pour 1997, p. 4.
ment privé rend au pays des services qu'il
Gouv mjUSte de ne pas encourager, et que le
1' inspire
P me ant un traitement aussi favorable
8 I enseignement fibre qu'è celui donné
exc usivement aux frais des pouvoirs publics.
justitie6 Te nOUIeaU d°nné aU Ministère se
Cue', fneStd°nC de ^me des services
uxquelsilestappeléa pourvoir.
Académie royale des sciences, des
lettres et des beemx-art* r
Ja r^rrvo eaux artsLa question de
la reorganisation de l'Académie a été de
nouveau soulevée dan« nr.
vee aans une des sections t p
rapport sur le Budsrer a
de 1907 a aonelé la
serieuse attention d., r appeie ia
question hp Gouvernement sur cette
q est.on, de meme que sur celle de savojr
dernil?™*oa8 D'*Y™ pu'être discute'es Pan
de n er la Section centrale estime qu'il y
a Reu de reproduire les conside'rations déve
BuPdPge"9:e;i SUi" dMS le rapport sur ie
Lors de la discussion des budgets de
1898 et 1904, plusieurs membres se sont
Fait assurément bizarre, il est résulté
de ces discussions que, bien que notre
Academm compte une Classe des lettres il
"7 a pas de litterateurs dans ce corns
savant. K
Non p?lS évidenxment, que nos académi-
d' prés [iliotogiaj li ie
Ce que le Sirop de l'Abbaye a pu faire pour
d autres, il lo fera assurément pour vous.
Essayez-le et vous vous rójouirez dssrésultals
obterius. Mad Marie Roeiandt, agée de 39 ans,
habitant Nederbrakel, nousdóclara ce qui suit
J'attrappai un rliumei!-y-a 10 ans, que je négii-
geais et qui dégénóra enas'hma. Je n'avais plus
plaisir Di agrémentmon haleine était courte
et saccadée, je ne dormals pour ainsi dire pas.
J'avais uci5<iiiguii5oco ivciv 1^, tA 4,.^
je nepouvais plus vaquer a mes occupations
i "-",,°aUOn de fatigue, j'é'ais toujours
hors d haleine. Je frissonnais, j'avais n-uiu,
j'étais devenue mélancofique On altira mon
attention sur i'efficacité du Sirop de l'Abbaye,
Couvent Sancta Paulo. J'aohetai une bouteil'lede
quatre francs a la pharmacie de Beer a Neder
brakel. Déjè après cette première bouteille je
ressentisdu mlfcüx les glaires., qui s'ctaient
fixées, se détaehórehl facilement. Je continuai
le traitement avec le Sirop de l'Abbaye et après
avoir eu quatre bouteilles, me voici tout k fait
guérie. Vous pouvez publier mon portrait dans
les journaux.
L-e Sirop de l'Abbaye, Couvent Sancta Paulo
est un remède délicieux pour jeune et vieux II
est absoiument inoffensif et guérit les rhumes
ancienset récalcitrauts, bronchites maux de
gorge, coqueluche,glaires et toutes les affections
de la poitrine et des poumons.
Prix 2 fr., 4 fr. et 7 fr. le flacon.
Dépöt-géné'-al L. I Akker, Rotterdam.
Dépot principal pour la Balgiqu0 0. de Beul
Longue Rue Neuve 57, Anvers
En vente a YPRES L. Aertsens, pharmacie
Bécuwe, Marché au Beu-re7, Pharm Centrale
Ch. May, Grand'Place,35C. Libotte, rue du
Verger A. Donck, rue de Lilie.POPERINGPlE
A.Monteyne. Grand'Place, 18. COMINES: F. Van
Windekens, et dans toutes les bonnes phar
macies.
■BESSSBSESSBS2BS
Triduum Solonnel en l'honneur de N. D.
de Lourdes, le Mardi 11, Mercredi 12 et
Jeudi 13 Février, 5ome Anniversaire de la
ire Apparition de N. D. a Lourdes.
Ordre des Offices
Messe Solennelle a 8 heures.
Salut Solennel a 5 i/a heures
Après le salut cantique en l'honneur de
Marie Immaculée.
vphnnf f I uitfU Quel temps de
1 tuuul chien.Tout le monde tousse,
crae.jtt, éternuc, lleureusement que la Pastille
Pectorale Wallhéry est Ih pour guérir toutes
ces uiisè/ès. 1 fr, partout.
II y a des [>ersonnes k qui vous demanderiez
3d5 fois par an comment elles se portent, qui
vous 1 épondraient invariablement. fane va
pas, je suis toujours fatiguóe En répondant
ainsi, ces persoonesdisent i'exacta véritó Elles
sont toujoursfatiguées Qu ellessereposentounon
e^ies éi, rouvent toujours una impression réelle
de lassitude.de fatigue. El.essont tristes, mélau-
coliques, elles n'ont de gout a rien, pour rien,
evUentle bruit, la fouie; elles ne peuvent pas
prendre de decision rapide, même dansles cas
les plus urgeuts et leur seul désir est de ues pas
avoir a peaser, a bouger: il leur faut le calme,
le silence, la torpeur.
Ces personnes souffrent de débillité nerveuse,
d' anémie lente et sont trés malheureuses. Tou
tes leurs foLictioiis subisseut une sorte de raleu-
tissement. Arrivé a un certain degré d'engour-
dissement, d'atfaiblisement, la ruine de
rorganismes'achéveavecuneaifrayanle rapiditó.
Pour faire disparai re cette fatiguo, pour
relever eet organisme, pour combattre cetle
anémie, que faire I
II faut régénérer le sang trop pauvre en globu
les rouges, tonitier le système nerveux qui n'a
plus do ressort, aumenter sans retard la resi
stance vitale.
Un long traitement est-il néccesaire, doit-il
être accompaguó u'un régime compliqué Point.
Prendre quelques boites de pilules Pink, et
I c est tout. Le malade au bo »t de peu de temps te
fera lui-même son régime. Sun appéiit, en efiet,
aura eió augmentó ct il voudra manger a sa
faun, vous ie laissercz manger. Sa vdaliiè aura
été angmeiitee ijl iiny part, par l'app u t du au
medicament et, d'autre part, par ia 1 ourriture
plus aboudaiito el mieux assimiiée.
L exeós d vitalifé, do sang, fera que le malade
de iui-aiéme sortira de sa torpeur.
Les pilules Pink peuvent relever la constitu
tion le plus épuiséeelles 1 égónèrent toutes leg
touctious, font renafire i'énergia affaiblie par
1 age ou les souftrances, le surmenage pfiy^ique
ou mental, les excès, les chagrins.
On trouve les pilules Pink dans toutes les
pharmacies et au dépotPhie Derneville, 6(5,
boulevard de Waterloo, iiruxelles. Frs 3,50 la
boite. Frs: 17,50 les six boites, franco.
Dépót a Ypres, pharmacie 0 LIBOTTE - k
D-meringue, phaimacie MONTEYiN'E.
ciens appartenant a la Classe des lettres ne
soient pas des écraivains distingués mais
leurs oeuvres ont un caractère scientifique
plutöt que littéraire ou artistique. II en est
même qui, dans leurs écrits, déclarent
qu ils n'entendent pas faire de litte'rature.
Dans la discussion du Budget de 1904,
1 un deux nous a dit
Vous savez que, actuellement, la Classe
des belles-lettres ne compte pas de litte'ra-
teurs proprement dits, et vous n'ignorez
pas que la Classe des beaux-arts n'en
i) compte pas non plus.
Un autre académicien s'est jugé lui
même Nous nous intitulons Classe des
lettres; en réalité, nous sommes une Classe
des sciences morales et politiques.
On ne conteste done pas que notre Aca-
de'mie ne réserve plus aucune place a ceux
dont l'oeuvre littéraire est le produit de
'^g'nat'on. II semble pourtant juste
qu Us y soient repre'sente's au même titre
que les savants et les artistes.
sartf demeUrant' Parait facile de donner
satisfaction a un voeu souvent exprime' et
interessant au plus haut point notre fittere
ture de langue francaise, qui mérite d'être
encourage'e aussi bien que celle d'expression
ftamande. II suffirait de créer ung
des lettres proprement dites et d'y app-ler
nos meilleurs li„é„,eurs. 0o pou'jai!
ranger les hommes de lettres actuels dans
la section des sciences morales et politi
ques, a laquelle on ajouterait la sociologie
^idiiv-vaunery, quisuttit nnnp
En donnant satisfaction au voeu legitime
exprime' de nouveau par la Section centrale,
le Gouvernement re'pondrait aux sentiments
qui semblent être partagés par la généralité
des membres de la Chambre.
III. - Bibliothèque royale. - Mêmes
observations et mêmes critiques que les
années précédentes.
Le reglement fait par la nouvelle commis
sion nest pas encore publié, bien qu'il ait e'te'
mis en vigueur le 16 septembre 1904.
Le credit porté a Particle 18 a été considé-
rablement augmenté. De u3,2.5 francs en
1905 et de 17,600 francs en 1906, il a été
portea ,32,300 frs. pour ,907 et a ,75,ooo
rancs pour 1908, y compris une somme de
4,5oo francs en charge temporaire.
L'augmentation est sensible mais il est a
remarquer qu elle comprend le mate'riel ce
qui cache, parait il. une foule de choses'qui
n ont aucun rapport avec l'achat de livres
On a prétendu que le crédit de 175,000 frs
ne la.sse certainement pas une somme de
40,000 francs pour les livres. Ce chiffre est
de lom insuffisant, si on le compare aux
sommes que d'autres pays consacrent a eet
Le crédit devait être divise' et, au besoin
augmente'dès cette année pour ce qui
cernel'acqmsition d'ouvrages.
f x