5s'f.rmriso s"",rr*nt d"'* jJOURS 2° Le Mercredi 18 Mars, LE FOLKLORE par M. Edmond de Bruyn, avocat a la cour a'appel de Bruxelles, directeur du Musée de Folklore d'Anvers. OM' DEMAND rAnémie Cercle Excelsior Nécrologie La eentenaire de Ploegsteert Voormezeele Nominations ecclésiastiques oire exemple sous les yeux Crédit Cénéral Hypothécaire A loaer imnmédxalemenl #E S'-»iticENT»tT^ 5.6UTCHÊN IP II est établi que les Pilules Pink guérissent le rhumatisme. De nombreuses preuves, sous forme d'attestations ont été pu- bliées. II est certain aussi que des gens par centaines ont es- sayé le traitement avec succès. Cela est indiqué par le nombre croissant des attestations regues. Nous pouvons bien dire que toute personne qui souffre de cette douloureuse maladie et qui ne fait p^s le traitement des Pi lules Pink, négligé le moyen le plus efficace de s en débarrasser. Société anonyme sufs/SOM RADICALE wl '«■"O- r.rf. nrodarnes Moskowski, Grieg, Ganne,Wagner et Sinning, le talentueux pianiste, a fait preuve d'une réelle virtuosité qui fait fcon- ueur au maitre anversois Wambach dont il fut le plus brillant élève. L auditoire enthousiasmé a applaudi a chaque morceau le talent vigoureux et rare d amateur et fait au modeste artiste une ovation bien méritée qui compienait le vif désir de ie revoii bientót parmi nous. Nos vives félicitatians a la commission organisatrice de cette belle solennité musi- cale qui comptera dans les annates de notre chèrecité. Musica. Mercredi dernier a eu lieu la dernière conférence de la première serie organisée par le vaillant cercle d eludes et de conférences Excelsior. Nous disons la dernière confé rence de la première série car nous avons appris, ainsi que nous le dirons plus loin, qu'une nouvelle série est en formation. Cette conférence, inutile d'y insister, a obtenu un plein sutcès Le sujet l'Influence économique du christianisme quoique ayant une tendance apologétique, n'était pas précise'ment du même genre que les sujets précédents, mais le R. P. Symphorien est un conférencier de première force, doublé d'un érudit qui cherche ses documents aux meil- leures sources et les expose avec une clarté et une impartialité scrupuleuses, qui ont forte- ment impressionné son auditoiie nombreux et sympathique, L'influence économique du christianisme n'est pas précisément une preuve compléte, adéquate du catholicisme comma le miracle et la propbétie et en particulier la réssurec- tion du Ghristqui en consliluentla base fonda- mentale. C'est une raison actuelle de croire ce qu'on pourrait appeler une preuve prag- matique, qui peut exercer une tiès grande s influence sur certains esprits, tels Francois Coppée, K. J. Huysmans. Cette influence peut impressionner tiès favorablement et fortifier les convictions acquises par ailleurs en montraut le développemcnt barmonieux et total de Thomme régénéré par la vie chre'tienne. i L'homme \ivant en société,il y a toujours cu une question sociale,qui peutse présenter avec plus d'acuité a Tune ou l'autre époque, mais qui a néanmoins toujours existé et la doctrine de levangile par son influence morale incontestable a eu sa re'percussion nécessaire dans les rapports des hommes entre eux, dans la vie économique de l'humanité. Voyons d'un coté 1 opinion du monde gréco romain quant a la production et la répariition de la richtsse, ces deux grands facteurs de la vie économique de l'homnie et la transformation que le christianisme opère j par son apparition et sa doctrine. Des grandes sources normaies de la richesse le traveil sgricole, industriel et commercial la sociélé grecque et la société romaine n'ont pas voulu, cl les préféraient les sources anormales le brigandage militaire, la conquête et le pillage, les exactions et l'üsure. Leurs littérateurs Homèie, Virgile etc. célèbrent avant tout el principalement les grandes expéditions militaires, les combats, les guerres, leurs législateurs, leurs pbilo- sophes, Lycurgue, Solon, Platon. Caton, Ciceron etc. ou bien défendent de travailler la terre comme indigné du citoyen libreou s'ils préconisent comme Solon l'apprentis- v- .w-Sage d un métier mécanique prèchent dans k...»ie désert, ou bien encore laissent le travail commercial aux étrangers. Les citoyens libres pérorent au Forum et s'ajjpliquèntaux exerc ces athlétiques. Les guerriers partent en conquête et reviennent chargés des dépouilies de leurs victimes. Les citoyens désapprouvent le travail et vivent dans l'oisiveté laissant tout travail aux t esclaves. L'Eglise y oppose la grande loi du travail pour tóus. Son fondateur travaille dans Fatelier du menuisier de Nazareth. Ses disciples travaillent. Les monastères sont des centres d'activité d'oü le travail agricole et les arts libéraux rayonnent. Le travail n'est plus quelque chose de dégradant. La Paix entre les peuples est prêchée et 1 Eglise parvient a tranformer effectivement la men- talité économique païenne. Quant a la répartition de la richesse, la société antique comprenait une oligarchie de jouisseurs, une tourbe de citoyens pauvres, mendiants, ne possédant que leurs droits politiques, une foule immense d'esclaves, véritable bétail humain. D'un coté opulence, de l'autre misère, i paupérisme contre lesquels la répartition des L terres comme a Sparte, les lois agraires comme a Rome ne sont que des palliatifs. F A 'Athènes les démagogues disposent d'après leurs faveurs des votes des citoyens libres. „A-Rome. les querelles entre patriciens et plébéiens sont légendaires. Sous Ciceron sur 111 Joó.oooicitoyens, 2000 sont propriétaires, jjlus tard 450.000 citoyens sont aux pieds de ït;1"l!Cêsaiy attendant de lui le froment et les plaisirs panem et circenses. Dans les bas fonds grouille une tourbe d'esclaves, qui se 1*xr> lèrent parfois en révolte affreuse non moins affreusement réprimée L'Eglise prêche le détachement des ri- chesses, l'égalité des hommeB devant Dieu, extirpe lesclavage, introduit 1 amour du travail, le budget de la charité, cette solida- rité chrétiei ne et par le respect de la propriété crée la classe moyenne entre le patricien et le peuple amortissant aussi les luttes entre patriciens et plébéiens. C'est elie qui a rendu possible la civilisation de l'Europe et son développemerit économique inoui. Les grands espiits impariiaux tels Taine en conviennent et l'attestent devant le monde. Encore actuellement c'est l'Eglise qui par son tnseignement,son influence,son exemple résidera a la solution des questions épineu- ses qui mettent aux prises le capital et le travail. Monsieur l'avocat Albert Biebuyck, président d'Excelsior, remercie leminent conférencier ainsi que ses confrères,qui nous ont 1 égalé de cette sé;ie de conférences si intéressantes et si fortifiantes, ii leur dit non j adieu mais au revoir. II annonce encore que le Ce'cle Exctlsior organise une nouvelle série de conférences cette fois pour Dames et Messieurs. Ces conférences seront données a la Salle Iweins d 8 heures du soir, aux dates suivantes i° Le Mercredi 4 Mars, LA CONVERSION DE ST PAUL pai M. I'abbé A. C.tmerlynck, doctoren théolo gie de 1'Université de Louvainprofesseur dt Eer it ure Sainte au Grand Séminaire de Bruges. 3° LE SAMEDI 4 AVRIL, UN POÈTE BELGE, Emile VERHAEREN par M. Thomas Bratin, avocat a la cour d'ap pel de Bruxelles. Le prix de l abonnement aux TROIS conférences est fixé d 2 frs. On pourra se procurer des cartes pour UNE conférence au prix de I fr. Les abonnés a la première série de confé rences d'apologélique bénéficieront d'une reduction de 5o °/0. On peut se procurer des cartes che\ M. G BRAS TaveRNIER, rue au Beurre, etche\ M. TYBERGHEIN FRAEYS, rue des Chiens, et a lentrée de la Salie le soir des conférences. Ou nous écrit de Ploegsteert.23 février. La eentenaire de Ploegsteert, Adelaide Bartier, est décédée dimanche soir. Jeudi dernier dar.8 l'après-midi on la voyait souf- frante d'une oppression de poitrine. Aussitot ses neveu et nièce alarmés prévinrent le clergó qui apporta a la vénérable tante les dernières consolations de i'église. Véndiedi la malade paraissait moins souf- frantc. Mais Samedi matin son état empira, toute a journée d bier fut trés inauvaise. Enfin une crise d'oppression l'einporta hier soir a 10 heures. Adelaide Bartier, n'a vécu que, tout juste, 103 ans, 8 mois et 19 jours. •<U"\ 1 t? I Lundi dernier, au milieu d'un concouis de monde particulièrement nombreux et sympathique, ont été célébrées a Voorme zeele les funérailles de Monsieur Léon de Gheus d'Elzenwal'e, conseiller provincial, ancien Bourgmestie deVoormezeele.membre de la Commission des Hospices, chevalier de l'Ordre de Léopold. Malgré son grand dge.il semblait escomp- ter encore de nombreusesannéesd'existence quaud, après une couite maladie, la mort vint comme par surprise le ravira 1'afFection de8 siens. Décédé a Bruxelles, il fut trans porté a Voormezeele pour être déposé au tombeau de sa familie. Tous les habitants de Voormezeele ont tenus a honneur d'assister a ses funérailles. Sou souvenir iinposait trop do respect pour ne pas leur en faire un religieux devoir. Parmi l'assistance on remarqua une bonne députation du Conseil provincial, nommé- ment MM. le Baron Jean Gil.ès de Pélichy, Ernest Fraeijs, de Thibault de Boesinghe, Iweins d Eeckkoutte, D'Huvettere.Thevelin; puis le greffier provincial, M Verougstraete] délegue de M. Ié Gouverneur de la Province, qui s est fait cxcuser, M. le chanoine De Brouwer, döyen d 1 pres.et nombre dautir s notabilités. Sur la ton'be, Monsieur de Thibault de Boesinghe a p:is la p iro'e et s est exprimé peu prés en ces t< rmes (1 Messieurs, )i Jeudi matin une nouvelle est venue dou- loureusf ment Irapp r la population d Ypres etcellede Yoormezede. Monsieur Léon de Gheus d'Ë'zenvvalie était arraché a 1'affec tion des siens par uue mort iaopinée. Comme aDcicn a ni, et interprète des sentiments uuani.ncs du Conseil provincial, j'ai le pénible devoir d'adresser iciun dernier adieu a eet homme de bien, k ce collègue distingue, qui ne laissera après lui que des souvenirs d'affection et dineltérable bonté, de modestie et de loyauté. Ces quelques mots retracent toute sa vie. Né a Voormezeele, ie 5 avrii 1829, Léoa de Gheus, après avoir requ les premiers principes au sein de la familie, fit d'excel lentes études et obtint le diplome de docteur en droit. II revint ensuite dans son cher lieu natal, pour y trouver un terrain d'action, et s'y occuper du bien être de ses concitoyens. Un abord facile, son dévouement, sa charité lui gagnèrent en peu de temps l'estime générale. II fit son e. trée au Conseil communal et bientèt fut promu aux fonctions de Bourg mestre. Dans cette charge, qu'il porta de longue8 années, il fit preuve d'un noble dés inté. cssement, d'un esprit calme et réfléeki, d'une activité pondérée, d'une égalité d ame remarquable. »En 1889,1a mort du vicomte de Patin de Langemaick nécessita une élection pour la Province. Ce n'est que sur le3 instances réitérées de ses amis que M. Léon de Gheus se laissa mettre sur les rangs. Le 26 Mai de cette année, il fut élu conseiller provincial du second canton d'Ypres. Jusqu'a cesdei niers jours, il fut un des membres les plus assidus du conseil provin cial. Doué d'un jugement droit et sür, auquel ilajoutait un zèle plein d'activité, il fut !e modèle du fidéle mandataire. Sa Majesté le Roi, voulant récimpenser ses services lui décerna les insignes de son Ordre. Monsieur de Gbeus fut de plus décoré de la icroix civique de le elf «e, et de la croixcommémorative du règnt rSa Majesté Léopold II. Que dire de 1 homme privé, du grand cbrétien que nous perdons M. de Gheus n'avait qu'une ambition, vivre en bon chrétien, et faire modesternent le bien, ce qui a l'avantage de plai e a Dieu et aux hommes. Faire jmtice et uiiséricorde en toule simp iciié, accomplir le bien que Dieu veut et soufïrir les rnaux iju'Il envoie, rester calme au mi ieu des vicissiiudes humaines, cruelles parfois, ce sont lei con clusions p.atique.-. de la vie chiéiieULe, qui trouveront leur grande iéc mpense la haut. Le seul luxe qu'il se soit jamais permis, ce fut celui de douncr largement des aumónes et de les donuer avec la simplicité qui était toute sa vie. Quel touchant exem ple dans la pratique de la Charité 1 Cette utile existence,nous pouvions espó- rer de la garder longtemps encore parmi nous, vu la verte vieillesse dont M. de Gheus jouissait. Mais la mort a frappé, et ses coups sont d'autant plus cruels qu'ils étaient moins attendus. Si nous, ses amis, nous sommes si sensi- bles la perte que nous venons de faire, quelle doit ètre ia douleur de celle qui fut sa noble et heureuse compagne 1 Ah I vous, épouse éprouvée, pleurez, oui, pleurez la mort de celui qui n'est plus. II y a des douleurs que l'on ne console pas. Mais songez que le Tout puissant, qui a accordé le repos M. de Gheus, vous don- nera en lui un protecteur, et vous fera Irouver la force de supporter cette épreuve crueile entre tout; s. Adieu, Léon recevez ici de vos amis réu nis autour de vos froides dépouilies, le suprème hommagedeDotre profonde douleur et de notre fidéle attachement. Nous prions Dieu qu'il vousdonuela juste recompense do votre vie clirétienne. Nos lecteurs, pour la plupart, auront appiis le décè3 du révérend M. Louvvagie, curé de Denterghem. Nous tenons cependant a rendre hommage a sa mémoire nous qui avons pu si long- temps apprécier ses vertus et ses ceuvres, comme vicairede I'église St Martin. A peine ses études terminéesau Séminaire, il lut nommé vicaire a St Jacques a Bruges, et bientot après a St Martin en notre vi le a une époque oü les iougues infirrmtés du titulaire, le vénérable Chanoine Boone reclamaient de la part et ses collaborateurs] des qualités exceptionnelles en la direction de la Faroisse. En 1890, S. Cr. l'Evêque de Bruges ap- pela M. Louwagie a la cure de Nieucapelle, et quoique n occupant ce poste que j usqu'en lb96, il restaura, durant ce petit nombre d années son église paroissiale, et l'o na de peintures polychromes. II fit égalcmeut reconstruire la maison curiale, toinbant de vétusté et devenue inhabitable. Nommé a 1 importante cure de Denter ghera en 1890, il semblait destiné (et tout per met tan t delespéro) arendie encore de longb et impoitants services dans le saint mir istèie. —Be Seigot ur en a disposé autre- ment. II lui a plu d'appeler a lui son fidéle set vi Uur, et d'ant ciper en sa faveur de jour des recompenses éternelles. Sa vie entière, sa solide intelligence son pieux dévouement, il les avait consacr'és au se. vice de Dieu, de laSte Egiise, de ses cheis paror-siens. H était mür pour le Ciel, et par ses oeuvres, et par ses vertus coDsacrées et rendues plus méritoires par els tembles souffrances qu'il endura avec une inaltérable patience,durant les derniers mois de sa vie. Que son ame repose en paix 1 Mais que le souvenir éditiant de sa sainte vie lui survive chez tous ceux qui I ont connu, et dont il fut le conseiller, l'ami et le conso- lateur 1 Mgr l'Evêque de Bruges vient d appeler un des prêtres les plus me'ritants et les plus zélés de notre ville aux fonctions importantes de curé doyen de Notre Dame a Bruges. M. Henri Vandermeersch qui netait pas étranger a notre arrondissement puis- qu'il est originaire de Kemmel, était depuis 1900 curé de la paroisse Saint Pierre en notre ville il s'était rapidement acquis en cette qualité et comme organisateur d'oeuvies ie respect, et la sympathie de ses paroissiens et de tous les Yprois. Son depart causera d'unanimes regrets. Nous présentons nos respectueuses et vives félicitations a M. I'abbé Vandermeersch en lui souhaitant de pouvoir accomplir dans ses nouvelles fonctions autant de bien qu'il a su en réaliser durant son court passage en notre ville. Le nouveau curé de Saint-Pierre est M. I'abbé C. De Laere, licencié en théologie de l'Universiié de Louvain, principal du college Saint-Amand de Courtrai. Qu'il soit le 1 ienvenu a Ypres. Durnez Amandina, 31 j. z. b. echtgte Dobbe laars Hector, De Haernestraat. Lepeire Karei, 74 j. z. b echtgt Desaver Ame lia, Lange Thouroutstraat Gaulier Karei, 77 j z. b. wed' Glorieux, Korte Meerscbstraat. Delcroix Camilla, t j. Zonnebeke steenweg. Versavel August. 57 j. molenaarsknecht, w«dr Leontina Andries, Meenenstraat. Nous relatons ici un événement qui s'est pro- duit a Anvers récemment. Nos lecteurs peuvent prendre exemple sur Mr. S. Gutchen, qui est le tiéros de cette tiistoire. Mr S Gutchen habile rue du Rateau 17, i An vers, et est agé de 30 ans. II nous disait J'ai souffert de l'asthme endant 9 ans Ma vie étaitabimée par des angoissns insupportablcs. Pai 'ois j etais tellement oppressé que ma mère avait peur de n e voir succomber per.dant une ei iso. La üuit surtoul m'ótait funeste je devais quitter le lit pou trouver de l'air J'avais mal il v. D'autres mutations ont été faites en même temps par Mgr Waffelaert. Sont nomme's Curé a Merckem, M. De Jonckheere.curé j a Passchendaelecuré a Passchendaele, I M. Pattyn, curé a Molendorp lez Ostende curé a Denterghem, M. Holvoet, curé a Ploegsteert; curé a P oegsteert,M, \'ynckier, J curé a Zandvoorde lez Ostende curé a Molendorp lez-Ostende, M. Pieters, vicaire a Eerneghem; curé a Zandvoorde lez Ostende, M Delputte, vicaire a Waereghem. d'après photographie la poitrine et a 1 épaule j souffrais du froid aux mains et arx pieds. Lorsque j eus un aceès ja ne pouvais souffrir qu'on me par lat La via m'était charge; j0 j soubaitais mourir, puisquej'avais en vain essavé tous les rernèdes. J'antendis un jour faire l'óloge du Sirop de l'Abbaye du {Souvent Sa net a Paulo je 1 éolus d'employer encore, désespéró, ce remóde. Im- médiatemeut je resaentis ud mi« ux, après avoir employe uue seule bouteille je n'ètais nlus aussi essouflé et le sifflemer.t de m 1 poitrine av; it diminué L sglaires se détacbèrent factie- ment. Jusqu'a ca jour j'ai pris 4 flacons, je suis abso umeutguén et aussi bien portant que jamais ant. Mot meme, ma mère, toutes nos connais- sances sextasient sur Ie pouvoir surprenant du Strop del Abhaye! Je rccommanderai toujours Ie Sirop de l'Ab- Le Strop d 1 Abb,.yo du Couvent 'Sancta Paulo est un remède délicieux pour jeunes et vieux, j II est toujours uk fTmsiqet guérit infailliblement la toux la plus rebelle, le froid le plus violent 1 asthme les maux de gorge, la coqueluche, les gla.res, les bronchiteset toutes les affections de la poitnne et des poumoos. 1 rix 2 fr., 4 fr. et 7 fr. le flacon Dépót-général L. I. Akker, Rotterdam. Dópót principal pour la Belgique 0. de Beul Longue Rue Neuve 57, Anvers. En vente a YPRES: L. Aertsens, pharmaeie Bécuwe, Marchéau Beu-re 7, Pharm Centrale Cb. May, Grand'Place,35C. Libotte, rue du Verger A. Donck, rue de Lille.POPERINGHE A Monteyne. Grand'Place, 18. COMIXES: F. Van Windekens, et dans toutes les bonnes phar macies. Le-, :i i": I i;k sont en vente dans tontc.; )cs pharmacie* alliCepi|t l ive Derneville, 66. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2