EXTRAITS
j. FIBRS-LOU WYCK
i
CHROMiQUE
i laqué Commemorative
A propos d'un
enlerrenient civil
Excelsior
Crédit Général Hypothécaire
OFÏHI JE veis Le Verre Iénapbaqüe
Emile verhaeren
On nous ècrit d'Ecat ssines
Par divers exploits la vijle de Pop. -
ringbe, poursuites et diligences de
son Cdiège des Bourgmestre et Ecbe-
vins, a fait assigner, savoir
1° Le 21 fdvrier 1908, miuisfèrede
I'huissier De Vriese de Capryeke,
Ernest Demol, commandaut de gen
darmerie a Watervliet
2° le 22 février 1908, ministère de
1 huissier Vuylsteke de PoperinKb<
Ernest DLMOT-aSTAES, cabaretfer I
Poperingbe, Marie DEMOT et son
epoux Aimé TANGHE.vitrier a ÏW
Valentine DEMOT et son épouL
(jüstave ASTAES, mstituteur Bail
leul, France
3° le 26 février 1908, ministère de
lnmssier Vaqdermeiren ,1e Roule.s,
RCdt'1U'P R -et Sün éP00X Emdle
oLH..HilllR, negotiant a Rou'ers
10 le 7 mars lu08, ministère 'de
l'hujssier Vaypachterbeke de Bruxel-
fes.ZoÉ DËV10Tet sou époux ^.lphonsk
DUFOUR, employe a Laekeu
en expropriation, pour cause'd'uti,
lité publique, de 1 are 68 centiares de
jardm, sis a Pop»ringhe, section E,
partie du n° 557 et de 45 ares de jar-
din, sis également a Poperingbe,
seclion E, partie du n° 560, et elle a
constitue pour avoue en celte cause
M"e Firmin Lebbe, domicilie a Ypres,
rue longue de Thourout, 5.
Pour exlrait conforme
(sLEBBE Firmin, nvoné.
■Quelle est cette Dame
POlSSON-mttlE
rue Longue du Marais, u° 20
YPRFS
Pi tissofiS; fins et ordinaires
Huitres 1" qualité
Crpvett.es de Blankenherghe.
I exige depuis il95. GrAce ace système les
communes peuvent s'entendre au sujet de
1 horaire et des nominations, et aussi se
disputer autour de ces questions, mais a mon
avis, les sociétés particulières disposant d'un
personnel ayant des connaissances profes-
sionnelles, font toujouis de meilleures
affai as.
>1. Boone. J'estime aussi qu'une ligne
qui aurait la frontière comme point terminus
ne scrait d'aucun avenir.
M Biebuyck. II a toujours été entendu
que la lignene serait e'tablie qu'i la condition
d'etre prolongée jusqu'a Bailleul.
M. le Bourgmestre. A Bailleul, dans le
umps, on était enthousiaste pour la ligne
je i.e sais pas si on Test encore, car il faut
compter la avec le Conseil d'Etat, qui est une
institution peu commode.
M. Boone. Je me souviens d'une
idunton tenue a Locre en 1900 oü les
ud'Jgués de Bailleul éiaient présents comme
on demandait a ceuxii s'ils pouvaient
garautir leur intervention, ils répondirent
que non.
M. le bourgmestre. II s'agit, en effet,
u'ubtenir l'autorisation du Conseil d'Etat, et
s choses peuvent trainer ainsi pour rem
it ranchement Neuve Eglise-Steenwerck, cela
a duré de huit a dix ans.
1. Biebuyck remercie M. le Bourgmestre
budget de 1908 s'équilibre en recettes et
dépeases par 114.912 fr. 54. Le tout est
approuvé.
Le rapporteur, M. Sobry, avait émis le
vceu de voir le bureau de bienfaisance yerser
chaque aunée 3 frs par enfant pauvre de 7
a 15 ans pour la constitution de pensions
de vieillesse.
Après les observations de MM. le bourg
mestre, D'Huvettere et Begeren,il reconnait
l'incompétence du bureau de bienfaisance
en cette matière. M. Sobry, transformant
son vceu, propose de mettre cette dépeu3e a
charge de la ville
Le développementet la discussion de cette
proposition nouvelle sont renvoyés a une
séance subséquaute.
Hospices civils
Le compte pour 1906 cloture comme suit:
recettes ordinaires 391.267 fr. 44 dépeuses
ordinaires 386 278 fr. 04 excédent ordi
naires 4 989 fr. 40. Recettes extraordiuaires
62 616 fr. 91 dópenses extraordinaires
39.823 fr. 65 excédent extraordinaire
22 793 Ir. 26, soit un excédent total de
27.782 fr. 66. Le budget peur 1908 porte
407.074 fr. 29 en recettes ordinaires,
407 040 fr. en dépenses ordiaaires laissant
un excédent de 34 fr. 29. Les recettes extra
ordinaires s'élèvent a 166.973 fr. 81, les
dépenses extraordinaires 167.001 fr. 85,
de ses explications il insiste pour que la j avec déficit de 28 fr. 04 excédant global de
question soit remise a l'étude. 6 fr- 25.
M. le Bourgmestre. Elle sera porte'e a M. Begerem. Les Hospices ne font
l'ordre du jour de la prochaine reunion des j aucune adjudication publique pour leurs
Je dis encore incidemment, quoi fournitures or, la loi de Messidor an VU
qua la lesy oblige ;je demande i'application de
sections,
quil s'agisse
d une autre question, qu;
suite des observations présentées par M.
Bouquet, des pourparlers ont été engagés
pour la ligne vers Dixmude par Elverdinghe
et que lts horaires seront mieux appropriés.
Distribution d'eau
M. D Huvettere demande une distribution
d'eau potable a l'Hoornwerk.
M. le Bourgmestre répond que différents
quartiers demandent une canalisation d'eau.
11 est difficile de les satifaire tous a la fois.
Ainsi sasisfaction sera donnée a la rue du
Chateau d'Eau, oü les habitants instalieront
la canalisation a leurs frais Quant a 1 Hoorn-
werck.un égoüt sera construit prochainement
et nous tacherons de profiter de cette circon-
stance pour installer une canalisation avec
prise d'eau. II s'agit pourtant d'etre prudent;
actuellement la quantité d'eau potable dis
pon i ble peut faire défaut, nous devons
attendre l'exécution des grands travaux
prévus et qui nous mettront a 1 abri de toute
surprise. L'étang de Dickebusch est pour le
moment a un niveau trés élevé, on veillera
a l'y maintenir.
Règlements communaux
Le Conseil approuve un arrêté pris par le
bourgmestre sur la circulation des conscrits
duranl la session du conseil de milice, arrêté
qui défend la circulation de groupes de plus
decicq personnes.
Ecoles gardiennes
Les comptes 1907 des écoles gard;ennes
commucules se montent a environ 5 5oo fr
et ceux des écoles adoptées s'élevant a
8 coo fr. sont approuvés.
Ecole ménagère communale
Le compte 1907 pottant en recettes
5.020 ff., dépenses 4.891 fr. i3 avec un
excédent de 128 fr. 37 est approuvé.
Harmonie communale
cette loi.
M. le bourgmestre. Les Hospices don-
nent en adjudication ua certain nombre de
fournitures.
M. Begerem. Je demande qu'il en soit
aiasi pour toutes les fournitures.
M. le bourgmestre. C'est parfois chose
difficile ainsi pour la fouraiture des cfaar-
bons a l'usage de la distribution d'eau, la
ville faisait aussi une adjudication; expé-
i rienca faite, nous avons dü cesser. Aux
Hospices, depttis 17 ans, c'est a-dire depuis
que 1 administration est aux mains des
catholiques l'adjudication est faite partout
oü elle peut se faire utilement.
A propos du compte 1906, M. le bourg
mestre fait constater que l'excédept aug-
meute l'ordinaire. J'engage, dit-il, les
Hospices, d'accord avec 1 honorable ïap-
porteur, M. Iweins d'Eeckoutte, a employer
une partie des ressources a la restauration
et l'embellissement des bütiments leur
appartenant.
I M. D'Huvettere. Ne pourrait-on de-
mauder aux Hospices de donner certains
détails sur l'administration de leurs biens,
par exemple quant aux bois.leur contenance,
les frais qu ils occasionnent et leur produit?
j M. le bourgmestre. Ce désir sera
i transmis aux Hospices.
La fondationGodtschalck présente comme
j compte 1906, en recettes ordinaires 108,414
fr. 98 eu dépenses ordinaires 79.757 f 59;
j soil un excédent ordinaire de 28.657 fr. 40.
I En recettes extraordinaires 274,355 fr. 55
i en dépenses extraordinaires 301,152 fr. 58
déficit a l'extraorninaire, 26,797 fr. 03.
1 Solde eu boni générat I 860 fr. 37.
I Le budget 1908 prévoit en recettes ordi-
naires 118.696 fr. 55; en dépenses ordi-
Appiouvé ég a kmc ut le compte 1907 se nain-s 76 220 fr excédent a l'ordinaire,
^7 37,476 fr. 55. Eu recettes extraordinaires
87,151 Ir 37 en dépenses extraordinaires
124,627 fr. 92déficit a i'extraordiuaire
37,574 fr. 55, balancant exactement l'exeé-
dent a l'ordinaire.
Ces comptes et budgets sont approuvés.
Subside
Le Conseil approuve un crédit de 3Ü0 fr.
comme subside a la soeiété horticole
Vereenigde Hofbouwlief hebbers pour
l'exposition qu'elle a organisée en 1907 le
crédit n'avait pas été iuscrit au budget.
Demande sera faite a la Deputation t errna-
nente pour l'intercaler.
Pêche
Une demande de location de 'pêche dans
les iossés de la ville a été introduite. Le
Collége, après exameu, est d'avis de ne pas
louer la pêche et de maintenir comme par le
passé, la pêche banale. Le Conseil ap
prouve.
Eclairage public
Le nombre de lanternes, au nombre de
450, augmentant toujours, le crédit doit être
augmeuté de 1.039 fr. 71 pour faauée 19u7.
Approuvé.
La séance est levée a 7 h. 30.
ciöiu.art avec un excédent de 2 fr.
(recettes 6.09 ifr. 87 et dépenses 6.089 fr.ao).
Corps des pompiers
Le compte 1907 accusant en recettes
4,601 fr, 32, en dépenses 4,447 fr. 88, en
excédent 1 53 fr. 34, est approuvé.
M. D'Huvettere demande si la ville assure
les pompiers contre les accidents qui pour-
raient leur survenir pendant les incendies.
M. le Bourgmestre. Certainement.
Caisse de secours des pompiers
Le compte 1907, 601 fr. g3 en recettes,
400 fr. en dépenses et 281 fr. g5 en excédent,
est approuvé.
Bibliothèque communale
Le compte 1907 est en déficit de 18 fr. 64,
les recettes se montent a 155g fr. 84 et les
dépenses a 1,578 fr. 48.
M. Struye demande que la ville prenne a
sa charge le srlaire de l'ouvrier qui sera
employé au nettoyage extraordinaire effectué
a la bibliothèque. Approuvé.
Propriétés communales
Le Conseil décide de faire procéder publi-
quement a la location du droit de chasse sur
les Barmlanden (deux rives du canal) et sur
l'étang de Dickebusch.
Le terrain sur lequel se trouve l'ancienne
usine a g.iz et dont l ancien concession-
naire avait kjouissance gratuite, devient
vacant.
La soeiété conces.ionnaire qui a occupé
depuis deux ans une parcelle de ce terrain,
demande a pouvoir la prendre en location
moyennant 100 frs par an pour la durée de
sa concession.
La question est renvoyée pour supplément
d'information.
Bureau de Bienfaisance
Les recettes générales du bureau de bien
faisance se èvent a 111 439 fr. 40 les
dépenses a 101.206 fr. 32 l'excédent est de
9.885 fr. 09, d'après le compte de 1906. Le
Les
semaine
rues de la Ville d'Ypres ont vu la
passée se dérouler un de ces
corteges, qui doivem paraitre étranges a tout
homme qui réfléchit, a cause du non sens et
des incobérences dont ils sont marqués.
Rien qu a voir le nombre extraordinaire...
la profusion de couronr.es et de gerbes de
fleurs, on devir.e que c'est un cortege
demerrement civil. Des couronnes... des
gerbes... cela relève ia manifestation, car
manifestation» il y a. Le corps du pauvre
mort qui devrait être lob jet, n'est, pour les
neuf dixièmes, que l'occasionde la mani
festation. Si ce pauvre mort s'était confessé a
un curé quelconque avant de mourir, ces
nombreux amis n'auraient plus éprouvé
aucun besoin de lui apporter tant de couron
nes et de gerbes, et tel qui raaintenant a fait
beaucoup de zèle pour en raccoler le plus
possible, aurait été le premier a les décon-
seiller.
A voir ce cortege fleuri, on ne peut
s'empêcher d'avoir l'impression que ce n'est
point seulement la tristesse... que c'est aussi
quelque peu une maligne joie qu'edes
couvrent... la joie de penser qu'on fait
fameusement la niquea tous les curés...
Les pauvres fleurs y perdent beaucoup de
j leur poésie et dr leur vérité
Les discours qui seront prononcés prés de
la tombe ne diront pas non plus la vraie
signification du cortege... ce a quoi tout le
monde a pensé, sera soigneusement passé
sous silence.
Et c est a bon droit, car 98 sur 100, de
ceux qui participent a la cérémonie, se
promettent bien, dans le for de leur ame, de
ne pas imiter l'exemple de celui qu'ils
glorifient et de s'assurer des garanties p:us
solides pour se présenter devant le jugement
de Dieu, quand le grand jour sera venu.
Car jugement il y aura.
Les éloges mêmes qu'on adresse au mort
j éloges oü on donne tout naturellement la
i toute première place au bien moral que le
mort a pu faireet les couronnes qu'on
lui décerne, crient bien haut que la mort est
un instant a dater, auquel il n'y a plus que
le bien, et par conséquent aussi le mal qu'on
a fait, qui compte. Ce que le bien a été, ce
que le mal a été, ce ne sont ni les discours
des amis, ni les gerbes de fleurs naturelLs,
ni les couronnes de fleurs de papier, de ter
blanc ou de zinc qui le diront en dernier
appel.
C'est devant une Justice absolue et selon
des lois éternelles que lout homme aura a
rendre compte de sa vie. Cela compiend
autre chose que ce dont on parle dans des
discours d'enterrement civil, cela compiend
avant tout les devoirs envers Dieu,les devoirs
de Religion. Et puis tous les devoirs, si
étendus, qui règient les mceurs, depuis la
première enfance et la jeunesse, jusqu'a la
tombe.
Après une esquisse intéressante «ur la
personne et la psychologie de St Paul, son
éducation rabinique, ses convictions reli-
gieuses juives, M. Cainerlynck expose
d après les source*, 1 événement du chemin
de Dainas, ("apparition miraculeuse de
Jesus Christ au persécuteur, sa cécité, sa
conversion. L oratour examine les théories
rationalistes et na uralistes de Holsten et
de Renan, la théorie de 1 hallucination pré
parée dans la sous conscience ne l'Apötre
présenté par Arnold Meyer, qui toutes
essayent d'expliquer naturellement l'appa-
rition du chemin de Damas et de ramener
aux proportions d'un iuci lent naturel la
transformation morale si p ofonde el si
soudaine accomplir dans la conscience juive.
St Raul et son Listorien St Luc ne se sont
point wompés les critiques doive.nt
s'incliner devant la conscience de I'apotre et
devant les faitsJésus-Cnrist apparü't a
St Paul réellement vivant et réssuscitó, et,
par conséquent comme Messie de Dieu.
La eroyance catholiqne dans l'apparition
du Christ a Paul et la conversion de celui-ci
se trouveet conflrmées par 1'incormparable
et féconde activité apostolique de St Paul et
par son mart yre
Dans une brillante péroraison i'orateur
nous présente l'apot e préenant la bonne
nouvelle par tout l'oiient, j isqu'a Rome et
en Occident et témoignant par sa mort de la
vérité de la religion qui I propage.
LeMercredi 18 Mars,
LE FOLKLORE
par M. Edmond de Bruyn, avocat a la cour
d'appel de Bruxelles, directeur du Musée de
Folklore d'Anvers.
LE SAMEDI 4 AVRIL,
UN POÈTE BELGE,
par M. Thomas Braun, avocat d la cour dap
pel de Bruxelles.
On vient de placer dans la Salie des "as-
Perdus de notre hotel des Postes, une belle
plaque en cuivre ciseié. Celle-ci porte un
hommage reconnaissant a M. Jules Vanden-
peereboom, ministre d Etat et sénateur-
provincial qui, étant ministre des chemins de
Ier, postes et télégrhphes, fit acquérir au nom
de l'Etat beige, en 1891, la maison histori-
que, de'nommée maison des Templiers 1 t
décida de la restaurer et approprier comme i
hotel des Postes de la Ville d'ïpres.
La plaque porte en outre que la restauia-
ti°n s'acheva et que l'hötel des Postes fut
ouvert au public en Aoüt i9o3, M.J.Liebaert
ctsnt ministre des chemins de fer, postes et
télégraphes. La décision du Conseil Com
munal est également rappelée, ainsi que les
noms des membres du Conseil Communal
en fonctions a 1 epoque.
II nous semble qu'un nom a été omis
eest celui du regrette' baron Surmont dè
Volsberghe, qui devait nécessairement
recevoir sa part dans eet hommage. N'ou-
blions pas què c'est notre ancien sénateur et
bourgmestre qui fut le grand initiateur du
projet et qui par ses multiples démarches
deada le ministié a Ie mettre en exécution.
Je eertifie qua les pilules Pink m'ont radicalement
guéri. Je suis trés satisfait.
P. J. Dubrulle-Dubois.
Nous avons été voir M Debrulle Dubois qui
nous a regus trés aimablement et nous a raconté
qu'effectivement ayant souffert d'un affaibiisse-
ment général, d'une sorte de malaise continu, il
avait pris les pilules Pink et qu'il ne se ressen-
lait plus de rien.
La première conférence de la nouvelle
série organisée par le Cercle d'Etudes et^de
GüQerences «Excelsior! a été donnée
Merci edi 4 Mais a la talie Iweins. M. Vabbë
A. Camerlynck, docteur eu théologie de
i umversité de Louvain, professeur d'Ëcri-
ture b'uinte au grand Séminaire de Bruges
traan, la Conversion de Si Paul devant la
critique contemporaine.
Un auditoire d'élite pat mi lequel de nom
bre uses Dames a ovalionné i'éminent con-
terencier,
Ce n'est pas seulement I'orateur a la parole
ckssee et penetrante, au verbe élouuent
et lacile que les auditeurs ont lélicitó
eest encore ie vra* savant qui de main dé
maitre a h ace le portrait de Paul et narré
les peijpétics de sa conversion sur le chemin
de Damas qui a examine d'une l'agon ette
n ■Pn\TfaU S'c f' «^omübS
mant k iait muaculeux ou le surnaturel de
étni u I'10" J apötre'des gmtils, qui a
etabli d une mamère irréfutable la doctrine
mïcïde l^cStCOmpr!fdfe
1 n 1 i - con*ersion de Paul est anèi
Ie plus N'S'
Lorateur cummeiice par un préambule
concei nant les sources histonques ou les
documents sur iesquels s'appu,e l'ótude
priDCipa ernent lc-s épitres de 8t l'aul et les
actts nes apotres, C:ux-ci rédigés par le
inedecm bt Lue-, ami fidéle et compagnon
d'apostolat de St Paul. ouuu
La critique rationalists contemporaine ad-
m 1 1 authenticité de ces documents et la
veractte de leurs auteurs. Dans l'emploi de
ces sources i'orateur fait abstraction de leur
caiacteie ïuspiré, ii ne voit en eux que des
documents histonques. 11 fait de même
abstraction du magistère iofailiible de l'E-
glise afin de poursuivre les adversaires sur
leur propre terrain et de les y battre.
M. Dubrulle-Dubois devant sa maison
Ecaussines
Chez des parents k nous, ajouta-t-il, on a [iris
également les pilules Pink avec grand succès.
Une jeune femme anómiée en a fait usage et
sest trouvés remise trés rapidement. Nous
savons également, car nous tenons un estaminet
etcausons avec. beaucoup de monde, que plu-
sieurs personnes d'Ecaussines-Lelaing, et d'E-
caussines-Carrières se sont trés bien trouvées
du traitement des pilules Pink. Les pilules Pink
ont en effet guéri dans cette région beaucoup de
monde.
h y a des localités oü on peut dire qu'il y a
des guérisons des pilules Pink presque a toutes
les portes.
Nous nous rappelons avoir dernièrement ren
du visite a Monsieur Leriche, rue de Braiue, k
Soignies. Lorsqu'il nous eut raconté saguérison,
il nous signala le nom de plusieurs autros per
sonnes liabita.it dans son voisinage, qui toutes
avaient (ait usage avec succès des piules Pink
entr autros Mme Montt'ort-Lenoir et M. Delfer-
rière, entrepreneur a Soignies.
Pour les personnes qui peuvent encore l'igno-
rer, nous sigiialoiis que les pilules Pink sont un
medicament qui donne du sang et qui en mf ine
temps tonilie les nerts C'est de la pauvreté du
sang, do la faibiesse des nerfs que dérivent la
plupart des tnaux qui affflgent hommes, femmes
et entants. Essayez les pilules Pink. Elks so. t
souveraines contre l'anémie, la chlorose, la fai-
blesse generale, les maux d'estomac, migraines,
névralgies, sciatique, rbumatismes. Eiles sont
en vente dans toutes les pharmacies et au dépói
Ph- Dernevil.e, 66, Koulevard de Waterloo,
Bruxelles, Frs, 3 50 la boite, Frs, l7.50 les 6
boites franco.
Dépót a Ypres, pharmacie C. LIBOTTE k
Poperingbe, phaimacie MONTEYNE.
Cest le portrait de Mile. Alberta du Mosch, la
chanteuse bien connue des Bruxellois. Nous
sommes beureux de rouvoir annoncer que i'état
de santé de cede excellente artiste, qui laissait
fort a dtsirer, s'est défir itivement rétabli. Notre
reporter eut l'occasi n do rendre visite k Mile
du Mosch, ensondouiüile687Chausséede Moqs.
Elle dóelara devoir >a bonne santé a^u reméda
aopi écié, qui a déja donnó tant de guérisons
remarquahl -s en B dgique: le Sirop de I'Abbaye
du Couvent Sancta Paulo Mile. Albertina du
Moscti disait avoir souffe t longtemps u'uno ma-
ladie de poitrine qui l'avaitforcée de se reposer.
Elle ne "ouvait plus cliqriter, Dos Bruxellois ont
dü se passer peiidafil quelque temps de ses au
ditions agi cables. Sa guéi'ison deviut do plus en
plus ditlcile; sa poitrine sifflait elle n'avait ni
appétit nisommeil; ses nuitsétaient fort troublées.
du no sen
Mile du Moscli se prit a dósespérer lorsqu'ayant
essayé toutes sortes de remèdHS, elle ne voyait
aucun changementa son état. Elleentendit (aire
un jout' l'élóge du Sirop de I'Abbaye Couvent
Sa eta P>ulo; elle acheta ce remède Ala phar
macie Cobbunhagen, 39 rue du Midi. Quelques
jours aprés elle allait beaucoup mieux, et la
voici tout a fait guérie.
Attention! procurez vous le mêrae Sirop de
I'Abbaye que celui employé par Mile du Mosch;
seul celui-ci vuént, et se reconnait k une bande
rouge autour de la bouteille et portant la signa
ture de l'agent général L. I. Akker, Rotterdam.
Tout autre produit n'est qu'une imitation at né
guérit jamais I
Le Sirop de I'Abbaye du Couvent Sancta Paulo
próvient la pbtisje, guérit la bronchite. les
rhumes anciens et négligés. I'asthme, leg inflam-
malions de ia gorge, Ia pleurésie, los ina'iix de
gorge, la coquelucbe, tes inflammations pulmo
naires, les crachements de sang, 1'influenza et
toutes Iss affections de la poitrine et des pou-
mons.
Prix 2 fr., 4 fr. et 7 fr. le flacon.
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Dixmude,Ghyssaert; Iseghem, Grand Place,
Rodenbac h.