A ia Chambre Réunion des Mutualiiés Foire et Marché aux Chevaux Pensées du Carème Fane a rel ire Pensées diverses ré par M. Ie chanoine Debrouwer, curé ren au nom du clergé de la ville M. Ie mrgmestre-député Colaert, au nom de mtorité ciyile M. Louis De Sregher, au de la fabrique d'église R. M. Lefèvre, onome, au nom du corps professoral du ïllège de'Courtrai, qui a offert a cette rcasion un calice d'or a son ancien princi- al M. Dewaele, curé de N.-D., 4 Schaer- tek, au nom des anciens condisciples de Université de Louvain M. Degryse, curé- oyen de Courtrai, au nom du clergé de lourtrai, enfin par M. Dilger, au nom des mis. M. Ie curé Delaere a répondu a ces ifférents toasta avec beaucoup d'a propos. Cette série de toasts fut comme un aper^u énéral de la vie ecclésiastique de Monsieur e Curé. Nous sommes heureux de pouvoir ommuniquer celui que fit le Révérend donsieur Lefèvre, économe au collége de Zourtrai, paree qu'il nous fait connaitre ntimement les sentiments de notre vénéré >asteur. Monsieur le Curé Messieurs Qu'il me soit permis de mêler k ce concart le joie et de jubilation une note un peu plus ;ombre vous fêtez aujourd'hui la joyeuse :ntrée d'un nouveau pasteur, noua, nous sleurons le départ d un principal qui nous utcher. Iaterprête du corps professoral du college 5t Amand de Courtrai, je tiens a presenter iu nouveau curé de Saint Pierre, 1 hommage le notre inaltérable affection et de notre vive 'ratitude. Monsieur le curé, il est inutile, je crois, l'insister sur les sentiments qui nous am- nent k votre égard. Vous nous avez connus le prés durant de longues années, vous ivez vécu de notre vie. Vous avez été heu- eux au milieu de tous ces braves gens qui 'urent vos professeurs et vos élèves, et nous i'jssi et nous sommes 17 ici pour vous le iiie bien haut nous avons été heureux lous votre principalat. Chef de familie, vous avez su imposer rotre autorité, paree que vous ne la recher- :hiez pas vous avez su la faire bénir, paree jue vous l'avez exercée en père dévoué pour ros élèves, en frère affeclueux pour tous vos professeurs. Principal intelligent et infatigable, vous avez travaillé sans ielache au Ion renon et k la prospérité de votre collége. Dans l'his toire de la tnaison St Amand, si modeste soit eile, vous avez mérité une page d honneur, une page glorieuss toute de travail et de dévcuement. On reconnaït l'homme a sts oeuvres vos efforts tenaces ont été récompensés a preuve l'essor que sous votre direction éclairée ont pris les études humanitaires et professionnel- les, a preuve les embellissements et la trans- iormation comolète qu'ont subi et les jardins et les batiments du collége, a preuve surtout la paix et le 'oonheur qui n'ont cessé de régner parmi nous. Monsieur le curé, votre souvenir sera chez nous en bénédiction et ce souvenir ne sera pas éphémère comme les fteursqu'4 profusion vr.4S avez scmées et plante'es, fleurs qu un coup de vent ou qu'un hiver trop rigoureux cmpo.te, mais il sera durable paree qu .1 restera gravé et dans lor du calice que nous vous offrons, et -dans ce que nous avons de plus précieux, dans Tor de nos coeurs recon- naissaats 1 A nos regrets, a noslremerciements, nous joignons un double voeu Le premier, c'est que soit a l'autel dudivin sacrifice, soit en lachambre d'étude de votre cure, votre penséft. Je n'en doute pas, vous réjouira toujours et ne vous rappellera rien que de joveux souvenirs, car il n'y en a pas i'autres. t. Et puis, dans un bon mouvement, vous rous direz allons a Courtrai 1 Vous y trou- rerez toujours, avec nos mines souriantes, nos francs rires et un plat réconfortant, le tneilleur des accueils, et vos apparitions seront toujours pour nous un gai rayon de soleil. Dans peu de mois, Monsieur lecuré,quand sera achevée l'immense salie de fetes que rous avez rêvée, projetée et préparée, nous célébrerons le jubilé du collége. Nous vous ittendrons pour vous applaudir, vous fêter, ït, ce qui Taut mieux encore, pour vous re- mercier dans cette maison qui fut et qui restera la vótre. Le second voeu, c'est que vous soyez heu reux a Ypres comme vous l'étiez 4 Courtrai. Un nouveau champ d'action s'ouvre devant vous, plus vaste que le premier. Ce n'est pas la besogne qui vous fera défaut, et ce n es; pas labesogne qui vous fera reculer.J'entends dire qu'on vous accordera le plaisir de batir et de restaurer. 11 paratt qu'on connait déja a Ypres votre cöté faible, ou plutót votre cóté fort, puisque vous avez toujours fait vite et toujours bien. Messieurs,quand vous aurez vu votre curé k l'ceuvre, quand vous connaitrez sa clair voyance, son activité et son zèle pour le bien des araes, vous reconnailrez avec moi,je n'en doute pas, que vous avez un pasteur selon le cceur de Dieu, un pasteur selon le caeur des Yprois, comme il le fut selon le cceur des Courtraisien», et ce n'est pas peu dire. Monsieur le curé, les 17 professeurs du collége St Amand, groupe's autour de votre houlette pastorale qu'ils souhaitent voir fleurir comme la verge d'Aaron, et comme tout ce que vous touchez, boivent k la santé el au bonheur de leur cher ancien Principal 1 La Fédération des sociétés de retraite de l'arrondissement administratif d'Ypres a tenu sa réunion annuelle statutaire. M. Ch. Hallaert, président de la Fédération, préside entouré des membres du bureau. Quarante- sept sociétés sont représentées par des délé- gués. Pour la première fois, nous notons la présence de plusieurs dames représentant une société de retraite pour femmes. Après quelques mots de bienvenue du président et l'adoptioa du procés-verbal de la précédente assemblée, M. l'abbé Delameilleure fait connaitre l'état de la caisse qui est florissant et se monte a 2.114 fr. 80. En cinq années la fédération a demandé 402 fr. aux sociétés et leur a donué 3.446 fr. 55. Le secrétaire de la fédération, M. C. Boudolf, présente son rapport. II fait l'historique de la Fédération qui, fondée en 190» avec 32 sociétés ayant 3.8o5 membres comprend actuellement 63 sociétés avec 12.280 membres neuf sociétés n'ont pas encore adhéré k la fédération. II paie un tribut d'hommage aux deux fonda- teurs, feu Gustave Werbrouck, le premier président, et Ch. Hallaert, le président actuel. II constate Ia prospérité de presque toutes les sociétés et cite spécialement la Société Saint-Pierre, k Ypres, et La l'ré- voyance, a Boesinghe. D'une statisque dressée par lui, il résulte que les versements opérés par les pouvoirs publics au profit des sociétaires, dépasse ceux opérés par les sociétaires eux-mêmes et ont déja attciat le chiffre de 168.548 fr. II finit par quelques conseil» et considerations sur ia propagande. M. Bylo, vicaire a Becelaere, est élu membre du conseil d'administration en remplacement de M. Viérin,démissionnaire. Différentes modifications sont introduites aux statuts, elles portent spécialement sur la date de l'assemblée générale annuelle. II est décidé en outre d'allouer aux sociétés, sur la caisse fédérale, un subside de 5 c. pour chaque membre affilié. Après quelques considerations d'ordre intérieur, la tenue des livres et les moyens de propagande, la séance est levée. La réunion de la Fédération des sociétés de retraite de l'arrondissement avait été précédée de l'assemblée générale de la Fédé ration des Sociétés de secours mutuels égale- ment précédée par M. Charles Hallaert. Un substantiel rapport présenté par M. J. Van Elslandenous apprend que cette Fédération fondée il y une année, est appelée a faire beaucoup de bien et sera un organisme bien vivant. La caisse est florissante, déjk 14 sociétés de secours mutuels avec environ 1400 mem bres font partie de la Fédération et 8 sociétés avec 58o membres se sont également affiliés a la Caisse de Réassurance. Quoique contrariée par un temps désa- gréable, la foire du mercredi des Cendres avait cependant attiré un grand numbre de personnes. Les concours de chevaux organi- sés par le Cornice agricole Ypres-Kemmel avaient surtout réuni beaucoup d'amateurs. Les chevaux présentés au concours avaient augmenté d'une tr. ntaine d'unités sur l'année dernière. Le type du cheval flamand tend a diminuer et la race évolue vers le type braban$on qui est plus vigoureux. Les résultats du concours sont les suivants: A. Etalons de 2 ans et plus (9 concurrents) 1. Méd. verm. et 5o fr., Victor Leuridan, a Ploegsteert Méd. d'arg. et 25 fr., Vve Vanraes, a Wytschaete 3. 10 fr., a Louis Leterme, a Wytschaete. B. Etalons de 1 ans (35 concurrents). 1. Méd. verm, et 5o fr., Vve Vanraes, a Wytschaete 2. Méd. arg. et 40 fr., lules Delfortrie. a Wervicq 3. Méd. arg. et »5 fr., Dc'siré Briait, Ploegsteert 4. Méd. arg. et i5 fr., Fidéle Samyn, Boesinghe 5. 5 fr., Vve Vanraes, a Wytschaete. G. Juments de 3 ans et plus (11 concurrents). 1. Méd. verm, ct 5o fr., a Vve Vanraes, a Wytschaete 2. Méd. arg. et 40 fr., Alois Decaestecker, a Becelaere 3. Méd. bronze et 3ofr.,»Vve Vanraes, a Wytschaete 4. Méd. bronze tt 10 fr., Vve Louage, a Noordschote. D. Jurrunts de plus de 1 an et moins de 3 ans (10 concurrents). 1. Méd. verm et 80 fr., a Jules Delporte, a Messines 3. Méd. arg. et 60 fia Alexandre Ma- hieu, a Wytschaete 3. Méd. de bronze et 40 fr., Henri De- corte, Zuydschote 4. Méd. bronze et ao fr., Henri Bogaert, Langemarck 5. 10 fr., a Cyrille Lemahieu, a Ypres 6. 5 fr., Henri Callens, a Zuydschote. E. Juments de 1 an et moins (8 concurrents). 1. Méd. verm. et 5o fr., Ernest Dewulf, a Becelaere 2. Méd. arg. et 40 fr., Emile Lemahieu, Wulverghem 3. Méd. bronze et 25 fr., Charles Ghee- raardyn, Noordschote 4. Méd. de bronze et i5 fr., Vve Vanraes, a Wytschaete. F. Hongres de 3 ans et plus (35 concurrents). 1. Méd. bronze et 20 Ir., Désiré Remery, a Staden 2. Méd. bronze et 18 tr.,Charles Huyghe, Boesinghe. 3. 16 fr., Vve Coudyser, a Langemarck 4. 14 fr., Alidor Vandeperre, a Lichter- velde 5. i3 fr., Jules Dochy, 4 Brielen 6. 12 fr., Jean Decroix, a Zillebeke. Le jury, présidé par M. Bruneel de Monf- pelüer, conseiller provincial, président du Cornice agricole Ypres-Kemmel, était com posé de MM. Jean Verhaeghe, député permanent a Wervicq Delaye, président de la commission provinciale d'agriculture, conseiller provincial 4 Hooghlede; Brutsaert, conseill r provincial,bourgmestre de Waiou; Bauwens, agronome de l'Etat 4 Bruges Decaestecker, inspecteur vétérinaire du gouvernement4 Ypres; Limbourg,inspecteur vétérinaire du gouvernement a Bruges. Mardi 10 Mars Suite de la discussion de l'iuterpellation Anseele au sujet de la fournjture de viande aux boucheries militaires. M. le Ministre de la Guerre répond que si les abus allégués par M. Anseele existent dans l'adjudication publique de viandes, il veilleraa ce qu'i's ne se reproduisect plus. Que si l'ou veut accuser l'admiiTstration de faire des malversations, qu'on joue franc jeu et qu'on cite des nums 1 Je n'Lósiterai pas un instant a provoquer ut;e action judiciaire contre les officiers qui m'auraient été dénoncés avec preuves a l'appui. (Trés bien I a droite). M. Mabille,député catholique de Soignies, iuterpelle relativeinent 4 l'emploi de pierres du pays dans la construction du Mont des Arts. L'industrie de la pierre est actuellement dans le Marasme. Cet état de chokes est dü au protectionnisme de nos voisins. Nous ne demaudons pas Ia réciproque, mais que eos pierres ne soient pas exclues du marchó au profit des pierres étrangères. Nos pierres ne possèdent elles pas des qualités bien supérieures a celles des pierres étrangères Le Mont des Arts est bien un monument de l'art beige. Tout aurait dü être beige dans ce monument. M. Boel appuie les considérations ómises par Al. Mabille. La suite de la discussion est remise a Mardi prochain. Mercredi 11 Mars La Chambre reprend la discussion du budget de l'agriculture. M. Raemdonck, rapporteur de la section centrale, demande au ministre d organiser une enquête sur la situation générale de l'agriculture.li réclame aussi uue protection plus efficace pour 1 horticulture. M. Braun plaide a son tour la cause des hcrticulteurs et cite i'exemple de la Hol-* lande. 11 se plaint de la pollution des eaux de la Lys. M. Van Cleemputte demande au gouver nement d'aider les communes dans l'entre- tieu courant de la voirie vicinale. M. Hambursin attaque vivement le gou vernement au sujet des, subsides qu'il J alloue aux syndicats agricoles. A l'entendre les subsides n'iraient qu'aux syndicats catholiques. M. de Ponthière. Les socialistes n'ont qu a créer également des syndicats agricoles. M. Vandamme considère comme nuisi- ble aux intéréts de l'agriculture la ferme ture de la lrontière au bétail étranger. Jeudi 12 mars M. Vandervelde critique la politique agricole suivie par les différents gouver- nements catholiques qui se sont succédés depuis 1884. D'après lui ce que les catho liques ont fait pour les campagnes est insignifiant le salut ne peut venir que du socialisme. MM. BuylTerwagneHeynen et Daens s'occupent successivementdel'hygiène publique, de la protection des sites et de la situation des ouviiers agricoles qui vont travailler en France. M. De Groote parle de l'iasécurité qui règne dans les campagnes. II y a da tv s Flandre Occidentale M. De Groote habite Houthulstde nombreux bandits contrf lesquels il faut se défendre revolver ai poing. M. Van Merris entretient la Chambre ae la crise houblonDière et demande que le gouvernement facilite l'exportation des hou- blons vers l'Angleterre. La vie n'est qu'une preparation a i'éternité oü l'on pénètre par l'unique porte de la mort. Et comment préparer l'éterrnté, et I'éternité bienheureuse, la seule oü Dieu nous Convu? Par le sacrifice. C'est dans ce but que nous recevons tant de facultés dont l'abondance surpusse les besoins de la nature. Offrir.sacrifier les blens que l'on a re$us, c'est véritablement en faire ce a quoi ils sont destinés. Qui veut doi ncr 4 Dieu trouve toujours a donner qui vout gar Ier pour soi, n'a jamais assez et désire toujours. Louis Veuillot. On ne fait rien de noble sans le sacrifice. Tout homme qui veut accomplir une grande oeuvre doit se résigner a porter une blessure au cceur et au front une couronne d'épines. Mgr Turinaz. La santé est comme les enfants; on la géte par trop de soins. Eugénie de Guérin. Les médecines sont amères, et les plus douces font bondir le coeur, même avant que de les prendre, cependanf ou ne laisse pas de les avulcr volontiers, paree qu'on aime la santé qu elles procurent aussi devons nous accepter les afflictions qui, d'elles mêmes, j sont désagréables, mais qui contribuent au bon état de l'ame. J. B de La Salie, Des hommes se réunissent et habitent en commun,en vertu de quel droit En vertu du droit d'associatton. lis s'enferment chez eux, en vertu de quel droit En vertu du droit qu a tout homme d'ouvrir ou de fermer sa porte. Ils ne sortent pas, en vertu de quel droit En vertu du droit d'aller et de venir, qui implique le droit de rester chez soi. La chez eux, que font ils? Ils parient bas ils baisent les yeux ils travaillent. Ils renoncent au monde, aux villes, aux sen- sualités, aux plaisirs, aux vanités, aux orgueils, aux intéréts- Ils sont vêtus de grosse laine ou de grosse toile. Pas un d'eux ne possède en propriété quoi que ce soit. En entrant la, celui qui était riche se fait pauvre. Ce qu'il a, il le donne a tous. Celui qui était ce qu'on appelle noble, gentilhomme ou seigneui, e-,t i'égal de celui qui était paysan. La cellule est identique pour tous Tous subissent la même tonsure, portent le même froc, mangent le même pain noir, dorment sur la même paille, meurent sur la même cendre. Ils ont le même sac au dos, la même corde autour des reins.... u lis n'ont d autres parents que tous les hommes, lis sccourei.t les pauvres, ils soignent les malades. lis élèvent ceux aux. quels ils obeissent. lis se disent l'un 1 autre Mon fiére Ils prient. Qui Dieu. Les esprits irréfléebis, rapides, disent; A quoi bon ces figures immobiles du coté du mysière A quoi servent elles Qu'est ce qu'elles font II n'y a pas d'oeuvre plus sublime peut être que celle que font ces ames. fl n'y a peut être pas de travail plus utile. Ils font bien ceux qui prient toujours pour ceux qui ne prient jamais. Victor Hugo. 6| Un grand ncmbre de gens qui soulfrent de 1 es- tomac souffrent inutilement. Ils peuventêtre guéris. Un peu plus d attention dans le chotx de la nourriture et un bon remède pour fortifier les organes, c est tout co qui est nécessaire. 6jj Les symptómes des maladies d estomac sont trés varies. Certames personnes ne peu- vent se rassasier a d'autres au contraire, la vue de la nourriture est insupportable. Souvent on éprouve une sensation de pesan- teur sur la poitrine, une impression de satiété a la gorge. Quelquefois, les gaz dilatés dans l'estomac compriment le coeur at font penser au malade qu'il a une maladie de cceur. La migraine est un symptóme fréquent et re doute. Un estomac délicat a besoin certaiue- ment d'une nourriture choisie, mais la nature n'a jamais établi que la nourriture dut être digérée avant d'être mangée. L'estomac a seu- lement besoin d'etre aidé, fórtifié pour faire son travail et ce qui est nécessaire ce n'est pas i un ferment digestif, mais bien un tonique. Lr. digestion est sous la dépendance du sang et du système nerveux et la science médicale i n' imais produii un meilleur digestif tonique j qi les pilules Pink. *5 EIlos eont en vente dans toutes les pharmacies et pharmaciè 1 Denjieville, 66, Boulevard de Waterloo, Bruxcllcs. Trois fran'ai r.inouante la boite. dix-sept franc3 cinquante les six boites. Iraaco i Dépot a Ypres, pbarmacij C. LI BOTTE 4 i Poperingtie, phaimacie MONTEYNE. C'est un grand défaut chez les hommes de vouloirtout régler excepté eux mêmes. Bossuet Ce qui rend la religion pesante, c'est de la porter comme un frein, au lieu d'en jouir comme d'un amour. Les Saints ont aimé, voila tout leur secret, Lacordaira Comprendre ce que nous disons, vivre ce que nous professons, voila ie but auquel nous devons tendre. Newman. Peut-on s'empêcher de contemph r avec délice ie bonheur de l'homme qui peut se dire chaque jour avant de s'endormir Je n'ai pas perdu ma journée qui ne voit dans son coeur aucune passion haineuse, aucun désir coupable qui s'endort avec la certi tude d'avoir fait quelque bien et qui s'éveille avec de nouvelles forces pour devenir encore meilleur. Joseph de Maistre. Presqu ptrdu dans une avalanche Oes alpinistes, sortant de la mootagne, racon- tent le danger auquel ils viennont d'échapper comm° 1 at' mi-arl Visite du Prince de Galles d Olympia d Londres Miss Rose Fritz de New-York, le f'ameux champion dactylographe, qui a battu tous les records existants en écrii ant plus de nonante mots a la minute d'après copie et plus de cents mots a la minute d'après dictée, était assise pres de sa machi ne UN0ERN00D 4 l'Exposition Commerciale de 1 Olympia 4 Londres hier après-midi, quand le Prince et la Priucesse de Galles ont été annoncés. On nous a dit, Miss Fritz, que vous avez fait des prouesses véritablement remar- quablesdit le Prince nous serions contents de voir votre travail c'est pour- quoi les doigts de la charmante américaine se mirent a voler comme des ailes au dessus du clavier et présentèrent a la princesse 113 mots écrits en 60 secondes correctement ponctués et sans la plus petite erreur. Merveilleux dit le Prince voulez- vous me faire le plaisir de signer cette feuille et son Altesse emporta ce souvenir avec la signature de Miss-Fritz. Goütez PETITE BEURRE PAREIN, ANVERS Imagmez vous uik, rtias-\i énorme d.' neiges et de glacés, sur le bord d'un précipicp, dau-i les montagnes Quelques Alpinistes. attachés l'u a l'autre au moyen de cordes.cherehent a franchir, avec mille précaulion ,1'ouverture bóante a leurs pied A un moment donné nn coup de vent terrible vient rompre I'équilibre, tandis que la masse de neiga entraine, en tonrnoyant, les mal- heureux Alpinistes. Vous avouerez que la situa tion cfe ces casse cou était plutöt pérideuse. Ue- mandez vous done si vous même n'êtes pas en pared danger, lorsque voui- négligez votre toux, votre rhume, votre bronchite. Ces petitsmaux peuvent vous sembler saris importance, mais sont néanmoins le point de départ des plus terribles maladies, telles que affections de poitrine. asthmp, phtisie. Prenez aujourd'bui même vos precautions, afin de vous guérir Achetez une bouteille de Sirop de l'Abbaye*. votre loux, votre rhume, voire bronchite ne tarderont 4 être guéris. l orsque vous souffrez de la poitrine, des poumons ou de l'asthme.vous devrez employer plusieurs bouteilles; mais aussi vrai que deux lois deux font quatre Lo Sirop de l'Abbaye vous guérira. Prix 2 fr., 4 fr. et 7 fr. le flacon. Attention procurez vous le bon Sirop, seul celui-ci guérit.et se reconnait 4 une bande rouge autour de la bouteille et portant la signature de l'agent général L. I. Akker, Rotterdam. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2