NOUVEAUTÉS DU
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iTEMPS
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EXTRAIT
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SAVON
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AVIS AUX CYCLISTES
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GRANDS MAGASINS DE NOUVEAUTÉS
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LE MEÏLLEUR LAXAT1F
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OW DWMAWDE
NFIN I
Botrel contre Zola
Les exploits des
Lauibrioieurs Francais
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Les Oiseaux
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D'uu jugemeut rendu par le tribu
nal de 1" instance d'Ypres en date dn
18 M ars 1908 en cause Sidonie Der-
veaux épouse E tmond Cueudt, domi-
ciliée avec lui a Wervicq, demande-
resse contre sou dit époux Edrcond
Co< udt, ouvrier au dit Wervicq,
défendeur défaillant
h appert que la dite Sidi mie Cueudt
a élé séparée de biens d'avec sou
époux Edmund Cueudt et que celui ci
a été condamné aux dépens.
Pour exlrait cerltfié siucère el
veritable par l'avoué soussigné eou
stitué pour la demanderesse Sidonie
Derv aux.
(signé) LEBBE Firmin,
avoué.
La Reine du Monde
GUÉRISON RAPIDE
SOULAGEMENTIIHËD1AT
de la
ET SES CONSEQUENCES, EN PRENANT AVANT LE REPAS DO SOiR
XJ1V
u
2 porles chêtiH a'paitueaux a deux
baftauls,potir chapejle.
20 porles chcai-a pauncanx.
Chambraules ct eaibassoaieHts, elc.
P. .u r renseig®omeals s'adresser au
bureau du J lurna1.
d'amioncer que le Üi ntiste
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Le Verre Iénaphaque
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du
du Samedi 28 Mar» 1908, a 5 h. du 6oir.
Ordre du jour
1. Ecole industrielle compte 1907.
2. Ecole de musique compte 1907.
3. Pabrique d'égliz# St Martin compte
1907.
4. Sport hippique denaande do subside.
5. Hospices ciyils location do biens
ruraux.
6. Pabrique d'église St Martin portail
lateral sud devis demande de subside.
7. Bureau de bienfaisaace location de
biens ruraux.
La panthéonisation de Zola a inspire a
Botrel une nouvelle chanson, qui ne man-
quera pas d'obtenir le succes qui s'attache a
toutes lesoeuvres du barde breton.La voici
Zola, dans un livre cynique,
Dépeint un être malfaisant,
Parricide, liche et sadique,
Et nous dit C'est le Paysan
Non Non 1 halte-la I
Bon Paysan, tu n es pas lk
Dans l'oeuvre de Monsieur Zola,
Qui blaspheme ta tache austere i
Crois-moi,
Bon Paysan, cc nest pas toi l
Zola, dans des pages lubriques,
Nous roontre un tas de dévoyés,
De debauches et d'alcooliques,
Et ditVoila les ouvriers 1
Non 1 Non 1 halte-la
Bon Populo 1 tu n'es pas lk 1
Dans l'oeuvre de Monsieur Zola
Nana ['Assommoir ou Pot-Pouille
Non, non cette laide tripouille,
Crois moi,
Brave Ouvrier, ce n'est pas toi 1
Zóla, dans un bouquin énorme,
Au monde gouailleur présenta
Un pantin froussard et difforme,
En disantVoila le Soldat
Non 1 Non halte-la I
Soldat francais, tu n'es pas la
Puisque le héros de Zola
Devant tous les devoirs renacle 1
Non 1 le fuyard de la Débdcle,
Crois-moi,
Soldat lrangais, ce n'es pas toi 1
Zola, pour nous servir d'exemple,
Servir dexemple a nos enfants,
Va reposer dans le saint Temple
Oü sont nos Aieux tromphanlsl
Debout! lts Carnotl
Deboull Lannes, Victor Hugo,
La Fourd'Auvergne.Hoche et Marceau,
Allezdormir aux Invalides
Et laissez, dans vos tombes vides,
Zola
Entre la Mouquctte et Nana 1
TH. BOTREL.
«O»
Lt cóltbra Couvent des Oiseaux a Paris est
vendu a la rtquêta du liquidateur Ménage
Mercredi, on a vendu a Paris, a la requêta
du liquidateur Menage et en un seul lot, le
Couvent des Oiseaux La mise a prix
était du deux millions. M* Detasaiie, avoué,
a été déclaró adjudicataue pour la somme
de 2,233,UOU francs. On ne connait pas le
nom de l'acheteur.
Voici quatre-vingt-dix ans que les chanoi-
nesses régulières de Saint-Augustin et de
Notre-Dame s'étaient instaliées dans le
Tioil hotel de la rue de Sèvres.
Du jour oü le couveut, qui se trouvait
auparavaut rue öaint-Victor, y fut installé,
sa prospérité alia toujours en grandissant.
Detoute ia France et même de tous les
pays, des entauts viurent vivre, grandir,
sinstruhe dans la verte solitude des Oiseaux.
La première supérieure, Mère Euphrasie,
mourut de lassitude, après avoir installé ses
poussins comme elle disait, dans le bei
hotel. C etait en 1819.
Une religieuse de vingt-huit ans lui suc-
céda. Elle devait, jusqu'en 1803, être 1 Ame
de la maison, la fée bienfaisante, la femme
de cceur et d'esprit en qui chacun espérait.
Elle n'était sévère que dans les grandes cir-
constances, eile ne prenait point au tragique
les fautes enfantmes 11 ne convient pas,
disait-elle, de braquer le canon contre des
pied» demouche. La Mère Sophie n'était
connue que sous le nom de maman Sophie.
Ses pensionnaires l'appellent maman, ra-
eoute Louis Veulllot. (Je surcrolt de ten
dresse iamiltère et couiiante est le plus doux
privilège de son autorité. (Jette maman
vigilante veillail de loin sur ses enfants dans
leur vie familiale et mondaine. Mme de
Pronleroy allait mourirMa chère, ma
bien-aimée maman, lui écrit-elle, lorsque
tous lirez cette lettre, le coeur qui vous a
tant aimée sera glacé... méme pour vous.
Je vous lègue mes enfants...
Louis Veuillot conüa ses deux sceurs, puis
ses deux titles a maman Sophie. Le premier
article qu'il avait redigé dans 1' Univers
était consacré au couvent des Oiseaux. Plus
tard, il üt un livre sur ce couvent. Pendant
plus de trente ans il ne cessa de témoigner
son respectueux attachement a maman So
phie. 11 lui écrivait régulièrement des lettres
qui sont admirable3.
En 1832, sur la demande de Mgr de
Quélen, maman Sophie prit a sa charge
douze enfants que le choléra venait de
rendre orphelines. Deux ans après, le nom-
bre des orphelines avait triple. L'orphelinat
du couvent des Oiseaux subsista jusqu'en
ces derniers jours.
Les religieuses des Oiseaux étaient
par leur naissance comme par leur éduca-
tion des femmes dislinguées, a l'esprit culti-
vé et au cceur généreux. L aristocratie fran i
caise tut toujours largement représentée I
parmi elles. Parmi les religieuses que la 1
persécution vient de chasser de leur illus're j
demeure se trouve une des fllles de M .René
Bazin.
BURGERSTAND VAN YPER
van den 20 tot den27 Maart 1908
Geboorten
Protin Michiel, Kemmelsteenweg. PareiD
Joanna Schuttelaerestraat. Vandevyver Maria,
Kaai (West). Desagher Lionel, Mondstraat.
Denoyelle Luciaan, St-Janstraat. Maertens
Germana, Boesinghestraat. Kesteloot Joseph,
Zonnebeke steenweg.—Vandewynckel Edmond,
Zonnebeke steenweg. Vanoversctiel te limiet,
Nèerstraat De Gandt Maria, Gevangecis-
straat. Deberdt Gerard, Frezenbergstraat.
Huwelijk
Trasscbaert Amedé, werkman in de statie en
Degraeve Alfonsine, beiden te Yper.
Sterfgevallen
Fockenier Maria, 17 j., z. b., Hondstraat.
Vanmaekelberg Margareta, lü maanden, Buk-
kerstraat. Vandermeersch Coleta, 85 j., z. b.,
ongehuwd, Suimont de Volsbergheslra.t.
Therry Hendrik, t t[2 jaar, Bukkerstraat.
Vandermarliere Raoul, 2 maanden, Rijselstraat.
Rutsaert Maria, 33j. z. b. ongehuwd, Poperin-
ghesteenweg.Pamart EUsa, 47 j. Kloosterlinge,
Rijselstraat.Cooren Ludowjjk, 7 d. Schuttelae
restraat. Gooris Hilaria, 1 j, Molenstraat.—
Fieuw Theresia,77j. z.b. wwe Verstraate Desiré,
Poperinghesteenweg. Carreyn Melame, 74 j.
herbergierster, wwe Verbeke Frederik, Alpb.
v. d. P. Boomplaats. Hosdey Jules, 10 jaren,
Frezenbergstraat. Leclercq Fiavie, i jaar,
Rijselstraat.
Goütez PETITE BEURRE PAREIN, Anvers.
Dans le peuple on appelle la Presse, les jour-
naux, la Reine du Monde et en effet, eette
appellation est móritée. A notre époque tout le
monde lit les journaux; ceux-ci nous tiennent au
courant de tout ce qui se passé aux quatre
coins de la terre. Un événement se passé au
jourd'bui en Australië ou en Amérique, aussitöt
les journaux beiges en sont prévenus et nous le
servent demain. On connait done les nouvelles
en même temps que dans les pays ou la chose a
eu lieu. II est de notoriété que nos journaux
beiges, particulièrement, sont bien a la hauteur
de notre époque, et peuvent lutter avec les
meilleurs confrères du monde. Ils disposent de
de reporters habiles ils connaisseut la source
des nouvelles, et les annoncent rapidem<mt a
leurs lecteurs. Et, cbose qu'on ne peut pas tou-
joursdirt decertainesgrandes feuillesétrangères
la vórité n'y regoit jamais d'accroe.
Les journaux beiges sont universellement
réputés pour l'exactiiude, la rapidité et la vérité
de leurs informations. Cela est tout a l'éloge de
leurs óditeurs, qui méritent toute contiance et
dont la paróle ne peut étre mise en doute
C'est ainsi que nous connaissons dans le Pays
de 'Waes, l'éditeur de la Gazet van Temsche,
Monsieur Scbuerman-Boejjkens, qui jouit de
l'estime de tous pour sa sincéritó Récemment
nous avions avec ce Monsieur un entretien, do.it
nous détacbons ce qui suit, a l'intention de nos
lecteurs.
Ce monsieur nous communique ce qui suit:
Ma fille Maria, agée de 17 ans, a souffert d'une
maladie de poitrine chronique. Le Sirop de
l'Abbaye du Couvent Santa Paulo a grandement
conlribué k sa guérison.
Monsieur Scbuerman Boejjkens, éditeur de
la Qazet van Temscbe habile a Tamise.
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guérit la oü les autres remèdes out ócboué.
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