APPEL •- - A la hambre C Uk ONIQUE TPR O/SE 525* Anniversaire Délivrance de la ville d'Ypres Lc concert de Ia Grande Harmonie de Wattrelos Lys a TYperlée Actes officiels Hu irelijksafkondigingen Bensées du jour défaite, eet horde» d'Arabei sauguiaaires ils Ie» ont refoulées et décimée», et a l'heure oüje Tousparle, partout oü flotte le dra- peau bleu a l'étoile d'or, il n'y a plus d'es claves, li en a coüté bien du sang, bien des mort», nous le savonsnous «emblons ne pas savoir ce qa'il en coöté d'héro'isme et de sacrifice». Et maintenant, vouiez- toub que tout ce »ang coule 4 nouveau t vouiez vous qua nouveau soient encbainés ces enfants et ces femmes, et que la chasie recommence 4 toute cette chair humaine, et que par mil- liers ces pauvrea noirs soient étalés sur les marchés, palpé» et vendus et égorgés le long des routes... Le vouiez vous Dites que Ton ramène de la bas nos offi ciers et nos soldats et no» arme» et notre drapeau, mai» ce jour la, dites aussi que l'on voile de crêpe l'image de la Patrie et ce vieux Lion beige quia connu la défaite, peut-itre, mais la honte jamais. De la brutalité je voulus avoir le cceur net, un de nos frères revenu au pay» pour y faire construire une machine a briques de son iüvention, m'en fournit l'occasion. C'était un brave fils de nos campagnes fla. mandes «Frère, est-il vrai qu'on soit si brutal avec ces pauvres noirs II me ré- ponditMon Dieu, Père, vous comprenez bien qu'on ne gouverne pas ce» gens la en leur promettant un morceau de réglisse. Un souflet est vite donné, ou un coup de baguette ou un coup de pied... Mais soyez tranquille, ils n'en regoiveut pas autant que j en ai regu, moide mon pèie et de ma mère, et cela ne m'a pas mal tourné.» En vérité, Messieurs, ce Congo est une bonne tête de nègre Ne dirait on pas qu'en votre pays tout est crème a la vanille Que les disputes de ca baret s'y fondent en de tendres baisers, jamais un coup de couteau que personne, ni femmes ni enfants surtout, ne s'y est jamais battu qu'on n'y appelle que mon doux ami...» que les braconniers tendent leurs fusils aux gendarmes, en leur demandant des pardons trés humbles. O le doux pays oü ne fleurissent que les orangers Jen'absous pas les brutaux il y en a ici comme il y en a la bas. Mais la bas comrae ici la loi les c'uAtie. Que faut-il de plust Exigez-vous que 14 bas déja soit organisée la police et la gendarmerie Pour Dieu.don- nez du temps. Au reste, un fait répoud a l'objection de fagon victori) use. Les blancs la bas sont airaés. Ah les blancs Iruais leurconduite la bas 1 Quel pervertissa t example I Je n'absous rieD. je ne justitie rien Je remarque simp'emeut qu'a l'origine de toutes nos missions, dans toutes colonies européennes uais-antes, au dela des mers, nous avons rencontré le même obstacle. II nous a dé olés oui maL découragés jamais A quelques mil es d'u'ie coto, oü les com- mergants espagiols étalaieut au soleil une dépravation sans exemplc,nous avons fondé ces reductions du Paragay, dont Voltaire, qui envers nous ne déborde pas de tendresse, disait «qu'elles furent le triornphe de rhumanité Encore une Ibis. je n absous pas les blancs du pays noir ma's les blancs du pays blanc sorit-ils.eux.rt'une splendour liliale ?...U» se cachent du moins..Est-ce donca vos yeux un si grand mérite, et ce manteau d'hypocrisie tient il lieu de vertu On dit en parlant de la bas avec des indignations superbes, des mots trés durs polygamie concubinage. On réserve piur par!er d ici des mots trés doux et des pécbés mignons, habillés 4 l'an- glaise. Est ce une question de mots Ah si le plus ccupaWe d'enDo les blancs qui sont 14 bas. se dresFait soudain au mi lieu de vos graudo» piacts, villes euro péennes, et a la fourmillière de blancs et de blanches qui »'entrecroi»ent,jetait eet évan- gélique déti «Que celui d'entrc vous qui e»t sans péché me jette la première pierre,» combieu oseraient se baisser pour ramasser des caillouxf J'ai fini, Messieurs; je n'ai plus qu'un mot a vous direvoulez-vous que vraiment soient laissés 1* ce» millier» de frères qui von» supplient et, comme le Macédonien de Paul vous crient "Oh I ver.ez, venez a nous...» Vouiez vous que le Christ r< cule Vouiez vou» abandonner la vos prêtres, vos reli- gieuses, vos fils et vos tilles après tout, car ils sont votre sang? Dite», ditos... Mais, ce jour la, ce nest plusla patrie qu'il vous faudra voiler de crêpe... Voilez la Croix et le Crucifié, et que les vieux bourdons de nos cathédrales sounent le glas funèbre. car le peuple, le eracd peuple que le Christ avait la bas, par del4 les mi rs, sera bien prés de mourir. La première partie de la séance du mardi 3o Juin est consacrée aux réponses faites par les ministres aux questions qui leur ont été posées; la seconde partie aux interpella tions de M. Cousot sur l'accident de Roche fort et de M. Hoyois sur celui de Maffles. Les députés de ces arrondissements inter- viennent dans le débat pour suggérer au ministre des chemins de fer des amélioratiorrs techniques dan» l'établissement des voies, la traction et le mode de signalisation et lui demander une augmentation de salaire pour certains gardes barrière. Le mercredi i"~ Juillet, on reprend la dis cussion générale du traité de cession du Congo. M. Delvaux (libéral, Anvers) achève son discours oü il s'est proposé principalement de montrer l'importance des richesses agricoles et minières du Congo. On a critiqué les 38o ooo frs. pour les serres de Laeken; grice k ces serres oü se poursuivent des études »ur les arbres et plantations utiles 4 introduire au Congo on a obtenu de» résultats extraof- dinaires. Aussi quelqueargent quecoütent ces serres, elles ne coütent pas trop. L'Etat du Congo a fait beaucoup plus que ses voisins pour combattre la maladie du sommeil. Des anglais de renom ont reconnu que le Congo beige est fertile et Bouriant; le Congo frangais stérile etdésolé. Mais aujourd'hui on ne veut entendre que la voix de certain parti exalté qui veut en Angleterre la conquête du Congo; ce parti veut nous dégoüter du Congo en y introdui- santdes réformes telles que la colonic serait sans valeur pour nous; le gouvernement an glais ne sait pas suffisamment lui résister. Quant aux concessions, aucun auteur ne souiient qu'elles violent l'Acle de Berlin. Le régime en vigueur au Congo francais estiden- tiqueacelui qui est appliqué au Congo beige. L'Angleterre accorde des concessions dans les mêmes conditions elle voudrait en obtenir la suppression au Congo beige Si les concessions étaientcontraires a l'Acte de Berlin, elles seraient nulle--pas plus après la reprise qu'avant la Belgique, ne devrait d'indemnité aux sociétés concessionnaires M. Janson qui a été pris a partie par M. Delvaux prend la parole pour un fait person nel il proteste de son patrio'isme et de sa sincérité. M. Schollaert, chef du cabinet, pr< nd Ia parole pour metire fin a une confusion qui tègnesur 1 origine de l'Etat Indépendant du Congo, sur sa position dans le droit interna- tionnal, sur ses obligations résultant des traités et sur les conséquences des mesures améliorant le sort des indigènes et garantis sant la liberté du commerce. II développe longuement les originesdei'Etatindépendant et il en dé iuit contrairement 4 l'avis exprimé par MM. Royer et van Marcke, et d'accord avec tous les auteurs, que eet état n'est pas une creation des puissances et qu'il ne doit pas son existence a l'Acte de Berlin. L'Acte de Berlin contient dts prescriptions quant au role économiqne et au róle civilisa- teur du nouvel Etat La Belgique, est-il besoin de le dire, saura remplir sans faiblesse et largement les obliga tions de l'Acte de Berlin. C'est avec bonheur et fierté qu'elle joindra cette mission civilisa trice et cette têche économique 4 d'autres qui lui ont valu depuis septante sept ans l'éloge des puissances,mais elle le fera spontanément appuyée sur son droit, résolue a maintenir son indépendance et sa souveraineté. NOTKE-DAME 0 THUYINE Nous sommes heureux de pouvoir annon- eer aux Yprois qu'a l'occasion de cette année jubilaire, S. G Monseigneur l'Evêque de Bruges viendra assister solennellement a nos fêtes du 2 Aoflt. La Procession recevra un lustre extraor dinaire par le concours des quatre paroisses de la ville, et sortira a to 1/2 heures la grand'messe sera chantée a 9 heures, en chant grégorien. L'assistance tout entière devrait exécuter ce chant. Pour que cette manifestation soit vraiment grandiose et digne tout 4 la fois de N. D. de Thuyne, de Mgr. l'Evêque et des Yprois, un appel pressant est adressé a tous les amateurs du chant grégorien des quatre paroisses pour qu'ils viennent nombreux aux re'pétitions qui seront données tous les jours a 8 j/s heures du soir, 4 l'Eglise St. Martin, a commencer de Lundi prochain 6 Juillet. Décidément il faut reconnaltre que parmi les belles festivités locales de notre saison d'été ce sont les fêtes musicales qui font 4 notre population Yproise le plus grand plaisir, Nous en avons eu une nouvelle preuve, Dimanche dernier, 4 l'occasion du grand concert donné par la Grande Harmonie de Wattrelos comprenant cent exécutants sous l'hablle direction de Monsieur Paul Mager. C'est bien le cas d'appliquer l'amusant acrostiche que voici UTile et agréable, unissant l'un 4 l'autre, RÉgnant sur le» esprits.tur ègnes sur les coeurs. MImique, danse ou chant, tu fais le plaisir nótre, FAVorisant chacun de tes sons enchanteurs SOLeil de l'art et sceur de la grande peinture, LA foule accourt ardente 4 tes tendres accent» SItót que l'on t'entend, on cesse tout murraure; UTopiste et Penseur s'accordent dans ce sens. A l'arrivée du train de llh.45,l'imposante phalange musicale frangaise est regpe par une délégation de la Commission des fêtes ayant a sa tête son président Monsieur 1 échevin Fraeys. L'Harmonie Communale joue la Marseillaise et le cortège escorte parun public nombreux et sympathique se rend aux Halles oü a lieu la réception offi- cielle Monsieur le Bourgmestre Colaert, entouré de membres du Conseil Communal et de la Commission des fêtes, regoit dans la superbe Salle Echevinale. II souhaito la bienvenue aux musiciens Wattreloiiens et propose de boire une coupe de champagne au succes du concert de l'après midi, a la prospérité de la Grande Harmonie de Wattrelos etde la France. Monsieur Jean Hassebrouck, vice- président de la Grande Harmonie, répond en excellents termes aux paroles aimables de M. le Bourgmestre et dit tout le plaisir que la société ressent dq pouvoir se faire enten dre a Ypres. Le champagne cipcule et les musiciens chautent un vivat en l'honueur de 1'Admi nistration CmnmiirgFe. l'uis une aubade est doniiéedrvar t 1 Motel Ie Ville 4 Monsipur le L..II-„mes!?-- En rt* temps un petit coucert tiè- .".1 tL'L.u-' si don 4 la Grand'Place par i o'r-- II i-numie Communale. Après le ban'i' et scrviiia r< rrl catholique.DOS hó es viMieni ia ville et ses beaux monuments. A G hen esd i sjir, Bi uinei se Grand'place se garnit o'uu public nombreux et l'enceinte réservée est öceüpée par un grand nombre de nos families Yproises etde musiciens distingués de la ville et des environs. Par une délicate attention 1'Hymne Yprois est exécuté a la satisfaction générale puis le brillant concert s'ouvre par la su perbe marche Er&a de Volpatt. On peut immédiatement apprécier la richesse d'or- chestration, le jeu sür et les solides qualités d'ensemble du distingué corp3 musical de Wattrelos. Uneseulp observation nous sera permise, c'est que dans le cours de deux ou trois morceaux une légère dissonnance a semblé démo ïtrer que quelques rares instru ments n'étaient pas tout 4 fait justes. Une mention spéciale pour les trois pages savantes du grand-maltre Massenet, l'Ouver- ture de Concertvrai labyrinthe d'accords harmoniques; le conté lyrique trés fouillé Griselidis et une séiection trés ingrate du superbe opéra le Jongleur de Notre-Dame. Si cette exécunon artistique est peu goütée des profanes elle a été doublemenl appréciée par ceux qui en comprennent les grandes difficultés. La séiection de Mireille a fait Ie plus grand plaisir, tant pour la richesse mélodique qui constitue le grand attrait de toutes les ceuvres de l'immortel Gounod, que pour l'excellente interprétation des différents solis tes et de toutes les parties dans eet ensemble si harmonieux. La délicieuse Cavatine du Barbier de Séville de l'illustre Rossini a été un succès personnel pour l'excefient piston solo qui par son jeu d'une admirable pureté et d une mer- veilleuse douceur s'est révélé artiste consom mé. Le Ballet Egyptien dr Luigini est une composition de tout premier ordre, faisant valoir toutes les -ressources de l'excellente Harmonie qui en a fait apprécier avec un grand succès toutes ses beautés. La fantaisie et valse Espagnole Fita de H. Parès, l'éminent chef de musique de la Garde républicaine a clöturé ce brillant concert par une interprétation du savant compositeur. C'est au milieu d'applaudisserpents enthou- siastes que le Concert prend fin. tandis que Monsieur le Bourgmestre monte au Kiosque pour féliciter le talenturux Directeur et ses méritants interprêtes de la parfaite réussite de leur brillante audition musicale. II leur remet en souvenir une jolie médaille grand module représentant les Halles d'Ypres. La Grande Harmonie répond par une vibrante Brabangonne, puil sur les instances du public exécute la Marseillaise. La Grande Harmonie de Wattrelos nous laisse un excellent souvenir, et nous espérons bien qu'elle nous donriera encore l'occasion d'applaudir 4 ses nouveaux succès. Musica. Lemystèrede la Bande Beige Sous ce titre, un journal radical de Fran ce, Le Réveil du Nordreproduit en partie par des organes de la presse beige, se livre 4 des imputations aussi mensongères qu'odi- enses contre un de nos magistrats, 4 propos de l'instruction des crimes et délits comtiiis en Belgique par la bande Pollet. Ce magistrat n a pas besoin que nous le défendions; mais il nous permettra de pro tester de toutes nos foices contre des atta ques injustes, dirigées nvant tout contre la magistrature beige. Si certains journaux se croient en droit d'injurier et de difïamer, 4 propos de ses fonctions judicraircs, un bommé dont la vie privée est au-dessus de tout sou| gon. nous croyons que la presse bouuête a le devoir de défendre en sa personne, la maf isUature beige, une des plus dignes et des plus pro be» de l'Europe. Ce n'est pas l'intérèi. politique qui nous guide, le magistrat visé n'apparten mt pas 4 notr® opinion. Nous ne song^ons même.;; pas 4 défendre notre magistrature contro le reproche de tiédeur qui, au dire du Réveil du Nord, lui aurait été ad'össé par le'pré sident de la Cour d'Assises de S' Omer nous n'avons, pour en jnger, ni les docu ments nécessaires, ni lLutorité et la com- pétence voulues. ais quand on reproche a un magistrat beige de s'être laissé influen- cer, dans une instruction, par sa passion pour la scBui d une femme qü'öti pretend complice d'assassins, nous avons le devoir, répétons le, de vengër le magistrat et le corps suquel il a 1 honneur d'appartenir, quelle que «oit leur opinion politique. C'est la raison de nbtra protestation puiise t-elle être enteudue de tous nos concitoyens qu'on chercbe a ég irer Le canal de la Le ministre des travaux publics, M. Del beke, vient dé décidef l'achèvement du canal de la Lys a l'Yperlée dans Ie sens que voici On salt que la grosse difficulty réside dans le passage de la créte de partage des bassins de la Lys et de 1 Yser le grande trancbée d'Hollebeke.oreusée dans un terrain extraor- dinairement mouvant, s'est affaissée en maint» endroits, et tous les travaux exécutés pour remédier 4 cette situation sont restés vains. Le ministre a done décidé deconstruire un tunnel a ciel ouvert, ou une dunette en béton sur toute la longueur de la partie du canal affaissée. Pour que la solution soit plus rapide. il sera procédé 4 une adjudication par voie de concours des travaux a exécuter. Deux hy- pothèses devront être examinées; i° en main tenance niveau de flottaison actuel du bief de partage 2* en relevant ce niveau par la con struction de deux biefs supplémentaires, un de part et d'ature de la crête de partage des bassins de la Lys et de 1 Yser. Pour cette adjudication, il sera procédé comme il l'a été fait en 1880, pour l'exécu- tion des travaux de mise 4 grande section du canal de Charleroi 4 Bruxelles, a travers la crête de partage des bassins de la Sambre et de la Senne 4 Seneffe. Des soumissions et propositions seront adressées au départe ment "des travaux publics, et l'auteur du meilleur projet présenté recevra une prime de 2$ ooo francs. C'est a la suite d'une visite faite sur les lieux par M. l'inspecteur général Pierrot que M. Delbeke a décidé la solution que nous venons d'indiquer. Nos renseignements nous permettent d'af- firmer que cette note parue dans différents journaux est parfaitemeut exacte. Cette bonne nouvelle que nous nous empressons de com- muniquer 4 nos amis leur fera certes plus de plaisir qu'4 Monsieur Nolf le député des libéraux et des socialistes de l'arrondissement d'Ypres. Par arrêié du 3i Décembre 1907 paru au Moniteur du 27 Juin «908 un sübsid'e de 1004 fr., 78 est alloué 4 la fabrique d'église de Saint Médard 4 Wervicq pour la restaura- tion de ce monument. Par arrêté du i5 Juin 1908 la reconnais sance légale est accordée aux sociétés mutualistes De Vooruitzichtkas, établie 4 Poperinghe, la Prévoyance des travailleurs établie 4 Comines. Par arrêté royal du 27 Juin 1908 la croix civique de 1" classe est décernée 4 MM. L. Biebuyck,président du tribunal de i« instance d'Ypres, I. Gastel, greffier de Ia justice de paix du canton d'Ypres, L. Vanderheyde, chirurgien 4 l'hópital civil de Poperinghe, en récompense des services rendus dans le cours d'une carrière de plus de trente-cinq années. Par arrêté royal du 1 Juillet 190I la mé daille commémorntive du règne de S. M. Léopold II est décernée aux persosnes dénommées ci-après MM. F. Vancaysaele, adjudant ét Coüwet, pompier aü corps des sapeur pompiers communaux armés 4 Pope ringhe, MM. F. Pinteion, P. Vefntéulens, E. Leroy, E. Cocle, E. Verdoene, E. Èeir- naert,pompiers,au corps dess^piurs pompiers cpmmunaux armés 4Ypres, Un arrêté royal du 17 Juin 1908 autoriss le conseil communal de Wytschaete 4 perce- voir une taxe sur les chiens. Un arrêté royal du 17 Juin 1908 autorise lê conseil communal de Wervicq 4 perce- voir des cottsations personnelles. j Ftorimqntf' Barnsteen kiste, si?iiöe 1u^a fc er ge huisvest te Zillebekè en l.udoyie Teriyn, geliuis- vest te Yper. Jóannus Laiuhert, mijnwerkergebuisfv^i Ie Luik, en Eveline Busr-yne," dieristunid vesl Ie Luik, isï: ufi t. BURGERSTAND VAN YPER Q Vaj) iien 26 Juni tot den 3 jöii tysk u" Geboot ten: Suiagghe, Gastöiï, Doorgangstraai. Vandelanolfe, Stephanus;. J, Capronstiaal, Debollaqder; Gerniana. Bukkerstr: T La.odérwijn,. IvqiVna. Patleelstr. c Dauchy, Francis Klaverstr. Wuliepil, Joseph, Boomga rdstr; Garcy, Raymond, Oude Houlmaiikl ftepuydi, Maria, Meenensteeuweg '•-»>*« Vanhoutie, Suzanna, Oude Kleermarltf I) iity, Hogee, Ei.-enheerdstraat. ;'H' Huwelijken l>e Bras, FrancisCus, labrielt werker e>i Cou- telle Julia kanlenwerksler beideii o- Vp--i TangheTneophiél, .smidgast 'II.' ugji-Wért, AU 'ïs. z. b. beiden te Yjier. Overlfidens.;[f Déhièsè Joseph, 59 j. z. „óngêiufdjvi,. Tuouroutstr. -*«1 ILb.iu Jules, 3 j. L. Meerscbstr. Ki.ock'jjert Andreas, 6 j. PoperinghesteenwjBg. Dourguignoti Laura, 32-j. z.- !b. eéhrfgte. Ergo Alfred, Popèriiighestnenweg. Ueiciifl Alphbtisiua, 65 j. zv b. echlgtè, Ma- - bieu Victor, Poperingli»steenvS^g. .•-"Ta Dicrauier, Petrus. 46 j. bakkér ecbtgté Ver- briLghé Romania, St Jacobstraat, ViSP E" ce moment de erisè oü Bar gent est si rare, il est bon de se rappeler que la Pilule antiglaireuse Waltéry qui guérit la plupart des maux ne cMfe qu'un franc la botte Une böite suffit a fine familie pour une année entière. a - - .'IA iiCÏ Quiconque a fait sans Dieu de la gloire n'a reussi qu a déchainer sur la terre le monstre sanglant des batailles sans fin quicpnqüe a fait sans lui de l'industrie n'a reqssi q'B" a^ru" tir les hommes 4 transformer L- moffdfi en chaudière et les ames immortelle-s en rouages souffrants et irrités qui touroijnt, bfasphè- ment et se brjsent.daus ia nuitquicoqque a fait sans lui de la sciènce s est enfoui dans les sables de la raisoopure et de Taitière critique; quiqoncque afait sans iui de l'autorité a glissé dans le sang des victoires révolq^pniyiires et quiconque a fait sans lui de la 1 iberté s'est réveille partout, serré 4 la gorge par un soldat qui lui a dit en le chargeant de fer: «Je suis la liberté I 9 Abbé Perroyve Dieu est le maitre da temps. Lui scul fait les saisons et énvoie, au moment propice. la chaleur dés jours, la fralcheur des nuits.et les ondées saluliares qui fécondent le sol et le couvrent de riches moitsons. II couvre la main, dit la Sainte iEcriture, et tout ce qui respire prend une uie nouvelle; il la ferme, et tout se fane et meurt... Qui donca découvert le secret de cré-r seulement un brin d'herbe, ou un graip-dc ce blé qui nous rend vingt, trente, quarante pour un f Dieu I« multipüe par des müliarcs de milliards pour donner la ration quo!i- dienne a ces quinze cents millions d'habitap ts du globe terrestre, qui viennent plu sic ut fois par jour s'asscoir 4 sa table 1 Öuand'il V manque quelqué chose, t est 14 "fkuYf d'.s serviteurs parèsscux, imprévoyants, ingrats, infidèles, égoistes, qui ï'ónt pis su cKerclter d abord le royaume dés cieuxcondition essentielle pour obtenir le reste par surcroit. Eg bien, mes chers amis, taut que nous n'aurons pas trouvé le moyen de faire la pluie et le beau temps, nou» serous obliges de recourir a celui qui a les clé? de» réser voirs célestes, qui commando aux astres' 'et donne la maturité 4 vos sentences, Nous croyons trop 4 notre science, 4 notro savoir-laire, a notre iutelligence nons - serions teutés de ne vouioir ni Dieu ni maitre. Dieu nöue arertit qu'il veut rester Dieu et maitre, et que les hommes, quelqu méchants et puissaüts qü'ils soient, ne la fófceront jamais d'abdiquercé sont eux qui; passeronti et sérónt mis au rebut, com mo un vêtement u»é. - Mgr l'Archevêque d'Aix. Die u veut tout ét tout lui est dü. FÉNELÖN. jv irc/ovyin 'te vuus ie aire DE LA SOUS LES AUSPICES DE B <stf '-?• si 'ï.aïstoe '„ni; if;— I ...j -.rg, 4t OOli-'-fCA «V J f- - "t- e

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2