A la Chambre CONCERT s pres Lnfin Le Journal Neutre A propos des legs Merghelynch Sachez done. Dans nos Charbonnages Sa vie ne tenait qu a un fil Guérie complètement d'une phti- sie du Larynx par le eélèbre Sirop de l'Abbaye berta imauguré (exposition des Arts et Métiers a Verviers. Un ami qui a visité les expositions de Verviers et d'Ypres nous a affirmé bien sincèrement que celle d'Ypres dépassait de loin la première. Messieurs du Comité, k l'oeuvre,vous avez décidé des triënnales, dit-on parfait Trois ans suffisent k préparer de grandes et belles choses. Yptots, a l'oeuvre Ypres on fait bien les choses, il s'agit s'unir, de s'entendre et de vouloir. X. Y. Z. a de Séance du Mardi 4 Aoüt Après la question du Mont des Arts, voici celle de la gare centrale qui fait l'objet d une interpellation; au fond, celle-ci, comme la précédente, a pour but d'attirer (attention du gouvernement sur les grandes dépenses qu'il va faire et de signaler les dangers qu'il y a, au point de vue financier, d'entreprendre des travaux qui coüteront énormément. sans qu'on sache au juste combien, alors que dans le reste du pays tant d'autres travaux seraient ou utiles ou nécessaires. D autre pait, le pays s'impatiente de cette inégale répartition et ce serait mal servir les intéréts du parti catholique de poursuivre dans cette voie. Telle est la portée de l'interpellation dont M. Wauwermang développe la première par tie. II a voulu surtout savoir oü en sont les travaux. Ce débat a été interrompu, pour permettre a M. Ozeray, le nouveau député libéral d'Arlon, de dire combien il est pressé de faire preuve de ses qualités d'interpellateur. On discute même a propos du tour de faveur qu'il réclame et l'affaire est réglée grkce a l'amabilité de Célestin qui lui cède son tour Puis la discussion est reprise. M. Woeste prend la parole pour affirmer une fois de plus les raisons excellentes qu'il a de s'opposer au projet du Métropolitain. M. Helleputte a réfuté les diverses objec tions et s'est d'abord attaché a démontrer qu la jonction Nord-Midi n'est pas une oeuvre somptuaire. mais un travail d'utilité et de r.écessité, qui doit absolument être exécuté. II faut faire la jonction, si l'on ne veut pas compromettre la régularité et la sécurité de la circulation sur notre réseau. J'ajoute que la province, a laquelle on semble vouloir faire appel, a le plus grand intérêt a la jonc tion Nord-Midi. Les deux grandes gares, aujourd'hui a rebroussement, doivent être transformées en gares de passage. Tous, nous sommes d'ac cord sur ce point. Les gares a rebroussement ont vécu. M. Helleputte expose ensuite les grandes lignes du projet etconcluten disant que la. prospérité d un pays est intimement liée a un excellent aménagement des voies ferrées. La discussion est close, mais M. Woeste reviendra sur la question a propos du budget extraordinaiie. M. Brunet a encore interpellé M. Schol- laert sur un arrêté royal, réformant une déci- sion de la députation permanente du Hai- naut. M. Schollaert, justifiant l'arrêté, a démon- tré a 1 honorable membre que sa reclamation n'était pas fondée. Et l'on a levé la séance. Mereredi 5 Aoüt après midi A 2 heures, la discussion de la charta colo- niale a été reprise et M. Lorand, achevant un discours commengé la semaine dernière, a continuék défendreunamendement tendant ce que les membres de la commission de surveillance, prévue par l'art. 4. soient nom- més par le Parlement et non par le Roi. II a detnandé que cette commission se réunisse plusieurs fois par an, sinon elle n'auraaucune efficacité. M. Denis a défendu, a son tour, eet amen - dement et s'est rallié a cette idéé de créer une cotnti ission parlementaire de surveillance a nommer au Congo. Mais M. Woeste s'en déclare adversaire. Car la commission nommée telle que le pré- voit la commission des XVII siégera au Congo, tandis que celle de M. Lorand ne pourrait voir que par les rapports de ses inspecteurs. Au surplus, cette commission ne jouira d'aucune autorité. M. Royer naturellement, a été de 1 avis de M. Lorand et a trouvé l'occasion de dire beaucoup de mal des missionnaires, ce qui lui vautla juste riposte de M. Verhaegen: Vous eussiez bien fait, dit il, de donner aussi la parole aux missionnaires, pour se défendre. Ils ont répondu a tout cela Après quelques observations du ministre de la justice, qui a défendu aussi les mission naires contre M. Royer, l'amendemant de M. Vandervelde est rejeté par assis et levé et le texte du gouvernement est adopté. L'amendement Lorand est rejeté par 75 voix contre 52 et 2 abstentions. L'amendement Mechelynck est égakment repoussé. La Chambre a voté encore par 119 voix sur 120 membres présents le projet de loi sur saisie des navires, puis elle a repris Ja discussion de la charte. Leg articles 3 et 4 ont été adoptés; a l'article 5, concernant le pouvoir législatif au Congo, la commission propose le texte suivaat: Le roi exerce le pouvoir législatif par voie de décrets, sauf quant aux objets qui sont ou qui seront régies par la loi. Les décrets sont rendus sur la proposition du ministre des colonies. Aucun décret n'est obligatoire qu'après avoir été publié. M. Woeste estime lui que les deux rédac- tions, celle de la commission et celle du gou vernement aboutiront au même résultat. Et e'est ce que dit a son tour M. Hymans qui se rallie a l'amendement Mechelynck. Après quoi, il y eut un intermède socialiste prévud'ailleurs, puisqael'Indépendance nous annongait que M. Destrée, directeur de la politique socialiste par. intérim, y serait forcé. Sans doute, la gauche socialiste, dit article, ne fait pas ce qu'on peut appeler de 'obstruction a grand tapage, le scandale serait par tropretontissant vet il ne faut pas se donner tous les torts; mais il y a des moyens d'agir en douceur, sans avoir 1 air d y toucher, qui sont aussi perfides. L appel nominal est uu de ces moyens la, Seulement il paiaitque cela même ne suffit plus et que la gauche socialiste sentant qu'el le ne peut par des moyens réguliers empëcher l'émission du vote final, pourrait de nouveau recourir aux moyens extra ordi- naires. M. Schollaert, ministre de l'intérieur s'étant rallie a la proposition de Mr Destrée de remettre le vote jusqu'au au lendemain. La Chambre reprend les ainendemeuts de la gauche socialiste sur l'article 5, qui sont rejetés par 72 voix contre 38 et 2 abstain ons. M. Denis reprend la première partie de l'amendement qui est rejetée par 58 voix contre 37 et 6 abstentions. Le texte du gouvernement est adopté. L'article 6, relatif au pouvoir exécutii qui appartient au Roi, est adopté sans discus sion. A propos de l'article 7 qui s'énonce ainsi Aucun acte du Roi ne peut avoir d eifet s'il n'est contre signé par un ministre, qui s eu rend ainsi responsable, M. llymans propose cette ajoute «Aucune dépense ne peut être engagée par ie Roi a i'aide des annuités prévues par l'art. 4 ue l'acte additionnel au traité de cession, que moyeunant le contre-seing d un ministre. (>1 s'agit du fonds spécial de 50 millions.) Al. Renkin dépose et développe un texte nouveau trau^actionnel dans le sens de celui de 'vl. Hymans, mais, selon lui, plu déterminatif. a l'amendemeut de M. Hoyois. On passe au vote sur l'amendement de M. Denis qui tend a remplacer le mot décret par par le mot loi. (Jet amendement est rejeté par 73 voix contre 53. L'amendement de MM. Destrée et Royer concernant le contingent est rejeté par assis et levé. L'amendement subsidiaire de M. Destrée d'après lequel le contingent annuel est fixé par décret amendement auquel le gouvernement se rallie est adopté par assis et levé. Et on passe a l'article 9 relatif k la mon- naie. M. lleernaert défend longuement un amen dement tendant a dire que c'est la monnaie beige qui aura cours au Congo. VILLE DE WERVICQ Donné par la musique communale, sous la direction de M. Adolphe Gabelles, officier d'académie, mardi de la kermesse 18 aoüt, a cinq heures de relevée^ au kiosque place St-Martin. Première Partie Marche de concert 2. Fest-ouverture 3. Scènes putoresques a I marche b/ air de ballet c/ l'angelus dI fête de Bohème Deuxieme Partie 1. Samson et Dalila, faniaisie 2. Toujoursou jamais, valse 3. La walkyrie, granue sélection XXX Leutner Massenet Saint Saëns Walteuffel Wagner L EXPOSITION DES ARTS ET ME TIERS a été cloturée lundi soir apiès avoir regu pendant sa durée de huit joui s, envnoo huit mil.e visiteurs. Ge grand succès, tout a l'honneur du coinué orgam-juur cl des exposants, a décidé le countc ju Burgeis- bond a recommencer dans trois ans. La lecture des décisions du jury et le tirage de ia splendide tombola out eu lieu mardi matin, a 10 heures, dans ia saile des fêtes des Halles. La cérémonie était présidée par M. 1 avocat Begerem, président du Burgersbond, eutouré de M.ie bourgmestre député Colaert, M. l'écbevin Vanden Bogaerde, MM. Léon Dumelie, l'abbé Leys, et Julien Antony, membres du comité. MM. Charles Baus, H. Vanderghote, conseiller communal, l'ingé- nieur Vanderghote et AcR. De„ys,de Roulers, membres du jury. A cette occasion des discours ont été prononcés par M. Begerem et M. le bourgmestre. Ils ont été trés applaudis par les exposants et le nombreux public. Voici les numéros g .gnants de la tombola 53114119, 3263, 4919, 3368, 11966, 2336, 1859, 1019, i32i, 11119, 2202, 6190, 9883, 9200, 4966, 10640, 10282 5o52, 8951, 414111968, 11582, 12548, 10537, 10930, 11678, 8478, 11893, 1692, 2382, 88, u56, 9952, 3115, 11037, "882, 10172, 31111784, 4516, 2494, 9365, 492 596, 11475, 1804, 4456, 10973, 12541, 12428, 4291, 2241, 3084, 12380, 12769, 4914, 1470, 12480. Les objets pourront être réclamés jusqu'au i5 septembre prochain. Ils pourront être retires chez le concierge du Volkshuis rue Saint-Jacques, Ypres. échéant, cela lui permet de dire Mai n'est pas moi qui dis cela, c'est tel et tel moi, je n'ai v.ucune opinion personnelle Parfois aussi le «neutre» prend en location une plume plus ou moins chrétienne. Ceia sert a jeter de la poudre aux yeux des croyants, cela sert a dorer les pilules qu il distribue d'habitude et, de cette fagot), les pilules passent, sans defiance, comme une lettre k la poste. Cependant, tous les neutres ne procè- dent pas de la même fagon. II y en a qui comprennent la neutralité en conleni uit toutes les opinions et en les mettant louies dans une même marmite, la leur. L- ur journal est une espèce dolla podrnia ou 1 jJ trouve de tout. La cuisine y est fane j ar o s écovains de tous les bords. de louies !e opinions. Parmi les collaborateuis, on - wit des socialistes, deslibéraux, des catholiques, des libres-penseuis. des pornograplns, etc voire même des abbés. Oui, dans les premières colonnes du journai, soüiltées ia veilie par les Dlasphèmts d un mécréani -n délue, on a pu lire pius d'une tois le lendemain l'article d'un abbé, non pas poui réfuter les étucubratious de la veilie contre i'Eglise dont il est le ministre, mais simple- ment pour trailer une question d'art ou de fantaisie,dans 1 intention probable de donner oe l'intérêt au journai. En somme, ces soi-disant neutres, qui cachent ou cherchent a cacher leurs opinions dans un intérêt de boutique, ne peuvent inspirer aucune sympathie aux gens sérnux qui réfléchissent, a ceux qui ai ment ia franchise et préièrent un franc ennemi a un faux ami. On peut se défendre contre le premier, on peut lui fermer sa porie 011 est presque toujours la dupe de 1 autre. Que des families chrétieuues, des catho- liques regoivent sans défiauce a leur loyer des jouruaux «neutres», qu'ils les laisseut même aux maius de leurs enfants, est uue de ces aberrations d'idées qui déroutent tout homme seusé. Ges feuilies font en défruitive, plus de mal a ia foi chrétienne que les orga es des plus violents mécréants, et contribuer a leur succès en s'y abonuaut ou eu les achetant est, de la part d un cbrétieu, uue stupidite, une lücheté ou uue ignorance inconcevable. gique pour étudier les mesures de précaution prises dans les mines de notre pays. Le délégué américain, représeutant au parlement un bassin houiller dont l'étendue est double de celle du bassin beige, s'est montré émerveillé des progrès accomplis chez nous. II a visité également deux des grands char- bounages du Borinage le charbonnage du Bois du-Luc et le charbonnage du Grand- Hornu oü il a recueihi de nombreux rensei- gucmenis sur 1' exploitation et les conditions de tiavail dans le bassin houiller beige. En Amérique il n'existe aucune disposition 1 igale préconisant des mesures de précaution dans les charbonnages. Dans ce pays l'on a toujours montré une grande opposition a i'interveniion de l'Etat dans les exploitations industrielles. L o pposition a (intervention légale semble diminuer a présent et il est question de dé- poser une loi qui rèqlerait, dans uue certaine mesure, les conditions de travail dans les mines et d'étabiir des régies générales au poirit de vue des mesures préventives, Yi. Watteyne, ie distingué inspecteur des mines, a été invité par le gouvernement de Washington a collaborer aux travaux d'une commission d'ingénieurs des mines d'Amé- rique. M. Watteyne s'embarquera dans une huitaine de jours pour les Etais Unis. Oui, le printemps est enfiu arrivé; mais afin de pouvoir en profiler largement et éviter les maladies saison- nières, débarrassous d'abord notre organisme de loutes les bumeurs glaireuses qui s'y sont accuuiulées pendant l'hiverpour cela, ayons recours h la Pilule aniiglaireuse Wallbery. 1 fr Séance du jeudi 6 Aoüt. Au début de Ia séance|la Chambre a conti nué a dkcuter l'article 7 a propos duquel M. tiymans defend son amendement exigeant le coiitreseing mmistéiiel pour les dépenses sur le fonds de 50 millions. M. Renkin ministre, montré que le défaut de (amendement de M. Hymans est d éta blir uue assimilation compléte, absolue, entre les actes de disposition relatifs au fonds spécial et tous les autres actes de pouvoir exécutif. 1 ar Ik il est contraire au iraité. II aboutit a supprimer le témoiguage de gratitude. De (avis de M. Beernaert. ce n est qu'une qu- stiou de nuances et a vrai dire l'amen dement du gouvernement est acceptable. C'est aussi ie sentiment de M, Woeste qui partage la même opinion. Après une Dembionade, qui contraste avec ie ton digne de la discussion, on passe au vote. L'amendement Hymans, mis aux voix par appel uominal est rejeté par 74 voix contre 57. et le texte du gouvernement est adopté par assis et ievé. A 3 heures, la Chambre vote, par appel nominal, sur la proposition d'ajouruement au mois d octobre, présentóe par M. Destrée Cette motion d'ajournement est repoussée par 86 voix contre 47. A 1 article 8 prescrivant qu'aucune taxe douauière, aucun impöt ne peuvent être établis ni aucune exemption d'impöt accor dée que par décret, M. Hoyois propose dajouter que le gouvernement et les iodc tionnaires ou agents a ce autorisés peuvent accorder aux indigènes des exemptions temporaires d'impóts M. le ministre de la justice s'attache a justifier l'article 8 et dit que les nécessités pratiques commandant de se contenter d un décret. La matière ne pourrait s'accorder avec la lenteur presque inévitable du travail narcotique et accepte les raisonnements Au fond, le neutre est l'ennemi le plus subtil, le plus dangereux des families chré- tiennes oü règne encore la foi, l'union et la paix, car les doctrines qu'il prê:he sont toujours entachées de scepticisme, quand elles ne sont pas ouvertement hostiles aux enseignements de i'Evangile. Le plus souvent, pour n'efïaroucher personne, il ne verse pas le poison de l'incrédulité brutale- ment, a haute dose, d une fagon ostensible il s'y prend plus adroitement. Aujourd'hui, il vous verse quelques gouttes, en guise d'apéritif, dans un breuvage plus ou moins sucré, plus ou moins anodin demain encore quelques gouttes, et ainsi de suite.Peu a peu, le lecieur irréfléchi, s'habitue a la dose de La plupart des journaux ont avec raison parlé en termes élogieux des dons princiers faitspar M. Arthur Merghelinck a (Acndémie royale dessiences et des arts de Belgique et a (Académie royale flamande. Presque tous ont omis d'ajouterque Ma dame Merghelynck a sa vie durant la jouis- sance tant de l'hótel musée que du chkieau de Beauvoorde a Wulveringhem et qu'après son décès, alors que les docte" sociétés en re- ront en possession de ces s dendtdes immeu bles, ceux ci conserveront leur destination actuelle avec toutefois cette légère différence que de Musées privés qu'ils sont ils devien- dront publics. C'est chose connue que M.Arthur Merghe lynck n'a jamais voulu jouir en égoïste des merveilles qu'il avait accumulées et dans son hötel et dans son manoir féodal. Tous les étrangers y étaient admis; il suffisait aux habitants de sa ville natale qui désiraient y pénétrer de lui en faire la demande pour voir s'ouvria devant eux ce monde évocateur le premier du XVII0 siècle et le second du XVI0 siècle. Aussi le nom de M. Arthur Merghelinck reste en bénédiction auprès de tous les ama teurs d'art et chez tous ceux qu'anime le désir de s'initier au beau et a l'histoire du passé. Sachez que quiqonque a soin de bien se purifier le coipsavec la Pilule Waltbery, au conamen cement du printemps,'est presque certain de jouir d'une santé parfaite pendant toute l'année, Une boite soffit pour loute une familie. législatif. Le ministre se rallie a Tarnende ment Hoyois. M. Denis a déposé aussi un amendement et le défend en soutenant la nécessité de I'in tervention du iégislateur de ia métropole en matières d'impóts eoleniaux. Al. lloyois défend sa proposition se basant sur ce qu en Belgique une partie de (impót peut être remise par Je ministrejdes finances a la suite d'orages ou inondationa. II faut quelque chose d'analogue au Congo. M. Mechelynck marqué ses préférences pour la constitution en laquelle il a plus de confiance, et M. Destrée félicite M. Hoyois be (amendement qu il a déposé. Enlin l'orateur demaDde que le contingent soit fixé ch&que année par une loi.II ie ralli* j chaque jour répétés. Bientót, il sent ses convictions ébranlées et finit souvent par tomber lui-même dans cette neutralité néfaste j qui, confondant le bien et le mal, avilit l'üme en la dirigeant vers les seals intéréts matériels. Notez que le neutre enseigne rarement ses doctrines directement, comme venant de lui. Non, cela serait trop maladroit, cela pourrait nuire a son commerce et a son prestige de neutralité. II fait intervenir d'autres autorités qu'il a su choisir pour les besoins de sa cause. II a tout un arsenal d'arguments empruntés a de soi-disant savants, et c'est par ces citations qu'il cherche j généralement a faire pénétrer le scepticisme et le matérialisme dans les imes. Le cas La réputation du champ d'expéiience de Frameries oü l'on s'occupe de l'étude de toules les questions qui peuvent avoir une in fluence sur la sécurité du travail dans les charbonnages, s'est étendue au dela des mcrs et notamment en Amérique. Hier, M. Douglass, qui représente congrès américain les régions minières l'Ohio, est vena visiter, sous la conduite M. Watteyne, inspecteur général les mines, le champ d expérience de Frameries On achève en ce moment, a Pittspurg, la pré- paration du premier champ d'expérience des Etats-Unis et M. Douglass est arrivé en Bei Je désir-e absolutüeut que ma gué ison soit connue de tout le moride, nous disait M dame Jeanne Macels,habitant 9 rue d'Orange k Anvers. Elle nous fit la declaration sui vante J'ai souffertde pbtisie du laryi.x pendant plu sieurs années. Ma poitrine aussi laissail a désirer en même temps que les douleurs terribles de la gorge, je resseutis des douleurs de p utrine intenses. Dans lesderniers temps j'étais si forte- ment atteinte qne bien souvent je crachai du sang et que je Le pouvait presqne pas parler. Je ne dormais presque plus, je ne mangeais pas plus qu'un oiseau. Jé m'affaiblissais dejoui en jour. l'avais des accès continuelsde chaud et de froid le moindre effort me fatiguait. J'avais essayé de tous les remèdes, mais ancun ne pou vait me soulager. A dire vrai, les remèdes ne m'inspiraient qlus ia moindre confiance. On me dit un jour que le Sirop pe l'Abbaye, Couveot Sancta Paulo, possédait une foi ce cura tive merveilleuse. Malgré m m doute, je me procurai, en désespoir de cause, une bouteille du divin Sirop de l'Abbaye c'est ainst que mon mari l'appelle. Je m'aperqus bien vite que ce remède me procurait un soulagement réela; rès l'emplo de la druxièine bouteille des douleurs de la gor ge et de la poitrinediminuèrent rapidement. Le cracbement de sang dimii.ua également, les graires se détachèrent plus facilement. Mon ap pétit augmonta, la toux n'était plus aussi dou- loureuse. Je continuai l'emploi du Sirop del' Abbaye, jus-qu'k ce que je me seutis guérie. Je suis on ne peut plus heureuse e» ètonnée do la puissance curative du Sirop de l'Abbaye mon mari et mes eufants paitagent oette joie et ce bouheur.Jene regrette qu'une seul chose, c'est de ne pas avoir connu plus tot le Sirop de l'Ab baye. Je n'aurais pas eu k passer les malheureu- ses années que j'ai connues. Jedisi tous ceux qui souffrentlisez ma déclaration et guérisser vous également par l'emploi du Sirop de l'Ab baye 1 Le Sirop de l'Abbaye, Couverit Sancta Paulo est un remède délicieux pour jeunes et vieux. II est obsolument inoffeusif et guérit les rhumes anciens et recalcitrants, bronchites, maux de gorge, cnquelucbe, glaires et toutes les affections de la poitrine etdes poumons. Prix 2,4 et fr. le flacon. Dépót-général L.I Akker, Rotterdam. Dépót principal pour la Belgique O. de Beul. Longue Rue Neuve 57, Anvers. E11 vente a YPRES: L. Aertsens, pharmacie Bécuwe, Marchéau Beu>'re7, Püarm. Centrale Cü. May, Grand'Place,35C. Libotte, rue du Verger A. 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HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2