AVIS I CHhOklQUE fPROISE Peter Benoi Is-Fonds Un grand mariage «La Se uralité scolaire esl-eile possible La Fanfare Loyale a la Hooghe Un nouveau confrère Soirée Symphonique Choses et au tres V lp jf. if* if- IP fg5 fgS jps jf» jfP pécorations éfrangère Un accident évité Bras fracture s8fs#sïPs8lssPsöPsflPs#a#s# Actes Officiels sal S# S# 5# sê, SS# En Suisse Par jugement du Tribunal de le instance, siégeant consulairement a Ypres, du dix-huit Septtmbre 4908, rendu sur la demaude de concordat préventif de la faillite presentee par le sieur Gustave CRABBE, boulanger- patissier, rue Saint Jacques, a Ypres, le Tribunal a ordouné ia convocation des créa ticiers pour le jeudi 8 octobre prochain a 8 heures «ie relevée en l'auditoiredudit Tribunal. Ils sont appelés a déiibérer sur les propositious cortcordaiaires du débiteur. L. B3EBUYCK Les regrets de Ville Auvray - Personne ne s'étonnera encore d'appren- drt que Léon XIII ne cessait de le citer comme un example i tous les prélats. Le Saint-Père avait suivi l'activité du patriar- che, vu ses succes, rcmarqué surtout son grand amour des fimea et de l'Eglise. Aussi voyait il en lui son successeur sur le troDe de Pierre. Lors de sa dernière visite a Rome, le Cardinal Sarto dit l'amour et la vénération des Vénitiens pour le chef de la chrétienté, et aasura que nulle part les prieres pour une loBgue vie et pour le bonheur du St- Père n'étaient plus ardentes qua, Venise. Léon XIII répondit: Bien des fois Nous avons le pressentiment que sous peu il nous faudra nous rendre a l'appel du divin Mattre. Sans le moindre regret nous céderons une créature moins indigne l'écrasant hoB- neur de représenter sur terre l'autorité divine. Et puis, ajouta-il, faire se pourrait, que ce füt a Vous de nous succéder C'est avec stupéfaction que le Cardinal entendit ces derniers mots, et tandis qu il se confondait en excuses assurant que ses faible forces succomberaient sous pareil e charge, le Pape lui dit avec une bienveilian- ce peu ordinaire Nous savoDS, notre trés cher Fils, que rous êtes e» état de rendre les plus grands service a l'Eglise, car vous avez des qualités excellentes, qui feraient de vous un Pontife parfait Le peuple vénitien partageait le pressen timent du Pape, en faisant escorte a son évéque en partance pour le conclave le 26 juillet le futur pape. Cette prédiction devait s'accompliret depuis cinq ans, le Vénéré Pie X a donué au monde la plus haute idéé de la Papauté daas des circonstances exceptionnellement difficiles. On a peut-être pu croire d'abord que ce plébéien de naissance, ret homme si humble et si modeste jusque sous les insignes des plushautes dignités ecclésiastiques, serait comme écrasé, humainement parlant, par l'héritage que lui léguait son ïllustre pré- décesseur Léon XIII. Dès son arrivée au tró. ne pontificial cependant, ses pires ennemis eux-mêmes doivent se détromper et recon- naitreque l'Eglise Catholique a encore un tres grand Pape, le vrai Pape de l'beure actuelle. Comme on sait le Peter Benoits Fond?, prépare pour sa sixième fête annueile une réexécution de deux parties da la tétralogie religieuse, notamment de 1 empoigoante et dramatique Mes se de Requiem et du superbe et triomphal Te Deum L'exé- cution fixée d'abord au 21 Septembre, a été remise de buit jours et aura lieu lundi 28 Septembre a 8 heures, du soir. La dernièie répétition générale qui S8ra accessible au public, aura lien dimauc'ie 27 Septembre, a 1 heure de relevée. C est le 7 Octobre prochain que sera célé bré k Paris le mar;age du Comte Félix de Mérode avec Mademoiselle de Clermont- Tonnerre. On sait que le fiancé est le second fils du Comte Hermann de Mérode et de la Comtesse née dela Rochefoucauld d'Estissac; il est le petit fils des feus le Due et la Duchesse de la Rochefoucauld d'Estissac. Mademoiselle de Clermont-Tonnerre est fille du Due et de la Duchesse de Clermont Tonnerre, De nombreux détails généalogues et historiques ont été donnés récomment sur la familie de Mérode a propos de la mort si regrettée du vénéréchef de cette familie; nous ne les reproduisóns done pas ici, mais voici quelques indications sur la familie de Cler mont Tonnerre. On peut dire de celle-ci que c'est une des plus illustres et des plus anciennes d'Europe. Elle est d'origine commune avec celle de Savoie actuellement régnante en Italië. Elle est alliée a la plupart des Maisons régnantes actuellement sur l'Europe. La Maison de Clermont Tonnerre est d'ailleurs elle-même une familie souveraine jadis régnante en Dauphiné. Constance de Clermont fut reine de Sicile tandis qu'lsabeau de Clermont fut l'épouse de Ferdinand d'Aragon, roi de Naples. Onze membres de la familie de Clermont- Tonnerre ont été canonises et le Pape Pie VII appartenait, comme il se plaisait a le rappeler, a la branche italianisée de cette familie, les Chiara-Monti. De nos jours, la Maison de Clermont- Tonnerre jouit toujours du plus grand presti ge et est une des plus considérées .le la haute aristocratie frangaise. Elle a trois branches principales: Celle des Comtes de Tonnerre, aujourd' hui éteinte; celle des Dues de Clermont- Tonnerre, Marquis de Cruzy, a laquelle appartient la trés charmantefiancée du Comte Félix de Mérode, et dont le chef actuel est Roger, Due de Clermont-Tonnerre, qui avsit embrassé la carrière diplomatique et possède dans l'Yonne le oeau chitcau d'Ancy-le-Franc. Enfin la troisième branche des Clermont- Tonnerre et Comtes de Thoury est celle qui a pour chef actuel, Amédée, Marquis de Clermont-Tonnerre, lequel possède le cha teau de Bertangles prés d'Amiens. On peut dire que le nom de Clermont- Tonnerre est aussi connu en Belgique qu'en France, car cette familie y possède en effet de nombreuses alliances, parentés et attaches. Nous ne pouvons citer ici tous les rap prochements de cette familie vers notre pays et nous nous bornerons a rappeler ceux des temps les plus modernes: outre le prochain mariage done qui va unir le 7 Octobre pro chain, Marie-Renée-Frangoise de Clermont- Tonnerre au Comte Félix de Mérode, il faut citer celui d'Isabelle-Charlotte-Sophie de Clermont-Tonnerre qui fut célébré en 1875 avec Henri, Comte d'Ursel; il faut citer aussi l'union plus ancienne entre Amédée-Charles- Ferdinand-Théodore, Marquis de Clermont- Tonnerre et Marie-Jo8éphine-Virginie de Mignacourt (Tournai) et le mariage célébré en 1887 de Marie-Philippine-Gabrielle-Anne de Clermont-Tonnerre avec Albert, Comte Bruneel. Parmi les attaches des deux branches actuellement subsistantes de la maison de Clermont-Tonnerre avec la Maison de Méro de elle-même, nous pouvons rappeler que la grand-mère de Mademoiselle de Clermont- Tonnerre, la future Comtesse F. de Mérode était la Marquise de Moustier née de Mérode que l'actuelle Marquise douairièrede Migna court, belle-seeur de feue la Marquise de Clermont-Tonnerre née Mignacourt, est née de Mérode: enfin que la Comtesse Louis de Clermont-Tonnerre est la propre nièce des Comtesses Hermann et Werner de Mérode. Les armes de la familie de Clermont-Ton nerre sont: de gueules a deux clefs d argent en sautoir, avec la tiare Pontificale comme cimier, privilèges accordés aux Clermont en Dauphiné, lesquels avec des troupes levées a leurs frais avaient rétabli sur le tröne, le Pape Calixte II (1180). Dans eet acte on trouve l'origine de la de vise des Clermont-Tonnerre: «Etiam si om- nes, ego non Non», dit le combiste M. Aulard a an envoyd'un des principaux organes du B!oc ie combiste Anlard, autorité anticléri- caU, grosse légume du monde pédugogique, a répondu que la «neutralité» n'était qu'une blague, untrompe l'oeil.un mot vide de sens. C'est, dit-on, une prescription de loi. Or, ni le mot ni la chose ne se trouvent dans aucune loi, scolaire ou autre. Le législateur n'a point ditLes instituteurs observeront la neutralité scolaire ni rien de semblable ou d'ar.alogue. Et pour.cause. II aurait fallu définir la neutralité scolaire, et je défie bien le plus ingénieux de nos philosopbes poiiti- ques de formuier une définition, même mé diocre, d'un mot qui, si peu qu'qn y réflé- chisse, n'offre aucun sens, ou n'offre qu'un sens absurde. C'est a l'aide de ce mot, vide de sens, que la Maconnerie a endormi la vigilance des caiholiques. Maintenant qu'en France la secte croit ne plus avoir rien a redouter, on leve le masque Mais je dis qu'en ce moment oü l'Eglise catholique fait un si grand effort, et si bardi- ment combiné, pour s'emparer de l'école primaire en France, ce serait une sottise de renoncer,sous prétexte de neutralité scolaire, a opposer notre doctrine et notre méthode k sa doctrine et a sa méthode. Ne parions plus de neutralité scolaire. Bon a retenir, en Belgique comme en France. C'est Dimanche dernier que le Fanfare royale a fait son excursion au chéteau de la Hooghe, répondant a l'aimable invitation de son dévoué président M. le Sénateur baron de Vinck. A cette occasion le hameau si pittoresque de la Hooghe était en liesse et le superbe pare du chêteau était gracieusemen; ouvert au public, qui en a largement profité. Notre société royale a donné un superbe concert sous la direciiou de son chef distin- gué M. Louis Arschodt. Comme toujours, M. le baron de Vinck a regu ses invités avec une grande cordialité, assurant une fos de plus les membres de sa société de toute sa sympathie et les félicitant de leurs succès musicaux. La Fanfare royale est rentrée a Ypres par le tram de 7 heures, aux sons de joyeux pas redoublés, enchantée de cette charmante excursion, et de l'accueil si cordial de son dévoué président. Nous saluons avec plaisir l'apparition d'un nouveau Journal local, le premier du genre en notre ville, Bürgersbelang, organe du Burgersbond Yprois. Cet organe de la petite bourgeoisie vient k son heure. Son program- me est vaste et comprend entr'autres la lutte faite dans le sens chrétien contra les graves abus dontsouffrent beaucoupde commergants et d'artisans notamment la concurrence déloyale et la triste habitude du long crédit que prennent beaucoup de clients chez leurs fournisseurs. Le premier numéro qui vient de paraltre contient des articles tres intéressants et d'une haute valeur économique et sociale. Nous félicitons la Rédaction du Burgers- belang de son heureuse initiative toute d'opportunité et lui souhaitons un grand suc cès et un grand nombre de lecteurs a Ypres et dans tout l'arrondissement. Une fête charmante que celle organisée Jeudi soir au local du Cercle Catholique par la jeune société symphonique «Mupekfcring» sous la direction de M. L. Verhaeghen. Les divers morceaux du programme ont témoigné d'un goüt sür dans le choix et de solides qualités d'ensemble dans l'exécution des oeuvres de valeur mises a l'étude avec une hardiesse toute juvénile. Nos félicitations au Directeur actif, aux interprêtes et a leur soliste M. J. Van Cappel. Les morceaux de chant ont mérité le franc succès dü a une excellente interpretation des chanteurs de talent MM. V. Ducorney et J. Bulcke. II convieDt de féliciter la commission et son jeune président Mr J. Tyberghein pour leurs efforts louables, Leur ardeur joint a un travail assidu et sérieux nous promet pour l'avenir une pléiade d'artistes amateurs Yprois capabies de ressusciter l'ancien Cercle Mucical dont nos pères faisaient avec raison leurs délices. Le gouvernement de la République Fran- gaise, voulant récompenser la bienveillance avec laquelle MM. Jones et Westendorp, respectivement directeur et sous-directeur a l'Ecole de Bienfaisance de l'Etat, Èl Ypres, se sont mis a la disposition de lr mission officielle envoyée par le gouvernement fran- gais pour visiter et étudier les installations de l'Ecole de Bienfaisance, vient de nommer M. Jones, directeur, officier d'Académie, et M. Westendorp, sous-directeur, chevalier du Mérite agricole. Toutes nos félicitations. Jeudi après-midi,M.Robert Merghelynck, roulait en vélo dans la rue du Temple, vers la rue au Beurre. Au moment oü il allait passer le coin de ces deux rues.venait en sens inverse l'automobile de M. Albert Swekels. Comme M .Merghelynck roulait a une allure assez accélérée, il n'eut plus le temps de se garer et un accident serait inévitablement arrivé s'il n'avait eu la présence d'esprit de sauter en pleine vitesse en bas de son vélo. M. Merghelynck fut indemne, mais le vélo fut pris sous l'automobile et broyé. Le nommé Cyrille Debaere, contremaitre a la tuilerie d'Halluin, habitant a Ypres, a l'Hoornwerck, a fait une chute dans sa mai son et s'est fracturé le bras. Un arrêté royal du 31 Aoüt 1908 approuve, sous réserve, une délibération de la députa- tion permanente du conseil provincial de la Flandro occidentale, au tori sant l'exploitation, par M. Léon Develter, d'un service public et régulier de transport en commun par terre entre Rousbrugge-Haringhe et Poperinghe. Par arrêté royal du i4 Septembre 1908 M. Lantonnois (Albert-Bruno-Amédée), gé- néral major, vice-gouverneur général de l'Etat Indépendant du Congo, ses enfants et petit enfant ont été autorisés sauf opposition en temps utile, sur laquelle il sera statué, il joindre a leur nom patronymique celui de van Roode,» après l'expiration d'une année a compter de insertion au Moniteur Beige du 18 Septembre iqo8. Par arrêté royal du 16 Juillet la décoration agricöle de ae classe est accordée a MM. T. Accon k Elverdinghe, F. Bertheloot a Watou, H. Boury a Proven, C. Capoen a Ypres, Ch. Cuvelier Ypres, H. Decreus a Poperinghe, A Legrou a Zonnebeke, C. Depoorter a Poelcapede, H. Kruydt a Ghe- luvelt, H. Mahieu a Woesten, H. Thomer a Boesinghe, G. Van Hulle a Saint-Jean. Berne, la viile aux ours...Connaissez-vous Berne II faut environ trois quarts d'heure pour connaitre a fond cette caphaie. Etrange petite ville que voila, vraie capitale pour ï'ire, oü le passé et ie présent, le respect de la tradition et le goüt de la medernité se croisent, s'entrechoquent et dansent !a ronde... II y a deux villes dans Berne, comme dans la plupart des vilies suisses et des villes allc- mandes la vieille ville et la nouvelle. A Berne, la vieille jjjville est ravissante. Ville Non, bourgade, tout au plus, compöséè de ruelles intormes, mal pavées, pas puvées du tout, a peine tracées, qui se croisent, se joignent et s'écartent les unes des autres au gré d'une fantaisie un peu folie. El cela fait un labyrintne oü un hl d'Ariane servirait moins qu'un bon plan. Et ces maisons Ellessont vieilles, authentiquement vreilies, presque croulantes leur ton est rouge, et la plupart d'entre elles se baignent dans i'eau bleue de 1'Aar,qui étend li brement son ruban indigo a travers la vieille cité. Et qutile paix règne dans tout cela I Quel amalgams exquis de couleurs... La verdure drue et forte, in digo profond de l'eau, les toits uniformément rouges, les maisons uniformément blanches, tout cela est d'un charme doux et viilageois, qui faitqu'on se croirait a cent lieues d'une ville. Comme tout ceiasentle passé, le vrai, celui que ne créent ni l'illusion complaisante des touristes ni les dollars américains... Allons a la fosse et aux ours Ah c'est vrai. C'eüt été un crime impardonnable de venir a Berne sans la voir, cette fosse, oü se promènent, calmes, placides, tnèlancoliques les ours qui symbolisent, parait il, la ville même de Berne... Nous y voici. Deception. On espérait voir des ours terribles, grima- gants, méchants, se battant... Hélas Dans leurs deux cases hautes de quatre ou cinq mètres, ces lourdes bêtes se promènent et digèrent caimementles étrangers leur jettent des carottes et des fruits, dans I espoir de les voir sortir de leur placidité et se battre... Mais ces ours sont Suisses (si l'ou peut ainsi parler) rien ne les fait sortir de leur excellent caractère de fauves municipaux... Ce sont des plantigrades de tout repos... Das la vieille ville, il y a encore des choses curieuses, comme la grande horloge et les fontaines pubiiques qui dressent leurs horreurs, sculptées et peinturlurées sur le pavé inégal de3 iuts... Puis on passe sans transition dans la nouvelle Berne, la Berne moderne. Ah 1 cette ville neuve, oü tout est triste et gris, comme elle est suisse. Le goüt suisse s'y étale et s'y manifeste sans réticences et sans frein... Voyez le palais fédéral Qui ne l'a pas vu? C'est une construction impoitante, lourde et triste, qui pourrait être a la fois une gare allemande ou una prison améri. caine, et c'est le parlement suisse. La Chambre des députés en est le principal ornement; i'ameuoieuient en est sage ment démocratique des bancs jaunes en bois verni, le tout, d ailleurs, est proprement ciré et il n'y a, en somme, a reroarquer qu'un admirable lustre en fer forgé. Denière le fauteuil présideutiel, on a x it peindre une grande fresque, aveuglaute, qui repré sente a grand renfort de rouge et de violet un des sites notoires de la Suisse... Qu'est-ce quelle fait la, cette fresque Dröle d'idée que de mettre la cette peinture. Berne a une odeur elle sent parpleu Fours. On comprendrait mieux quelle sentit le touriste. Cette maiheureuse en est iDfestóe... Oh il faut les voir pour y croire, avec leurs costumes d'un réséda aggressif, et leurs amours de petits chapeaux verts, que complete une plume folichonne; ajoutez a cela des souliers terriblement ferrés, des alpenstocks, tout l'attirail de tartariD... Bien des gens se croiraient déshonorés de faire la Suisse habillés simplement, normalement; il faut qu'ou ait les jambes uues je parle des hommes 1 il faut qu'on ait un costume vert et de grosses bot tines. Sans quoi, c'en est fait de votre ié- putation d'alpiniste. Et «'est a Berne, par oü les touristes commencent généralement ia Suisse, que l'iuvasion des grimpeurs est surtout remarquée. Plus tard on s'y habitue... A Berne, Ia gare est trés bien; elle a un restaurant sur le quai même, a deux mè tres des traius, qui cracbeut leur poussière dans votre assiette...Mais cela ne fait rien. II faut prendro les choses comme elles viennent.... En Suisse, enfin, les trains arrivent pres que toujours k l'beure exacte. La chose pa rat tra i nero y able aux personneshabituées aux fantaisi.es du réseau beige, mais c'est ainsi les trains de ia Confédération sont lents, mais ils arrivent... Et cela est d'autaat plus admirable que le pays est plutöt accideuté... Les trains suissessont confortables et larges; sans doute,s'ils ne l'étaient pas, les touristes viendraient-ils moius eu Suisse? Que M. Heiieputte médite la-dessus.Mais qu'il n'aille pas passer ses vacauces en Suisse il serait forcé de rougir. Et il soufïrirait beaucoup. ii. F. Le Président du Tribunal, Commissaire-délégué, Combien Mlie Auvray regrette de n'avoir t as pris plus tót les pilules Pink.: Ces pilules l'oi t si bien et si vite débarrassée de l'anémie qui ia minait depuis longtemps. qu'elle nepeut s'empè- cher desonger aux nombreux mois pendant les quels elle a bien inutilement aouffert. Mile Auvray (Cl. Louis, Polbec) Mile Adrienne Auvray est ane jeune modiste de Valletotsous Beaumont,localité situéeèquel- ques kilomètres de Bolbec Seine-Inférieure). Elle avait en une croissance trésrapide et difleilo et, jeune fille, elle était restée sans forces, pèle épuisée. Aucun traitement n'avait encore pu vivifier son organisme éprouvé et elle sedésolait lorsque quelqu'un paria des pilules Pink et lui en fit le plus grand éloge. Elle pritles pilules Pink, au bout de peu de temps son état de santé se trouvait sensiblement améiioré. Ello a teprie des couleurs, des forces, et a une trés bonne mine. -Quel malbeur, dit-elle, que je n'aie pas connu les pilules Pink pjus tot Qu'attendez-vous des remèdes Le soulage- ment, la guérison. Si les remèdes que vous prenez vous font du bieu. gardez-vons de chan ger de traitement, Si, au contraire, les rdmèdes prescrits ne font rien pour vous, si vous ne ressentez aueun souiagement, ne continuez pas, vous perdez votre temps. Si vous êtes dans cette situation laites un essai das pilules Ponk. Elles vous donneront satisfaction, Si vous souffrez d'une des maladies «u-dessous, elles ne peuvent faire moins qus vous guérir. Elles sont le plus puissant remède contre les maladies proveuant de l'appanvrisseaaent du saug ou faiplesse des nerfs anémie. chiorose, faiblaisse générale, maux d'estomac, rhumatismes, né- vralgies, débilité nervense, neurastbénie. Les pilules Pink sont en re te dans toutes les pharmacies et au dépöt, Pb1® i'erneville, 66, Boulevard de Waterloo, BruxeUes. Francs: 3,50 la boite, Francs: 17.50 les six boites franco. Dé|.ótó Ypres, pharmaclen Libotte. O UPS Lecteurs' 81 T0US êtes xr tra courbaturés, si vous souf frez du dos, si vous vous redressez diföcilement, c'est que vos reins sont gorgés de glaires dans ce cas, prenez pendant puelques jours, 2 Pilules antiglaireuses Walthéry et vous serez tout de suite soulagés. t Franc. BURGERSTAND WAN YPER Van den 11 tol den 18 september 1908 Geboorten: Kerrinckx Maria, St Jacobsnieuwweg. Coutrez Octave, Bondstraat Leupe Ludovic, Dixmuidesteenweg. Morel Leo, Paradijsstraat. Derudder Joanna, O. Bellewaerdestraat. Hondeghem Maurits, Dickebusch steenweg. Berghman Ivónna, L. Thouroutstraat. Verschelde Martha, Grimminckstraat. Hof Alice, St Christotf Istraat. Huwelijken: Kemp Achilles,Surnumeraris van het cadaster, te Brugge, &Bras Valentina z.b te Yper. Decock Ludovic, gendarm te peerd, i e- keyser Emma, z.b. beiden te Yper. Sterfgevallen: Duprez Joseph, 1 jaar Weduwenstraat. Dewachter Ëmerence, 65 jaar z.b. Wwe Logie Hector,echtgte Cattekeur Bonaventura, Neerstr. De Bruyne Maria, 2 maanden, Bukkeretraat. De Poorter Emerencia, 77 j. z. b. ongehuwd Elverdinghestraat. Verlaillie Léonia, 58 j. z. b. echtgte Cuvelie Emile, Hondstraat. Masse Karei, 54 j. photograaf, wedr Perdu •Joanna, Slachthuisstraat. Vandepitte Omer, 14 dagen, Elverdinghestr. Moniez Alexia, 33 j. kantenwerkster, echtgte Lamaire Victor, Doorgangstraat. V Les ver^'8es> 1® migraioe, les tl llgcs» lourdeurs proviennent de la constipation ou de ce que l'estomac est chargé de glaires c'est pourquoi ces maux disparais- sent si rapidement sous l'influencd antiglairsuse de la Pilule Walthéry.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2