Travail et Repos Téléphone a Téléphone 52 >ar»edi 3 Oetobre 1*908 10 centumes He *8 Aft**!* v 4-505 Impressions de Lond^es au Uiucuuib §«uer«u O si s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et A tous les bureaux de poste dn royaumc. i»i ïuuiiie vicioire ue UOü GOÜOgUi Vnèltil Ji. J ue» X i' TPrj 11 "9 8s znou JOURNAL D YPRES ©rgane Catho'.ique u? .it' io-T-1?: $fnoi de 1' 1 a 9ib an Le Journal d'Ypres pa rait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par ail pour tout Je pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. Les annonces coütent i5 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentaires cc 10 francs les cent exemplaires. Poyr les annonces de trance et de Belgique (excepte les deux Flandres) s'adresser k IV Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Un écrivain socialiste, M. Ftieipie Buisson, publia jadis, dans la Petite République», une intéressante tiuue sin le chömage obligatoire de l'ouvrier. fait l'historique de cette question dans la vieille France religieuse et monarch i que; le repos des travaiileurs était alors non pas settlement hebdomadal re, corn me s'en contente le prétendu progrès moderne, mais tri-hebdomadaire ei plus Aussi voit-on le safetier de la Fontaine s'en plaindre un peu avec sa belle hu meur frondeuse Le mal est que dans Tan s'entremêleni dr.; jour: Qu'il faut chömeron nous ruine en fetes L'unefait tort l'autre; et Monsieur ie cure De quelque nouveau saint charge toujours v [son prone Vous n'avez pourtant iiulle envie de plaindre ce joyeux gaillard qui chante «du matin jusqu'au soir» iC'était merveille de le voir Merveille de l'ouir; il faisait des passages,)1) (Plus content qu'aucun des sept Sages... Cherchez aujourd'hui sous ia loi dx progrès socialiste l'ouvrier qui montre la belle humeur de sire Grégoire aussi parfaitement satisfait de son sot Mais citons M. Buisson Les ouvriers, dit-il, taut aux dóuzième et treizième siècles, qu'aux dix-..;cpiièmc et dix-huitième siècles, disposaieai d 11 grand nombre de j.ours libres. iit1 i> les devait a l'Eglise, qui joua, pètidain tout le moyen age, le röle de pro'ee.teur des faibles et des humbles au cmur dc la société féodale, toute; de violence e, de passions brutales. «L'Eglise s'interposait ehtre patrons e ouvriers et édictait de nombreux jours de repos obligatoiressans doute elle entendait qu'ils fusseui consacrés aux pratiques religieuses et aux preoccupa tions sacrées. Mais la surveillance étau impossible, et les jours de chömage oi- ficiel étaient en réalité des jours tie vrai repos. «Le repos duditnanche était naturel- lement le premier prescrit. Mais, son observation comporta du douzièiue au quinzième siècle, de nombreuseexcep tions, tant pour les artisans que pour les commerrants. «Si les faiseurs de hauberts, fes fai- seurs de barils, les selliers, les barbiers, les bouquetières, les fourniss'eurs étaient autorisés a exercer leur art le diiuari- che, les orfèvres, les chapciiers de feu- tre, les pourpointiers, les drapie. s, les chaussetiers et les gantiers pouvaient vers l'an 1300 laisser, suivant les cas,' une, deux, trois ou quatre boutiques ouvertes le jour du Seigneur. «Ces exceptions a la règle du repos dominical prirent fin au seizième siècle. Les prohibitions se multiplièrent. Les artisans ne furent autorisés a travaii- ler le dimanche que pour le roi, la reine ou la familie royale. Les boulangers eux-mêmes ne furent autorisés a ven- dre du pain que si leur boutique res- tait fermée sur la rue. «En dehors des dimanches, les jours de fête étaieut trés uonibreux au moy en age. On tropve dans le Li.vre des Métiers» (2) une énumérauon complé te des fètes officiellement recoiiuues par la corporataon des boulangers dout le chömage pourtant est particuiierement sensible a la population d'utie v.ille. «Les jours de repos forcé compre- naient d'une part les fêtes mobilesFun di de Paques, 1'Ascension, la Pentecöte et le lundi de la Penteoó^e. D'autre part les fêtes fixes: Janvier Sainte Geixeviève, Epiphanie. Février «Purification de la Vierge. Mars Annunciation. Mai Saint Jacques et Saint Philippe, Invention de la, Sainte Croix. Juin Nativité de Saint Jeaii-Baptiste. Juillet Sainte Madeleine, Saint Jac ques et Saint Christophe. Aoüt Saint Pierre-ès-liens, Saint Lau rent, Assomption, Saint Barthélemy. Septembre Nativité de la Vierge, E saltation de la Sainte-Croix. Octobre Saint Denis. Novembre Toussaint, Trépasscs, St- Martin. Décembre Saint Nicolas, Noël 2 jours aprcs Noël. Ce n'est pas tout: II faut ajouter a cette liste, écrit M. Franklin, a qui nous devons tous ces curieux documents, la fête des patrons ia corporation, la paroisse, le maitre, sa femme. Puis les enterremeuls des mai- s U'es ou des compagnons, auxqqels assis- lait toute la eommunaui F, ies mariages. •xaptèmes, communions,etc.,.soit dans hi ami-lie du maitre, soit dans celie de 1 ouvrierles légères indispositions de ■ceiui-ci; les entrees soleiuièlïes ties rois et des reines a Paris: toutes circoustan- ces inipjrévues qui représenlaieut bien, op moyenne, une quinzaine de jours. b ailieurs encore, ia régie de I'Eghse ouiit qu a 1 {veillei des. fêtes. (vigiiesX 1 ouvrier cessal le travail, dans i'après- .xiidi avai.it ie ferijije. régulier, soit a none trois heui;es), a vèpres(six lxeures), ou J complies (neui heures du soir;. I «Le total de tous les jours de repos Fun ouvrier du nioyeu age (du douziè- ..ie au quinzième. siècle)s'étapiissaii done coinnie suit: chnianches 52 jours Fetes mobiles 4 1 ëtes fixes 22 i êtes patronales jj eilies de toutes ces fêtes. v<Jn peut compter sans exagcrer uie demi-journée de travail en uoins pour chaque Vigile) sui te chiffre total ci-dessus. 42 »Les fouloiis du bourg Ste-Geneviève devaient commencer le travail «dès que Ion pourra homnje. cognoistre en rue», e'est-a-dire au petjt .jour,. Fes fermaillers (qui fabriquaient anneaux et boucles de laiton, fermoirs de livres, etc.), pres- crivaient larrivée chez le maitre abiau jour.» Cqmme il n y avait pas d'horloges, ...Or quoi, sir Grégoire, chez eux pour l'y traduire en actes de coura Que gagnez-vous par an? Par an? ma foi, geux civisme et de devoir Chretien. Etaprè: Dit avec un ton de rieur [monsieur, l émouvante ovation qui accueiltit ces p&rolei Le gaillard savetier,ce n'est point ma manière de L'émineut archevêque fraugaia, i'on euteu. Decompter de la sorle, et je i^'entasse guère dit a'élever, vibrant et soknuei, aam Ün jour sur i'autre; il suffit qu'è la fin j 1 immense Albert Hali, ie beau chant dc J'attrape le bout de l'année i raliiemeat des cathoiiques anglaisFaith Ghaque jour amène son pain. of our fathers enioüué comuie penUaat au Voila l'ouvrier de la vielle France cllaut ües Üamands Zij zulle» haar mei hebben ae scAOOne ziel van 't KU1U. (1) Des Iredons, des ropfades. (2) Etienne Boileau, prévöt de Paris sous le règne de Louis IX, eut 1 idéé de réunir vers 1268, tous ies règlements de 121 cor porations dont les traditions se passaiem jus- qu'alors verbalement de père en lils, de mai tre en maitre, et donnaient lieu, natureliement, a des quereiles sans fin, que devait tiancher le grévót de Paris. rjivers lp 141 jours de repos forcé, soit plus d'un tiers de année entière. Certaines operations rqêmgs,—leü.tré- iliers d archai (tréfileurs de iaiton) en particulier garantissaieiil un mois de congé a ieurs ouvriers; pour ceux-ia ii avail done environ 174 jours de repos contre 194 jours de travail. >Mais ii coiivieut de remarquer iel que si ie nombre de jours de travaii etait peu cousidérable, le nombre d'heu- res que coinprenaient ces jours de tra veil était éievé. Suivani les métiers, les habitudes out éte natureliement diifé- reuLes, mais ou peut dire que t'eusem- bie compreuait des jouruees de travaii Lres tongues. De uoinbreux documents permettent d'étabiir exae«ëmeht ce point de 1 histöire ouvriere. Louiiiie règle pres- que partoul auoptee, la durée du travaii coraespondait a ceile du jour. A une époque oü xes rnoyens d'eciaii age étaient rudimentair es, ou la chandelle et quelle chanderie! était ia principale source de lumiere ar-tiucielie, ii n'étah pas toujours facile, ni mêïne possible, d e^ecuter après la chute du jour les ^cheats travaux des industries dart. Les règlements des diverses corpo- ratipns preseriveut le commencement ou la cessation du travaii en des termes fort pitioresques, quil nest pas saus inter cl de signaler. on s'en rapportait, pour quitter le..tra vail j ^el qu'il a été, malgré ies déclamations aux soimeiiés dé cloches des églises voi- j de quelques beaux parieurs, jusqu'a la sines. Dans certains cas, ces sonneries risquaient de ne pas être eutendu'es, et l'on fixait uu autre point de repaire pour quitter le- travail. Chez les épin- gliers, les corroyeurs et les boutonniers ou devait laisser «oeure en charnage au premier crieur du soir». (Le charnage étail la période d'hiver, celle des jours courts.) »Les tréfiliers et boucliers d'archal vlaitou) devaient quitter le travail si Löt comme on voit passer le second cri eur par devant soi du soir». II s'agitici des crieurs de vin, qu faiisaient deux tournées par jour, a heures fixes. -tivLes travaux de nuit étaient géuéra- iement interdits. »Une exception éfhit cependant faite dans preiiquki- toutes les corporations poür les travaux destines au Roy, k la Fioyne, ou a Ieurs Enfans ou a l'Evesque de Paris.» Sauf dans quelques cas particuliers, dit M. Franklin, le travail fiuissait en hiyer a six heures, a la sonnerie de vê- .pres, et en é,té a ueuf heures, a la son nerie des complies ce qui donnait une jouruée de seize heures en été et de huif heures en liiver. »,Elanl dotiné Ia fqrte proportion de joprs de fêtes, Ie travail moyen par jouy, d un bout de l'année a I'autre' étail ainsi ramené a environ huit heu res par jour. C est a partir de ia Réforme, dont le sombre esprit commenfa d attrister et de gater ce joyeux peuple de France, et dont les guerres, massacres et dé- vastations avaient créé une affreuse si tuation économique, que les jours de travail ue semblèrent plus assez nom breux. Henri IV dut demander au Pape de s upprimer plusieurs jours fériés. L'archevêque deParis, liardouin de èreljixe, en supprima une vingtaine, a ia demande de Louis XIV. Nous avons remarqué, .est-il dit dans cette ordoxianee, que ie grand nombre nes xes Les doxxt éertaixies personxxes abu- sexxt, leur sert u occasion pour se per- dre et dxssiper ieurs bxens. Nous a vous pexxse qu if es lux l tout a fait nécessaire ue deexxaxger les peupxes de notx-e dio cese de queique uoxxxnre de fesies, faut puur leur doxxxxer pius de iiberté a va- quer a xeur employ joui uaxier et de pro- xxter de leur travaii que pour empècher qu xis xxe tonxneux dans l'oisiveté, qui est la soui'ce Ue .tous fgs mam quiis eoxxxmettent. A pes causes, nous deciax-oxxs que, uaxxs xxosire dioeèse, if uy, aura désor- xnais obxxgauuu a choiner sous peine de pepixe, que ies ies.tes qxh seronl xxxax'- qimcs pax-dessous ue ia présente or- uojauance. Le saveuer ue ia fable exprixxrait done eu cxaoauuuirx uu peu conu'e ies jours lexics, xiOix seuieuieut ie vxeux seuument i'ronueüx-, ie piaisir héréditaire, si vii cixez ia i- oxxcaxiie, d,e dauoer rEgiisexiia- Lerxxelie, mais eucur.e ie sentiment de la Lour. iN xmporte, reiisez i'admirable iahle; voyez le saveuer au tahxiei- de peau agraie ue cuhg ses bras nus, sa cnemise ouverte sur sa forte poirrine veiue, son air rxeur et goguenard, sans ombre d cxahaixas ni de serviiité devant ce gxoa paxusaii couau 1'oci Maxs,maigre X'exxiuo usxasxae proveque dans veille de 89. Comxxie l'a constaté Taine, il n'est pas un seul voyageur en France qui ne s'émerveille sur la gaité et l'en- t - i i- i xes xeuxiiuiië du Uoxxgres par ia beamo ues traxn de ce peuple. La revolution et ie r I uisoouxs ex ues cuauia, xmtXxru ia axaxiuoux sociaixsme moderne out joue vxs-a-vxs 6 de l'ouvrier le role du financier de la fable. Sous prétexte de 1'enrichir, ils 1 ont doté de la vanité, de l'envie, de la haine et des faux besoins des bourgeois. Plus de chants, il perdit la voix Du moment qu it gagna ce qui cause nos peines Le sommeil quitta son logis, II eüt pour höte les soucis... Malheureusement il n'est pas si aisé a l'ouvrier moderne d'aller dire au ca- pitalisteRendez-moi xnes chansons et mon somme.» Gazette de FranceGEORGE MALET (Suite et Fin) Je vieug d'en fournir quelques preuves; en voici d'autres. 11 est bien certain, n'est-ce pas, qu il faut être acrobate de profession ou tout au moiixs Turner on Infatiguablo pour se basar- der a doscendre du trainen gare d Ypres, sans crainte de se casser le uez ou la jambe et de von, par dessus Ie marché s abiuier lamentablement sur le quui son cobs de gateaux, de jouets ou autres souvenirs de voyage. A Lotidres.vous enxrez de plain pied dans lesvoitures des grandes 1 igne., comme i.lans celles du District railway ou du «Tune A Ypres pour uu malheuröux petit Jardin public quou a, ou éprouve le besoiu de le reduire eucore et d'eix sacrifier une partxe a l'édxtication d'un théatre ou d'un local quel- conque. A Lonqres, 1 édxlité a i'oocasion de réaliser pas ma, ue centaines de miilious exx livraut a la bdixsse les immenses terrains de Hyde- Park, Regent's i'ark, etc. Mais on y esttme que la sauté vaut de 1'or et ou veille a l'inté- gx-ité de, ces poumous de la xnétropoie. Maxs oxx m'avait deuxaudé de coxxsxgner mes xmpxessxoxxs Ue Louures se rappurtaui, bxen enteudu, au Gongx-es eucüarxstique;et je m'apergois que je üévie de xxxun sajet; pis ceia, que je aérxve vers la dénigrouxanie bxeu couuue uu Beige, cuntrepxed Ue i'autu- gobisme Iraugaxs. Fix bleu, nou 1 ixüixjxcur a ia Belgique qai hl appxauair ses uxuvies et ovationxxer ais eufauls par ues uxlhxers U Augluisl L est ueti'fe éxuiuaut earUxxiai Jugr Mercier xuauiuni ia iaugue augxaxse avec uueexégacce qux xeuUxt jaioux les uraieur» augiaxs eux- xnexuesjc est xVigr ueyxeu, eveque ue Nauiur; c'esl ie it. P. Waaiers, M. Brxiiut, M. Ver- haegeu recotiant lour a tour u.i li-euenqaeo i appxauUXsseuxeuts uaus les aSs jxuoxees pie- I uiexes ou Uaus xe» sections Uu Gongiès, I uotainmeni en uonuaut des apuer^us de la 1 vxe catnoxxqae eu lieigxqae. et ia sploUUeui des ceremonies x'engxeuses et pax txcuiiéieineut ue ia xnesse byzantine, xuuigx-e ia procession Ues 1 i,0oueutauis, rxeu ne lui comparaoie a xa soieuuxte Uu spectaoxe dunt Xa metropoie augxaxse tut texnoxii apios Xe cortege imposant ues preiaio par ies rues avoxsxnaul vv est turnster. (Tp u< - Au moment oU ie legal Uu Eape txonua ia benediciiou uu o. oaureuxeul au xxaui uu üaxeou ue xa Uatueataxe, li y out Comme te l'ecuexxxemeul u'uu peupte ptein ue tol ueaa- youant pai soit auoration ie geste xmpxe esquxsse, quelques UeUtss aupat'avaut, par quelques-Uus Ue Ses cnlaxtts et jtl'exuuaul pat' Cette amclxae uoilolanie putiAque asa tuit tree UUuS «o gttou Ue t rgilSe. xtt Celie Octie attitude uu peupxe augiats me lejouit, nou seuiemen, comme camottque, uttt.o enUOieCumute üe,bo,ata suite u uu i'ap- ptocnemeniohvie elxegxltmeqU eliem ameua a iail'e. XjOXsque ie ^ouvei'uement a^gtats s Bo ueiuicie ueui'e, a ia ^jioCcsomu uu EóCtcmextt auuouCe ucjouts Ue luu|S t>Ots, Je paX'tageal evtuemmeut ia sUtpiise et tt^e. txoxi geueraxes, el ueja Xepxtneie ue - pmn^c AtUxou O euipiui coulant en riaaCc avaito Feulente cotuxme me xuoutati. aux ie vies. xViaxS en J i clamant ue pias pies, ijj uit iailut otcn reCOnuaXtte que ié gOUv etne- üxeataugtais n'en avait lalt que sen texttr a ia xox mais, a autte part, je couotalaxs que ia nation, uaus sou eusemnie, ueoaVouait les moUeos Ues scctaues qUi avaxcut lnVOque victul'icusement une xox ueci epxts ut aixa- CnlouXque voueea x'aorogalion. Dc uicme, nans i atlaiie au Gougo, li ne aepcnaia que ue nous ue yivie en paix uvac l Angieleripi en nons eu tenant a UOs Ut üXlg et a nos uevoxrs ïnteinauouaiemeui lecoxi- flus. uaus Ce» Couuxtxoue Xe peuple au^lais UOus lespeclera et lera utile ceux ues alen» dont Xes Ctxaxilcx'xes et xes menaces, uesur- maxs xujnsixnees, pourx'axeut compl'cmetsro ton x Buoixi u'nonnetete el Ue noblesse. Be Bougies eucnaitstique ue toOnuX'eS utt housaui'apasboUtemeiit iouixti un eplactouse ixiuxcatxon a Ce sujelsaus nul Uoute xl aura gianuemeut contriOue a X'aUet nttr ies mspo- sitxuna uien Voxilantea ue la nation augxaxse en noUs laisaut uxieUX counaxtré ét' i'ha.iY spptecier a elle el en auieuant uue liateiru- sation Ue peuple pius sincere et pius ouicaee que celie que peul reauser auCua ÜOugie» ue ia paix. Done sou éeeus-onrist i x» Le uiviouxxeui» a icrxniue cxinn tvtxVi. les corx ccieurs y onx uiis ie icmps ceuc aixnee -ia puhiicatxon acs ïesuitals oUxctcXS au coucours genei ai ou se renconirent uaus ies Signaxons en paiucuxier 1 entiiousia»nie 'j éproliV06 ac u scaiüli grecque-munc, ad la- Uull luV'J iLi n linri Wu.'ii.. u ...I, 1. que souxeva M. Ax taui' Vernaegeu iorsqu'li xappela les luttes giorieuses soutenues pai les catuoixques üetges f ijes ecoies sans 1 heu et des maitres Saus tol aeiiVIcZ-uoUd, 8el- gneur ivxgr Amette, prunat ae Eraace, Uemanua que cetle prxere Uevint ie mot u'oiUre que ies eougiesttsles empwrteiaient etaoiisscmcuxs omciels et colleges patxon- nes eaiiiöilqucs. i-'exuac compaiaUvi. acs Succes ouxenus pm xes exevcs acs Uivcts etc- blisscmcnts coxxcuriciiis piescnte, caaque annee, utt vil ïuiexei et voici que, ac uouveta, elle nous pcxxnct ac consuiex la rectic vaicui et nxenic i'ecrasanie supeiioiiic uc l ensm-

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 1