Travail et Repos
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Impressions de Lond^es
au Uiucuuib §«uer«u
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JOURNAL D YPRES
©rgane Catho'.ique
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Un écrivain socialiste, M. Ftieipie
Buisson, publia jadis, dans la Petite
République», une intéressante tiuue sin
le chömage obligatoire de l'ouvrier.
fait l'historique de cette question dans
la vieille France religieuse et monarch i
que; le repos des travaiileurs était alors
non pas settlement hebdomadal re, corn
me s'en contente le prétendu progrès
moderne, mais tri-hebdomadaire ei plus
Aussi voit-on le safetier de la Fontaine
s'en plaindre un peu avec sa belle hu
meur frondeuse
Le mal est que dans Tan s'entremêleni dr.; jour:
Qu'il faut chömeron nous ruine en fetes
L'unefait tort l'autre; et Monsieur ie cure
De quelque nouveau saint charge toujours
v [son prone
Vous n'avez pourtant iiulle envie de
plaindre ce joyeux gaillard qui chante
«du matin jusqu'au soir»
iC'était merveille de le voir
Merveille de l'ouir; il faisait des passages,)1)
(Plus content qu'aucun des sept Sages...
Cherchez aujourd'hui sous ia loi dx
progrès socialiste l'ouvrier qui montre
la belle humeur de sire Grégoire
aussi parfaitement satisfait de son sot
Mais citons M. Buisson
Les ouvriers, dit-il, taut aux dóuzième
et treizième siècles, qu'aux dix-..;cpiièmc
et dix-huitième siècles, disposaieai d 11
grand nombre de j.ours libres. iit1 i>
les devait a l'Eglise, qui joua, pètidain
tout le moyen age, le röle de pro'ee.teur
des faibles et des humbles au cmur dc
la société féodale, toute; de violence e,
de passions brutales.
«L'Eglise s'interposait ehtre patrons e
ouvriers et édictait de nombreux jours
de repos obligatoiressans doute elle
entendait qu'ils fusseui consacrés aux
pratiques religieuses et aux preoccupa
tions sacrées. Mais la surveillance étau
impossible, et les jours de chömage oi-
ficiel étaient en réalité des jours tie vrai
repos.
«Le repos duditnanche était naturel-
lement le premier prescrit. Mais, son
observation comporta du douzièiue au
quinzième siècle, de nombreuseexcep
tions, tant pour les artisans que pour
les commerrants.
«Si les faiseurs de hauberts, fes fai-
seurs de barils, les selliers, les barbiers,
les bouquetières, les fourniss'eurs étaient
autorisés a exercer leur art le diiuari-
che, les orfèvres, les chapciiers de feu-
tre, les pourpointiers, les drapie. s, les
chaussetiers et les gantiers pouvaient
vers l'an 1300 laisser, suivant les cas,'
une, deux, trois ou quatre boutiques
ouvertes le jour du Seigneur.
«Ces exceptions a la règle du repos
dominical prirent fin au seizième siècle.
Les prohibitions se multiplièrent. Les
artisans ne furent autorisés a travaii-
ler le dimanche que pour le roi, la reine
ou la familie royale. Les boulangers
eux-mêmes ne furent autorisés a ven-
dre du pain que si leur boutique res-
tait fermée sur la rue.
«En dehors des dimanches, les jours
de fête étaieut trés uonibreux au moy
en age. On tropve dans le Li.vre des
Métiers» (2) une énumérauon complé
te des fètes officiellement recoiiuues par
la corporataon des boulangers dout le
chömage pourtant est particuiierement
sensible a la population d'utie v.ille.
«Les jours de repos forcé compre-
naient d'une part les fêtes mobilesFun
di de Paques, 1'Ascension, la Pentecöte
et le lundi de la Penteoó^e. D'autre
part les fêtes fixes:
Janvier Sainte Geixeviève, Epiphanie.
Février «Purification de la Vierge.
Mars Annunciation.
Mai Saint Jacques et Saint Philippe,
Invention de la, Sainte Croix.
Juin Nativité de Saint Jeaii-Baptiste.
Juillet Sainte Madeleine, Saint Jac
ques et Saint Christophe.
Aoüt Saint Pierre-ès-liens, Saint Lau
rent, Assomption, Saint Barthélemy.
Septembre Nativité de la Vierge, E
saltation de la Sainte-Croix.
Octobre Saint Denis.
Novembre Toussaint, Trépasscs,
St- Martin.
Décembre Saint Nicolas, Noël 2 jours
aprcs Noël.
Ce n'est pas tout:
II faut ajouter a cette liste, écrit M.
Franklin, a qui nous devons tous ces
curieux documents, la fête des patrons
ia corporation, la paroisse, le maitre, sa
femme. Puis les enterremeuls des mai-
s U'es ou des compagnons, auxqqels assis-
lait toute la eommunaui F, ies mariages.
•xaptèmes, communions,etc.,.soit dans hi
ami-lie du maitre, soit dans celie de
1 ouvrierles légères indispositions de
■ceiui-ci; les entrees soleiuièlïes ties rois
et des reines a Paris: toutes circoustan-
ces inipjrévues qui représenlaieut bien,
op moyenne, une quinzaine de jours.
b ailieurs encore, ia régie de I'Eghse
ouiit qu a 1 {veillei des. fêtes. (vigiiesX
1 ouvrier cessal le travail, dans i'après-
.xiidi avai.it ie ferijije. régulier, soit a none
trois heui;es), a vèpres(six lxeures), ou
J complies (neui heures du soir;.
I «Le total de tous les jours de repos
Fun ouvrier du nioyeu age (du douziè-
..ie au quinzième. siècle)s'étapiissaii done
coinnie suit:
chnianches 52 jours
Fetes mobiles 4
1 ëtes fixes 22
i êtes patronales jj
eilies de toutes ces fêtes.
v<Jn peut compter sans exagcrer
uie demi-journée de travail en
uoins pour chaque Vigile) sui
te chiffre total ci-dessus. 42
»Les fouloiis du bourg Ste-Geneviève
devaient commencer le travail «dès que
Ion pourra homnje. cognoistre en rue»,
e'est-a-dire au petjt .jour,. Fes fermaillers
(qui fabriquaient anneaux et boucles de
laiton, fermoirs de livres, etc.), pres-
crivaient larrivée chez le maitre abiau
jour.»
Cqmme il n y avait pas d'horloges,
...Or quoi, sir Grégoire, chez eux pour l'y traduire en actes de coura
Que gagnez-vous par an? Par an? ma foi, geux civisme et de devoir Chretien. Etaprè:
Dit avec un ton de rieur [monsieur, l émouvante ovation qui accueiltit ces p&rolei
Le gaillard savetier,ce n'est point ma manière de L'émineut archevêque fraugaia, i'on euteu.
Decompter de la sorle, et je i^'entasse guère dit a'élever, vibrant et soknuei, aam
Ün jour sur i'autre; il suffit qu'è la fin j 1 immense Albert Hali, ie beau chant dc
J'attrape le bout de l'année i raliiemeat des cathoiiques anglaisFaith
Ghaque jour amène son pain. of our fathers enioüué comuie penUaat au
Voila l'ouvrier de la vielle France cllaut ües Üamands Zij zulle»
haar mei hebben ae scAOOne ziel van
't KU1U.
(1) Des Iredons, des ropfades.
(2) Etienne Boileau, prévöt de Paris sous
le règne de Louis IX, eut 1 idéé de réunir
vers 1268, tous ies règlements de 121 cor
porations dont les traditions se passaiem jus-
qu'alors verbalement de père en lils, de mai
tre en maitre, et donnaient lieu, natureliement,
a des quereiles sans fin, que devait tiancher
le grévót de Paris.
rjivers lp
141 jours
de repos forcé, soit plus d'un tiers de
année entière.
Certaines operations rqêmgs,—leü.tré-
iliers d archai (tréfileurs de iaiton) en
particulier garantissaieiil un mois de
congé a ieurs ouvriers; pour ceux-ia ii
avail done environ 174 jours de repos
contre 194 jours de travail.
>Mais ii coiivieut de remarquer iel
que si ie nombre de jours de travaii
etait peu cousidérable, le nombre d'heu-
res que coinprenaient ces jours de tra
veil était éievé. Suivani les métiers, les
habitudes out éte natureliement diifé-
reuLes, mais ou peut dire que t'eusem-
bie compreuait des jouruees de travaii
Lres tongues. De uoinbreux documents
permettent d'étabiir exae«ëmeht ce point
de 1 histöire ouvriere. Louiiiie règle pres-
que partoul auoptee, la durée du travaii
coraespondait a ceile du jour. A une
époque oü xes rnoyens d'eciaii age étaient
rudimentair es, ou la chandelle et
quelle chanderie! était ia principale
source de lumiere ar-tiucielie, ii n'étah
pas toujours facile, ni mêïne possible,
d e^ecuter après la chute du jour les
^cheats travaux des industries dart.
Les règlements des diverses corpo-
ratipns preseriveut le commencement ou
la cessation du travaii en des termes
fort pitioresques, quil nest pas saus
inter cl de signaler.
on s'en rapportait, pour quitter le..tra vail j ^el qu'il a été, malgré ies déclamations
aux soimeiiés dé cloches des églises voi- j de quelques beaux parieurs, jusqu'a la
sines. Dans certains cas, ces sonneries
risquaient de ne pas être eutendu'es, et
l'on fixait uu autre point de repaire
pour quitter le- travail. Chez les épin-
gliers, les corroyeurs et les boutonniers
ou devait laisser «oeure en charnage au
premier crieur du soir». (Le charnage
étail la période d'hiver, celle des jours
courts.)
»Les tréfiliers et boucliers d'archal
vlaitou) devaient quitter le travail si
Löt comme on voit passer le second cri
eur par devant soi du soir». II s'agitici
des crieurs de vin, qu faiisaient deux
tournées par jour, a heures fixes.
-tivLes travaux de nuit étaient géuéra-
iement interdits.
»Une exception éfhit cependant faite
dans preiiquki- toutes les corporations
poür les travaux destines au Roy, k la
Fioyne, ou a Ieurs Enfans ou a l'Evesque
de Paris.»
Sauf dans quelques cas particuliers,
dit M. Franklin, le travail fiuissait en
hiyer a six heures, a la sonnerie de vê-
.pres, et en é,té a ueuf heures, a la son
nerie des complies ce qui donnait une
jouruée de seize heures en été et de huif
heures en liiver.
»,Elanl dotiné Ia fqrte proportion de
joprs de fêtes, Ie travail moyen par
jouy, d un bout de l'année a I'autre'
étail ainsi ramené a environ huit heu
res par jour.
C est a partir de ia Réforme, dont
le sombre esprit commenfa d attrister
et de gater ce joyeux peuple de France,
et dont les guerres, massacres et dé-
vastations avaient créé une affreuse si
tuation économique, que les jours de
travail ue semblèrent plus assez nom
breux. Henri IV dut demander au Pape
de s upprimer plusieurs jours fériés.
L'archevêque deParis, liardouin de
èreljixe, en supprima une vingtaine, a
ia demande de Louis XIV.
Nous avons remarqué, .est-il dit dans
cette ordoxianee, que ie grand nombre
nes xes Les doxxt éertaixies personxxes abu-
sexxt, leur sert u occasion pour se per-
dre et dxssiper ieurs bxens. Nous a vous
pexxse qu if es lux l tout a fait nécessaire
ue deexxaxger les peupxes de notx-e dio
cese de queique uoxxxnre de fesies, faut
puur leur doxxxxer pius de iiberté a va-
quer a xeur employ joui uaxier et de pro-
xxter de leur travaii que pour empècher
qu xis xxe tonxneux dans l'oisiveté, qui
est la soui'ce Ue .tous fgs mam quiis
eoxxxmettent.
A pes causes, nous deciax-oxxs que,
uaxxs xxosire dioeèse, if uy, aura désor-
xnais obxxgauuu a choiner sous peine de
pepixe, que ies ies.tes qxh seronl xxxax'-
qimcs pax-dessous ue ia présente or-
uojauance.
Le saveuer ue ia fable exprixxrait done
eu cxaoauuuirx uu peu conu'e ies jours
lexics, xiOix seuieuieut ie vxeux seuument
i'ronueüx-, ie piaisir héréditaire, si vii
cixez ia i- oxxcaxiie, d,e dauoer rEgiisexiia-
Lerxxelie, mais eucur.e ie sentiment de
la Lour.
iN xmporte, reiisez i'admirable iahle;
voyez le saveuer au tahxiei- de peau
agraie ue cuhg ses bras nus, sa cnemise
ouverte sur sa forte poirrine veiue, son
air rxeur et goguenard, sans ombre
d cxahaixas ni de serviiité devant ce
gxoa paxusaii couau 1'oci
Maxs,maigre X'exxiuo usxasxae proveque dans
veille de 89. Comxxie l'a constaté Taine,
il n'est pas un seul voyageur en France
qui ne s'émerveille sur la gaité et l'en-
t - i i- i xes xeuxiiuiië du Uoxxgres par ia beamo ues
traxn de ce peuple. La revolution et ie r
I uisoouxs ex ues cuauia, xmtXxru ia axaxiuoux
sociaixsme moderne out joue vxs-a-vxs 6
de l'ouvrier le role du financier de la
fable. Sous prétexte de 1'enrichir, ils
1 ont doté de la vanité, de l'envie, de la
haine et des faux besoins des bourgeois.
Plus de chants, il perdit la voix
Du moment qu it gagna ce qui cause nos peines
Le sommeil quitta son logis,
II eüt pour höte les soucis...
Malheureusement il n'est pas si aisé
a l'ouvrier moderne d'aller dire au ca-
pitalisteRendez-moi xnes chansons et
mon somme.»
Gazette de FranceGEORGE MALET
(Suite et Fin)
Je vieug d'en fournir quelques preuves;
en voici d'autres.
11 est bien certain, n'est-ce pas, qu il faut
être acrobate de profession ou tout au moiixs
Turner on Infatiguablo pour se basar-
der a doscendre du trainen gare d Ypres,
sans crainte de se casser le uez ou la jambe
et de von, par dessus Ie marché s abiuier
lamentablement sur le quui son cobs de
gateaux, de jouets ou autres souvenirs de
voyage.
A Lotidres.vous enxrez de plain pied dans
lesvoitures des grandes 1 igne., comme i.lans
celles du District railway ou du «Tune
A Ypres pour uu malheuröux petit Jardin
public quou a, ou éprouve le besoiu de le
reduire eucore et d'eix sacrifier une partxe a
l'édxtication d'un théatre ou d'un local quel-
conque.
A Lonqres, 1 édxlité a i'oocasion de réaliser
pas ma, ue centaines de miilious exx livraut
a la bdixsse les immenses terrains de Hyde-
Park, Regent's i'ark, etc. Mais on y esttme
que la sauté vaut de 1'or et ou veille a l'inté-
gx-ité de, ces poumous de la xnétropoie.
Maxs oxx m'avait deuxaudé de coxxsxgner
mes xmpxessxoxxs Ue Louures se rappurtaui,
bxen enteudu, au Gongx-es eucüarxstique;et je
m'apergois que je üévie de xxxun sajet; pis
ceia, que je aérxve vers la dénigrouxanie
bxeu couuue uu Beige, cuntrepxed Ue i'autu-
gobisme Iraugaxs.
Fix bleu, nou 1 ixüixjxcur a ia Belgique qai
hl appxauair ses uxuvies et ovationxxer ais
eufauls par ues uxlhxers U Augluisl
L est ueti'fe éxuiuaut earUxxiai Jugr Mercier
xuauiuni ia iaugue augxaxse avec uueexégacce
qux xeuUxt jaioux les uraieur» augiaxs eux-
xnexuesjc est xVigr ueyxeu, eveque ue Nauiur;
c'esl ie it. P. Waaiers, M. Brxiiut, M. Ver-
haegeu recotiant lour a tour u.i li-euenqaeo i
appxauUXsseuxeuts uaus les aSs jxuoxees pie- I
uiexes ou Uaus xe» sections Uu Gongiès, I
uotainmeni en uonuaut des apuer^us de la 1
vxe catnoxxqae eu lieigxqae.
et ia sploUUeui des ceremonies x'engxeuses et
pax txcuiiéieineut ue ia xnesse byzantine,
xuuigx-e ia procession Ues 1 i,0oueutauis, rxeu
ne lui comparaoie a xa soieuuxte Uu spectaoxe
dunt Xa metropoie augxaxse tut texnoxii apios
Xe cortege imposant ues preiaio par ies rues
avoxsxnaul vv est turnster.
(Tp u< -
Au moment oU ie legal Uu Eape txonua ia
benediciiou uu o. oaureuxeul au xxaui uu
üaxeou ue xa Uatueataxe, li y out Comme te
l'ecuexxxemeul u'uu peupte ptein ue tol ueaa-
youant pai soit auoration ie geste xmpxe
esquxsse, quelques UeUtss aupat'avaut, par
quelques-Uus Ue Ses cnlaxtts et jtl'exuuaul pat'
Cette amclxae uoilolanie putiAque asa tuit tree
UUuS «o gttou Ue t rgilSe.
xtt Celie Octie attitude uu peupxe augiats
me lejouit, nou seuiemen, comme camottque,
uttt.o enUOieCumute üe,bo,ata suite u uu i'ap-
ptocnemeniohvie elxegxltmeqU eliem ameua
a iail'e.
XjOXsque ie ^ouvei'uement a^gtats s
Bo ueiuicie ueui'e, a ia ^jioCcsomu uu
EóCtcmextt auuouCe ucjouts Ue luu|S t>Ots, Je
paX'tageal evtuemmeut ia sUtpiise et tt^e.
txoxi geueraxes, el ueja Xepxtneie ue - pmn^c
AtUxou O euipiui coulant en riaaCc
avaito Feulente cotuxme me xuoutati. aux
ie vies. xViaxS en J i clamant ue pias pies, ijj
uit iailut otcn reCOnuaXtte que ié gOUv etne-
üxeataugtais n'en avait lalt que sen texttr a
ia xox mais, a autte part, je couotalaxs que
ia nation, uaus sou eusemnie, ueoaVouait les
moUeos Ues scctaues qUi avaxcut lnVOque
victul'icusement une xox ueci epxts ut aixa-
CnlouXque voueea x'aorogalion.
Dc uicme, nans i atlaiie au Gougo, li ne
aepcnaia que ue nous ue yivie en paix uvac
l Angieleripi en nons eu tenant a UOs Ut üXlg
et a nos uevoxrs ïnteinauouaiemeui lecoxi-
flus. uaus Ce» Couuxtxoue Xe peuple au^lais
UOus lespeclera et lera utile ceux ues alen»
dont Xes Ctxaxilcx'xes et xes menaces, uesur-
maxs xujnsixnees, pourx'axeut compl'cmetsro
ton x Buoixi u'nonnetete el Ue noblesse.
Be Bougies eucnaitstique ue toOnuX'eS utt
housaui'apasboUtemeiit iouixti un eplactouse
ixiuxcatxon a Ce sujelsaus nul Uoute xl aura
gianuemeut contriOue a X'aUet nttr ies mspo-
sitxuna uien Voxilantea ue la nation augxaxse
en noUs laisaut uxieUX counaxtré ét' i'ha.iY
spptecier a elle el en auieuant uue liateiru-
sation Ue peuple pius sincere et pius ouicaee
que celie que peul reauser auCua ÜOugie» ue
ia paix.
Done sou éeeus-onrist i x»
Le uiviouxxeui» a icrxniue cxinn tvtxVi.
les corx ccieurs y onx uiis ie icmps ceuc aixnee
-ia puhiicatxon acs ïesuitals oUxctcXS au
coucours genei ai ou se renconirent uaus ies
Signaxons en paiucuxier 1 entiiousia»nie 'j éproliV06 ac u scaiüli grecque-munc, ad
la- Uull luV'J iLi n linri Wu.'ii.. u ...I, 1.
que souxeva M. Ax taui' Vernaegeu iorsqu'li
xappela les luttes giorieuses soutenues pai
les catuoixques üetges f ijes ecoies sans 1 heu
et des maitres Saus tol aeiiVIcZ-uoUd, 8el-
gneur ivxgr Amette, prunat ae Eraace,
Uemanua que cetle prxere Uevint ie mot
u'oiUre que ies eougiesttsles empwrteiaient
etaoiisscmcuxs omciels et colleges patxon-
nes eaiiiöilqucs. i-'exuac compaiaUvi. acs
Succes ouxenus pm xes exevcs acs Uivcts etc-
blisscmcnts coxxcuriciiis piescnte, caaque
annee, utt vil ïuiexei et voici que, ac uouveta,
elle nous pcxxnct ac consuiex la rectic vaicui
et nxenic i'ecrasanie supeiioiiic uc l ensm-