FA ITS 1)1
Pensées du jour
Au Congrès ii temai ou d
ominaiions ecclésiastiques
Les 3 huil
j>pel a fhygiëne
d'éducatioo ihop Ie a mires)
Act es Officiels
!iu tvelijksafktm 4 in t nyen
Trpis ,ans: d'aiteote
Welkom
gnement catholique. Une fois de plus nos
excellents colléges patronnés sortent brillam-
ment vainqueurs de ce tournoiTntëllectuel.
Mais rien ne vaut léloquence des chiffres. II
se fait done, que cette année nos 8 colléges
patronnés ont obtenu ensemble 285 distinc
tions tandis que les 28 établissementsofficiels
n'en ont que 404, pas même le double!
Cinq de nos colléges patronnés: Courtrai
8t-Trond, Paperinghe, Hérenthals et Gheel,
recueillent ensemble plus de distinctions que
22 établissements officiels: d'un coté le
notre 226 distinctions, de l'autre 221
Si l'on considère a partchaque établisse
ment, on constate que ce sont encore nos
colléges catholiques qui arrivent'brillamment
en tête de liste:
Courtrai: Collége patronné"catholique, 55
distinctions; St-Trond, id., 54 id.; Ixelles,
Athénée, 44 id.; Poperinghe, collége patron
né catholique, 40 id.; Hérenthals, id., 39 id
Gheel, id., 38 id.; Liége, athénée, 36 id.;
Bruxelles et Verviers, athénées, 33 id.; Gand
id., 26 id., Anvers, id., 23 jd.; Mons, id.,
Ii id.
Nos grands athénées, oü la section grec
que latine reste cependant bien fréquentée,
com me Ixelles, Liége, Bruxelles, Anvers,
Mons, etc., arrivent bien loin après nos col
léges catholiques. Bruxelles ne se classe
qu'en huitième lieu, après cinq colléges
catholiques!
Parmi les succès des «officiels» citons en
core comme spécialement suggestifs: Thuin
et Ath, 7 distinctions; Malines, 5; Charle-
roy, 4; VirtoD3; Dinant, 2; Tirlemont, 1.
Le succès le plus remarquable de tout ceux
qui sont actés au Moniteur est celui do
collége patronné de St-Trond, qui remporte:
le prix d'honneur en mathématiques, deux
autres prix, 7 accessits et 13 mentions hono-
rabies, avec la première place en mathémati
ques (rhétorique), en flamand (poesie), en
fran?ais (rhét.) et en anglais (poésie); la se
conde er. latin et en anglais (rhét.)
Aucun établissement du pays n'arrive a
pareil résultat.
Les colléges communaux, presque tous
soutenus par des administrations libérales
qui n'y somment que des libéraux sont de
nouvaau battus a plates contures par tous
les colléges catholiques. Aucun n arrive a
la cheville du dernier de nos colléges. En
semble ces six colléges ne décrochent que
21 distinctions, pas même la moitié des suc
cès du collége catholique de Courtrai qui en
compte 55!
Les colléges comi: unaux spécialement
connus comme libéraux et peuplés en conse
quence Tirlemont, Virton et Diest
n'obtiennent en rout, pour tou'es les épreu-
ves, des deux classes appelées a concourir,
que HUIT distinctions. Qu on juge par la
de ce que deviendrait l'enseignement en
Belgique s'il tombait aux mains des seuls
libéraux.
Et qu'on n'objecte pas, comme le font par-
fois les feuilles «libérales» que nos coüèges
doivent tous leurs succès au latin et au grec.
Pien n'est plus faux. Nous les voyons en
effet briller au premier rang en mathémati
ques, flamand, anglais et francais.
Au concours en mathématiques pour la
rhétorique, les athénées de Gand, Bruges,
Huy, Namur, Thuin. Malines, Tongres.
Ath, les colléges communaux de Boui Ion,
Tirlemont, Diest, Virion. Dinant, n'onr ob
tenu qu'un «gr nd zéro». En seconde, même
résultat significant pour 18 établissements of
ficiels sur 28. En fait de langues modernes,
nous pouvons pour l'honneur de nos colléges
patronnés prendre au choix le franc ris, le
flamand ou 1 anglais.
En rhétorique au concours de composi
tion fran^aise, 2 de langue sur 28 dis
tinctions accordées, le collége patronné de
St-Trond en obtient 8 tous ses éièves sont
classésavec la ire, 3e, 5e, 8e, 0* et ite
place. Au concours d'anglais pour la secon
de, le même collége obtient cinq distinc
tions, avec la ire 3*, 5e. 7e et 9e place.
En rhétorique au concours de flamand
ire langue sur 5i distinctions accordées
par le jury, 35 sont obtenues par les six
colléges patronnés situés en pays flamand.
En seconde sur 46 distinctions accordées
pour le concours de flamand ire langue
les mêmes colléges en remportent 36 et
23 sur 48 en francais comme seconde langue.
Au concours pour la composition en alle-
mand ou anglais en rhétorique, vingt établis
sements officiels n'obtiennent pas même une
seule distinction. Même résultat pour 16 éta
blissements officiels au concours en troisième
langue pour la poésie.
Tout commentaire serait superflu.
Aux parents de méditer ces queiques chif
fres; ils constateront sans peine qu'ils peu-
vent avoir tous leurs apaisements tut sujet
ie la valeur scientifique et littéraire de notre
snseignement catholique dont les co lèges
patronnés constituent la vaillarjte avantgarde.
Oui, la bien venue a notre jeune confrère,
e Burgersbelang II est toujours le
ïienvenu, 1® nouveau-né
'1 eBt si beau l'enfant, avec son doux sourire,
..Offrant de toute» pat ts sa jeune ime a la via
Et sa bouche aux baisers.
Ce nouveau-né de la pres e Yproise sur
tout est aimable tout plein.
II Test forcément pour tous. car ïl entend
ne pas se mêler de politique. Fi. la vilaine
politique 1
Nous détestoüs les neutres, en politique
Qui dit neutre, dit pleutre. Qui dit neutre
dit nul, de lavis de Jutes Simon.
Mals du moment quil dolt resteren dehor:
de la sphère même des questions politiques
viv le neutre
Organe des intéréts matérie is exclusive-
ment, de ceux de la petite .bourgeoisie
surtout et de ceux de la classe ouvrière, il
vient combler uue lacune dans cette ville
jadis connue dans le monde entier pour son
importance industrie.le et que rien ne con
damne a une irrémédiable déchéance.
II vient au monde a l'heurt- oü la Belgique
nalt a la vie coloniale. L'élévatiou de la
Belgique au rang de troisièui puissance
co oniale du monde donnera nécessairement
uu puissant coup de coliier a notre acnvité
commerciale et industrie.le A nous de
prendre notre part de cette heureuse cir-
constancë. A eet effet, il est nécessaire
d'éclairer les travailleurs, les artisans, les
industriels et les negotiants, grands et
petif8. Ce sera l'une des tAches du Burgers-
belang.
A notre confrère au»si de guider nos con-
citoyens dans le édale de touteg ces institu
tions nouvelles, de outes ces organisations
corporatives, de toutes ceslois sociale» dont
le gouver ement catholique n'a cessé, depuis
24 ans, de doter notre patrie.
A lui d'être l'organe indispensable de ce
Burger bond qui, malgré son extréme
jeunesse, donne déjè. de si briilantes espé-
rances, témoin, entre autres, cette belie
exposition dek Arts et Métiers, pour ainsi
ciire improvisée.
Notre confrère, il est vrai, sepauouit eii
automue, et d-'aueuus, songeant a la chute
des feuilles. y découvi irons un mauvais
présage.
Nous estimotiB, potir notre part, que pour
uaitre aaiourd'hui, il a dü êtré co: cu u
cceiir de la saison du chomage et des re
flexions -sérieuses suggérées par les g:ands
besoms. Nous y irOüvons! un augure de
sagesse et de matunté. Aussi bien, tl ait.
avec les fruits mürs et parfaits de i'afiïëre
saison et non pas avec ies pousses délic les
que brülent les gelées tardives, non pius
qu'avec les rosé» éphémères et les papillens
d'un jour.
II vivra, ii ^randira, il prospérera, pour
le bien at ia prospérité de nos concitoye.s.
Welkom
mettre au courant des choses qu'il est essen-
tiel de savoir, surtout quand on a charge
de familie 1 La grande mortalité infantile
notamment est imputable a peu prés uni-
quem nt a cette coupable négligence des
parents.
Après le Pater, que vous associez d'ailleurs
a 1'AveMaria dans le chapelet, il n'est pas 1
de prière qui traduise mieux que cette humble I
Ave les sentiments les plus sacrés de nos
coeurs. La première partie, c'est l'acclamation
triomphale c'est ('enthousiasme de la foule
qui jette a sa reine ses bénédictions et ses
fleurs. La seconde partie, c'est un cri plaintif,
c'est la grande détresse de l'humanité qui
se sent condamnée a mourir... Voila pourquoi
le chapelet a toujours été si popuiaite auprès
des penseurs et des aitistes chréiiens.
Lacordaire a trés bien dit. avec autant
d'élégance que de profondeur, que l'amour
n a qu'un mot et qu'en le répétant toujours
il ne se répète jamals. S. COUBÉ
Le tirage au sort des billets de la deuxième
série (émission A) de la Tombola instituée
sous la surveillance du gouvernement,
l'occasion de l'exposition univer»eiie et
internationale de Bruxeiles de 1910, aura
lieu k Bruxeiles, le luudi 12 Octobre 1908,
a 10 neures du matiu, dans la salia de miiic
de l'Hotel de vilie. Seuls les bil et, des
feuilles 00000 a 99999 (billets bl ,;s, as é-os
imprimés en noir) pariicipero, 1 a c irage.
Le porteur d'un billet gagnant un lot ,;e
100.000, 15.000, 10,000 ou 50l)0 r^j.ou ra
en obtenir le montam en espèr. m us
déduction d'une remi e de 10 p. c. upioflt
ded'exnosant vendeur moyennant d imre
ladéciaration, par let-re coin .a If aü
conservateur de la Tónib'.lj, ...a. /..tf.fu
17, a Bruxelles, dans 0 délai d un uu is,
prenant cours lelendemain du firn,
i».
La santé depend plus des precautions que
des remèdes, BOSSUET.
La Compagnie de Jésus me fait l'effet
d'un noyerplus elle porte de fruits, plus
les polissons lui jettent de batons.
ABRAHAM A SANCTA CLARA
mm
Catholiques on vous juge mal paree qu'on
ne vous connait pas. Montréz-vous 1
Newman
Mgr l'évêque de Bruges a nommé
Curé a Oostroosebeke, M, Roelens, curé
a Gheluwe, en remplacement de ,i. je
Geetere, qui prend sa retraite.
Curé a Gheluwe, M. Devaere, curé. ia
Bisseghem.
Curé a Bisseghem, M. Dierick, curé a
Caster.
Curé a Caster, M. Vynckier, vicaire a
Alveringhem.
Vicaire a Alveringhem, M. De Baeckcr,
vicaire a Wytscbaote.
Vicaire a Wytschaete, M. Verfaille, sur
veillant u Collége de Courtrai.
L'inspecteur lui fit ouvrir sa malle et
trouva d abord une lettre datée du x3 du
courant, émanant de Mélanie Oudet. Elle
l'engageait a venir a Dijon. Puis trois autres
lettres de dates antérieures ne laissant aucun
doute sur l'entente d'un bon coup k faire
chez ses patronnés.
Mise au courant de l'arrestation de son
frèrt, ivlélanie Oudet avoua que c'était lui
qui étau l'assassin. Celui ci persiste a nier.
Daas toutes nos sucuursaies, grande dimi-
nutioo des sueree; A00LPHE DELPAIZE C1*.
La revanche du laureau. Deux acci
dents se sont produits, dimanche, aux
coin s s'cle taureaux d'Avignon.
A ia troisième course, le.t-au.reau a reu-
v rsé uodez Koderiti i homme-stat ie, et
l|ii a porté pluaieurs coups de tête et de
coi ue qui-o'.t uèterihi'.é' deux blessures, une
assez serieust la poitrine et l'autre au
përonëè,
Le quatnème tam eau a porté au toréador
Jat'ana un coup defcprqe qui l'.g atteint au
bas ventre a determine une blessure qui
ne pafalt être trés grave. Après avoir été
pa sés par deux méuecin's présents aux
courses, les deux blessés out été 1 ransf ortes
a Tdöpital Sainte-Martne.
Huit heures de travail, huit
de repos et tuut <le Idélasse-
ment, ce serait idealmais e core faudi ait-ii
avec 5a, faire ;,sage de la Pilule purgative
Walthéry, car saus elle, pas da santé, et sans la
santé, pas de repos, ni de bonheur alors a quoi
bon
Baisse des sucres AD0LPHE DELHAIZE C'e.
li# t?* ïi*
I! est de sa'son, en ce moment de parler
hygiëne.
Sans doute, la Transition automnale esj
bien moins redoutablc que la transition, ve -
nale, du moins au point de vue des troubles
intestinaux. Les to ictions digestives, en
effet, rie peuveot que bënéncier du coup de
fouet donné par les frissons avanr-coureurs
de 1 hiver. Mais toutc t ansition réclame ses
précautions et, a ce point de vue particulier
et uiiiquement cotpore', c'est lout au moins
un salutaire averiissement que l'Eglise nous
donne en nous imposant le jeüne des Qu tre
Temps.
Mais ce n'est pas k ce titre la seulement
quil est opporum de s'occuper d hygiène. Le
cholera est presque a nos portes, II sévit en
Russie. Avec la vitesse de propogation qu'il
possède, surtout dans les saiso s p uvieuses,
il pourrau aisément, malgré toutes les bar
rières sanitaires qu'on lui ippose, (aire
bru.-;quem»nt son apparition en Belgique.
Nous pe croyons pouvoir mienx (aire que de
prier ies administralions puoliques et chari-
tables de distribuer gratuiteinent Ie tract qui
'fut répandu naguère, en temps d épidémie
cholérique, et qui iadique succintement les
précautions a prendre pour se prémunir
contre le redoutable fléau.
Signaions également le tableau-brochure
sur le cancer que la Ligue 'beige contre le
cancer vient de faire distribuer a un grand
nombre d'exetnplaires. Car le cancer est un
mal affreux, trés répandu et bien plus terrible
qde la tuberculose.
La Belgique a fa t trés bonne, figur a ce j
Congrès. Dés la sé uk d'ouvcr ure, oü un 1:
grand nombre d',j; -is )n s i,-s u,s
O vigh,
supé-
•lt- pr:s. par
SC-1 iaifique
morale et
se sont' f.i; öóbla5
x r
directeur-générai le. ig, c
neur, a tnoniië la par; bonsidéia
notre pays, dans L mou- im-.-m
actuel, en ma ièr-.- d'éducaiion
sociale.
Il a signalé i influence de l'Institut de
philosophie foudé par Mgr Mercier. II a
retrace les travaux des divers cmtres s'occu-
pant d'études sociologique", et vanté l'initia I
tive de la Belgique dans une entréprise, a la I
fois morale et scientifique, devenue depuis j
quelque teinps, une oeuvre internationale j
la vaste enquête sur Jes moeurs des peuples
de civilisation inférieure dont comme on le
sait, lui-même a publié les premiers travaux.
Enfin, il a brièvement iadiqué les principes
de notre future Ecole mondiale
Mais le clou de cette sonée fut la réponse
de M. Codefroid Kurth a M. Ferdinand
Butsson, l'organisateur du mouveutenl sco-
laire maipnnique en France. M. Butsson
venait d'habiiler de belles phrases les princi-
Nous iisons dans le Patriote
D'après ce qui nous est assuré de source
süre, ii n est nullement question dq la démis-
siou du Cabinet en bioc ou de la substitution f
d' 11 ou deux uveaux rr.inistres a ceux qui
sont en fonctions au contraire, bien que ie
nombre des département» miuistériels se
trouvëra augmenté d'une unité, aucun mi-
nistre nouveau ne serait nommé, toutes les
attributions pouvant se répattir emre les
titu-aires actuel e des divers départemeuts,
d'autant mieux que. dans plusieurs ministè
res, les attributions ont été sfi-guiièremeut
réduites a lasuite du remaniement .péré par
M. De Trooz.
M. Schóllaért, après son entretien avec le
ltoi, hier a repris le ch'émm de Vorst, oü il
I villégiature. M. Liebaert 11'esi pas eucore
rentré d'Angletei re. La date du prochain
conseil ne sauratt done être fixé présent
Le retour de M. Beernaert. IvfBee -
naert vient de rentrer a Bruxelles. L'éminent
homme d'Etat ne gardera, heureusemens,
qu'un mauvais souvenir de l' -ccident qui lui
est survenu en Suisse.
Get accident avait provoqué chez ses noui-
I breux amis une émotton trés naturelle, dort
témoignent les inumbrables cartes déposét s
et envoyées a l'hótel de la rue d'Arion.
Baisse des sucres AD0LPHE DELHAIZE Cle.
Sigualons enfin la circulaire ministérielle
de M. Helleputte appelant'Tattention des
commissions médicalfes sur les dangers que
peul entrainer la consommations des huïtres
tam beiges qu'éi rangé res, daugers mis en
evidence par les résült'aTs de I enquête médi
cale,- faite sur 1 ordre du '.'.ouvernement, a
la suite de ia dernière épidémie de fièvre
typhoïde.
1
Que de gens consacrent journellément ün
temps considérable a lire des romans ou des
contes a dormir debout, ou bien encore les
iaits-divers Jes journaux, et négligent de se jj
pes de sa morale laïque eest alors que
le directeur de notre Institut historique a
Rome, a prononcé la harangue dont voici
un résumé
Après avoir constaté que le congrès affirme,
par son existence même, l'importance essen-
tielle de leducation morale a i'école, l'orateur
a continué a peu prés en ces termes
S'il est vrai que l'humanité enuère, a
tous ses ages et sous tous les ueux, entrevoit
une partie de la vérité et de la justice éter-
nelle, il n'est pas moins incontestaole que la
notion qu'elle a eu a singulièrement été
obscurcie jusqu au jour oü est venu Celui
qui a prononcé la formule a jamais définitive
de no re idéal Tu aimeras Dieu par
dessus toute chose et ton prochain comme
toi même Si done, vous voulez laire i'édu-
cation morale de 1 enfant, mettez-le de bonne
heure en contact avec ce Maltre sans paieil
qui veul que les enfants ailleni a lui et qui
réalise pour eux, pour nous, pour tous les
siècles, ie type le plus sublime de l'homme
Ecce homo C est I'école oü les yeux
sont tournés vers ce visage sacré, c'est I'école
oü retentit la voix forte et douce de l'Evan-
gile qui a le vrai secret de ('education morale.
De v'ifs applaudissem:nts om accueilli
cette protestation chaleureuse contre les
soptiismes maconniques.
Un arrêté royal du 7 Septembre 1908 a
Chargé d exercer les fonctions de pp,lice
judiciaire déterminéespar la loi du '25 Juitlet 4 Chenove, une perquisition fut opérée dans
1891 les agents ci-apiès dé'signés de l'admi- 1» chambre de la bonne,
ni tration des cheinins de i'er de l'Etat On tröuva danssachambre,la photographie
En qualité de garde-voyer MM- Bielen, i d un soldat ouvrier militaire a Montbéliard.
garde, ff. de chef-garde a Ypres Capiau, Questiönnée, Mélanie dit que ce soldat était
cómmis d'oiure, ff. de sous-cuef de station son frére et qu'il était actuellement gar^on
k Ypres Pontseel, garde, ff. de chef garde i boulanger a Recey-sur-Ourse.
a Ypres Raeymakefs', garde, ff. de chef-y Le commissaire fii interroger Oudet sur
garde a Poperinghe. ses relations avec sa soeur. II ripop.lit n'en
avoir aucune, ne lui écrivant jamais.
BURGERSTAND VAN Y-PER
Van «ion 25 lot den 28 september 1908
Geboorten:
Alleman Gaston, Kalf'vaart.
Kools Margarets. Gustaaf cleStuersstraat.
Sinnaeve Honorina, St" E isabethstraat.
Goutelle Paula, Doorgangstraat.
V- ndoorne Germana, Paddepoelstraat.
ii Goffyn Albert, St Jacobsnieuwweg.
no kaert Georges, Zonnebekesteenweg.
Vaudeii Abeéle André, Dickebuschsteenweg.
Tbiteea Maurits, Surmont de Voisberghestr.
Vermeulen Diihtél,' Rijselstraat.
Vaadenbroucke Helena, tNilaasstraat.
Lamps Alicia, Gartonstraat-
Goffyn Marcel, Zaalbof.
Huwelijken
VV ussen Karei, schoenmaker wed. Philippart
Lconia &Seg-.;rs.Ze jobia.kantenwerkster beiden
te Yper.
Sinnave Jules hovenier en Verschoore, Alber-
tine kantenwerkster beiden te Yper
Gallens Camilla paardeug,.leider en Bekaert,
Maria kaïitedweikster- beiden te Yper.
G -urten» Rodoit,vt :arts te Poelcapelle en ou-
let Bertha z. b. te Yper.
Sterfgevallen:
Dolangbe Karet 78 j. z. b. wedi- Uurnez Horten
tia Meeuenstr
Grampa. Henri, 54 j. daglooner Wadr iiejou-
gbe Laonia, Meeuenstr.
Parent Malvma, 66. z. b. ongehuwd Poperin-
ghesteenweg.
üelaere Romania, 45 jaar, z. b., Wwe Bel-11
Luvovic.
Pehollander, Oscar, 3j. Bukkerstraat
Boussemaere Maria, 26 j. kleermaasister, on
gehuwd Bruggestfeenweg.
Vanneste Anna, 78 j z. b. Wwe Duflou August,
O. Houtmarkstraat
Melsens Rosalia, 72 j. leu.-st -i Wwe Wér-
b -ouck Joaune.-:, Paddepoelsj aal.
Gardoen Gyriel, 24 j., diensikuecht. ongehuwd,
L. Tiiouroutstraat..
Wouts Augusta, 5 maanden, Pópèringhes'een-
|reg.
Joannes Goris, werkman en Julia lo t, huis
TT honds er beiden te Yper.
n crime etrange Gaspard Pieren, gareelmaker, gehuisvest te'
Dans la nuit du 27 au 28 septemore, un Bo smghe en Clementina Vandenbergbe z b.
dra me qu'entoure un profond mystère s'est gehuisvest te Yper.
déroulé a Dijon, dans une maisoo occupée
par 1 'S dames Fèvre, la mère et la fille, agécs
respectiv ment de 86 et de 61 ans.
A 1 h. 1/2 de la nuit, Mme Fèvre, fille, lut
rëveillée par la bonne qui lui dit de descen-
dre aussitót.Croyant que sa mère,qui loge,ait
au rez-de-cbaussée, était malade, elle
descendit sans défiance. Au bas de 1 escalier,
elle futassaiilie par uu individu caché dans
l'encoignare d'une porté. Bien qu inondée de
sang, elle parvint a s'échapper au jardin et
a crier au secours. Puis elle s evanouit.
Des voisins accourureut, ia Lonue leur
ouvrit la grille, mais l'assassin eut le temps
d'escalader un mur et de disparaitre. On
arrêta la servante qui déclara connaitre le
meurtrier, un nommé Renaud; a mamtes
reprises,'il lui av. it parlé d'un <~oup a faire,
lui demandant de» renseignements sur les
habitudes de ses maltres, etc.. etc.
Mélanie Oudet,-c'est le oom de la boone,
affi'me n'a voir jamais cedé a se instances et
même avoir vouiu dépister l'individu. Mais
cette nui t, grarde fut sa surprise quand elle
fut révèillée par lui. Tetrifiée eile lui obéit et
alla révèiller sa maitrësse.
Ala suitede la confrontation entre Mélanie
Oudet, et Barthèlemy Renaud, arrêté a
II re -sortdo la lettre que nous publions cides
sdus. quo Mmö Pr. Gruba, a' ;nv .-rs, a souffe'rt
pendant.3 ans d'une protonde a ómié, qué pon
dant trois ans elle a vaineme-.it atteudu 11 n« gué-
risoii que les médicaments étaient impui sants-a
lii douiierét qüéce n'est que lorsqu'elf a,;eu
pris les pilules Pink qu'elle a pu dire: Je roe
sens soulagée et quelque temps aprés: «ÊuiSij,
jajsuis guérie!>
M. Fr. Grube, qui demeure a Anvers, i Rue
des Prédicatours, nous écru en offet au sujet da
la guérison da sa femme, cutsinière daus un
restaurant, 4, rue du Prince; Ma femme.' sout-
frant depuis 3 ans de douleurs qu'elle ne pou
vait pas üiau défioiripointede cóte.haleino cóur-
te, manque d'appétit, ne se rendait pas compte
qu'elle. était auémiée a undegré déja avancé, i.es
soins ne lui inanquaieut certes pas. mais e.i sotu-
Bi8, les différents remèdes qu'elle avait pris
n'avaient agi qbe fort peu.
Ayaut appri.-; par I jou -uaux i -s bons résul-
tats qu'on peut obtenir,pa los pilule»- Pin!,effe
se décida a es'sayer ce médicame-ir Je puis attes
tor eu toute sincér-itó qun 1 traitomeut des, pj.
lules pink est li. soul qui ait iiu ia rétablir.
II eat- pénible quand on souffré, d'atfe'nar pen
dant. 3 ans la fin des souitrances. On a pu voir
que les pilules Pink avaient fait attendre beau-
coup moins longfemps Mrue F. Grube, Rappelez
vous doric les pilules PiDk si vous êtes faibles,
anémiques', si vous avez des amis qui en souf-
frent. Les pilules Pr.sont si souveraines,
contre l'anémie, laculorose, la faiblesse générale
les maux d'estornac, inigraines. nérralgies,
scialique, rbumatismes, neurastdenie.
Eu vente daus toutes les pharmacies et au
dépot: Phie Jerueville, 66, Boulevard de Water
loo, BruxeH s. Francs: 3,5o la boite, Francs
17.50 les six boites franco.
Dépöt a Ypres, püarmacle Libotte.