FA ITS 1)1 Pensées du jour Au Congrès ii temai ou d ominaiions ecclésiastiques Les 3 huil j>pel a fhygiëne d'éducatioo ihop Ie a mires) Act es Officiels !iu tvelijksafktm 4 in t nyen Trpis ,ans: d'aiteote Welkom gnement catholique. Une fois de plus nos excellents colléges patronnés sortent brillam- ment vainqueurs de ce tournoiTntëllectuel. Mais rien ne vaut léloquence des chiffres. II se fait done, que cette année nos 8 colléges patronnés ont obtenu ensemble 285 distinc tions tandis que les 28 établissementsofficiels n'en ont que 404, pas même le double! Cinq de nos colléges patronnés: Courtrai 8t-Trond, Paperinghe, Hérenthals et Gheel, recueillent ensemble plus de distinctions que 22 établissements officiels: d'un coté le notre 226 distinctions, de l'autre 221 Si l'on considère a partchaque établisse ment, on constate que ce sont encore nos colléges catholiques qui arrivent'brillamment en tête de liste: Courtrai: Collége patronné"catholique, 55 distinctions; St-Trond, id., 54 id.; Ixelles, Athénée, 44 id.; Poperinghe, collége patron né catholique, 40 id.; Hérenthals, id., 39 id Gheel, id., 38 id.; Liége, athénée, 36 id.; Bruxelles et Verviers, athénées, 33 id.; Gand id., 26 id., Anvers, id., 23 jd.; Mons, id., Ii id. Nos grands athénées, oü la section grec que latine reste cependant bien fréquentée, com me Ixelles, Liége, Bruxelles, Anvers, Mons, etc., arrivent bien loin après nos col léges catholiques. Bruxelles ne se classe qu'en huitième lieu, après cinq colléges catholiques! Parmi les succès des «officiels» citons en core comme spécialement suggestifs: Thuin et Ath, 7 distinctions; Malines, 5; Charle- roy, 4; VirtoD3; Dinant, 2; Tirlemont, 1. Le succès le plus remarquable de tout ceux qui sont actés au Moniteur est celui do collége patronné de St-Trond, qui remporte: le prix d'honneur en mathématiques, deux autres prix, 7 accessits et 13 mentions hono- rabies, avec la première place en mathémati ques (rhétorique), en flamand (poesie), en fran?ais (rhét.) et en anglais (poésie); la se conde er. latin et en anglais (rhét.) Aucun établissement du pays n'arrive a pareil résultat. Les colléges communaux, presque tous soutenus par des administrations libérales qui n'y somment que des libéraux sont de nouvaau battus a plates contures par tous les colléges catholiques. Aucun n arrive a la cheville du dernier de nos colléges. En semble ces six colléges ne décrochent que 21 distinctions, pas même la moitié des suc cès du collége catholique de Courtrai qui en compte 55! Les colléges comi: unaux spécialement connus comme libéraux et peuplés en conse quence Tirlemont, Virton et Diest n'obtiennent en rout, pour tou'es les épreu- ves, des deux classes appelées a concourir, que HUIT distinctions. Qu on juge par la de ce que deviendrait l'enseignement en Belgique s'il tombait aux mains des seuls libéraux. Et qu'on n'objecte pas, comme le font par- fois les feuilles «libérales» que nos coüèges doivent tous leurs succès au latin et au grec. Pien n'est plus faux. Nous les voyons en effet briller au premier rang en mathémati ques, flamand, anglais et francais. Au concours en mathématiques pour la rhétorique, les athénées de Gand, Bruges, Huy, Namur, Thuin. Malines, Tongres. Ath, les colléges communaux de Boui Ion, Tirlemont, Diest, Virion. Dinant, n'onr ob tenu qu'un «gr nd zéro». En seconde, même résultat significant pour 18 établissements of ficiels sur 28. En fait de langues modernes, nous pouvons pour l'honneur de nos colléges patronnés prendre au choix le franc ris, le flamand ou 1 anglais. En rhétorique au concours de composi tion fran^aise, 2 de langue sur 28 dis tinctions accordées, le collége patronné de St-Trond en obtient 8 tous ses éièves sont classésavec la ire, 3e, 5e, 8e, 0* et ite place. Au concours d'anglais pour la secon de, le même collége obtient cinq distinc tions, avec la ire 3*, 5e. 7e et 9e place. En rhétorique au concours de flamand ire langue sur 5i distinctions accordées par le jury, 35 sont obtenues par les six colléges patronnés situés en pays flamand. En seconde sur 46 distinctions accordées pour le concours de flamand ire langue les mêmes colléges en remportent 36 et 23 sur 48 en francais comme seconde langue. Au concours pour la composition en alle- mand ou anglais en rhétorique, vingt établis sements officiels n'obtiennent pas même une seule distinction. Même résultat pour 16 éta blissements officiels au concours en troisième langue pour la poésie. Tout commentaire serait superflu. Aux parents de méditer ces queiques chif fres; ils constateront sans peine qu'ils peu- vent avoir tous leurs apaisements tut sujet ie la valeur scientifique et littéraire de notre snseignement catholique dont les co lèges patronnés constituent la vaillarjte avantgarde. Oui, la bien venue a notre jeune confrère, e Burgersbelang II est toujours le ïienvenu, 1® nouveau-né '1 eBt si beau l'enfant, avec son doux sourire, ..Offrant de toute» pat ts sa jeune ime a la via Et sa bouche aux baisers. Ce nouveau-né de la pres e Yproise sur tout est aimable tout plein. II Test forcément pour tous. car ïl entend ne pas se mêler de politique. Fi. la vilaine politique 1 Nous détestoüs les neutres, en politique Qui dit neutre, dit pleutre. Qui dit neutre dit nul, de lavis de Jutes Simon. Mals du moment quil dolt resteren dehor: de la sphère même des questions politiques viv le neutre Organe des intéréts matérie is exclusive- ment, de ceux de la petite .bourgeoisie surtout et de ceux de la classe ouvrière, il vient combler uue lacune dans cette ville jadis connue dans le monde entier pour son importance industrie.le et que rien ne con damne a une irrémédiable déchéance. II vient au monde a l'heurt- oü la Belgique nalt a la vie coloniale. L'élévatiou de la Belgique au rang de troisièui puissance co oniale du monde donnera nécessairement uu puissant coup de coliier a notre acnvité commerciale et industrie.le A nous de prendre notre part de cette heureuse cir- constancë. A eet effet, il est nécessaire d'éclairer les travailleurs, les artisans, les industriels et les negotiants, grands et petif8. Ce sera l'une des tAches du Burgers- belang. A notre confrère au»si de guider nos con- citoyens dans le édale de touteg ces institu tions nouvelles, de outes ces organisations corporatives, de toutes ceslois sociale» dont le gouver ement catholique n'a cessé, depuis 24 ans, de doter notre patrie. A lui d'être l'organe indispensable de ce Burger bond qui, malgré son extréme jeunesse, donne déjè. de si briilantes espé- rances, témoin, entre autres, cette belie exposition dek Arts et Métiers, pour ainsi ciire improvisée. Notre confrère, il est vrai, sepauouit eii automue, et d-'aueuus, songeant a la chute des feuilles. y découvi irons un mauvais présage. Nous estimotiB, potir notre part, que pour uaitre aaiourd'hui, il a dü êtré co: cu u cceiir de la saison du chomage et des re flexions -sérieuses suggérées par les g:ands besoms. Nous y irOüvons! un augure de sagesse et de matunté. Aussi bien, tl ait. avec les fruits mürs et parfaits de i'afiïëre saison et non pas avec ies pousses délic les que brülent les gelées tardives, non pius qu'avec les rosé» éphémères et les papillens d'un jour. II vivra, ii ^randira, il prospérera, pour le bien at ia prospérité de nos concitoye.s. Welkom mettre au courant des choses qu'il est essen- tiel de savoir, surtout quand on a charge de familie 1 La grande mortalité infantile notamment est imputable a peu prés uni- quem nt a cette coupable négligence des parents. Après le Pater, que vous associez d'ailleurs a 1'AveMaria dans le chapelet, il n'est pas 1 de prière qui traduise mieux que cette humble I Ave les sentiments les plus sacrés de nos coeurs. La première partie, c'est l'acclamation triomphale c'est ('enthousiasme de la foule qui jette a sa reine ses bénédictions et ses fleurs. La seconde partie, c'est un cri plaintif, c'est la grande détresse de l'humanité qui se sent condamnée a mourir... Voila pourquoi le chapelet a toujours été si popuiaite auprès des penseurs et des aitistes chréiiens. Lacordaire a trés bien dit. avec autant d'élégance que de profondeur, que l'amour n a qu'un mot et qu'en le répétant toujours il ne se répète jamals. S. COUBÉ Le tirage au sort des billets de la deuxième série (émission A) de la Tombola instituée sous la surveillance du gouvernement, l'occasion de l'exposition univer»eiie et internationale de Bruxeiles de 1910, aura lieu k Bruxeiles, le luudi 12 Octobre 1908, a 10 neures du matiu, dans la salia de miiic de l'Hotel de vilie. Seuls les bil et, des feuilles 00000 a 99999 (billets bl ,;s, as é-os imprimés en noir) pariicipero, 1 a c irage. Le porteur d'un billet gagnant un lot ,;e 100.000, 15.000, 10,000 ou 50l)0 r^j.ou ra en obtenir le montam en espèr. m us déduction d'une remi e de 10 p. c. upioflt ded'exnosant vendeur moyennant d imre ladéciaration, par let-re coin .a If aü conservateur de la Tónib'.lj, ...a. /..tf.fu 17, a Bruxelles, dans 0 délai d un uu is, prenant cours lelendemain du firn, i». La santé depend plus des precautions que des remèdes, BOSSUET. La Compagnie de Jésus me fait l'effet d'un noyerplus elle porte de fruits, plus les polissons lui jettent de batons. ABRAHAM A SANCTA CLARA mm Catholiques on vous juge mal paree qu'on ne vous connait pas. Montréz-vous 1 Newman Mgr l'évêque de Bruges a nommé Curé a Oostroosebeke, M, Roelens, curé a Gheluwe, en remplacement de ,i. je Geetere, qui prend sa retraite. Curé a Gheluwe, M. Devaere, curé. ia Bisseghem. Curé a Bisseghem, M. Dierick, curé a Caster. Curé a Caster, M. Vynckier, vicaire a Alveringhem. Vicaire a Alveringhem, M. De Baeckcr, vicaire a Wytscbaote. Vicaire a Wytschaete, M. Verfaille, sur veillant u Collége de Courtrai. L'inspecteur lui fit ouvrir sa malle et trouva d abord une lettre datée du x3 du courant, émanant de Mélanie Oudet. Elle l'engageait a venir a Dijon. Puis trois autres lettres de dates antérieures ne laissant aucun doute sur l'entente d'un bon coup k faire chez ses patronnés. Mise au courant de l'arrestation de son frèrt, ivlélanie Oudet avoua que c'était lui qui étau l'assassin. Celui ci persiste a nier. Daas toutes nos sucuursaies, grande dimi- nutioo des sueree; A00LPHE DELPAIZE C1*. La revanche du laureau. Deux acci dents se sont produits, dimanche, aux coin s s'cle taureaux d'Avignon. A ia troisième course, le.t-au.reau a reu- v rsé uodez Koderiti i homme-stat ie, et l|ii a porté pluaieurs coups de tête et de coi ue qui-o'.t uèterihi'.é' deux blessures, une assez serieust la poitrine et l'autre au përonëè, Le quatnème tam eau a porté au toréador Jat'ana un coup defcprqe qui l'.g atteint au bas ventre a determine une blessure qui ne pafalt être trés grave. Après avoir été pa sés par deux méuecin's présents aux courses, les deux blessés out été 1 ransf ortes a Tdöpital Sainte-Martne. Huit heures de travail, huit de repos et tuut <le Idélasse- ment, ce serait idealmais e core faudi ait-ii avec 5a, faire ;,sage de la Pilule purgative Walthéry, car saus elle, pas da santé, et sans la santé, pas de repos, ni de bonheur alors a quoi bon Baisse des sucres AD0LPHE DELHAIZE C'e. li# t?* ïi* I! est de sa'son, en ce moment de parler hygiëne. Sans doute, la Transition automnale esj bien moins redoutablc que la transition, ve - nale, du moins au point de vue des troubles intestinaux. Les to ictions digestives, en effet, rie peuveot que bënéncier du coup de fouet donné par les frissons avanr-coureurs de 1 hiver. Mais toutc t ansition réclame ses précautions et, a ce point de vue particulier et uiiiquement cotpore', c'est lout au moins un salutaire averiissement que l'Eglise nous donne en nous imposant le jeüne des Qu tre Temps. Mais ce n'est pas k ce titre la seulement quil est opporum de s'occuper d hygiène. Le cholera est presque a nos portes, II sévit en Russie. Avec la vitesse de propogation qu'il possède, surtout dans les saiso s p uvieuses, il pourrau aisément, malgré toutes les bar rières sanitaires qu'on lui ippose, (aire bru.-;quem»nt son apparition en Belgique. Nous pe croyons pouvoir mienx (aire que de prier ies administralions puoliques et chari- tables de distribuer gratuiteinent Ie tract qui 'fut répandu naguère, en temps d épidémie cholérique, et qui iadique succintement les précautions a prendre pour se prémunir contre le redoutable fléau. Signaions également le tableau-brochure sur le cancer que la Ligue 'beige contre le cancer vient de faire distribuer a un grand nombre d'exetnplaires. Car le cancer est un mal affreux, trés répandu et bien plus terrible qde la tuberculose. La Belgique a fa t trés bonne, figur a ce j Congrès. Dés la sé uk d'ouvcr ure, oü un 1: grand nombre d',j; -is )n s i,-s u,s O vigh, supé- •lt- pr:s. par SC-1 iaifique morale et se sont' f.i; öóbla5 x r directeur-générai le. ig, c neur, a tnoniië la par; bonsidéia notre pays, dans L mou- im-.-m actuel, en ma ièr-.- d'éducaiion sociale. Il a signalé i influence de l'Institut de philosophie foudé par Mgr Mercier. II a retrace les travaux des divers cmtres s'occu- pant d'études sociologique", et vanté l'initia I tive de la Belgique dans une entréprise, a la I fois morale et scientifique, devenue depuis j quelque teinps, une oeuvre internationale j la vaste enquête sur Jes moeurs des peuples de civilisation inférieure dont comme on le sait, lui-même a publié les premiers travaux. Enfin, il a brièvement iadiqué les principes de notre future Ecole mondiale Mais le clou de cette sonée fut la réponse de M. Codefroid Kurth a M. Ferdinand Butsson, l'organisateur du mouveutenl sco- laire maipnnique en France. M. Butsson venait d'habiiler de belles phrases les princi- Nous iisons dans le Patriote D'après ce qui nous est assuré de source süre, ii n est nullement question dq la démis- siou du Cabinet en bioc ou de la substitution f d' 11 ou deux uveaux rr.inistres a ceux qui sont en fonctions au contraire, bien que ie nombre des département» miuistériels se trouvëra augmenté d'une unité, aucun mi- nistre nouveau ne serait nommé, toutes les attributions pouvant se répattir emre les titu-aires actuel e des divers départemeuts, d'autant mieux que. dans plusieurs ministè res, les attributions ont été sfi-guiièremeut réduites a lasuite du remaniement .péré par M. De Trooz. M. Schóllaért, après son entretien avec le ltoi, hier a repris le ch'émm de Vorst, oü il I villégiature. M. Liebaert 11'esi pas eucore rentré d'Angletei re. La date du prochain conseil ne sauratt done être fixé présent Le retour de M. Beernaert. IvfBee - naert vient de rentrer a Bruxelles. L'éminent homme d'Etat ne gardera, heureusemens, qu'un mauvais souvenir de l' -ccident qui lui est survenu en Suisse. Get accident avait provoqué chez ses noui- I breux amis une émotton trés naturelle, dort témoignent les inumbrables cartes déposét s et envoyées a l'hótel de la rue d'Arion. Baisse des sucres AD0LPHE DELHAIZE Cle. Sigualons enfin la circulaire ministérielle de M. Helleputte appelant'Tattention des commissions médicalfes sur les dangers que peul entrainer la consommations des huïtres tam beiges qu'éi rangé res, daugers mis en evidence par les résült'aTs de I enquête médi cale,- faite sur 1 ordre du '.'.ouvernement, a la suite de ia dernière épidémie de fièvre typhoïde. 1 Que de gens consacrent journellément ün temps considérable a lire des romans ou des contes a dormir debout, ou bien encore les iaits-divers Jes journaux, et négligent de se jj pes de sa morale laïque eest alors que le directeur de notre Institut historique a Rome, a prononcé la harangue dont voici un résumé Après avoir constaté que le congrès affirme, par son existence même, l'importance essen- tielle de leducation morale a i'école, l'orateur a continué a peu prés en ces termes S'il est vrai que l'humanité enuère, a tous ses ages et sous tous les ueux, entrevoit une partie de la vérité et de la justice éter- nelle, il n'est pas moins incontestaole que la notion qu'elle a eu a singulièrement été obscurcie jusqu au jour oü est venu Celui qui a prononcé la formule a jamais définitive de no re idéal Tu aimeras Dieu par dessus toute chose et ton prochain comme toi même Si done, vous voulez laire i'édu- cation morale de 1 enfant, mettez-le de bonne heure en contact avec ce Maltre sans paieil qui veul que les enfants ailleni a lui et qui réalise pour eux, pour nous, pour tous les siècles, ie type le plus sublime de l'homme Ecce homo C est I'école oü les yeux sont tournés vers ce visage sacré, c'est I'école oü retentit la voix forte et douce de l'Evan- gile qui a le vrai secret de ('education morale. De v'ifs applaudissem:nts om accueilli cette protestation chaleureuse contre les soptiismes maconniques. Un arrêté royal du 7 Septembre 1908 a Chargé d exercer les fonctions de pp,lice judiciaire déterminéespar la loi du '25 Juitlet 4 Chenove, une perquisition fut opérée dans 1891 les agents ci-apiès dé'signés de l'admi- 1» chambre de la bonne, ni tration des cheinins de i'er de l'Etat On tröuva danssachambre,la photographie En qualité de garde-voyer MM- Bielen, i d un soldat ouvrier militaire a Montbéliard. garde, ff. de chef-garde a Ypres Capiau, Questiönnée, Mélanie dit que ce soldat était cómmis d'oiure, ff. de sous-cuef de station son frére et qu'il était actuellement gar^on k Ypres Pontseel, garde, ff. de chef garde i boulanger a Recey-sur-Ourse. a Ypres Raeymakefs', garde, ff. de chef-y Le commissaire fii interroger Oudet sur garde a Poperinghe. ses relations avec sa soeur. II ripop.lit n'en avoir aucune, ne lui écrivant jamais. BURGERSTAND VAN Y-PER Van «ion 25 lot den 28 september 1908 Geboorten: Alleman Gaston, Kalf'vaart. Kools Margarets. Gustaaf cleStuersstraat. Sinnaeve Honorina, St" E isabethstraat. Goutelle Paula, Doorgangstraat. V- ndoorne Germana, Paddepoelstraat. ii Goffyn Albert, St Jacobsnieuwweg. no kaert Georges, Zonnebekesteenweg. Vaudeii Abeéle André, Dickebuschsteenweg. Tbiteea Maurits, Surmont de Voisberghestr. Vermeulen Diihtél,' Rijselstraat. Vaadenbroucke Helena, tNilaasstraat. Lamps Alicia, Gartonstraat- Goffyn Marcel, Zaalbof. Huwelijken VV ussen Karei, schoenmaker wed. Philippart Lconia &Seg-.;rs.Ze jobia.kantenwerkster beiden te Yper. Sinnave Jules hovenier en Verschoore, Alber- tine kantenwerkster beiden te Yper Gallens Camilla paardeug,.leider en Bekaert, Maria kaïitedweikster- beiden te Yper. G -urten» Rodoit,vt :arts te Poelcapelle en ou- let Bertha z. b. te Yper. Sterfgevallen: Dolangbe Karet 78 j. z. b. wedi- Uurnez Horten tia Meeuenstr Grampa. Henri, 54 j. daglooner Wadr iiejou- gbe Laonia, Meeuenstr. Parent Malvma, 66. z. b. ongehuwd Poperin- ghesteenweg. üelaere Romania, 45 jaar, z. b., Wwe Bel-11 Luvovic. Pehollander, Oscar, 3j. Bukkerstraat Boussemaere Maria, 26 j. kleermaasister, on gehuwd Bruggestfeenweg. Vanneste Anna, 78 j z. b. Wwe Duflou August, O. Houtmarkstraat Melsens Rosalia, 72 j. leu.-st -i Wwe Wér- b -ouck Joaune.-:, Paddepoelsj aal. Gardoen Gyriel, 24 j., diensikuecht. ongehuwd, L. Tiiouroutstraat.. Wouts Augusta, 5 maanden, Pópèringhes'een- |reg. Joannes Goris, werkman en Julia lo t, huis TT honds er beiden te Yper. n crime etrange Gaspard Pieren, gareelmaker, gehuisvest te' Dans la nuit du 27 au 28 septemore, un Bo smghe en Clementina Vandenbergbe z b. dra me qu'entoure un profond mystère s'est gehuisvest te Yper. déroulé a Dijon, dans une maisoo occupée par 1 'S dames Fèvre, la mère et la fille, agécs respectiv ment de 86 et de 61 ans. A 1 h. 1/2 de la nuit, Mme Fèvre, fille, lut rëveillée par la bonne qui lui dit de descen- dre aussitót.Croyant que sa mère,qui loge,ait au rez-de-cbaussée, était malade, elle descendit sans défiance. Au bas de 1 escalier, elle futassaiilie par uu individu caché dans l'encoignare d'une porté. Bien qu inondée de sang, elle parvint a s'échapper au jardin et a crier au secours. Puis elle s evanouit. Des voisins accourureut, ia Lonue leur ouvrit la grille, mais l'assassin eut le temps d'escalader un mur et de disparaitre. On arrêta la servante qui déclara connaitre le meurtrier, un nommé Renaud; a mamtes reprises,'il lui av. it parlé d'un <~oup a faire, lui demandant de» renseignements sur les habitudes de ses maltres, etc.. etc. Mélanie Oudet,-c'est le oom de la boone, affi'me n'a voir jamais cedé a se instances et même avoir vouiu dépister l'individu. Mais cette nui t, grarde fut sa surprise quand elle fut révèillée par lui. Tetrifiée eile lui obéit et alla révèiller sa maitrësse. Ala suitede la confrontation entre Mélanie Oudet, et Barthèlemy Renaud, arrêté a II re -sortdo la lettre que nous publions cides sdus. quo Mmö Pr. Gruba, a' ;nv .-rs, a souffe'rt pendant.3 ans d'une protonde a ómié, qué pon dant trois ans elle a vaineme-.it atteudu 11 n« gué- risoii que les médicaments étaient impui sants-a lii douiierét qüéce n'est que lorsqu'elf a,;eu pris les pilules Pink qu'elle a pu dire: Je roe sens soulagée et quelque temps aprés: «ÊuiSij, jajsuis guérie!> M. Fr. Grube, qui demeure a Anvers, i Rue des Prédicatours, nous écru en offet au sujet da la guérison da sa femme, cutsinière daus un restaurant, 4, rue du Prince; Ma femme.' sout- frant depuis 3 ans de douleurs qu'elle ne pou vait pas üiau défioiripointede cóte.haleino cóur- te, manque d'appétit, ne se rendait pas compte qu'elle. était auémiée a undegré déja avancé, i.es soins ne lui inanquaieut certes pas. mais e.i sotu- Bi8, les différents remèdes qu'elle avait pris n'avaient agi qbe fort peu. Ayaut appri.-; par I jou -uaux i -s bons résul- tats qu'on peut obtenir,pa los pilule»- Pin!,effe se décida a es'sayer ce médicame-ir Je puis attes tor eu toute sincér-itó qun 1 traitomeut des, pj. lules pink est li. soul qui ait iiu ia rétablir. II eat- pénible quand on souffré, d'atfe'nar pen dant. 3 ans la fin des souitrances. On a pu voir que les pilules Pink avaient fait attendre beau- coup moins longfemps Mrue F. Grube, Rappelez vous doric les pilules PiDk si vous êtes faibles, anémiques', si vous avez des amis qui en souf- frent. Les pilules Pr.sont si souveraines, contre l'anémie, laculorose, la faiblesse générale les maux d'estornac, inigraines. nérralgies, scialique, rbumatismes, neurastdenie. Eu vente daus toutes les pharmacies et au dépot: Phie Jerueville, 66, Boulevard de Water loo, BruxeH s. Francs: 3,5o la boite, Francs 17.50 les six boites franco. Dépöt a Ypres, püarmacle Libotte.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2