La Ouate Thermogène J. FIËRS-L00WYGK HkNR! GHYSV La reprise dn Congo Aécroio-ie mus Anniversaire Joy< Aetes Ofiiciels j A Propos (Tune L'oeuvre do Coin de Terre et do Foyer insaisissables Les Jar dins ouvriers Cour d'assises de la F1 a n d re Occ i d eri t a 1 e Lnc question loute simple iieprés&ntation Ihcatrale Noces le disa-ént. Le Progrès lui même Suite I 'WÊËFÏ: ss$. S# sf Aclualifc PEIRTURE OÊCORATIVE 2.ó?ères et solides, a l'imüe, 4 ia colle ia Fresquv-pour tout le batóTBt FAUX BOiS et marbfFts. ircu so'gnes Décoratioo spéciale pour S-doos en tons styles. Paysages légers et bumoristiqaes pour Verandas, Sa lies a m anger, Vests bales, etc. »«stement enlevés ei k des prix defiant toute concurrence ENÏRE PRISE de tous trav-itu de- POlSSONftERlE rue League du Marais. ii° 20 VPRFE Poissons fins et ordinaire? Haitres f"9 mi Crevst-es de fcianken assumée par elle. A l'avenir il nest plus permis a un Beige vraiment patriote de tenir compte de la couleur politique de notre ministre des colonies dans l'examen de l'atti- tudea prendroenface des questions relatives a l'administration de notie colonie. Comme l'a dit un anticlérical fameux, ranticléricalisme ne doit pas étre un article d'exportation. Limitons a nos frontières nos querelles politiques et n'emportons sur la terre vierge africaice que des coeurs vierges de tout sentiment capable de nous ammndrir ou de nous affaib'ir en face de l'étranger comme en face du peuple noir dont il s'agit de faire un peuple frère. Dans ces conditions la seulement nous seront a même de trouver dans l'entreprise cougolaise un accroissement de grandeur morale et matérielle, un accroissement de sécurité même pour notre chère patrie. PROMULGATION DU TRAITÉ Le Moniteur publie ce matin les arrêtés promulguant la loi réalisant le transfert h la Belgique de l'état indépendant du Congo et celle relative a Torganisation du gouverne ment du Congo. Cette publication comprend 1<> Le Texte de la loi de transfert 2° Le texte du premier traité de cessionin- tervenu entre la Belgique et l'Etat indépen dant 3° L'arrangement provisoire en vertu du- quel les recettes et les dépenses de l'Etat du I Congo sont faites pour le compte de la Bel- giqse a partir du ler janvier 1908 4° Les annexes A, B et C qui ont été pu- bliées avec les documents parlementaires, hormis toutefois le texte des conventions intervenues entre l'Etat du Congo et les compagnies. L'annexe A renferine notamment la con vention avec le Saint-Siège relative aux missions. L'annexe B renferme le tableau des valeurs appartenant a l'Etat, de ses propriétés en Afrique et en Belgique, et de II faut que les terrcs, achetées ou louées, i soient situe'es aussi prés que possiole des i habitations, car d'après les statuts de la ligue, j le père de familie doit s'engager a cuitiver et a entretenir son champ lui-même ou avec l les siens dans les moments libres, le Diman- che excepté. II est done nécessaiie d épargner 1 a l'ouvrier des courses trop longues de chez l lui jusqu'au coin de terre. I Afin de ne pas perdre inutilement un temps pre'eieux, on ne c.Rivera que les le'gu- i mes indiqués sur Ie plan fourni par le comité. Le jardinet ainsi établissera facile a entre- tenir. Bien souvent encore les colons 1 regoivent gratuiten eni les semences, les plantes et les engrais chimiques. Les circonstances forcent-elles un ouvrier, t qui a re'ussi a améliorer sa terre, a abandon- ner son champ, il reccvra une retribution. Certains comités obligent le colon a payer une part minime du prix de location. II est clair que de cette mamère le colon a plus d'intérêt a prendre plus de soins de soil lopin de terre. Mais cette part payée par l'ouvrier lui est le plus souvent rendue en versements, a son profit, a la caisse d'épargne ou de retraite. Quelquefois cet argent sert a des distributions de prix pour récompenser les colons qui ont exploité le mieux leur jardinet. Lcs prix consistent en outils et instruments aratoires. L'expérience apprend encore qu'i! est profi table de choisir les divers iopios dans un même grand champ.On achètou loue p. ex. un terrain d'un ou deux hectares qu'on devise en coins de 5 ares. Les lopins sont !es unsa cóté des autres, cela exc.te lemulation entre colons qui s'efforcent ainsi tousa lécolter les plus beaux et les meilleurs fruits.Nous notons cependant que certains comités se sont oppo- se's a cette disposition des lopins de terre de même qu'a la distribution de prix parce que a leur avis, de tels procédés ne peuvent qu'entretenir la rivalité et la jalousie. Ilist certain que pour tout cela il faut tenir compte des circonstances locales. Voyons rapideinent les résultats qu'on peut obtenir. II nous faut simplement exa miner les rapports insérés dans le Bulletin dé la ligue du Coin ae Terre et au Foyer insaisissables. Prenons comme exemple le rendemement des coins de terre de St Nidolas en 1903. Le champ avait une superficie de 40.950 metres carrés, divisés en 78 lopins. avec ess mêmes Bulgares, en taut que cliré- tiens Grecs orthodoxes. Beu... parfait. Et sont aussi au milieu avec le Monténégro, qui déteste l'Autricho. a cause de 'a Bosnia et do t'Herzrgovme, lusquels aimeraient assez les Serbes en taut que Gr.-.cs orthodoxes, mais no peuvont pas hs souffnr en taut que Serbes. Au revoir, au revoir. Ce qui facilite la situation, e'est que les Bulgares mahométans exècreat les Turcs en taut quo Turcs, irais les aiment beau- coup en tant que fidèles de 1 Islam. (Test que... jo suis pressé... La dessus arrive l'Autriche, qui détes te les Turcs ei tant q ?e mahométans et soutient contre eux les Bulgares, mais sou- tient les Tu.cs centre les Bussos quoiqu'ello préfère les Rus es qui s-nt chrétiens, eu tant que les Uoscovites voudraient s'instil Ier a Constantinople. Au revoir. Mes hommages a Madame Chose. Puis viont l'Allemagne, qui soutient l'Autriche contre les Turcs, mais sou'ient A NOS LECTRICES. Pain d'épice gratuit. Semaine de récla me monstre cliez Tietz, rue Neuve, Bruxel els. Pendant cette semaine occasions Demandcz-en la liste envoyée par poste franco Poui acnai de 1.45fr. une demi-livre mi» d epice pour rien. pain d'épice demi-livre pain Pour 2.45fr. quatre cents grammes. Meme en province le est envoyé gratuitement. B3BBS8BSSBBÈEÈBË3S& Une feien tr:ste nouvelle nous est parvenue cet.esemaine, auuongant la mort de Madame la Baronne Conrad Van der Bruggen, née Be.the Merghelynck C'est avec une gran de douleur que tousceux qui l'ont connue ont appris ce coup terrible frappant cette vieRle familie si respectee en notre ville. Per- j sonne ne pouvait croire a cc-tte mort préma- tu,-ée, 3i ans! Toute sa j uness 25,740m2 de pommes de terre 39.000 kgr. a 9.00 fr. les 100 kgr. 3.5 10,00 fr. 7.0201112 de fèves 2.208 kgr. a 0.70 3.5iom2 de pois 4.680 kgr. a 0.22 iJqo™2 de choux 3.900 kgr. a 0,12 la pièce 1i70m2 de cnoux de Savoie 3.900 kgr. a 0.06 la pièce 1170m2 d'oignons et d'échalottes 2.340™2 de jets de choux 4.68om2 de choux d'hiver 1i70m2 de céleri 1i70m2 de poireau 9.36om2 depinards djvers r= 7.800 piéces a 0.06 la pièce 5.700 7.800 19.500 a o.o5 5. a 0.02 a 0.01 1/2 nous disons: 9.430.20 fr. pour 78 lopins, soit 121 fr. par coin de terre. Les chiffres sont significatifs. Le comité cie Namur rapporte i3i.o5fr. par lopin. Le comité de Gand-Eecloo rap porte 103.70 par lopin. Le comité de Saint portefeuille. L'anrexe C contient le détail Nicolas signale que le capital de l'oeuvre j des engagements financiers de l'Etat du (.on- mis entre les mains des colons rapportede goauitombent a la charge de la Belgique i cette manière un intérêt de plus de 5oo p. c, 5° L'acte additioneel au traité de reprise; Aussi nombre d'ouvriers du pays de YVaes 6° Le décret supprimant la Fondation de i qui avaient leur coin de terre et étaient sou- la Courronne; I tenus par l'oeuvre de St Vincent de Paul 7° Quelques annexes relatives aux immeu- j n'ont plus eu besoin de secours. Certains j bles appartenant a la Fondation de la Cou- j ouvriers ont pu abandonner leur lopin et j acque'rir en propriéte' un légumier plus grand j qu'ils ont réussi a exploiter pour leur propre j ccmpte grace aux connaissances et a l'expé- rience acquiscs en exploitant leur coin de terre. Les enfants sont dcvc-nus grands et ont De cette manière les j par leur propre travail, a un© pocttion mpilleure Hans la Cou- ouvriers ronne 8° Le texte de la loi coloniale. II y a aujourd'hui vingt-un ans (c'était le Pu aider Ieurs Parents Dimanche 23 Octobrc 1887) quo les cathc- families sont parvenues, nques 1 pre is nreut leur jut-mieie lirèvJLie l'Hótel de Ville d'ou i's étaient bannis depuis uu demi-siècle. C'est au ballotage de ce jour memorable que Monsieur le député Colaert Tut élu par 749 vcix coutre 696 données a M. Parsy, candidat liberal. Jamais on ne vit en ville uu enthousiasme I comparable a celui qui accimiliit lannoeca de ce premier trioniphe catho.ique sur le terrain communal. Monsieur Colaert recueil- lait plus de suff; ages que n'eu avait jamais obtenus aucua candidat libéral et montait a l'hotel de vi lo par une i rèebe fièrement pratiquée dans la citadelle da libéralisme Yprolö qui trois aas après al'ai! être enlevée par l'entrée d'une majoritó catholique. Depuis, le temps a marché, et nous avons vu a l'oeuvre M. le député Colaert a'abord comme Conseiller Communal, seul en face de quatorze adversaries, puis comme Eche- vin et depuis biontöt neuf ans comme Bourgmestre de !a Ville d'Ypres, succédant au regretté baron Surmont da Volsbergie. Tout esprit impartial reconnait que depuis le temps oü il fit sa première entree a l'hötel da ville. Notre chère cite a, été complètement transforméo et embellie pr:r uue longue série de travaux utiles commencés par sou précécesseur et qu'il tient a cceur d'achever par les grands travaux ea cours et par la restauration de nos monuments iucompara- bles et des nombreuses fagades anciennes qui font l'crnemont de notre antique cité et l'admiration des étrangers. Ce joyeux anniversaire nous donne l'occa- sion de remercier notre vaillant Bourgmes- tre. Que Dieu lui accordo force et santé pour continuer a présider de longues années encore aux destinées de notie ville et pour mener a bonue fiu ces belles restaurations, qui rendront a notre ville une padie de sen ancienne splendour. societe. Voilades fails acquis contre lesquels ne peut rien otjecter. on Pour terminer aujourd'hui nous transcri- 1.965,60 1.029,60 B 468.00 23.4.00 273.00 460.00 780.00 56.oo )i 292.50 187.20 i' 66,3o Total 9.430.20 vons du bulletin de Juillet 1908 la situation de l'oeuvre au 3i décembre 1907. 11 y a en Belgique 36 comités 8 a Bruxelles et dans les faubourgs 1 a Saint-Nicolas 5 a Namur 1 a Gand 17 a Tefmonde 4 a Anvers A BruxTies, 138 families comprenant 672 personnes exploiient 7 hectares 37 ares. Le rendement par coin de terre est de 100 fr. A Saint-Nicolas, io5 families comprenant 5/2 personnes exploitent 5 heet. 22 a. ren dement 138.74 frs. A Namur, 3o3 families i.oi5 personnes 10 heet. rendement 7o.e5 frs. A Gand 116 families116 personnes 90 ares rendement 70 25 frs. A Termonde, 119 families 6 r 5 person nes 6 h. 6 a. rendement 94.35 frs. A Anvcro, fan*illee i5o por6onn.co - i h. 55 a. Ensemble, 36 comités procurant un lopin de terre a 620 families comprenant 3.080 personnes et exploitant 3i hect. i3 a. (a suivre.) jes Turcs en tant que puissance asiatique pour menacer le canal do Suez et barrer In j routo des lades a l'Angieterre, laquelle soutient les Turcs tout de même coutre les Itusses, sans ies soutenir en ce qui conccrac l'Egypte. J'ai compris, j'ai trés bien compris. C'est ce qui vous explique pourqoui la Fiance a pris, avec 1 Ang'eterre, le parti des Turcs contre l'Autriche, qui veut mettre la main sur Saloniqus, tout en restant i'alliée jj des visées russes contre les Turcs et pour- quoi les Grecs, qui dótestent les Turcs. out pris le parti des Turcs coutre les Bulgares et l'Autriche, tout en pronant la Crete aux Turcs... Mais sapristilichez moi la paix, puisquè je vous dis que j'ai compris S. I.EP, Un arrêté royal du 30 Septembre 1908 alloue un subside de 9000 fr. a la commune do Wervicq pour contribuer au payement j des dépenses resultant de l'exécution de travaux d'hygiène. Par «rrêtó royal du 2 octobre 1908 la croix civique de lre classe est décernée a M. A. De Witte, receveur de la commune de Zilleboke. Par arrêté royal du 8 octobre la croix militaire de 1" classe esi décernée au capi- taine-commardant Lefevte du 3mede ligne. P r arrêté royal du 10 Oc'obre 1908 sont nommé&Itece.yexir des douanes et des passa a Ypres ou au chateau de S'. Jean. Tout le mondeTaimait pour ^on charme et sa grace; il y a une dizaine d'années elle épousa le Baton Conrad Van der Bruggen et alia habiter a Wingene, mais sa residence favorite était a Ypres oü el'e faisait de nombreux séjours. On veuait da la voir si jeune, ri gaie, si sympathique a tousDepuis longtemps sa santé cependant laissait a de'sirer, mais elle supportait ses souffrances sans se plaiadre et personne ne la croyait si prolondément atteinte. Dieu l'a rappele'e et lui donnera la re'com- psnse que sa charité et ses boanes oeuvres lui auront value. Nous présentons au Baron Conrad Van der Bruggen et a la fa nille Merghelynck si tris- tement en deuil nos compliments de respcc- tueuses condoléances. L'enterrement a lieu a Wildenborg et un service sera célébré pour le repos de son time Mardi a 10 1/2 heures a St. Martin. que la majorité des spectateurs, qui ont f K assisté a la representation d'Une Nuit de semble en convenir. lui accises de b™ classe a Argimont (station) (Namur); M. V. Nicolot, actuellement rece veur des contributions dirsetes, douanes et 1 accises de 7m<: classe a Gomines (village). I Receveur des contributions directes, dou- j ancs et accises de 7ms classe a Ccmices j (village); M.J. Lavrillé, actuellement rece veur des douanes et des accises de 7me classe a Bleyberg (station) (Liège). I Dans le précédent article nous avons attiré (i l'attention du lecteur sur les avantages mo. j raux de l'oeuvre du Coin de terre. II nous La plupart des personnes qui fréquentent les representations theatrales qui se donnent en notre Salle de Spectacle ont une logique assez bizarre; tantót ils soutiennent quil ne s'y pajse lien ,1'offensant pour la religion et les bonnes moeurs tantöt ils avoucnt que la plupart des representations ne sont point sans queiqucs dangers, ils disent communé- ment e'e'tait un peu gras mais soutiennent en même temps que cela ne peut mal et que 1'homme doit braver les dangers afin qu'il apprenne a mieux les connaitre. Les voiia done toujours justifies, grace a 1'heureuse souplesse de leur esprit. Nous ne mettons jamais les pieds a la i Salle de Spectacle, c?r nous sommes d'un j avis contraire et prétendons que l'effet de la j majorité des piéces qu'on y joue est de j donner une nouvelle énergie a toutes les j passions. Plus la pièce est agréable plus elle j est funeste en général. Comment pourrait-il i en être autrement. C'est toute une nuée d'adultères, d'incestes, de meurtres, d'infan- j ticides, de parricides, de suicides etc. préco- j nisant ces Iorfaits comme la fatalité glorieuse des esprits supérieurs comme un progrès des grandes atnes. Quant a la vertu et la pi été i elles sont toujours ridicules, la corruption est toujours excusée et plaisante et la pudeur toujours offensée, ou toujours en danger d être viole'e par les derniers attentats, par en convcrnr, tut qui après avoir annoncé la pièce ne donne pas a l'encontre de son habitude le plus petit commentaire de la représentatioa. Le silence vaut parfois une affirmation éloquente. Persorinellement nous sommes d'avis qu'Une Nuit de Noces s a constilué un scan lale et que plusieurs scènes étaient une atteinte directe aux bon- I nes moeurs. Aussi nous protestons vjvement contre la representation de pièces pareilles. Mais comment empècher pareilles repré- j sentations La chose est certainement diffi- cileon est parfois farce de tolérer des j choses qu'on r.e peut approuver, pour empê- j cher de plus grands .maux. Aussi nous ne j deinandons pas la censure des pièces qu'on i veut représenter en notre Salle de Spectacle, I mais nous voudrions qu'on donne une petite lecon aux troupes qui viennent donner d?s 3 représentations a Ypres et qu'on leur fasse comprendre qu'ici au moins on exige certai- nes garanties. Dans ce but nous proposons de ne plus admettre en notre Salle' de Spec tacle le directeur et si possible les acteurs qui ont joué Une Nuit de Noces et de refuser a l'avenir le subside de la ville 1 usage de la Salle a toute troupe permet des incartades pareilles. BURGERSTAND VAN YPER Van den 16 lot den 23 October 1908 Geboorten: Vereecke Robert. Zillebekestraat. Woussen Maria, Grimminckstr;.-at. Doolaeghe Luciaan, Patteelstraat. Legrand Ivonne, Hukkerstraat. Abein Margareta, Rijselstraat. Vercouter Gerardina, Rgselstraat. Denulte Celesta, Patteelstraat. Sterfgevallen. Decrock Germana, 6 maanden veemarkt. Rieart Virginia. 77 z. b Wwe. Popelier Fre- dor ck, Wenriinckstraat. Sogers Roger, 4 maan den, St Jacobs K< rkhof. Viocmen Maria, "3 j. ongehuwd Neerstraat. f'•■Frists i est aujourd'hui le remède populaire par ex cellence c'est que le THERMOGENE est venu a son hsure pour renaplacer, dans Je traite- ment des affections rhumatismales etinflamma- toires (rhumes,maux de gorge, points de cê:é),tous les vieux remèdes d'un emploi si désagréable et parfois si douloureux. Adieu pour toujours aux onguents, emplhtres* li; iments, tcinture d'iode, vésicatoires, etc. Le «THERMOGÈNE» est a ces remèdes, aussi inefficace8 que maIpropres,ce quela lumière électrique est aux vieillos lampes a l'huile. Son action est certaine elle se traduit par Liste des Jurés appelcs a siéger pendant des picotemeuts parfois assezyifs, qu'and on la 4s session de la Cour d'assises de la jj transpire notammentoa peut suspendre province de la Flandrs occidentale, uui 1 alors le traitsment peüdaut quelques temps s'ouvrira le Fundi 26 Octobre 1908. sous I et le reprendre ensuite. Si Taction tardea la pre'sidence de M. Dumortier, conseiller i sap rod aire, on asperge la ieuille d'ouate de vinaigre ou dèau de Cologne. N. B. II faut bien préciser «UN THERMOGENE» et refuser les contrefugous que certaines pharmacies ue second ordre 1 cherchent a vendue en place et lieu du véri- table produit. 1 La boite: fr. 1.50 La 1/2 boite fr. 0.80. qui et se des expressions dont Timpudence est a peine f* voilée. L'adresse de cacher le grossier ne I qu'y attirer la volonté d'une manière i plus délicate, mais tres souvent on ne prend plus la peine de rien cacher et les passions f s'y montrent dans toute leur crudité. Voila certainement deux opinions fort différentes. El comment dès lors admettre La question d'Orient Mais c'est cla'r comme le jour... II y a d'abord les T'ures, n'est ce pas 1 les Turcs, qui sont des Otto mans. Bod. reste a parler des avantages malériels. Cbaque minage ouvrier recoit gratuite ment 5 ares de terre pour y cuitiver des pommes de terre et des legumes en quantité sutHsante pour nourrir, darant tout un hiïer, repre.«n,„io„s ises uue familie d env.rou «x pi,tonnes. Yp„Si d(Sp>s!<! ,K born» La JJ ^U^S' 11 y a le3 Bulgares, qui sont des que nous pu.ssions jamais être d'accord avec Slaves et qui sont fachés avec lesTurcs et les De Brabandere E., br/sseur^Desselghe «»q"'lre)»™.„tn„,res.lledcsp«ctade, Serbe, qnisontb.ouiUétavonlMBnka, - 6 Et pourtanr nous le sommes lorsque nous i Tarfait disons que la première de notre Saison theatrale, si on peut appeler ainsi la série d 3 res. a Puis il y a les Grecs, qui sont des Chretiens, eux, et qui sont naturellement fèches avec les Turcs, et aussi avec ies Bulgares en tant que GrecB, mais sont amis a ia Cour d'appei de Gand. Jurés titulaires. MM. Van Acker, G., négociant, Bruges. Ryeland, J propriécaires, id. Timmeiy, C., changeui', id. Lust, A., Brasseur, Ostende. Desmet, F., négociant, Courtrai. Vandenberghe, E id, Menin. De la Rue, E., patissier, Bruges Carpentier, A proprie'taire, Hooglede Peeren, H., Brasseur, Avelghem. Liebaert. A., échevin, Ostende. Lapiere, G., ingénieur, Ypres. Declercq, J., meunier, Decrlyk. Woutermaarten, E., neg., Courtrai. Godtschalck, A., bourg., Warnêton. De Vlies C. L., échevin, Moorsele. Vanooteghem C., cons, com., Heule. Leleu, Ch., rentier Ostende. Routens, Ch., brasseur Jabbeke. Struye, F., propriétaire, Ypres. Seys, Ch., bourgmestre, Ichteghem. Wegstee.n L., changeur, Bruges. Vandenberghe, B négociant, id. Geüens, A., avoué, id. Dumon, A., bourgmestre, Acrtrycks. Lievens, A., cons, comm., Harlebeke ïloesolville, A., huilier, Lendelede. Van Rolleghem, L. H., rentier, Courtrai. Goormachtig C., avoue', Bruges. sselghem. Jurés supplémentair es. Goethals E., ingénieur, Bruges. Vandecasteele J., négociant, id. Axters H., chef de division, id, Priem H., id. id. Ex-élèvod» ï'Aof.démie Roysie i« Brirsli-ss Decoration, du dernier genre. MM, C| UN if

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 2