Téléphone Téléplione 52 -J* e». a as as se as se as Samedi 31 Octobre 1908 10 centimes le N° 43 Aknee N° 4506 Pour les affamés des Indes Fète Uusicale Une lettre de l'Episcopat Beige a propos de l'annexion du Congo A 1'Académie royale de Belgique Le Stand On s'abonne rue au Beurre, 36, Ypres, et A tons les bureaux de poste du Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. royaume. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentaires coüteüi 10 francs les cent exemplaires. 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CALLEWAERT, rue SAEGHER, rue des Riches Claires 20, en ville. On peut se procurer des cartes a l'entrée de la salie. PROGRAMME Première partie 1. M. ARSCHODT De Vlaming heeft geen taal.O. Roels 2. Mej DE VOS a Moederken 0.1 leen F. Uttenhove b De Zeeldraaier J. Opsomer 3. M. VERNIERS a Aan de afwezige E. Blaes: b Een vrouwken gezwind te spinnen zat Antheunis 4. Mev. TEN BERGE Zonnevonken P. Lebrun 5. ZANG-QUARTETT a Schoon lief, hoe ligt gij daer, en slaapt Van Duyse b Waar waarde gij... e Bellotje VOORDRACHT door den heer TEN BERGE, leeraar te Gent. Deuxième partie 1. M. VERNIERS a Wat is het toch goed Li. Duvosel b Liefken H. Walput 2. Mevr. TEN BERGE a O waar mijn liefste... K. Mestdagh b Onder de Linde Van Duyse 3. M. ARSCHODT a Mijn Moederspraak P. Benoit b Ik spreek van u zoo zelden Gevaert 4. Mej. DE VOS Kerstnacht Wambach 5. ZANG-QUARTETT a Twee conincskinderen Van Duyse b Jan De Mulder c Slaapt, kinderen, slaapt fff» f/p <ss fp ffP S. Em. le cardinal-archevêque de Malines et NN. SS. les évêques de Belgique vien- nent d'adresser au clergé et au fidèles la lettre suivante a l'occasion de l'annexion du Congo la Belgique: Aussi longtemps que les représentants de la Nation se trouvèrent aux prises avec les graves problèmes que soulevait le projet de reunion du Congo a la Belgique, nous ftmes taire la voix de notre patriotisme. Nous ponvons aujourd'hui, sans crainte dêtre mal compris, sortir de ia réserve que nous nous étions imposée. Nous partageons vivement la joie qu'a inspirée au peuple beige l'acquisition d une colonie, appelée a favoriser puissamment lessor économique de la mère-patrie, et a donner k l'expansion de la foi catholique un pcuvel et vigoureux élan, Nous bénissons Dieu, Auteur souverain de tout bien, de daigner ainsi continuer 4 notre chère Belgique les largesses de sa mu- j nificence. I Nous offrons Thommage de notre admira tion reconnaisante a l'initiateur qui, a une époque oü l'idée de créer une colonie afri- caine s'entourait, pour des regards moins pénétrants, de ténèbres, et n'éveillait chez les esprits moins perspicaces qu'appréhen sions et défiances, eut seul ou presque seul l'intuiiion de nos véritables intéréts et, avec une force de volonté que rien ne put décou- rager, transforma ce que le plupart tenaient pour un rêve en une oeuvre vivante et fécon- de, Le Roi a bien mérité de la patrie. Seigneur, soutenez de la puissance de votre bras votre serviteur, aidez-le a tendre de tout son coeur vers Vous, et daignez exaucer ses prières. Praetende, Domine, huic fa- mulo tuo dexteram coelestis auxilii, ut te toto corde perquirat, et quae digne postulat, consequi mercatur.» Au Roi, a la Dynastie royale, nous unis- sons, dans une pensée de religieuse recon naissance, le Gouvernement qui, hier et au jourd'hui, a su, par sa vaillance, par son au torité, par sa fermeté inébranlable, mener a bonne fin une tache aussi laborieuse que grand ose. Nous nous faisons un devoir de rendre hommage a nos assemblées législa- uves ei a iuus uux qui, ca /uuque uu en Europe, secondèrent l'initiative du Souve rain. Ces pionniers de l'oeuvre rnniwi».— missiounaires, soldats, donateurs, industriels chacun dans la sphere de son activité, et les uns comme les autres, fidèles 4 une même inspiration nationale, ont apporté a la colo- uie le concours de leurs efforts persévérants. Parmi eux beaucoup furent des saints, plu- sieurs des héros d'autres et presque tons eurent le mérite de l'audace quand la dité paraissait prudence. L'histoire de ce qu'fis ont fait au Congo a augmenté pour leurs concitoyens la fierté d'etre Beiges. Notre pays leur est redevable d'une leijon d'énergie qui, assurément, ne sera point perdue. Tous désormais nous avons a prendre conscience des responsabilités que nous assumons, et a nous armer de courage chré- tien pour ne point y faillir. La colonisation est moins une occasion de bénéfices qu'une source de devoirs. De même que, dans une familie, e'prouvée par la mala- die ou par des revers, les membres plus vigoureux ou plus favorisés doivent avoir a coeur de venir en aide a ceux qui Ie sont moins, de même il règne parmi les peuples une loi de fraternité en vertu de laquelle ceux qui out parcouru plus rapidement les premières étapes de la civilisation, doivent se retourner vers les peuples demeurés as- sis a l'ombre de la mort pour les relever d'une main secourable et les aider a suivre, a leur tour, la route du progrès chrétien. La colonisation apparait ainsi, dans le plan providentie!, comme un acte collectif servir deux au lieu de se dévouer a leurs intéréts. Le peuple qui colonise a le droit, sans doute, de s'attribuer ou de rechercher un profit qui soit la légitime récompense de ses efforts et de son initiative, mais il doit aussi ne jamais perdre de vue que, vis-a-vis de la race inférieure avec laquelle il entre en rap port, il contracte toutes les responsabilités de l'éducateur vis-a-vis de ceux dont il M. Tinei avait choisi pour sujet de son discours Pie X et la musique sacrée. j C'est le récent «jjmotu proprio du pape, indiquant certaines réformes a introduire dans la musique liturgique qui a inspiré le conférencier. L'éminent professeur a rappelé, au début de sa dissertation, que Wagner, dans "Par sifal avait bien défini le caractère de collectivité du style musical religieux. La musique religieuse écrite avant tout pour entreprend léducation. Responsabilité de 1 <j93 voix humaines a été détournée, par l'exemple avant tout responsabilité de la justice ensuite responsabilité, enfin, de la longanimité et, au besoin, de la patience. Au moment oü la Belgique assume une mission colonisatrice, notre dignité chré- tienne et notre honneur national demandent que nous mesurions l'étendue et l'importance des devoirs nouveaux qui s'imposent a nous. Que vous restiez dans la mère-patrie ou que vous alliez au loin dans la colonie pro- mouvoir les intéréts de notre religion, l'hon- neur de notre administration et de no're armee, le bon renom de notre agriculture et de notre commerce, tous, vous avez a colla- borer a l'oeuvre grandiose de la civilisation chrétienne du Congo beige. les instruments, de son caractère de haute poësie .On en est arrivé a transpor ter dans les égliaes des chants d'opéi as. Ces chants sout peut-être des chefs-d'oeuvre, mais ce nest plus la de lamusique religieuse. La virtuosité, de plus en plus provocante, des instruments d'orchestre, a amené la déca- dence de la musique dans les églises. Ces oeuvres sont plus a leur place dans le8 con certs spirituele qu'a l'offica divin. Un autre écueil réside dans les dimensions exagérées qu'on a données aux oeuvres: elles ne s'adap- tent plus adéquatement a la durée des offi ces. C'est la voix humaine, dépourvue de fioritures.qui doit avoir la priorité a l'église. Des ames a sauver sont en grand nombre jj La musique vocale avant tout! Si un accom-- la-bas. Que Dieu suscite des apotres qui pagnement est nécessaire, n'avons-nous pas aillent sur ce champ immense répandre la I l'orgue, qui exclut les effets sensuels de la bonne semence de la vie chrétienne 1 Puis- j sonorité et ne saurait éveiller dans l'audi- sent les congrégations religieusejsqm se sont i toire des attentions troublantes obtenir les dévouenjenf v" clles reclament, il n'est pas question ici. Et, après en'avnTr «i Belgique les concours finan- i fait owLJü- 4--RW3 JHL*YWï ciers dont elles ont besoin, et, au Congo exactement aux mêmes conclusions que même, trouver, auprès des agents de l'a.tmi- Wagner. 1 Seulement,Wagner déduit ses conclusions de l'Art, et Pie X de la Liturgie, ühose re» marquable, je le répète, les deux Reforma- teurs concluentde même. Ainsi, «la dignité de la Liturgie est assurée par le respect de de l'Art. de charité qu'a un moment donné une nation supérieure doit aux races déshéritées, et qui est comme une obligation corollaire de la supériorité de sa culture. Vos évêques ont le sentiment de s'acquitter d'un devoir de leur charge pastorale en vous rappelant cette loi de l'entr'aide fraternelle des peuples. L'histoire générale de la colonisation nous apprend que cette loi a été souvent mécon- nue. N'a-t-on pas vu des peuples colonisateurs, emportés par la passion du lucre, ou enivrés de l'orgueil de leur puissance tirer parti de l'inconscience ou de la faiblessedes colonisés pour les dépouiller, pour les asservir ou même pour exploiter leur dégradation mo rale La tentation est lorte pour le colonisa- teur, éloigné de sa patrie, peu ou point surveillé, déprimé parfois par la nostalgie, par la fatigue, ou par le bouleversement de ses conditions ordinaires d existence, d abu- des êtres intellectuellement et morale- nistrationet auprès detous leurs compatriotes qui viennent s'y établir, la sympathie et même la collaboration effective qui doivent doubler l'efficacité de leurs efforts Encore et toujours plus de dévouements, timi- done, Nos Frères, des vocations sacerdotal s et religieuses, de la génörosité, une haute conception de vos nouveaux devoirs Nous attendons cela de vous, comme 1 ne suite directe et immédiatede la résolution que le Roi et le Parlement viennent de prendre. Souvenez vous tous, ici et la-bas, que les indigènes païens et barbares de la terre con- golaise sont vos frères remémorez-vous l'histoire de la civilisation européenne, et dites-vous que les intéréts de celle-ci et ceux du christianisme resteront solidaires dans l'avenir, comme ils le furent dans le passé. FassDieu que la Belgique se trouve, cette fois encore, a la hauteur de sa tSche Si elle comprend sa mission, Dieu bénira lessor d'énergie que doit susciter chez elle la colonisation du Congo, et l'expérience lui prouvera que, si elle cherche, avant tout, le royaume de Dieu et sa justice, le reste lui sera donné par surcroit. A ces fins, nous prescrivons que, dans toutes les paroisses de Belgique, le premier dimanche de novembre, fête de la Toussaint, a Tissue de la grand'messe, le clergé récite les Litanies de la Sainte-Vierge et chante le Te Deum Sera la présente Lettre pastorale lue en chaire dans les églises, chapelles publiques, communautés religieuses et colléges. PIE X ET LA MUSIQUE SACRÉE La classe des beaux-arts de l'Académie royale de Belgique a tenu hier matiu sa séance publique annuelle. La grande salie du palais des académies était littéralement bondée le3 daaaas surtout étaient trè3 nom- breuses; clans la loge réservée aux membres du Parlement, on notait la presence de M. Woeste. C'est M. Edgar Tinei, directeur de la clas- se des beaux-arts et président de l'académie, II faut retourper a Tócole de Palestrina pour connaltre ce qu'est Ie vrai style reli gieux, et pour pouvoi se rendre compte des a'otis, qui sont aujourd'hui a leur point cul minant, On ferait un volume des réflexions sévères et fondées,dirigées contre les opéras eu »us» qu'on a donnés dans nos églises. Ces abusont été combattus par des corcües, et, individuellement, par plusieurs Papes. Mais a leurs condamnations faisait dófaut la précision scientifique de l'homme de métier. Et leurs ordres imprécis étaient suivis, de bonne foi 'ailleurs, d'interpréiations con tradictoire®. Dans son «motu proprio», I'ie X, trés averti des >.hose3 de l'Art, donne 4 ses enseignements une direction scientifique II prescrit que les masses instrumentjes n'écrasent plus les voix humaines. Et, d'autrepart, avec infiniment de raison, il ne conseilie pas de revenir au plain-chant, pur et simple, car, alors, notre musique liturgi que serait perdue sans retour. La polypho nic bien comprise, c'est Tavenirl Done, en ce qui concerne la musique sacrée, Wagner et Pie Xsont d'accord, en principe. Mais le piquant, c'est que Wagner veut revenir a la musique palestrieane, en ex- cluant les instuments d'orchestre. Pie X est moins exclusif, moins rigoriste, il esttran- chons le mot plus moderniste tout en accordant une faveur marquée, aux voix, il voit le moyen de faire une place a Torches- tre. j M. Tinei,en termes émus et vibrants,rend hommage a Bach dont le style selon l'ex- pression de Pie X—est vraiment «universel» C'est dans Each qu'Haydn, Mozart, Beetho ven, Wagner lui-même, ont puisé. Ce style n'a pas été atteint par la mode. II contient toute la substance de la musique présente. II seral'axe de Ja musique future. Bach résumé Ie plus audacieux, le plus parfait, Ie plus souverain. Mais chez lui, ce qui manque, c'est le rapport de convenaDce en tre la musique et les cérémonies du culte. Chez lui, les paroles sont subordonnées la musique par exemple, 316 mesures A l'église, la musique doit être au service des paroles, car l'oeuvre d'art doit répondre a une destination déterminée. C'est de Bach que viendront les réformes préconisées par Pie X. Bach était protestant? Qu'impor- feII n'y a pas do musique confessionnelle, et c'est amoindrir Bach que de le confisquer au profit d'une secte religieuse. Bach est la musique même et, après les tatonnements d'aujourd'hui qui dureront peut-être longtemps c'est des inspirations de Bach que sortira la vraie musique catholique. M. Tinei tire de l'exemple de Bach un bel enseignem ent pour les musician s de nos j ours. Il faut, comme Bach ce génie travail- ler modestement, et avec persévérance. «C'est paree qu'il a travaillé ainsi que Dieu a béni ses efforts, et que son oeuvre restera dans la mémoiredes hommesaussi longtemps qu'ils connaitront la musique, et qu'ils pra- tiqueront le culte de l'Art (Appl. pro- Iongés. La classe des beaux-arts procédé ensuite a la proclamation des résultats des concours de la classe et des prix du gouvernement pour les concours annuels de 1908 .- I. Etudier le sentiment de la Beauté et son évolution dans la peinture et la sculpture au XIXe siècle. Deux travaux, répondant 4 cette question, ont été primés «ex-sequo», ceux de MM. Petrucci et Van Wetter. II. Projet d'une médaille, face et revers, r-mir comménsorer les travaux de Bruxelles Floris de Cuyper, a Anvers. III. Prix du Gouvernement. Grand concours d'architecture de 1908. Grand prix, 4 Tunanimité avec félicitatiens spéciales du jury M. Camille Van Daele 2e prix M. Arthur Smet, et mention hono rable: M. Léon Gras. Les trois lauréats sont d'Anvers. La cérémonie s'est terminée par l'exécu- tion d'une Geneviève d9 Brabant prix de Rome, de M. Valère Gille, pour les paroles, et de M.Herberigs, pour Ia musique. M. Herberigs, Gantois d'origine, moisson- ne de doubles lauriers il chante les basses a TOpéra flamand d'Anvers en même temps qu'il poursuit ses études de compositions. La cantate, un peu massive de structure et d'instrumsntation, renferme de forts jolis coins de rêve et de naturisme le personna- ge de Geneviève est dessiné dans une char mante atmosphère de mélancolie sereine les expansions mélancoliques du duo des époux attestent un tempérament chaleureux et Ton note au passage un choeur d'hommes qui a de l'accent et de la sonorité. Que le jeune auteur n'ait pu réussir a oublier la Tétralogie et Tristan, voila qui ne surpren- dra personne. Interprétée avec talent et bonne volonté par M. Fontaine, la belle basse anversoise, M. Proot, Mmes Roland-De Preter (agréable soprano), Caluwarts, et un groupe de voix bien timbrées four ni par les célèbres Mélo- manes de Gand, la cantate a valu a M. Herberigs les applaudissements prolongés qui clotutent communément cette annuelle cérémonie. ser ment inférieurs qui Tentourent,- et de se qui a ouvert la séance. II avait a ses cótés pour un texte de 16 mots Si Bach avait MM. Gevaert, Fétis. Hymans, le chevalier été familiarise avec la liturgie catholique,ce Marchal, secrétaire perpétuel MM. Beer- gran(i génie eüt peut être donné les formes naert, Hubert, etc. definitives a la musique d'église. Nous reproduisons bien volontiers les lignes suivantes que nous cueillons dans le Progrès de Dimanche dernier. La question du Stand serait-elle sérieu- sement entamée cette fois Voila ce que les amis de l'armée et les nombreux partisans du tir se sont deman- dés en voyant la Commission du Stand réunie, au grand complet, Samedi dernier. La Commission aurait, d'accord avec le Département de la Guerre, chargé M. le Commandant du Génie Lemouche de l'élaboration des plans. «MM. les Majors Ligy de la Garde-civi- que et Daune du 3« de ligne, ainsi que M. le Commandant de génie Lemouche, con- duits par Monsieur Fraeys, le nouvel échevin des travaux publics et M. Tingé* JOURNAL YPRES ©rgane Catholique de l'Hrrondissement Dcuuu Döj »t *L M. lï>-WIS.or -1 louug.-"' v*~ w i'aiauuoftUBuaunuu piaa proviuciiucj, uuiuluw uu - mDTMfirw/-. r - -1 1 Wjg- w.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1908 | | pagina 1