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Téléplione 52
-J* e». a as as se as se as
Samedi 31 Octobre 1908
10 centimes le N°
43 Aknee N° 4506
Pour les affamés des Indes
Fète Uusicale
Une lettre de l'Episcopat
Beige a propos de l'annexion
du Congo
A 1'Académie royale de
Belgique
Le Stand
On s'abonne rue au Beurre, 36, Ypres, et A tons les bureaux de poste du
Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine.
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royaume.
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Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse.
Liste précédente fr. 37.50
Onbekend 5.00
Eerw. Heer George, pastor, Boesinghe 5.00
Ongenoemden 50.00
Dimanche 8 Novembre, a 4 heures 1/2, le
célèbre QUATOR GANTOIS, sous la
direction de Mr LOUIS ARSCHODT, direc
teur de la Fanfare Royale, a Ypres, donnera,
a la Salle de Spectacle, place Vandenpeere-
boom,en notre ville.un «LIEDERAYOND»
flamand.
Le nom seul des artistes engagera quicon-
que est amateur de belle et bonne musique,
a vouloir prendre part a ce régal.
Nous nommons
M«lle Math. DE VOS, Soprano
M™ TEN BERGE-DE MUYNCK. Alt
Mr JOSEPH VERNIERS, Te'nor
Mr L. ARSCHODT, Baryton.
Entre les deux parties, conférence par
Monsieur TEN BERGE, professeur a Gand
sur le sujet HET LIED
Prix des places
Première place 1 5o fr.
Deuxième place 1.00 fr.
Places réservées moyennant 5o ct. a se
procurer chez M. CALLEWAERT, rue
SAEGHER, rue des Riches Claires 20, en
ville.
On peut se procurer des cartes a l'entrée
de la salie.
PROGRAMME
Première partie
1. M. ARSCHODT
De Vlaming heeft geen taal.O. Roels
2. Mej DE VOS
a Moederken 0.1 leen F. Uttenhove
b De Zeeldraaier J. Opsomer
3. M. VERNIERS
a Aan de afwezige E. Blaes:
b Een vrouwken gezwind te spinnen
zat Antheunis
4. Mev. TEN BERGE
Zonnevonken P. Lebrun
5. ZANG-QUARTETT
a Schoon lief, hoe ligt gij daer, en slaapt
Van Duyse
b Waar waarde gij...
e Bellotje
VOORDRACHT door den heer
TEN BERGE, leeraar te Gent.
Deuxième partie
1. M. VERNIERS
a Wat is het toch goed Li. Duvosel
b Liefken H. Walput
2. Mevr. TEN BERGE
a O waar mijn liefste... K. Mestdagh
b Onder de Linde Van Duyse
3. M. ARSCHODT
a Mijn Moederspraak P. Benoit
b Ik spreek van u zoo zelden Gevaert
4. Mej. DE VOS
Kerstnacht Wambach
5. ZANG-QUARTETT
a Twee conincskinderen Van Duyse
b Jan De Mulder
c Slaapt, kinderen, slaapt
fff» f/p <ss fp ffP
S. Em. le cardinal-archevêque de Malines
et NN. SS. les évêques de Belgique vien-
nent d'adresser au clergé et au fidèles la lettre
suivante a l'occasion de l'annexion du Congo
la Belgique:
Aussi longtemps que les représentants
de la Nation se trouvèrent aux prises avec
les graves problèmes que soulevait le projet
de reunion du Congo a la Belgique, nous
ftmes taire la voix de notre patriotisme. Nous
ponvons aujourd'hui, sans crainte dêtre mal
compris, sortir de ia réserve que nous nous
étions imposée.
Nous partageons vivement la joie qu'a
inspirée au peuple beige l'acquisition d une
colonie, appelée a favoriser puissamment
lessor économique de la mère-patrie, et a
donner k l'expansion de la foi catholique un
pcuvel et vigoureux élan,
Nous bénissons Dieu, Auteur souverain
de tout bien, de daigner ainsi continuer 4
notre chère Belgique les largesses de sa mu-
j nificence.
I Nous offrons Thommage de notre admira
tion reconnaisante a l'initiateur qui, a une
époque oü l'idée de créer une colonie afri-
caine s'entourait, pour des regards moins
pénétrants, de ténèbres, et n'éveillait chez
les esprits moins perspicaces qu'appréhen
sions et défiances, eut seul ou presque seul
l'intuiiion de nos véritables intéréts et, avec
une force de volonté que rien ne put décou-
rager, transforma ce que le plupart tenaient
pour un rêve en une oeuvre vivante et fécon-
de,
Le Roi a bien mérité de la patrie.
Seigneur, soutenez de la puissance de votre
bras votre serviteur, aidez-le a tendre de
tout son coeur vers Vous, et daignez exaucer
ses prières. Praetende, Domine, huic fa-
mulo tuo dexteram coelestis auxilii, ut te
toto corde perquirat, et quae digne postulat,
consequi mercatur.»
Au Roi, a la Dynastie royale, nous unis-
sons, dans une pensée de religieuse recon
naissance, le Gouvernement qui, hier et au
jourd'hui, a su, par sa vaillance, par son au
torité, par sa fermeté inébranlable, mener a
bonne fin une tache aussi laborieuse que
grand ose. Nous nous faisons un devoir de
rendre hommage a nos assemblées législa-
uves ei a iuus uux qui, ca /uuque uu en
Europe, secondèrent l'initiative du Souve
rain. Ces pionniers de l'oeuvre rnniwi».—
missiounaires, soldats, donateurs, industriels
chacun dans la sphere de son activité, et les
uns comme les autres, fidèles 4 une même
inspiration nationale, ont apporté a la colo-
uie le concours de leurs efforts persévérants.
Parmi eux beaucoup furent des saints, plu-
sieurs des héros d'autres et presque tons
eurent le mérite de l'audace quand la
dité paraissait prudence. L'histoire de ce
qu'fis ont fait au Congo a augmenté pour
leurs concitoyens la fierté d'etre Beiges.
Notre pays leur est redevable d'une leijon
d'énergie qui, assurément, ne sera point
perdue.
Tous désormais nous avons a prendre
conscience des responsabilités que nous
assumons, et a nous armer de courage chré-
tien pour ne point y faillir.
La colonisation est moins une occasion de
bénéfices qu'une source de devoirs. De même
que, dans une familie, e'prouvée par la mala-
die ou par des revers, les membres plus
vigoureux ou plus favorisés doivent avoir a
coeur de venir en aide a ceux qui Ie sont
moins, de même il règne parmi les peuples
une loi de fraternité en vertu de laquelle
ceux qui out parcouru plus rapidement les
premières étapes de la civilisation, doivent
se retourner vers les peuples demeurés as-
sis a l'ombre de la mort pour les relever
d'une main secourable et les aider a suivre,
a leur tour, la route du progrès chrétien.
La colonisation apparait ainsi, dans le
plan providentie!, comme un acte collectif
servir deux au lieu de se dévouer a leurs
intéréts.
Le peuple qui colonise a le droit, sans
doute, de s'attribuer ou de rechercher un
profit qui soit la légitime récompense de ses
efforts et de son initiative, mais il doit aussi
ne jamais perdre de vue que, vis-a-vis de la
race inférieure avec laquelle il entre en rap
port, il contracte toutes les responsabilités
de l'éducateur vis-a-vis de ceux dont il
M. Tinei avait choisi pour sujet de son
discours Pie X et la musique sacrée.
j C'est le récent «jjmotu proprio du pape,
indiquant certaines réformes a introduire
dans la musique liturgique qui a inspiré le
conférencier.
L'éminent professeur a rappelé, au début
de sa dissertation, que Wagner, dans "Par
sifal avait bien défini le caractère de
collectivité du style musical religieux. La
musique religieuse écrite avant tout pour
entreprend léducation. Responsabilité de 1 <j93 voix humaines a été détournée, par
l'exemple avant tout responsabilité de la
justice ensuite responsabilité, enfin, de la
longanimité et, au besoin, de la patience.
Au moment oü la Belgique assume une
mission colonisatrice, notre dignité chré-
tienne et notre honneur national demandent
que nous mesurions l'étendue et l'importance
des devoirs nouveaux qui s'imposent a nous.
Que vous restiez dans la mère-patrie ou
que vous alliez au loin dans la colonie pro-
mouvoir les intéréts de notre religion, l'hon-
neur de notre administration et de no're
armee, le bon renom de notre agriculture et
de notre commerce, tous, vous avez a colla-
borer a l'oeuvre grandiose de la civilisation
chrétienne du Congo beige.
les instruments, de son caractère de haute
poësie .On en est arrivé a transpor ter dans
les égliaes des chants d'opéi as. Ces chants
sout peut-être des chefs-d'oeuvre, mais ce
nest plus la de lamusique religieuse. La
virtuosité, de plus en plus provocante, des
instruments d'orchestre, a amené la déca-
dence de la musique dans les églises. Ces
oeuvres sont plus a leur place dans le8 con
certs spirituele qu'a l'offica divin. Un autre
écueil réside dans les dimensions exagérées
qu'on a données aux oeuvres: elles ne s'adap-
tent plus adéquatement a la durée des offi
ces.
C'est la voix humaine, dépourvue de
fioritures.qui doit avoir la priorité a l'église.
Des ames a sauver sont en grand nombre jj La musique vocale avant tout! Si un accom--
la-bas. Que Dieu suscite des apotres qui pagnement est nécessaire, n'avons-nous pas
aillent sur ce champ immense répandre la I l'orgue, qui exclut les effets sensuels de la
bonne semence de la vie chrétienne 1 Puis- j sonorité et ne saurait éveiller dans l'audi-
sent les congrégations religieusejsqm se sont i toire des attentions troublantes
obtenir les dévouenjenf v" clles reclament, il n'est pas question ici. Et, après en'avnTr
«i Belgique les concours finan- i fait owLJü- 4--RW3 JHL*YWï
ciers dont elles ont besoin, et, au Congo exactement aux mêmes conclusions que
même, trouver, auprès des agents de l'a.tmi- Wagner.
1 Seulement,Wagner déduit ses conclusions
de l'Art, et Pie X de la Liturgie, ühose re»
marquable, je le répète, les deux Reforma-
teurs concluentde même. Ainsi, «la dignité
de la Liturgie est assurée par le respect de
de l'Art.
de charité qu'a un moment donné une nation
supérieure doit aux races déshéritées, et qui
est comme une obligation corollaire de la
supériorité de sa culture.
Vos évêques ont le sentiment de s'acquitter
d'un devoir de leur charge pastorale en vous
rappelant cette loi de l'entr'aide fraternelle
des peuples.
L'histoire générale de la colonisation nous
apprend que cette loi a été souvent mécon-
nue.
N'a-t-on pas vu des peuples colonisateurs,
emportés par la passion du lucre, ou enivrés
de l'orgueil de leur puissance tirer parti de
l'inconscience ou de la faiblessedes colonisés
pour les dépouiller, pour les asservir ou
même pour exploiter leur dégradation mo
rale La tentation est lorte pour le colonisa-
teur, éloigné de sa patrie, peu ou point
surveillé, déprimé parfois par la nostalgie,
par la fatigue, ou par le bouleversement de
ses conditions ordinaires d existence, d abu-
des êtres intellectuellement et morale-
nistrationet auprès detous leurs compatriotes
qui viennent s'y établir, la sympathie et
même la collaboration effective qui doivent
doubler l'efficacité de leurs efforts
Encore et toujours plus de dévouements,
timi- done, Nos Frères, des vocations sacerdotal s
et religieuses, de la génörosité, une haute
conception de vos nouveaux devoirs Nous
attendons cela de vous, comme 1 ne suite
directe et immédiatede la résolution que le
Roi et le Parlement viennent de prendre.
Souvenez vous tous, ici et la-bas, que les
indigènes païens et barbares de la terre con-
golaise sont vos frères remémorez-vous
l'histoire de la civilisation européenne, et
dites-vous que les intéréts de celle-ci et ceux
du christianisme resteront solidaires dans
l'avenir, comme ils le furent dans le passé.
FassDieu que la Belgique se trouve, cette
fois encore, a la hauteur de sa tSche
Si elle comprend sa mission, Dieu bénira
lessor d'énergie que doit susciter chez elle
la colonisation du Congo, et l'expérience lui
prouvera que, si elle cherche, avant tout, le
royaume de Dieu et sa justice, le reste lui
sera donné par surcroit.
A ces fins, nous prescrivons que, dans
toutes les paroisses de Belgique, le premier
dimanche de novembre, fête de la Toussaint,
a Tissue de la grand'messe, le clergé récite
les Litanies de la Sainte-Vierge et chante le
Te Deum
Sera la présente Lettre pastorale lue en
chaire dans les églises, chapelles publiques,
communautés religieuses et colléges.
PIE X ET LA MUSIQUE SACRÉE
La classe des beaux-arts de l'Académie
royale de Belgique a tenu hier matiu sa
séance publique annuelle. La grande salie
du palais des académies était littéralement
bondée le3 daaaas surtout étaient trè3 nom-
breuses; clans la loge réservée aux membres
du Parlement, on notait la presence de M.
Woeste.
C'est M. Edgar Tinei, directeur de la clas-
se des beaux-arts et président de l'académie,
II faut retourper a Tócole de Palestrina
pour connaltre ce qu'est Ie vrai style reli
gieux, et pour pouvoi se rendre compte des
a'otis, qui sont aujourd'hui a leur point cul
minant, On ferait un volume des réflexions
sévères et fondées,dirigées contre les opéras
eu »us» qu'on a donnés dans nos églises. Ces
abusont été combattus par des corcües, et,
individuellement, par plusieurs Papes. Mais
a leurs condamnations faisait dófaut la
précision scientifique de l'homme de métier.
Et leurs ordres imprécis étaient suivis, de
bonne foi 'ailleurs, d'interpréiations con
tradictoire®. Dans son «motu proprio», I'ie
X, trés averti des >.hose3 de l'Art, donne 4
ses enseignements une direction scientifique
II prescrit que les masses instrumentjes
n'écrasent plus les voix humaines. Et,
d'autrepart, avec infiniment de raison, il ne
conseilie pas de revenir au plain-chant, pur
et simple, car, alors, notre musique liturgi
que serait perdue sans retour. La polypho
nic bien comprise, c'est Tavenirl
Done, en ce qui concerne la musique
sacrée, Wagner et Pie Xsont d'accord, en
principe.
Mais le piquant, c'est que Wagner veut
revenir a la musique palestrieane, en ex-
cluant les instuments d'orchestre. Pie X est
moins exclusif, moins rigoriste, il esttran-
chons le mot plus moderniste tout en
accordant une faveur marquée, aux voix, il
voit le moyen de faire une place a Torches-
tre.
j M. Tinei,en termes émus et vibrants,rend
hommage a Bach dont le style selon l'ex-
pression de Pie X—est vraiment «universel»
C'est dans Each qu'Haydn, Mozart, Beetho
ven, Wagner lui-même, ont puisé. Ce style
n'a pas été atteint par la mode. II contient
toute la substance de la musique présente.
II seral'axe de Ja musique future. Bach
résumé Ie plus audacieux, le plus parfait,
Ie plus souverain. Mais chez lui, ce qui
manque, c'est le rapport de convenaDce en
tre la musique et les cérémonies du culte.
Chez lui, les paroles sont subordonnées
la musique par exemple, 316 mesures
A l'église, la musique doit être au service
des paroles, car l'oeuvre d'art doit répondre
a une destination déterminée. C'est de Bach
que viendront les réformes préconisées par
Pie X. Bach était protestant? Qu'impor-
feII n'y a pas do musique confessionnelle,
et c'est amoindrir Bach que de le confisquer
au profit d'une secte religieuse. Bach est la
musique même et, après les tatonnements
d'aujourd'hui qui dureront peut-être
longtemps c'est des inspirations de Bach
que sortira la vraie musique catholique.
M. Tinei tire de l'exemple de Bach un bel
enseignem ent pour les musician s de nos j ours.
Il faut, comme Bach ce génie travail-
ler modestement, et avec persévérance.
«C'est paree qu'il a travaillé ainsi que Dieu
a béni ses efforts, et que son oeuvre restera
dans la mémoiredes hommesaussi longtemps
qu'ils connaitront la musique, et qu'ils pra-
tiqueront le culte de l'Art (Appl. pro-
Iongés.
La classe des beaux-arts procédé ensuite
a la proclamation des résultats des concours
de la classe et des prix du gouvernement
pour les concours annuels de 1908 .-
I. Etudier le sentiment de la Beauté et
son évolution dans la peinture et la sculpture
au XIXe siècle. Deux travaux, répondant 4
cette question, ont été primés «ex-sequo»,
ceux de MM. Petrucci et Van Wetter.
II. Projet d'une médaille, face et revers,
r-mir comménsorer les travaux de Bruxelles
Floris de Cuyper, a Anvers.
III. Prix du Gouvernement. Grand
concours d'architecture de 1908. Grand
prix, 4 Tunanimité avec félicitatiens
spéciales du jury M. Camille Van Daele
2e prix M. Arthur Smet, et mention hono
rable: M. Léon Gras. Les trois lauréats sont
d'Anvers.
La cérémonie s'est terminée par l'exécu-
tion d'une Geneviève d9 Brabant prix de
Rome, de M. Valère Gille, pour les paroles,
et de M.Herberigs, pour Ia musique.
M. Herberigs, Gantois d'origine, moisson-
ne de doubles lauriers il chante les basses
a TOpéra flamand d'Anvers en même temps
qu'il poursuit ses études de compositions.
La cantate, un peu massive de structure
et d'instrumsntation, renferme de forts jolis
coins de rêve et de naturisme le personna-
ge de Geneviève est dessiné dans une char
mante atmosphère de mélancolie sereine
les expansions mélancoliques du duo des
époux attestent un tempérament chaleureux
et Ton note au passage un choeur d'hommes
qui a de l'accent et de la sonorité. Que le
jeune auteur n'ait pu réussir a oublier la
Tétralogie et Tristan, voila qui ne surpren-
dra personne.
Interprétée avec talent et bonne volonté
par M. Fontaine, la belle basse anversoise,
M. Proot, Mmes Roland-De Preter (agréable
soprano), Caluwarts, et un groupe de voix
bien timbrées four ni par les célèbres Mélo-
manes de Gand, la cantate a valu a M.
Herberigs les applaudissements prolongés
qui clotutent communément cette annuelle
cérémonie.
ser
ment inférieurs qui Tentourent,- et de se
qui a ouvert la séance. II avait a ses cótés pour un texte de 16 mots Si Bach avait
MM. Gevaert, Fétis. Hymans, le chevalier été familiarise avec la liturgie catholique,ce
Marchal, secrétaire perpétuel MM. Beer- gran(i génie eüt peut être donné les formes
naert, Hubert, etc. definitives a la musique d'église.
Nous reproduisons bien volontiers les
lignes suivantes que nous cueillons dans le
Progrès de Dimanche dernier.
La question du Stand serait-elle sérieu-
sement entamée cette fois
Voila ce que les amis de l'armée et les
nombreux partisans du tir se sont deman-
dés en voyant la Commission du Stand
réunie, au grand complet, Samedi dernier.
La Commission aurait, d'accord avec le
Département de la Guerre, chargé M. le
Commandant du Génie Lemouche de
l'élaboration des plans.
«MM. les Majors Ligy de la Garde-civi-
que et Daune du 3« de ligne, ainsi que M.
le Commandant de génie Lemouche, con-
duits par Monsieur Fraeys, le nouvel
échevin des travaux publics et M. Tingé*
JOURNAL
YPRES
©rgane Catholique
de l'Hrrondissement
Dcuuu Döj »t *L
M. lï>-WIS.or
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piaa proviuciiucj, uuiuluw uu -
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